Propagande : « des feux piétons LGBT pour promouvoir la tolérance »

Les commissaires politiques ne savent plus quoi trouver pour diffuser la propagande homosexualiste en continue.

« Ces lumières, qui sont pensées pour protéger les citoyens madrilènes, devaient contenir un message, le message de la diversité », s’est félicitée Manuela Carmena, la maire de Madrid lors de l’inauguration de feux piétons représentant des personnes LGBT, le 4 juin 2017.

« Il y a à peine 40 ans, nous marchions dans la rue terrifiés et nous devions nous battre contre des lois répressives. Aujourd’hui on peut circuler dans les rues, avec ces icônes qui guident nos pas et on se sent représentés. Les lesbiennes, les gays, les bisexuels, les transsexuels, tous se sentent représentés », a témoigné Boti García Rodrigo, présidente de la FELGBT (fédération des associations de défense des Lesbiennes, Gays, Transsexuels et Bisexuels). Source

Malgré la censure médiatique, les Macronleaks contiennent des infos compromettantes pour Macron

Sous couleur de morale, les grands médias ont refusé de diffuser les Macronleaks, documents piratés sur l’équipe Macron juste avant le deuxième tour de la présidentielles. Cette censure d’infos compromettantes a servi à protéger le candidat du système.

Daniel Schneidermann, le patron d’Arrêt sur images, constate que la communication d’Emmanuel Macron est très au point, et qu’elle impose via les chaînes de télévision que ses amis contrôlent une série d’images quasi mythologiques du nouveau président. Si le public entend ne pas se laisser fasciner, il l’invite à un travail de critique : « Plus l’image sera belle, plus il faudra chercher le hors champ ». Le hors champ, en termes de cinéma, est la réalité que la caméra ne montre pas, et en termes de communication politique la vérité qui échappe au tri de la propagande. L’affaire des Macronleaks montre à quel point des médias dominants, sous couleur de morale politique, ont refusé ce travail critique, au bénéfice de l’élaboration du mensonge du système Macron.

Les Macronleaks révèlent le vrai financement de Macron

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L’Atelier : ce film qui assimile un sympathisant du FN à un soldat de l’État Islamique

N’importe quoi. Dans son film l’Atelier présenté au festival de Cannes, Laurent Cantet met en scène un partisan du Front national, que la “détresse” renvoie selon lui “dos à dos” avec les soldats de l’Etat islamique.

Laurent Cantet a décidé de tourner ce film, “frappé” qu’il était “par le nombre de supporters du Front national chez les 18-25 ans”, comme il l’explique au JDD. Quand le cinéaste, qui a reçu la Palme d’or en 2008 pour “Entre les murs”, essaie d’analyser des phénomènes politiques et sociétaux, comme le succès du parti de Marine Le Pen chez les jeunes, cela donne le héros de son film, Antoine. Son personnage principal représente, selon lui, “le reflet d’une époque”. Et permet de dénoncer “la violence, l’absence de perspectives, les préjugés et les amalgames”. Sacré programme.
Entre un gamin partisan du FN et un autre qui se fait sauter pour Daech, il n’y a pas plus d’idéologie ou de foi, les deux se sont perdus

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Le lapsus de l’IFOP : « On a installé l’idée que Macron serait au 2nd tour »


Jérôme Fourquet (Directeur du département de sondage de l’opinion publique à l’IFOP, le principal institut de sondage français) déclarait il y a quelques semaines :
« Il y a trois ans, personne ne le connaissait. Là, on a installé progressivement l’idée […] que il pouvait être au deuxième tour, et éventuellement le vainqueur de la présidentielle ».

A 26 sec. :

(F5, 28/03/17, 18h)

Affaire du rachat de SFR par Drahi : Macron était bien coupable

« Le vaste « fact-checking » (vérification d’informations)  opéré par les médias  après le débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen a accouché de bien des reproches à l’encontre de la candidate du FN, taxée d’intox à répétition. Au rayon des informations délivrées par celle qui a terminé deuxième du premier tour, celle concernant SFR a été jugé erronée. On peut notamment lire que ce que racontait Le Pen était faux sur LCI, Libérations, Challenges et bien des sites d’informations.

