Généralement, quand un torchon subventionné pose la question, c’est que la réponse est déjà prête et qu’il s’agit d’une préparation de l’opinion.
De son côté, BFM pose de plus en la question de la « nécessité » d’une « vaccination obligatoire ».
Réagissons si l’on ne veut pas qu’ils osent toucher aux enfants avec des produits en phase d’essai (qui semblent déjà engendrer un nombre non négligeable d’effets secondaires lourds) de laboratoires multicondamnés !
Magnifique.
Cet extrait confirme que nous avons affaire à des comédiens.
Il faut monter le son :
Incroyable ! Le préfet de Guadeloupe avant la conférence de presse dicte le ton à la directive de l’ARS, ne se sachant pas enregistré : « On adopte un ton grave et catastrophique ! » La politique de la PEUR ! Indigne ! ⤵️ pic.twitter.com/ZglEsNzApG
La duplicité de cette engeance est écœurante. Celui-ci, de BFM TV, vient pleurnicher sur le mauvais accueil qu’il a reçu à une manifestation anti « pass sanitaire », alors que finalement il se montre, lui, violent.
« Le fait est entendu : les reporters de BFMTV ne sont pas accueillis avec des colliers de fleurs dans les manifestations. Sur le plateau de la chaîne d’info, l’un d’entre eux, Igor Sahiri, est très mécontent. Alors qu’il se proposait de « couvrir » le rassemblement parisien anti-passe sanitaire, la foule l’a invité à quitter les lieux en compagnie de sa camerawoman, à grand renfort de noms d’oiseaux et d’insultes diverses. La frayeur de sa vie.
Il est important d’avoir conscience que Macron a franchi une étape cruciale avec son « Pass sanitaire » (même là, un anglicisme…).
Ses compères gouvernementaux ont affirmé pendant des mois qu’il n’y aurait pas de « vaccination obligatoire » face au Covid-19, mais c’est maintenant tout comme : pour aller dans les lieux culturels, les cafés et restaurants, les grands centres commerciaux, etc., et même pour certains afin de pouvoir se rendre à leur travail, de nombreux Français auront le choix entre des certificats de vaccination ou des tests PCR valables 48h et plus remboursés !
Une démarche totalitaire dans laquelle le pouvoir – perversion suprême déjà pratiquée chez les bolcheviques – force des citoyens (ici les employeurs, les restaurateurs, etc.) à contrôler eux-mêmes leurs concitoyens.
Les gros médias ont préparé l’opinion publique en suggérant pendant des semaines cette idée de vaccination obligatoire et en répétant ad nauseam que le variant Delta était très contagieux, plus contagieux que les versions précédemment servies. Or, ces médias ne rappellent jamais une autre donnée : s’il est plus contagieux, le variant Delta est officiellement moins virulent, moins létal. Cette omission systématique relève purement et simplement de la manipulation mentale, en vue de faire paniquer la population pour qu’elle accepte des mesures normalement inacceptables.
Quant à la vaccination, sans entrer dans le détail des controverses, il est parfaitement légitime, pour soi et les siens (surtout les jeunes), de s’en méfier : ces vaccins ou thérapies sont toujours en phase d’évaluation – on ne connaît pas les effets à terme (il y a des controverses en particulier pour les thérapies à ARN) – et sont proposés par des entreprises déjà multi-condamnées pour de graves scandales médicaux.
Par ailleurs, si ces vaccins sont efficaces et que les populations à risque sont déjà largement vaccinées, pourquoi craindre un engorgement des services de réanimation ?
Evidemment, il ne faut pas compter sur la « droite » sécuritaire pour comprendre quelque chose aux enjeux et proposer de véritables solutions. Robert Ménard illustre à merveille cette vision des choses :
Ce que Ménard et d’autres n’ont pas perçu, c’est qu’accepter ce système de Pass [sic] sanitaire et cette vaccination quasi-obligatoire, c’est précisément renoncer à une vie normale !
