Bachar el Assad ne veut « plus rester isolé face à la menace terroriste »

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Quatre parlementaires Français se sont rendus en Syrie, à Damas et trois d’entre eux ont rencontré le président Syrien Bachar el Assad. Une initiative attendue par les autorités syriennes qui sont le dernier rempart contre l’islamisme en Syrie et dans la région. François Hollande et Manuel Valls n’ont pas pu s’empêcher de critiquer ce voyage, montrant une méconnaissance totale de la situation sur le terrain.

Leur ennemi, c’est toujours Bachar el Assad tandis que les Syriens répètent qu’il n’est plus un choix politique mais une nécessité pour une échapper au chaos…

Le sénateur UDI François Zocchetto, présent en Syrie avec trois autres parlementaires, a assuré vendredi que le président syrien, Bachar al-Assad ne voulait « plus rester isolé face à la menace terroriste ».

« Bachar al-Assad est quelqu’un de réservé, il ne se livre pas facilement. Il a dit qu’il attendait de ne plus rester isolé face à la menace terroriste », a expliqué le sénateur sur Radio Classique, au sujet de sa rencontre avec le président syrien en compagnie de deux autres parlementaires français.

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Le profanateur du cimetière juif était… un antifa !

Cimetière

Le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union s’appelle Pierre, mais pas de bol pour tous ceux qui voyait déjà l’extrême-droite cachée derrière cette profanation surmédiatisée, il est… antifa !

C’est Le Monde qui nous l’apprend dans son édition du jour :

 » (…)  A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté. Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ».
Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. »

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Etats-Unis : des élèves ridiculisés au collège pour leur opposition au lobbying LGBT

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Il ne faudrait pas prendre l’information que voici pour un incident isolé : il préfigure au contraire ce qui risque de se multiplier à l’avenir, en conformité avec un état d’esprit de plus en plus agressif et partagé.

La scène se passe dans une école californienne : les élèves, des jeunes de 14 ou 15 ans, ont été ridiculisés et dénoncés pour avoir osé manifester leur opposition à un groupe d’intervenants extérieurs venus exposer leur programme LGBT en cours d’anglais. La « Queer Straight Alliance », spécialiste du lobbying lesbien-gay-bi-trans, avait été officiellement invitée à intervenir, le 29 janvier, dans plusieurs classes de 3ème à Alcanes High School à Lafayette.

Les élèves ont dû se positionner par rapport aux LGBT
Le lobbying LGBT, en l’occurrence, passait par la dynamique de groupe. Les élèves étaient priés de se mettre en cercle, puis, chacun devait exposer son opinion et ses croyances sur l’homosexualité, ainsi que celles de ses parents, selon le Pacific Justice Institute (PJI) qui a été saisi par des parents d’élèves outrés pour faire la lumière sur ce scandale. D’autant qu’ils n’avaient pas été tenus au courant de l’intervention de l’association.

Ridiculisés dans leur collège pour refuser le sexuellement correct
Les pro-LGBT du Queer Straight Alliance les encourageaient notamment à s’avancer un par un, pour dire si à leur avis être « gay » relève d’un choix, et si leurs parents accepteraient qu’ils se disent eux-mêmes « gays », selon l’avocat du PJI.
Ceux qui refusaient de s’avancer étaient « ridiculisés et humiliés », assure-t-il.
Au cours de l’exercice, les intervenants ont en outre révélé les noms des professeurs gays ou lesbiens dans cette école de Lafayette.
Munis de polycopiés contenant toute la terminologie LGBT, les élèves ont ensuite été priés de se placer dans le « spectre du genre » : cela était présenté comme un exercice de « fluidité de genre », selon un parent d’élève. Les intervenants avaient pris soin d’expliquer aux jeunes qu’ils « pouvaient venir à l’école un jour en se sentant garçon, et le lendemain en se sentant fille ».

C’est une déconstruction programmée et facilitée par le genre de l’exercice : on sait à quel point la dynamique de groupe peut peser sur les jeunes. Et elle est ici d’autant plus perverse que l’adolescence est précisément le temps des interrogations et des incertitudes sur sa propre identité.

Dynamique de groupe pour éradiquer l’opposition au lobbying LGBT
Voilà donc ces gamins qu’on imagine, pour certains, encore au seuil de la puberté, confrontés à des catégories profondément déstabilisantes : étaient-ils des « demi-garçons » ou des « demi-filles » ? Se reconnaissaient-ils dans le « genre gris » – genre flou et indéfini ? Ou étaient-il vraiment « bi-genre », « agenre » (sans genre), intersexe (au sexe biologiquement ambigu), pan-sexuels – attirés par tous ; voire poly-romantiques – attirés par la plupart des genres, mais pas tous ?

Le cours, a expliqué un responsable de l’enseignement californien selon un avocat de PJI, se voulait un exercice de « tolérance » sous la surveillance des professeurs mais enseigné par des « pairs ».

Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance, toutefois : bientôt, l’« outing » sera imposé à ceux qui s’opposent au lobbying LGBT et pour eux, il n’y aura ni compréhension ni admiration – le pilori.