Pourtant, le site de BFMTV expliquait, le jour de la vente de SFR à Numéricable, qu’Emmanuel Macron a bel et bien joué un rôle prépondérant dans la vente de l’entreprise française et qu’il était ministre de l’Économie à ce moment (il est devenu ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique  le 26 août 2014). On peut lire « Son successeur Emmanuel Macron a, pour sa part, béni ce même rachat. Le 28 octobre, le ministre de l’Economie a discrètement donné son feu vert à l’opération« .

On rappelle que pour se défendre face à l’accusation de Marine Le Pen, le fondateur d’En Marche ! a déclaré « Je n’étais pas ministre quand SFR a été vendu« . Alors, intox ? »

Source

Macron en plein marathon de pornographie mémorielle

Macron au mémorial de la Shoah

A l’heure où le programme du Front National sur l’immigration n’est même plus diabolisé tant il est « allégé », on pouvait s’attendre à un renouveau de la campagne d’entre-deux tours. Mais non. Le « candidat des banques » a entamé le traditionnel marathon de pornographie mémorielle… En 4 jours, Macron s’est rendu à Oradour-sur-Glane (voir ici), au mémorial de la Shoah (voir ici), et aujourd’hui, il fait le coup classique de la commémoration pour Brahim Bouarram (voir ici). Cette stratégie a le double avantage de tenter une « rediabolisation » du FN, tout en évitant de parler du fond. Ainsi, pas de risque de se mettre à dos une partie de l’électorat tout en donnant des gages aux divers lobbies qui contrôlent la République.

Élections : le scandaleux communiqué du président de l’Université de Bourgogne aux élèves

Alain Bonnin, président de l’Université de Bourgogne et probablement membre d’une secte maçonnique, a osé envoyé un message militant (et délirant) à tous les étudiants de son établissement (comme certains d’entre eux nous l’ont confirmé). Ce communiqué politique a aussi été diffusé sur le site de l’université, où il figure toujours.

Mesdames, Messieurs, cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,
Après une campagne électorale inédite, l’heure est venue d’un choix qui sera déterminant pour notre pays et pour l’Europe.
Nous vivons en effet l’un de ces moments de l’histoire où l’unité de la nation est menacée par l’intolérance et la peur. Ces temps incertains sont souvent porteurs d’années sombres. Comment donc ne pas être inquiets quand l’Europe qui s’est unie dans et pour la paix est menacée par la montée des crispations identitaires ? Et quand, dans la patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, le vent froid du populisme balaye le pays.
La France ne doit pas s’égarer sur ces chemins obscurs. Notre pays doit faire le choix des valeurs universelles et humanistes que sont la dignité de tous, la justice et la tolérance. Notre société doit être unie et réconciliée. La France doit renforcer la construction européenne. Car dans l’histoire des peuples, l’Europe est un espace unique de développement et de préservation de la paix.
Le Front National n’incarne pas ces valeurs. Aussi, je vous appelle solenne llement à voter nombreuses et nombreux contre la candidature de Madame le Pen le 7 mai prochain pour le second tour de l’élection présidentielle.
Chacune et chacun d’entre nous est responsable de l’avenir et doit s’engager.
Je vous adresse, Mesdames, Mes sieurs, cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s, mes salutations républicaines.
Alain Bonnin
Président de l’université de Bourgogne
Evidemment ce bourrage de crâne viole le devoir de réserve qui incombe aux enseignants et plus encore aux « fonctionnaires d’autorité », en vertu de la « neutralité de l’Etat ». Mais gageons que ce militantisme déplacé jouant sur les peurs, l’ignorance et le mensonge ne sera pas sanctionné.

Repentance mémorielle : les profs en overdose

Non content d’avoir détruit toute l’instruction au point que le classement de la France dans les enquêtes PISA (enquêtes internationales qui évaluent les connaissances et savoirs des élèves dans les disciplines fondamentales) a très fortement régressé, les élèves ne sachant de nos jours plus écrire, plus compter, n’ont plus aucun attrait pour la littérature – qu’ils n’ont jamais étudiée -, François Hollande, avant de quitter ses fonctions, vient d’instaurer dans les établissements scolaires une semaine par an qui sera consacrée à « l’étude des génocides ».

