Ayant pris la suite du site « Réflexes », « la Horde » publie des articles pour dénoncer tout ce qu’il considère être de près ou de loin « d’extrême-droite ».
La spécialité de ce site de délation tenu par des « antifas » (extrême-gauche violente et ne vivant que pour nuire aux Français estimés trop à droite) est de jeter en pâture des noms de personnes, de signaler leur activité professionnelle ou leur entreprise, de révéler des informations privées, d’exposer des photographies, pour essayer de ternir leur réputation, les intimider, leur pourrir la vie, socialement ou professionnellement. Le tout en tachant d’accoler systématiquement au nazisme, par amalgames et caricature, les personnes visées, dans la tradition la plus rouge.
Ce sont des méthodes littéralement de terreur, menées dans l’ombre par des gens extrêmement haineux et sans aucun scrupule. Ils se sentent autorisés à tout car ils se croient anonymes (ce qui vient de se terminer) et parce que ces « rebelles » peuvent parfois bénéficier de la complaisance de la « justice », comme vient de le démontrer un procès.
Ce dernier leur était intenté par Yves « Goldofaf », ancien chanteur nationaliste, et depuis plusieurs années concentré sur son activité professionnelle de gérant d’une entreprise de pompes funèbres. « La Horde » a essayé de détruire cette entreprise (et les emplois qu’elle génère), parce qu’elle hait son patron à cause des idées qu’il a manifestées il y a des années.
En dépit d’un dossier accablant, la « justice » a relaxé en première instance et en appel les auteurs antifas d’articles de diffamation et de calomnies.
Un article paru en 2016 sur La Horde et intitulé « Orléans, Le Renouveau Français ratisse large », visant donc Yves et son entreprise, avait suscité une vive polémique dans la presse orléanaise et provoqué plusieurs menaces à l’encontre de l’intéressé et certains de ses salariés. Le but de la Horde était ici évidemment l’intimidation et l’atteinte à la réputation.
Manque de chance pour ce site d’ultra gauche qui gardait jusqu’alors précieusement l’anonymat de ses dirigeants et ses auteurs, Yves « Goldofaf » a décidé d’employer tous les moyens possibles – « Prêt à tout » comme le titre d’un de ses morceaux de musique – et n’a pas hésité à entamer une procédure longue et coûteuse contre le site. Il a porté plainte en son nom et celui de son entreprise.
« Je souhaitais défendre la réputation de mon entreprise reconnue par toutes les familles qui ont eu besoin de nos services et pour veiller à la sécurité de nos salariés insultés. La plupart d’entre eux ne sont même pas au courant de mon passé de militant.
Je suis trop fier d’être français et trop attaché à notre histoire, pour me laisser traiter de nazillon sur internet par des chiens anonymes. Au-delà de défendre mon image personnelle, j’ai voulu défendre ma profession attaquée dans leurs propos ! »
Nous reviendrons sur Goldofaf plus bas, mais voyons déjà qui sont les sombres individus qui se trouvent derrière La Horde :
Isabelle de BARIC (née BRIAND) est la directrice de publication de La Horde.
Enseignante dans un lycée public à Paris.
Militante de l’extrême-gauche violente, elle assume tout à fait les méthodes de La Horde.
Au centre, sur la photo. |
Mourad GUICHARD. Cet individu mal dans sa peau, habitant d’Olivet, est « journaliste » pour Libération (propriété du milliardaire Patrick Drahi) ou encore le journal local MagCentre dirigé par Jean-Jacques TALPIN. Dans ce torchon, Guichard est l’auteur de plusieurs articles antipatriotes et antichrétiens, qui ont fait parler d’eux notamment lors des fêtes johanniques en mai 2021. Il y présente Sainte Jeanne d’Arc comme atteinte de problèmes psychopathologiques et victime d’hallucinations, ce qui ne manque pas de sel venant de ce névrosé haineux.
C’est l’un des principaux rédacteurs de la Horde. |
Marc PAPATHEODOROU
Hébergeur du site la Horde.
Journaliste au Monde. |
René Monzat est un autre des principaux rédacteurs de la Horde.
Celui qui aime à se présenter prétentieusement comme un « chercheur et spécialiste de l’extrême-droite » (parmi des centaines…) est surtout un délateur professionnel et un militant trotskiste, qui fonda l’organisation violente « Ras l’Front » (spécialisée dans l’attaque physique des militants du FN dans les années 90 et début 2000). Son véritable nom est Denis Schérer. Il a choisi le prénom « René » en hommage à son oncle, René Schérer, philosophe et théoricien pro-pédophile… |
Julien Pignon est l’avocat (barreau de Paris) de la Horde.
C’est un véritable militant antifa, particulièrement véhément. Il n’a aucun problème à mentir sans vergogne au tribunal pour nuire aux gens qu’il hait.
Il défend régulièrement des organisations d’extrême-gauche mais a aussi défendu les émeutiers de Villiers-le-Bel, « des Turcs marxistes-léninistes du DHKP-C », etc. |
Revenons à présent sur « Goldofaf » et certains antifas.
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