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Qu’y a-t-il d’inscrit en minuscule sur nos chèques ? Vous n’en reviendrez pas !

La quasi-totalité des personnes possédant un compte en banque possède également un chéquier. Vous êtes-vous déjà demandé ce que vous signez réellement à chaque règlement au-delà du montant du chèque ? Avez-vous déjà regardé de près un de vos chèques bancaires ?

Prenez une loupe ou faites un scan haute définition de votre chèque puis observez attentivement les tracés destinés à guider votre plume.

Vous constaterez que ces lignes sont en réalité des lettres qui forment une phrase.

Cette phrase est un extrait de la déclaration du 9 mai 1950, date annuelle de la « fête de l’Europe », de Robert Schuman, pilier fondateur de l’Union Européenne.

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L’Europe ne se fera pas d’un coup, ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d’abord une solidarité de fait.

Robert Schuman, le 9 mai 1950

Ce message « subliminal » est apparu pour la première fois sur les chèques de banque lors du passage à l’euro, sur lesquels vous signez symboliquement cette déclaration à chaque transaction par ce moyen de paiement.

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Libération d’Auschwitz : submergé par la souffrance, Haziza fait erreur sur son grand-père

Ce 27 janvier, pour le 70e anniversaire de l’arrivée de l’Armée rouge à Auschwitz, Frédéric Haziza n’a pu résister à l’envie de rappeler que son grand-père, un certain Majloch Lansner, y avait été « exterminé ».

Problème : dans le document qui accompagne son tweet, Lansner apparaît comme décédé non à Auschwitz mais à Theresienstadt, où, selon Wikipédia, des déportés moururent « à cause des conditions de vie (famine, maladies, épidémie de typhus à la fin de la guerre) ».

 

 

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Il y a une religion suprême : c’est la religion de la République

Claude Bartolone est interrogé par Jérôme Chapuis :

Chapuis : « Vous avez prononcé une phrase tout à l’heure dans la première partie, vous avez dit : « Les mots nourrissent les actes ». La une du dernier numéro de Charlie-Hebdo qui représente à nouveau le prophète Mahomet suscite la colère de nombreux musulmans à travers le monde. Dix personnes sont mortes hier dans des manifestations au Niger. On brûle des drapeaux français au Pakistan. Quelle attitude doit avoir la France face à tout cela ? »

Bartolone : « Intraitable sur les valeurs de la République ! Intraitable ! Le jour où l’on affaiblit ce socle nous sommes renvoyés les uns et les autres à notre communauté ou à notre religion et c’est le vivre-ensemble qui est menacé ; d’ailleurs ces terroristes, ces assassins, c’est ce qu’ils ont essayé de faire comme première victime : le vivre-ensemble. Moi je veux que l’on réussisse même si cela prend un peu de temps. Regardez le temps qu’il a fallu pour faire accepter à la religion Catholique le fait qu’il y a une religion suprême pour chacun d’entre nous : c’est la religion de la République. »

Une journaliste de la BBC revient sur les soit-disant « déséquilibrés »…

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Il semblerait que le monde médiatico-politique français soit un petit peu manipulateur… C’est en tous cas ce qu’a l’air d’expliquer Caroline Wyatt, une journaliste de la BBC.

Les très nombreuses victimes françaises anonymes de « déséquilibrés » apprécieront sans doute que quelqu’un disent enfin clairement la vérité…

« La France a déjà subi dans ses rues, au cours de ces dix dernières années, de très nombreuses violences perpétrées au nom de la religion, bien qu’elle ait tenté de faire passer la plupart des attaques récentes de “loups solitaires” qu’elle a subies comme des actes d’individus déséquilibrés. »

Quand la culture de l’excuse n’a plus aucune limite…

DespentesOn poursuit l’« apologie du terrorisme » partout, la traque de ceux qui ne sont pas Charlie n’en finit pas, et la liberté d’expression s’est arrêtée au périmètre qui encercle les gens biens, c’est-à-dire les gens de gauche.

Et il en est une, Virginie Despentes, fille de gauche bien entendu, qui s’est pourtant servi des Inrocks pour déclarer son amour des frères Kouachi qui, les pauvres chéris, étaient tout simplement rejetés par la société. Il faut bien que ce soit toujours de notre faute, nous les sales Français, quoi qu’il arrive.

Hallucinant.

[…] J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. Et j’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir.

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« Plus belle la vie » : propagande sur le dos de Charlie

Avec son ton niais (qu’elle perd quand il s’agit de parler aux jeunes de « sexualité » et de déviances), la série télé française du Service public – une ôde permanente au mondialisme, à l’immoralité et au métissage – a rapidement embrayé sur l’affaire Charlie Hebdo pour poursuivre son travail :

Enquête pour « incitation à la haine raciale » ouverte pour une banderole dénonçant l’islamisme…

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La grande mobilisation « pour la liberté d’expression » était une mascarade sans précédent, pendant laquelle les responsables de la situation dans laquelle nous sommes se sont autoproclamés héros. Une manipulation exemplaire.