Le problème c’est que cette mesure ne passe pas chez les enseignants pourtant d’ordinaire si dociles pour claironner les bonnes paroles. Ainsi, nous explique le monde, « Certains se disent « surpris ». D’autres « agacés », pour ne pas dire « consternés »… » Ce qui déplaît, c’est que les génocides sont déjà très largement enseignés. « Tout professeur d’histoire-géographie reçoit déjà régulièrement des injonctions de ce type, à un devoir de mémoire, à propos d’un événement, parfois d’un personnage », rapporte, dans un communiqué, l’association de professeurs Les Clionautes. Exemples : 27 janvier : Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité ; dernier dimanche d’avril : Journée du souvenir des victimes de la déportation ; 10 mai : Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition ; 27 mai : Journée nationale de la Résistance… Michel Lassault, président du conseil supérieur des programmes, est lui aussi peu convaincu « d’en rajouter » : « Il en est aussi question en éducation morale et civique, dans le cadre de l’éducation aux médias et à l’information, mais aussi lors de projets, de concours… si bien qu’il est difficile de ne pas en avoir entendu parler au cours de la scolarité » nous explique-t-il…

Saluons, une fois n’est pas coutume, la réaction de Franck Collard, président de l’association des profs d’histoire-géo : « Un cours d’histoire n’est pas un cours de mémoire. Nous sommes tout à fait favorables à une étude rigoureuse et scientifique des phénomènes génocidaires, mais les introduire sous un angle moral, émotionnel, me semble une mauvaise idée. Ce n’est pas le rôle de l’école. »

Attaque chimique en Syrie : l’enquête préliminaire beaucoup plus nuancée

Le président de la commission d’enquête internationale sur la Syrie a rendu vendredi ses premières conclusions après l’attaque chimique de Khan Cheikhoun en Syrie.

Comme d’autres organisations, Paulo Pinheiro estime que des agents chimiques ont bien été ultilisés le 4 avril dans la province d’Idleb. Mais selon lui les victimes seraient surtout mortes après des blessures causées par des armes conventionnelles.

Quant à la responsabilité du régime de Bachar Al-Assad, le président de la commission d’enquête affirme ne pas pouvoir tirer de conclusion à ce stade.

Source : Euronews

Syrie : prudence sur « l’attaque chimique » de Khan Cheikhoun

A l’heure ou Trump envisage sérieusement une intervention militaire en Syrie, il convient de revenir sur le déroulé des évènements afin de se forger une opinion avec prudence et réalisme.

Les faits : le mardi 4 avril, l’aviation syrienne bombarde Khan Cheikhoun, une ville d’environ 50 000 habitants dans la province d’Idleb.
Cette zone est tenue par différents groupes salafistes (Ahrar al-Cham) et jihadistes (Hayat Tahrir al-Cham ex Front al-Nosra).
Suite à cette attaque, des émanations de gaz ont tué près d’une centaine de personnes et blessé près de 200 autres (dont femmes et enfants).

Des images très dures, avec des cadavres d’enfants mis en scènes, alignés les uns à côté des autres, circulent sur les réseaux sociaux.
Sans attendre les conclusions d’une enquête et sans même attendre la version syrienne, les grandes chancelleries occidentales, l’ONU, Israël
et la Turquie accusent Bachar d’avoir volontairement gazé des civils.

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Clip de campagne : le CSA interdit les drapeaux et la Marseillaise par crainte du nationalisme

L’étau se resserre chaque jour un peu plus autour de la liberté de parole et de communication dans l’espace public. Le CSA, organe de maintien de la propagande en France, en arrive même à interdire le drapeau tricolore et la Marseillaise dans un clip pour une élection nationale ! Situation inédite ! Un organisme d’Etat prohibe les emblèmes du régime qu’il est censé défendre. Les mondialistes, qui nous gouvernent, craignent plus que jamais une révolte des Français.

Le CSA a fixé des règles très strictes pour les clips de campagne des candidats à l’élection présidentielle…

Des règles toujours plus contraignantes. Le CSA a communiqué hier aux 11 candidats à l’élection présidentielle les nouvelles règles qui devront s’appliquer pour leurs clips de campagne qui seront diffusés à la télévision à partir du 10 avril prochain, début de la campagne “officielle”.