C’est la même chose pour l’insécurité ; prenons cet exemple.
La France devient petit à petit un coupe-gorge à cause de l’immigration massive qui, en plus, menace de lui faire perdre définitivement son identité.
Que proposent la gauche et la droite pour « retrouver une vie normale » ? Prendre le problème à la racine avec une très large remigration ? Non.
Elles proposent de mettre un policier derrière chaque citoyen, d’espionner son activité sur internet et installer des caméras absolument partout. Et elles osent présenter cela – ce que nos ancêtres lointains comme proches n’auraient jamais toléré – comme la « vie normale » !
Mais, à défaut de régler le problème de l’insécurité, cela permet au régime en place de surveiller et de réprimer plus facilement les dissidents.
Fin de la parenthèse.
Si le quart de ce que vont coûter les mesures gouvernementales avait été consacré plutôt à la création de nouveaux lits en réanimation, les mesures antisociales imposées depuis l’automne 2020 auraient été clairement inutiles et injustifiables.
Par ailleurs, le gouvernement fait mine d’ignorer l’existence de médicaments tels que l’ivermectine (pas chère…), dont de nombreux échos évoquent l’efficacité dans le traitement du Covid.
Mais il est légitime de penser qu’il y a des buts cachés. Les théories ne manquent pas.
En tout cas, ce qui se passe depuis mars 2020 et qui culmine avec ce « Pass sanitaire » constitue un formidable exercice d’ingénierie sociale et de contrôle social.
Il est capital de s’opposer au maximum à ce projet de société digne de la Chine communiste.
Il y a du potentiel de résistance, comme le montrent les très nombreuses manifestations qui ont lieu à travers la France samedi (plusieurs dizaines de milliers de personnes à Paris), en plein mois de juillet.
« Martin Steffens et Pierre Dulau voient dans notre époque actuelle un moment clé, celui du passage à un nouveau type de société en prenant occasion d’un prétexte sanitaire : l’apparition du virus « Sars-CoV-2. », le covid. Prétexte, oui, car derrière l’avalanche d’informations quotidiennes, les deux auteurs remarquent que les faits constatés et rigoureusement établis sont très souvent « ou bien rares, ou bien nombreux et discordants ». Il y a beaucoup de flou dans cette période : « les effets du virus sur la santé ne furent jusqu’à présent jamais tels que les remèdes envisagés dussent passer pour incontestables. Le doute demeure quant à savoir si les remèdes choisis (confinements, couvre-feux, annonces spectaculaires, pénalisation des écarts, restrictions radicales des libertés fondamentales…) ne sont pas pires que les maux. Le sentiment de « s’être fait avoir » traverse aujourd’hui l’esprit du plus honnête des hommes. » Si la présence d’un virus est évidemment constatée, il serait ridicule de l’équiparer à la peste noire ou au choléra, nous ne voyons pas de cadavres joncher les rues ni la population mondiale diminuer sensiblement. Richard Horton, le rédacteur en chef du Lancet, l’indiquait d’ailleurs en septembre 2020, « le covid-19 n’est pas une pandémie », loin de toucher le peuple entier, il n’est grave presque exclusivement que chez certaines personnes âgées ou fragiles. Ce qui donne de l’importance à ce virus, c’est que « les gouvernements choisirent de compenser par l’imagination et le conditionnement ce que l’expérience sensible ne pouvait offrir. Afin que la catastrophe n’eût pas lieu, on frappa catastrophiquement les esprits. » Par la peur instillée et les mesures de distanciation sociale, la société s’est trouvée radicalement modifiée.
Cela révèle bien que Valérie Pécresse est une vraie politicienne, au pire sens du terme.
Comment faire confiance à ces gens ?!
