Slobodan Milošević innocenté par le TPIY des crimes de guerre qui ont servi à justifier l’intervention au Kosovo

Très bon billet de NDF sur l’issue des mensonges occidentaux concernant Slobodan Milošević et la Serbie.

« Dans le cadre du procès contre Radovan Karadžić, le Tribunal pénal international pour la Yougoslavie (TPIY) a reconnu en mars 2016 que le président serbe n’avait pas participé au projet d’épuration ethnique en Croatie et en Bosnie et qu’il s’y était même opposé.

Un aveu du TPIY qui aurait dû faire les gros titres des médias occidentaux, ce qui n’a bien entendu pas été le cas. »

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Shoah Business : Joseph Hirt, un célèbre « survivant d’Auschwitz », avoue avoir tout inventé

Régulièrement invité dans les écoles, les universités et à la télévision, Joseph Hirt, 91 ans, habitant Adamstown en Pennsylvanie, a voyagé pendant des dizaines d’années à travers les Etats-Unis pour donner des conférences sur l’Holocauste et raconter son évasion d’Auschwitz alors que son corps ressemblait à un «squelette de 28 kg recouvert de peau».

Mais Joseph Hirt vient d’avouer qu’il avait menti.

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Combien y en a-t-il d’autres comme lui ?

« Lui qui multipliait les détails durant ses récits, racontant sa rencontre avec le docteur Josef Mengele, qui menait des expériences médicales sur les détenus  ou comment il avait réussi à passer sous des fils barbelés et à s’évader d’Auschwitz, a fini par admettre qu’il avait tout inventé, s’excusant publiquement auprès de ceux à qui son histoire pourrait nuire.

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L’Etat veut restreindre la liberté des écoles privées

Alors que dans la devise de leur république, le mot « liberté » arrive en deuxième position, force est de constater que dans la réalité, celle-ci est au plus mal en France. La liberté d’opinion est constamment bafouée, les lois liberticides se démultiplient et les tribunaux font du zèle pour les appliquer. Maintenant c’est en matière d’éducation que le gouvernement veut agir, et on l’aura compris, pas dans le bon sens : Ainsi, après avoir constaté que de plus en plus d’élèves sont scolarisés dans des établissements privés (ou même, pour certains, à la maison), le gouvernement plutôt que de se demander le pourquoi de cette situation -et donc se remettre un minimum en cause- a décidé un contrôle renforcé de ces établissements qui ont du succès.

Ainsi, dans une interview au Monde, la sinistre ministre Najat Vallaud-Belkacem, elle qui a porté la catastrophique réforme du collège qui fait, par exemple, que le latin ne sera plus enseigné dès la prochaine rentrée en collège, annonce donc un « contrôle renforcé » des établissements privés ainsi que des 25.000 élèves instruits à domicile (+ 30 % en 4 ans dixit la ministre). Officiellement, c’est parce qu’ « on voit parfois se développer des enseignements trop lacunaires, ne garantissant aucunement un socle minimal de connaissances aux enfants » qu’il y aurait la mise en place de cette surveillance. Quand on connaît le nombre d’illettrés qui sortent chaque année du système scolaire officiel après y avoir passé au moins une décennie dans ses murs, cet argument serait à mourir de rire, s’il ne traitait pas d’un sujet aussi sérieux.

En réalité, ce que craint le gouvernement, c’est que des élèves puissent échapper à son bourrage de crâne, omniprésent au sein de l’éducation officielle. Ainsi, les ligues de vertu antiracistes ou contre-nature y ont pignon sur rue : à titre d’exemple, il faut savoir qu’il n’est pas rare que le planning familial intervienne et ce à la place d’un cours, par exemple, de mathématiques, de sciences ou de langue… Dans ce cas, on se fiche bien du niveau des élèves, ce que l’on veut c’est leur implanter la bonne parole dans la tête. D’ailleurs, dans son interview, la ministre le reconnaissait : Le but de ces contrôles n’est pas seulement le niveau, mais sont également visés « des enseignements (…) attentatoires aux valeurs républicaines. » Apparemment, la liberté ne fait pas partie de ces valeurs là.

Dissolution des groupes violents d’ultra gauche : Cazeneuve ose prétendre qu’il ne peut pas

Échange tendu à l’Assemblée entre les députés FN et le Ministre de l’Intérieur. Interrogé sur l’absence de procédure de dissolution des groupes d’ultra gauche malgré leur implication avérée dans les violences du moment, Bernard Cazeneuve a prétendu faussement, comme Manuel Valls, qu’il ne pouvait pas dissoudre les associations « de fait » (non déclarées en préfecture). Gilbert Collard lui a rappelé qu’il le pouvait grâce à une loi de 2015.
Mais pourquoi ce gouvernement protège-t-il autant les groupuscules antifas ?

La BBC donne un nouveau visage à Marguerite d’Anjou

Sophie Okonedo, née de père nigérien (et de mère juive ashkénaze, ça aide peut-être) jouera le rôle de Marguerite d’Anjou, femme d’Henri VI, dans une prochaine série de la BBC sur ce roi.

Les antiblancs ont besoin de détruire la mémoire et l’imaginaire collectif des Européens pour opérer le Grand Remplacement.

