Alors que l’enquête est à peine commencée concernant le décès de Floyd aux Etats-Unis, la LICRA appelle à cesser toutes les activités à 18 heures pendant 8 minutes 46 secondes car pour elle, Floyd a été victime d’un crime raciste. Cette ligue de vertu, qui ne jure que par les droits de l’homme, ne semble pas connaître la présomption d’innocence qui énonce que puisque l’enquête n’étant pas aboutie, personne ne peut aujourd’hui endosser la culpabilité de la mort de Floyd.
Surtout quand on sait que l’autopsie du corps montre que ce dernier n’est pas mort de strangulation ou asphyxie, mais du fait de sa contention au sol, combinée avec des problèmes de santé (Floyd était atteint d’une maladie coronarienne et d’une maladie cardiovasculaire) et une intoxication potentielle (Floyd aurait pris de la drogue). Mais il s’agit de culpabiliser les Blancs, alors tout est permis par cette officine subventionnée qui jamais ne nous parlera des actes criminels de Tsahal en Palestine.
Appel de la @_LICRA_ : contre le racisme, en hommage à George Floyd, la LICRA appelle chacun à cesser toute activité durant 8’46 » le mardi 9 juin à 18h, jour de ses obsèques. Nos devoirs envers l’Humanité nous obligent plus que jamais à dire non au racisme et demander justice. pic.twitter.com/G58vBod79W
« Plus libre que jamais, le leader historique de la droite nationale, Bruno Gollnisch, fait le procès des lois liberticides qui étranglent les droits d’expression et d’opinion de Pleven à Avia en passant par Gayssot et Perben. Sans mâcher ses mots, il affirme que les « fake news » qui ont de vraies conséquences sont d’origine étatique ou gouvernementale. Le brillant universitaire resurgit quand il s’agit de donner l’incroyable liste des six mensonges des Etats-Unis pour entrer 6 fois en guerre ! Un entretien sans langue de bois… revigorant! »
C’est un retentissement dans le milieu journalistique français. Stéphane Bourgoin, présenté comme un expert en criminologie depuis plus de 30 ans par la presse, est un menteur pathologique.
Il racontait depuis des décennies qu’en Californie en 1976, à la suite du meurtre de sa femme par un tueur en série, l’inspecteur en charge de l’enquête lui mit le « pied-à-l’étrier » en l’emmenant sur des scènes de crime. Depuis il expliquait avoir interrogé 79 tueurs en série, résolu l’affaire du « Dalhia-noir, suivi une formation de profiler et appelé à la rescousse par le FBI pour les enquêtes délicates.
Tout est faux, son épouse n’est pas morte sous les coups d’un tueur en série et il n’aurait même pas voyagé aux États-unis dans les années 1970. Le véritable « Mindhunter » ne le connait pas, et il n’a en réalité interrogé que 15 tueurs en série pour des reportages télévisés. Continuer la lecture de « Stéphane Bourgoin, « l’expert » serial-menteur »
Un mensonge éhonté de plus. Souvenons nous que la porte parole africaine du gouvernement, Sibeth Ndiaye, a déclaré en 2017 : « j’assume parfaitement de mentir pour protéger le Président ». En 2019 le député LREM Patrick Vignal osait à son tour : « s’il faut dire la vérité aux Français, cela veut dire dix ans de sang et de larmes (…) Vous voudriez dire la vérité aux gens sur le terrorisme ou sur le chômage ? »
Le professeur belge Etienne de Harven (1928-2019), médecin et chercheur pionnier sur les virus, a émis sur le thème du VIH/SIDA – dont les Français sont abasourdis depuis quelques décennies – des analyses très éloignées du discours public.
Il est l’auteur d’un livre fameux : les 10 plus gros mensonges sur le sida (disponible ici).
Il explique que le SIDA et le VIH sont des concepts artificiels, définis par des impératifs politiques, moraux, économiques, et non pas une analyse scientifique, rigoureuse et honnête, et que puisque « le Sida n’est pas un virus, il n’y a pas de contamination ».
En ce jour de commémoration de l’esclavage en France, il est bon de rappeler aux ethnomasochistes de tout poil, que la traite négrière n’est pas uniquement le fait des blancs (et des juifs) d’Europe vers les États-Unis. En effet, « les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont disparu du fait des traitements inhumains ».
Le génocide voilé, une enquête du chercheur Tidiane N’Diaye, éclaire un drame passé à peu près inaperçu : la traite des Noirs d’Afrique par le monde arabo-musulman. Cette traite a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles sans interruption. Les razziés étaient contraints de traverser le désert à pied pour rejoindre le Maghreb, l’Égypte ou la péninsule Arabique via Zanzibar, par bateaux… Pourtant, cette traite négrière a été minimisée, contrairement à la traite occidentale vers l’Amérique. Pourquoi ? Parce que seule la conversion à l’islam permettait d’échapper à l’esclavage. De nos jours, la majeure partie de l’Afrique est devenue musulmane. Un livre polémique et courageux selon Joachim Véliocas. Continuer la lecture de « Commémoration de l’esclavage : le génocide caché »
S’il y avait besoin d’apporter une preuve supplémentaire de la nullité de ce gouvernement… Ils ne savent rien faire d’autre que mentir maladroitement aux Français pour couvrir la gestion catastrophique des conséquences de ce virus.