« En août 2019, Valérie Pécresse organise le meeting le plus important de l’histoire de son parti, Libres!, à Brive-la-Gaillarde. Derrière la foule de 1 500 personnes se trouvaient des contingents entiers de faux militants rameutés depuis Paris et issus d’associations communautaires, selon [l’enquête de Mediapart]. Certaines de ces structures sont financées par la région Île-de-France, qu’elle préside. […] » (source et détails)
Il y a quelques jours, les médias ont été agités par un fait divers assez anecdotique, mais filmé : une Africaine était injuriée avec mention de sa race.
C’est probablement plus grave que les Français qui sont tous les jours agressés sur leur sol par des immigrés, qui les ciblent parce qu’ils sont Français. Mais passons.
Sur Twitter, la politicienne gaucho-féministe Clémentine Autain fait part de son indignation et cite les injures :
Tiens, que peuvent cacher ces trois petits points entre parenthèses ? Probablement des mots superflus qui alourdiraient inutilement la citation ?
Ah, non, en fait ils remplacent ces mots :
« nous, les Algériens ».
Clémentine Autain, dans un geste révélateur de la malhonnêteté de gauche, manipule ses lecteurs et veut leur cacher la réalité.
Les signes religieux sont interdits dans les établissements scolaires publics ; en revanche, les enfants sont invités à porter l’emblème d’un mouvement idéologique particulièrement pervers…
Les militants pervers veulent propager les problèmes de leur esprit, par tous les moyens, à tous, en particulier les plus jeunes.
Rappelons que l’homosexualité était officiellement considérée comme une maladie mentale par l’OMS jusqu’en 1990, moment où les puissants lobbys concernés l’emportèrent.
Et après ça, la République vient chercher des poux dans la tête des écoles catholiques libres et traque « l’endoctrinement » !
Ici, le message diffusé dans un collège d’Île-de-France :
Sur son site, dans un charabia de malades mentaux, le ministère de l’« Education » [sic] « nationale » [sic] invite à bourrer le crâne des enfants.
Cela fait une trentaine d’années que les publicitaires s’efforcent de façonner l’opinion française dans le sens voulu par les cosmopolites et mondialistes, avec la promotion du métissage puis de l’homosexualité, à des époques où c’était marginal dans la société.
Les affiches pullulaient déjà, dans les années 90, avec des « couples mixtes » tels qu’on en voyait rarement en réalité.
Mais l’objectif était bien que le peuple finisse par ressembler à ce qu’il voyait sur les panneaux et dans la presse.
Bien que le plan se déroule petit à petit sans trop de difficultés, avec la complicité de la gauche et de la fausse droite, ça ne suffit pas : il n’y a plus de place en France pour les familles normales, pour l’homme blanc.
Ainsi, Renault fait fort, avec une nouvelle publicité (la marque s’était déjà signalée avec une scandaleuse pub homosexualiste dès janvier 2012) qui illustre bien cette démarche, sans aucune pudeur, grossièrement.
« Une fake news de plus pour l’AFP, l’Agence France Presse qui entend donner des leçons de journalisme au monde entier, et qui par ailleurs, bénéficie de l’appui de nombreuses autorités (GAFA comme Etats) pour informer le grand public. Alors qu’une fusillade s’est déroulée dans le Colorado, aux USA, lundi 22 mars, l’AFP a communiqué immédiatement sur le profil de l’homme arrêté, tireur présumé comme étant « un homme blanc seulement vêtu d’un short de sport, en train d’être escorté par des policiers hors du magasin ».
Toutes les rédactions françaises ont embrayé dans la foulée en reprenant la dépêche AFP plutôt que d’éventuellement, creuser par eux mêmes via la presse américaine et la presse locale dans le Colorado. Cela donne ceci, sachant que tous ces articles sont encore disponibles sur Google, qui les considère comme étant de référence quant au traitement de cette actualité.
C’est un conte de fée pour remplacistes (et pour femmes en manque d’« affection ») que propose Sud Ouest, avec cet article intitulé Gironde : ils ont ouvert leur porte à un mineur isolé.