La surveillance de masse d’internet pousse les internautes à s’autocensurer

De plus en plus les gouvernements mettent en place une surveillance généralisée d’internet et des réseaux sociaux, surveillance qui vise tout le monde sans distinction, pour officiellement lutter contre la criminalité. Cet argument ne tient pas car on sait que les terroristes ou autres grands criminels savent contourner cette surveillance, ce qui leur permet -hélas- de continuer leurs méfaits comme le prouvent les attentats dont nous sommes témoins, sachant du reste que le gouvernement lui-même nous avertit que d’autres attentats auront lieu. Dès lors se pose la question de savoir pourquoi maintient-on et même renforce-t-on cette surveillance inefficace ? Une étude réalisée aux Etats Unis et dont s’est fait écho le Monde nous donne une explication, beaucoup plus vraisemblable : La surveillance de masse conduit les internautes à s’auto-censurer, ce qui permet aux gouvernements de limiter l’expression d’opinions politiquement incorrectes. Ainsi, la surveillance généralisée, loin de lutter contre le terrorisme, permet un contrôle de l’opinion et de limiter le développement d’idées dissidentes.

Pour étudier ce phénomène, la chercheuse Elizabeth Stoycheff, de l’université de Wayne State (Michigan), a mené une expérience sur 255 personnes, à qui elle a fait remplir un questionnaire. Pour la moitié des participants, ce questionnaire était accompagné d’un message rappelant que « même si nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour que vos opinions restent confidentielles, il est important de garder à l’esprit que la National Security Agency surveille les activités en ligne des citoyens, ce qui est hors de notre contrôle ». Tous les participants devaient répondre à des questions sur leur personnalité, puis étaient confrontés à un article de presse sur la poursuite des frappes américaines contre l’organisation Etat islamique en Irak. Ils devaient ensuite donner leur opinion sur le sujet, dire ce qu’ils pensaient être l’opinion majoritaire parmi les Américains, et s’ils comptaient partager leur propre point de vue sur la question.

Résultat : les personnes à qui l’on a rappelé la surveillance d’Etat étaient moins enclines à parler de leurs idées, si elles les jugeaient non conformes à l’opinion majoritaire. Même parmi les participants qui, selon leur profil psychologique, étaient les moins sujets à l’autocensure.

Plus étonnant, les personnes les plus à même de s’autocensurer sont celles qui, dans l’absolu, soutiennent les programmes de surveillance : « Ces individus ont indiqué que la surveillance était nécessaire pour la sécurité publique et qu’ils n’avaient rien à cacher. Pourtant, quand ces individus perçoivent qu’ils sont surveillés, ils modifient leur comportement en conséquence : ils expriment leur opinion quand elle est majoritaire et la taisent quand elle ne l’est pas. »

Ces conclusions sont cohérentes avec la théorie de la « spirale du silence », mise en avant dès les années 1970, qui démontre que les individus ont tendance à taire leur point de vue s’ils sentent que celui-ci n’est pas partagé par leurs pairs, par peur de l’isolement. Mais cette dernière étude apporte un nouvel élément, en s’intéressant notamment à l’expression sur Internet et à la surveillance gouvernementale : « C’est la première étude à apporter la preuve que les programmes de surveillance gouvernementaux en ligne peuvent menacer l’expression d’idées minoritaires, et contribuer au renforcement de l’opinion majoritaire. »

Bourrage de crâne anti-raciste : Géant Casino pollue même vos tickets de caisse !

casino« Les services de propagande de l’État tournent à plein régime.

Quoi que vous fassiez, où que vous alliez, vous ne pouvez y échapper.

Et la grande distribution – déjà pourvoyeuse de halal, corans et autres abayas – s’en fait la complice servile et disciplinée – mais pas désintéressée pour autant je suppose – comme en témoigne ce ticket de caisse remis lors de mon passage au magasin Géant de ma ville.

Combien nous coûte ce prosélytisme systématique – spots TV, campagnes d’endoctrinement et d’embrigadement à destination des élèves, d’affichage et de tracts à destination de tous, de subventions des officines anti-françaises, et autres festivals de la diversité – d’où le racisme anti-blancs est exclu ?

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Propagande d’État versus monde réel

L’Etat finance une coûteuse et grotesque campagne « antiraciste », stigmatisant les Français, qui seraient prompts au racisme et à l’antisémitisme…

Il est de notoriété public que les personnes de couleurs rasent les murs en France, c’est la boule au ventre et le regard braqué au sol que ces pauvres hères doivent affronter les terribles babtous qui font régner la terreur dans nos ville. Skinhead, militant du FN, et autre membre de groupuscule de turbo-giga-droite (c’est la droite de la droite de l’ultra-droite) rodent partout et en particulier en Seine de Saint Denis, sans cesse à la recherche de nouvelle victime. Mais que fait l’état pour mettre fin à cette insécurité permanente ?

Le gouvernement entend « lutter contre la désinformation » dans les écoles

La nouvelle égérie de la "morale laïque"

La ministre de l’Education nationale Najat Vallaud Belkacem a annoncé ce mardi le lancement d’une plate-forme de journaux gratuits dans les collèges et lycées à la rentrée 2016, afin de développer l’esprit critique des élèves et leur apprendre à se méfier de la désinformation sur les réseaux sociaux, selon le journal Les Echos.

Les journaux auxquels reviendront cette tâche sont Les Echos, Le Monde, Libération, Le Parisien, Le Figaro, La Croix, L’Humanité, L’Express, Courrier International, L’Obs, l’International New York Times, le New York Daily News, La Vanguardia et Cinco Dias, selon le ministère.

Entre la bien-pensance mollassonne de la plupart des journaux cités, on retiendra surtout le rapprochement comique entre L’Humanité et la lutte contre la désinformation !