« L’inquiétude de l’ambassadeur de France à Pékin aura été vaine. Comme le révèle Le Canard enchaîné, Laurent Bili a alerté le Quai d’Orsay et l’Elysée dès le mois de décembre 2019 sur les dangers du virus alors signalé à Wuhan, soit plusieurs semaines avant son arrivée en Europe. Mais Jean-Yves Le Drian et Emmanuel Macron sont restés sourds à ces informations pour le moins inquiétantes. « Quand sont parvenues à Paris les informations relatives à l’apparition d’un nouveau virus, il était encore possible, pour un président conscient de ses responsabilités, de constituer un bon stock de masques, de tests et de respirateurs. Mais Macron n’a pas trouvé le temps d’y penser », souligne Le Canard enchaîné. Continuer la lecture de « Coronavirus : Macron alerté par l’ambassadeur de France en Chine… depuis décembre ! »
Cette crise permet de mettre en lumière l’escroquerie écologique qui associe le taux de particules fines et la voiture à Paris.
Trouvé sur Transitions & Energies : « Logiquement donc, avec le confinement, l’arrêt d’une bonne partie de l’activité économique et la baisse spectaculaire de la circulation automobile, illustrée, entre autres, par l’effondrement historique de la consommation de carburants, la qualité de l’air aurait dû considérablement s’améliorer. Il n’en est rien… Et pourtant, les ventes d’essence et de gazole sont en baisse en France de 70 à 85% par rapport à avant le confinement.
Mais si on compare les graphiques d’Airparif, qu’on ne peut soupçonner de partialité, en février, en mars et pour le début du mois d’avril, on ne peut parler ni d’améliorations, ni même de différences. La région parisienne a même connu un pic de pollution atmosphérique le 28 mars… Un comble. Il suffit de regarder, ci-dessous, les captures d’écran des tableaux d’Airparif.
Dans sa logique intrusive (et d’orientation idéologique de la population), le gouvernement – via le secrétariat d’Etat de Marlène Schiappa– a pondu un « Guide des parents confinés – 50 astuces de pro » (lisible ici).
Marlène Schiappa, adepte de la sorcellerie et auteur de livres pornographiques, se permet d’écrire une préface et de donner des conseils aux parents…
Le contenu des « astuces » est bien sûr à la hauteur…
Après une page « mon enfant fait son coming-out », qui renvoie vers un site proposant des supports « qui donnent une image positive des personnes LGBT » à partir de 10 ans, on tombe sur la page « Se méfier de la désinformation », signée par le super commissaire politique Frédéric Potier, président de la DILCRAH (un énième organisme de traque des propos politiquement incorrects, mais public cette fois, au budget de 100 millions d’euros par an ! Tant pis pour les hôpitaux). Il est chargé de mettre au pas les Français pas assez cosmopolites, par la terreur judiciaire.
Cet horrible individu a le culot de dire aux parents de se « méfier des tentatives de désinformation, des théories du complot, qui prolifèrent sur internet et les réseaux sociaux. » On rappellera que des représentants du gouvernement avaient par exemple déclaré, dans le genre complotiste débile, soupçonner la Russie d’être derrière les Gilets jaunes…
Frédéric Potier demande pour finir de « privilégier les sites institutionnels » quand on veut surfer et chercher l’information. Il en donne quatre : vous allez voir, c’est fabuleux. Celui de la Dilcrah, celui d’un obscur « observatoire du conspirationnisme » financé par la « Fondation pour la Mémoire de la Shoah », celui du « Mémorial de la Shoah » et enfin celui du « Musée d’art et d’histoire du judaïsme » !
Vous ne voyez pas le rapport ? Attention, se poser la question c’est peut-être déjà de l’antisémitisme !
En tout cas, ce jeune Potier semble avoir une idée assez précise des bottes qu’il veut lécher pour la suite de sa carrière de préfet.
En tournant cette grotesque page, déjà stupéfait, on tombe sur « l’astuce » suivante : « Comment transmettre le féminisme »…
C’est bien vu de parler du féminisme comme s’il s’agissait d’une maladie vénérienne qu’on transmet, mais en réalité cet article – signé par la « Présidente commission lutte contre les stéréotypes du HCE » (c’est écrit ainsi) – est bien sûr favorable à cette idéologie subversive et contre-nature.
Nous finirons – davantage serait au-dessus nos forces – sur la page suivante : « Qu’est-ce qu’on regarde à la télé ? ». Le président de Canal+ y est invité à étaler ses recommandations : « citons « l’Info du Vrai » d’Yves Calvi qui décrypte [sic] l’information quotidienne et Cyril Hanouna qui sera présent en direct de chez lui tous les jours sur C8 dans TPMP pour un vrai moment de divertissement pour toute la famille. [sic] »
Voilà qui illustre bien les collusions entre les pouvoirs politique et médiatique ainsi que celui des lobbys, le tout aux frais du contribuable.
