Christophe Hordé et ses amis ont voulu célébrer Octobre 17, pour l’évènement historique, ses utopies et sa culture. C’est ce week-end que ça se passe à Gaël (35). On peut consommer bolchévik sous les affiches de propagande, servi par un patron en tenue, le patron de la microbrasserie La Gaëlle. Il n’imaginait pas un tel « buzz ». Car l’initiative fait polémique.
Certains’émeuvent de cette célébration de la révolution russe en invoquant leurs victimes du régime et des purges. Les organisateurs se défendent pourtant de vouloir refaire l’histoire. Ils ont voulu organiser un rendez-vous ludique et convivial, qui d’ailleurs a attiré le client.
Le mouvement « antifa » (extrême-gauche radicale) a démontré une nouvelle fois sa nature en s’en prenant à un vétéran pro-Trump handicapé, en marge d’un rassemblement.
S’ils pouvaient le tuer sans risque, ils le feraient.
Nous avons les mêmes en France.
What kind of sub-humans would try to bully a man in a wheelchair?
Le South Powerty Law Center (SPLC) est une association traquant les résistances identitaires aux Etats-Unis et harcelant les mouvements de droite, un peu comme la LICRA ou SOS-Racisme ici, avec en plus une activité directement malveillante (dénonciation des personnes sur internet, pression sur les employeurs).
« Après les évènements de Charlottesville, les diverses associations anti-blanches récoltant de l’argent pour lutter contre « la haine » reçoivent des sommes tout particulièrement élevées, à la fois de particuliers gauchistes – notamment des célébrités d’Hollywood – et d’entreprises – la banque J.P Morgan Chase a par exemple fait un don d’un demi-million de dollars au SPLC. »
Sarah Rambatz, membre du parti de « gauche » Die Linke (porte-parole de son organisation de jeunesse) et en 5e position sur une liste présentée aux élections fédérales du 24 septembre prochain, semble entretenir une haine profonde pour son propre pays.
Au point d’en parler franchement.
Voilà ce que font les « antifas » et gauchistes, face à une manifestation pacifique et autorisée. Mais bon, ils sont dans le « camp du bien » (entendre le camp de l’oligarchie politico-médiatique), donc il n’y aura aucun émoi des médias sur ce genre d’activité. (attention, images pénibles)
Un militant antifasciste, mis en examen dans l’enquête sur l’attaque et l’incendie d’une voiture de police en mai 2016 à Paris, a été remis en liberté, après dix mois de détention provisoire.
La cour d’appel de Paris a ordonné la remise en liberté d’Antonin Bernanos, principal suspect dans l’affaire de la voiture de police incendiée quai de Valmy à Paris, avec placement sous contrôle judiciaire.
« C’est une remise en liberté parfaitement justifiée, comme l’avait déjà ordonné trois fois le juge des libertés et de la détention », a assuré à l’AFP Jérémie Assous, l’un de ses avocats.
« Les magistrats ont fait prévaloir le sens des textes, c’est une décision rationnelle », a ajouté maître Hugo Lévy, qui avait plaidé sa demande de libération devant la chambre de l’instruction.
Il y a quelques jours, l’attaque de bus de militants/familles allant au meeting de Marine Le Pen, au niveau de Notre-Dame-des-Landes, par l’extrême gauche, choyée du gouvernement, qui agit impunément comme la racaille :
Lu sur Parisvox : « Paris Vox – On parle beaucoup du « retour des ultras » dans l’enceinte du Parc des Princes, et notamment du CUP (Collectif Ultra Paris) au sein de la tribune Auteuil. Il s’agit du seul groupe « ultra » a être désormais autorisé, en partie, à revenir, alors que beaucoup de ses membres actuels (et notamment son président Romain Mabille) auraient été actifs et impliqués dans les violences avec la tribune Boulogne il y a quelques années, violences qui se seront achevées par la mort, sous les coups, d’un supporteur du PSG, Yann Lorence.
Alors que le procès des deux assassins présumés de Yann Lorence s’ouvrira jeudi 24 novembre devant la cour d’assises de Paris, nous proposons ici aux lecteurs quelques détails fort peu relayés par la presse subventionnée.
Près de 200 manifestants, essentiellement des noirs, ont essayé de s’en prendre violemment au traditionnel défilé familial de la Saint Nicolas.
En effet, pour les gauchistes et les allogènes qui venaient casser du blanc : « « Pierre noir », avec sa coiffe afro, sa peau noire, ses boucles d’oreilles clinquantes et son costume médiéval criard, rappelle le temps où les Néerlandais exploitaient des esclaves, particulièrement au Surinam. De plus, les personnes incarnant le père Fouettard sont principalement de couleur blanche qui se peignent la peau en noir »
« France Télévisions accueille un certain nombre de blogs d’information sur des sujets très variés dont certains sujets politiques ce qui est dans sa mission. Il est plus étrange que certains blogs supposés scientifiques – abrités sur une télévision publique payée par la redevance – soient ouvertement partisans.
C’est le cas du blog de Valérie Igounet « historienne » mais surtout ennemi déclarée du Front National dont le blog sur le même FN Derrière le Front est clairement militant.
Son hostilité déclarée au FN est illustrée par sa participation le 23 mars 2015 au séminaire organisé par Nonna Mayer au CERI (Centre d’Études des Relations Internationales, Sc Po Paris) sur le thème « comment interviewer l’extrême-droite » où la totalité du contenu reposait sur ses méthodes. Elle déclare en introduction « s’attaquer à des ennemis politiques » qui sont aussi des « ennemis moraux » identifiés comme tels et qui doivent être combattus.
Pour écrire son histoire du Front National elle a eu recours à une méthode classique : s’adresser aux meilleurs ennemis du FN, les trotskystes du NPA ancienne LCR. La LCR a ainsi mis gratuitement ses archives (très complètes dit-elle) sur le FN.
Au titre des méthodes et de la « morale » qu’elle semble revendiquer, une anecdote dit tout de l’absence de limite décomplexée qui est la sienne vis-à-vis d’une « extrême-droite » furieusement haïe. Elle explique en effet comment elle a interviewé Maurice Bardèche (à qui elle a refusé de serrer la main) tout en lui volant des documents.
Dans la rubrique « ceci explique cela », on découvre Yves Bernanos, le père des deux antifas mis en examen dans l’affaire de la voiture de police incendiée. C’est un cinéaste bobo très impliqué dans le shoatisme institutionnel. S’ils ont été élevés dans la névrose obsessionnelle de la « Shoah », on comprend mieux l’engagement hystérique et maladif de ces « enfants perdus de la république »…
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