C’est Breizh Info qui a révélé l’affaire hier. Alors qu’une jeune fille a été violée par un migrant déjà connu des services de police, c’est le silence radio de la presse pour éviter de remonter la population contre la colonisation africaine.
Trouvé sur BI : « C’est une affaire qui a tous les aspects d’un scandale qui s’est déroulé avant Noël, dans le pays de Quimperlé, à Rédené plus précisément. Une jeune fille mineure a été à minima agressée sexuellement à la sortie d’une boîte de nuit dont elle venait d’être éconduite en raison de son état d’alcoolémie avancé, alors que ses amis étaient rentrés dans la discothèque.
L’agresseur présumé ? Ce serait migrant, décrit comme ayant « un collier de barbe « , repéré par les caméras de vidéosurveillance de la discothèque. Un homme déjà connu défavorablement des services de police.
L’agression aurait été perpétrée le samedi 21 décembre alors que le groupe de jeunes, mineurs, se rendait en discothèque après avoir fait « la tournée des grands-ducs », se présentant devant la boîte de nuit fortement alcoolisé. Dans ce groupe, une jeune fille, plus alcoolisée que les autres, est éconduite (les discothèques ne prennent plus aucun risque désormais et n’ont pas le droit d’accepter les personnes en état d’ivresse. Celles qui le font risquent des amendes et fermetures administratives).
Quelques heures plus tard, elle est retrouvée, à proximité de la discothèque, les vêtements déchirés, errant, totalement choquée. Le prédateur a frappé.
Outre le choc pour la jeune fille et sa famille, depuis Noël, c’est l’omerta autour de ce viol. La gendarmerie de Quimperlé, que nous avons contactée, nous a renvoyés vers le parquet de Quimper. Qui fait silence. Du côté de la presse locale, qui est pourtant particulièrement bavarde lorsqu’il s’agit de raconter ici « le parcours d’intégration d’un migrant », là encore les innombrables rassemblements de soutien, pourtant très faibles en nombre, aux migrants ou à des familles menacées d’expulsion, c’est également le silence total autour de cette affaire, mais peut être n’a-t-elle tout simplement pas été mise au courant ? […] »