« Militants ou non, ils ont décidé d’héberger de jeunes migrants pour quelques semaines ou quelques mois, afin de leur éviter la rue. En Gironde, des familles racontent leur expérience.
« Il y avait un besoin, alors on l’a fait. » Hébergeuse depuis deux ans, Marie-Christine résume en une phrase ce que tous diront avec leurs mots. Retraités, célibataires, parents, en maison ou dans un deux-pièces : ils ont accueilli gratuitement un jeune migrant, dans un élan d’humanisme plus que politique.
À Bordeaux comme ailleurs, des centaines de jeunes venus en majorité d’Afrique de l’Ouest arrivent chaque année après avoir migré seuls. En attendant d’être reconnus mineurs par un juge et pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, ils n’existent pas pour l’État français. C’est pendant cette période qu’interviennent les familles, épaulées par des associations comme les Hébergeurs solidaires de Bordeaux. Depuis sa création en 2017, 26 jeunes… […] »
Les journalistes ne prennent même plus la peine de choisir des photos de migrants africains qui feraient des mineurs crédibles. Voyez la tête de ce « mineur » là, c’est fabuleux :
« Résumons : le 6 janvier 2021 les partisans de Trump envahissent le Capitole. Un policier attaché à la protection du bâtiment meurt le lendemain. Il aurait été frappé à coup d’extincteurs par des pro-Trump ; émotion générale, hommages. Mais tout est faux.
Brian Sicknick, le policier, avait eu son heure de gloire posthume, visite au funerarium du nouveau Président Biden, hommage national au Capitole, défilé sous forme de cortège funèbre entre deux haies d’honneur etc…
Il peut arriver que le New York Times soit honnête, mais si. Avec discrétion certes : alors que la mort du policier/martyr avait été largement mise en scène, c’est dans les archives mises en ligne du 12 février 2021 se référant aux articles antérieurs que l’on apprend une vérité toute différente. Le policier ne présentait aucune trace de coups, n’a jamais été frappé par des partisans de Trump, il serait mort des suites d’une maladie antérieure. Le corps ayant été incinéré, on ne saura jamais la cause réelle de son décès, sinon qu’il n’était pas consécutif à la manifestation des pro-Trump.
Misère du journalisme de recopiage, sur une dépêche de l’AFP (mensongère une fois de plus) Le Figaro, l’Obs, Ouest-France et bien d’autres ont repris l’infox de la mort du pauvre policier frappé par les méchants manifestants, et à coup d’extincteurs ! À ceci près qu’à notre connaissance, l’AFP n’a jamais rectifié sa dépêche. À la question, l’AFP ment-elle ? La réponse est oui. A la deuxième question, l’AFP ment-elle en connaissance de cause ? Le doute est permis, un très léger doute. »
Lors du médiocre débat de jeudi soir avec Marine Le Pen (où l’on faisait le concours de celui qui prononcerait le plus souvent le mot République, pour résumer), le ministre de l’Intérieur français ne semblait pas connaître ses propres chiffres concernant les OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français).
A l’écouter, les expulsions s’effectuent à tour de bras.
En consultant le tableau ci-dessous, issu des données du ministère de l’Intérieur, chacun pourra se rendre compte qu’en réalité une très faible proportion d’OQTF émises envers des étrangers irréguliers est suivie d’effet. Quant au nombre d’expulsions proprement dites, il est dérisoire.
C’est pitoyable. La France, dirigée par des traîtres, est un paillasson.
Lors d’un débat, concernant l’immigration, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a osé dire cela :
Nous osons croire qu’aucun Français ne s’est laissé impressionné par cette présentation frauduleuse de l’état de la France, facilement constatable par quiconque approche une grande ville.
Darmanin oublie de préciser qu’une grande partie ces étrangers sont « naturalisés » chaque année.
Aujourd’hui 15 à 20% de la population de France n’est pas ethniquement française.
Cet individu a décidément vraiment tout du fourbe intégral.
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