Ces attentats ont été en France médiatisés et dramatisés à outrance, non pour évoquer et traiter les causes que sont l’immigration massive, l’islamisation et le laxisme judiciaire mais pour nous faire accepter plus de surveillance encore. Les propositions pour un « Patriot act » à la française n’ont d’ailleurs pas tardé.

La liberté d’expression n’existe pas, les militants le savent. Au lendemain d’un attentat islamiste il est interdit de parler de l’islam, et même pas de l’islamisme.

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Luc Ferry milite pour l’instauration de l’école pour les parents

Le fanatique Ferry veut enseigner dès la primaire les dogmes de la religion républicaine mais également… Aux parents ! Et pour que les leçons soient bien assimilées, il souhaite l’ouverture d’écoles pour les parents !

Voici ce que dit ce fou furieux : Pour Luc Ferry, ce qui peut être efficace c’est d’enseigner la morale républicaine dès le primaire. Et il faut, ajoute-t-il venir en aide aux parents. « Ce que nous vivons ce n’est pas la faillite de l’Education nationale, les professeurs ont juste de très grands problèmes lorsque les familles n’ont pas fait le boulot d’éducation morale ». « Je suis pour la création de l’école des parents, qui sont souvent très démunis face à leurs enfants qui leurs échappent »… Et Pour Luc Ferry,  c’est à l’Education nationale de s’en charger. « On a les capacités à la faire dans le monde enseignant. »

source

Dessin animé : un « héros » travesti de 12 ans sur les chaînes pour enfant Gulli et Canalj

Si ça n’est pas une nouveauté que certains programmes pour enfants soient des daubes décadentes et propagandistes (le baiser de la lune, Tomboy, Azur et Asmar, Lettre à Abou etc…), sur ce coup c’est très fort ! Un soit disant « super héro » de 12 ans qui se transforme en travelo pour combattre les méchants… A l’étranger la diffusion de cet étron en 52 épisodes a suscité de vives réactions de la part de groupe chrétiens et d’associations de défense de la famille (voir ici)

 

Le premier super héros travestis!
Sa particularité? Être un garçon se déguisant en fille lors de ses missions et combats !
Et oui ,Shezow est le premier super héros  » travestis  » .
vêtu d’un uniforme rose,ayant des mèches rose dans les cheveux et des bottes à talons en cuir blanches , Il combat ses ennemis à l’aide de gadgets plus girly les uns que les autres ( rouge à lèvres laser. ..)

Source : ici, ici, ici et ici
Merci à Lecer

Directives de Fabius à la presse : « terroristes » plutôt que « islamistes »

Une fois n’est pas coutume, Fabius passe les consignes à la presse aux ordres. Après « Daech » plutôt que « Etat Islamique » c’est « terroristes » à la place « d’islamistes ». Bêêêêêh répondirent les moutons...

Dans ce refus de l’amalgame, Laurent Fabius préconise d’aller plus loin encore, en l’espèce en bannissant le mot « islamiste ». Invité ce dimanche matin du Grand Rendez-vous Europe 1-iTélé-Le Monde, le ministre des Affaires Etrangères précise sa pensée :

Je n’aime pas… Je ne veux pas faire le censeur (sic), mais je pense que l’expression islamiste – et j’en avais aussi fait la remarque dans l’expression Etat islamique – est probablement pas celle qu’il faut utiliser. J’appelle ça des terroristes. Parce dès lors que vous utilisez le mot islam, vous favorisez une espèce de vision de continuité entre le musulman, qui pratique sa religion qui est une religion de paix, et puis quelque chose qui serait une certaine interprétation de la religion musulmane.

Source : Europe1
Merci à Walfroy

« Je suis Charlie » : surveillance, atteinte aux libertés et Etat policier…

L’occasion fait le larron ou le larron fait l’occasion, tout dépend des versions. Toujours est-il que nos politicards nous concoctent un menu aux petits oignons. Au programme, surveillance accrue des communications, renforcement de la lutte anti-terroriste sur internet, moins de contrôle des opérations spéciales etc…  Tout est bon pour diminuer les libertés des français au nom de la sacro-sainte sécurité tout en faisant croire que l’on défile par million pour défendre « la liberté d’expression ».

Tandis que la presse se pâme sur « l’unité nationale » et la mobilisation en faveur de la « liberté d’expression », il est temps de prendre conscience des vraies conséquences des attentats de ces derniers jours, et d’analyser les décisions qui sont prises, ou qui le seront, au nom de la lutte contre le terrorisme. Nous en connaissons déjà la trame : une surveillance accrue, des atteintes aux libertés individuelles, l’accentuation subreptice, et de préférence avec l’accord de la population, de l’Etat policier. Celui-ci étant en l’occurrence défini par la mise en place de mesures d’intrusion dans la vie privée sans ordre préalable de la justice. Et tout cela dans un cadre de plus en plus supranational.

Pendant que la foule défilait sous le slogan « Je suis Charlie » – ce qui est absurde et horrifiant à la fois, car c’est un mensonge et une affirmation de solidarité avec ceux qui vivent du blasphème – les politiques se mobilisaient déjà. Pour exploiter l’événement.

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