D’après des informations de nos confrères de l’Opinion, les règles drastiques comprendraient l’interdiction “de faire apparaître tout emblème national ou européenainsi que la Marseillaise, qui n’aura pas le droit d’être diffusée dans les clips de campagne.

Crainte du nationalisme

Le CSA justifie ces interdictions par la peur que les candidats ne misent sur un nationalisme délirant, selon une source citée par le quotidien.

Source

Le Grand-Maître du GODF agressé avec un marteau par une Maghrébine

Juste retour de bâton, diront certains. Toujours est-il que le patron de Jean-Luc Mélenchon (voir ici), Christophe Habbas, a été agressé par une « chance pour la France ». On ne va pas pleurer.

« C. Habbas se dirigeait vers sa station de métro a été agressé par une femme d’origine maghrébine, à coups de marteau, lui criant plusieurs fois « JUIF, JUIF, JUIF ! ». La victime a reculé en essayant de se protéger pendant que la terroriste l’aspergeait d’essence. Dans la rue Cadet, se trouve la Yeshiva du regretté Rav Elie Munk mitoyenne du Grand Orient .La victime a été secourue par des tiers. Une plainte a été déposée. Notons que Monsieur Habbas revenait d’un voyage de 3 jours en Israël (NDCI : il revenait de prendre ses ordres ?), qui a été très médiatisé »

Source

L’article publié sur l’Express ne parle pas d’essence et d’un seul coup de marteau, mais le journaliste arrive à parler de l’extrême droite sans mentionner l’origine de l’agresseur :

Le 22 mars en soirée, la Grand Maître du GODF, Christophe HABAS a été agressé en sortant du siège national du GODF, Rue Cadet à Paris. Une femme a tenté de lui assener un coup de marteau sur la tête, mais c’est le bras, qu’il avait levé pour se protéger, qui a reçu le coup. Cette personne a aussi proféré des insultes antisémites de type «Marre des Juifs».

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Soldats français accusés de viols en Centrafrique : le parquet demande un non-lieu

Le parquet de Paris a requis un non-lieu dans l’enquête sur les accusations de viols portées par des enfants contre des soldats français de l’opération Sangaris en Centrafrique, en 2013-2014, selon des sources judiciaire et proches du dossier.

Il appartient aux juges d’instruction d’ordonner un procès ou de confirmer ce non-lieu, l’hypothèse la plus probable puisqu’aucune mise en examen n’a été prononcée. Les accusations avaient ébranlé l’armée française, présente en Centrafrique pour restaurer la sécurité après des mois de violences entre rebelles et milices. Mais l’enquête n’a pas permis d’imputer ces abus à des militaires.

Source

Theo Luhaka reconnaît devant un juge qu’il a menti

La matraque du « crime »

C’est officiel, il vient de l’avouer devant un juge, Théo Luhaka a menti lors du premier interrogatoire pour charger les flics.
Comme pour la grotesque affaire Léonarda, les Français peuvent remercier leur président de s’être aplati devant cette racaille notoire. Merci président !

Lors de sa première audition, Théo avait expliqué s’être fait « enfoncé » un « baton dans les fesses » par des policiers à Aulnay-sous-bois (Seine-Saint-Denis) en février dernier suite à un contrôle d’identité qui avait mal tourné. L’un d’eux aurait ainsi « écarté (son) caleçon sur le côté », pendant que le deuxième lui « tenait les jambes » et que le dernier le maintenait « légèrement incliné debout ». Mais comme le révèle Le Parisien dans son édition du 21 mars, le jeune homme a été mis face à ses contradictions lors d’une nouvelle audition.

La juge qui l’interrogeait a notamment mis en doute ses propos en s’appuyant sur les images de vidéosurveillance et sur les constatations faites sur le caleçon du garçon, retrouvé troué. « Comme je vous l’ai dit, la première audition, je n’étais pas en état », lui a répondu Théo, reconnaissant ne pas se souvenir des mots qu’il avait prononcés ce jour-là.

Un pantalon taille basse, qui « descend tout seul »

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