« Le 19 février 2020, un homme de 43 ans, Tobias Rathjen, ouvrait le feu dans deux bars fréquentés par des Kurdes et des Turcs dans la ville de Hanau en Allemagne.
L’appartenance ethnique des 10 victimes avait déclenché sur le champ une vague de jugements sur le caractère raciste de l’attaque. Les journalistes mainstream surenchérissaient à qui mieux mieux sur une fantomatique menace d’extrême-droite devenue, enfin, une réalité en quelques coups de feu et diabolisaient le mouvement anti-immigration AfD.
Las ! Les conclusions des enquêteurs allemands, que bien entendu ces mêmes médias au collier s’abstiendront de communiquer à leurs lecteurs, excluent la piste du racisme pour privilégier le motif d’une paranoïa couplée à une croyance aux théories du complot.
Un bobard de plus à mettre au crédit de la grande presse aux ordres du politiquement correct. »
En plus des « bizarreries » du régime français concernant la chloroquine notamment, nous voudrions porter à votre attention un autre fait étonnant.
Rappelons quelques points de chronologie importants :
• le premier malade chinois a été admis officiellement dans un hôpital de Wuhan le 16 décembre, ses symptômes remontant au 8 décembre.
• Ai Fen, la directrice du département des urgences (censurée depuis par le régime chinois) obtenait les résultats d’analyse le30 décembre : ils indiquaient une infection avec un coronavirus affilié au SARS. Entretemps les cas s’étaient multipliés.
• La Chine a attendu jusqu’au 9 janvier pour annoncer l’émergence d’un nouveau coronavirus.
• On sait maintenant que le premier cas est en fait apparu le 17 novembre (ce que les autorités chinoises ont voulu cacher, et que l’on apprit récemment par la fuite à Hong Kong d’un de leurs rapports secrets). Mais rien à ce jour ne permet de mettre en cause la fin décembre comme moment d’identification du nouveau virus.
La question est donc : pourquoi – alors qu’on nous a seriné jusqu’au fin janvier qu’il n’y avait rien à craindre – des sbires de Macron au Sénat ont-ils présenté une proposition de loi « relative à la sécurité sanitaire », avec des « mesures d’éviction et de maintien à domicile des personnes non malades ayant été en contact avec une ou plusieurs personnes atteintes d’une maladie transmissible », le 5 décembre 2019, 11 jours avant l’hospitalisation officielle du premier malade chinois ?!
Vous pouvez jeter un coup d’œil sur les articles 6 et 7 de cette proposition de loi, stipulant par exemple : «Afin de limiter la propagation des maladies transmissibles et de faire face à une situation sanitaire exceptionnelle, peuvent faire l’objet d’une mesure d’éviction et de maintien à domicile les personnes présentant un risque élevé de développer une maladie transmissible du fait d’avoir été en contact avec une personne malade ou d’avoir séjourné dans une zone concernée par un foyer épidémique et dans des conditions d’exposition de nature à transmettre cette maladie en raison de ses caractéristiques épidémiologiques.»
Didier Raoult est un professeur de microbiologie de renommée mondiale, spécialiste des maladies infectieuses virales.
Il dirige à Marseille l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection.
Le 25 février 2020 au soir, en pleine panique concernant la pandémie du coronavirus, il annonce que la chloroquine (un médicament utilisé contre le paludisme) est « le traitement le moins cher et le plus simple pour traiter le coronavirus Covid-19 », citant une étude chinoise. Le ministère de la Santé affirme alors qu’aucune étude ne démontre l’efficacité de la chloroquine pour soigner le coronavirus.
Le 16 mars 2020, il diffuse une vidéo enregistrée devant ses étudiants dans laquelle il annonce les résultats qu’il qualifie de « spectaculaires », de sa propre étude clinique. Sur 24 patients atteints du coronavirus, les trois quarts n’étaient plus porteurs du virus après six jours.
Ce jeudi 19 mars, lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche, le président des États-Unis Donald Trump a « approuvé » un recours à la chloroquine pour lutter contre le Covid-19, expliquant aux Américains « pouvoir rendre ce médicament disponible quasiment immédiatement » car il a « montré des résultats préliminaires très encourageants ». Ces résultats sont vraisemblablement ceux du Pr Raoult. C’est d’ailleurs lui qui a fait connaître internationalement la chloroquine, dont il est le spécialiste mondial.
Deux questions se posent :
► pourquoi le Régime dirigeant actuellement la France a-t-il fait officiellement la sourde oreille aux préconisations du Pr Raoult pendant d’interminables semaines ?!
Après la déclaration de Trump, il n’a d’autre choix que d’annoncer une étude (qui va prendre « des semaines »!), mais pourquoi rien jusque là ?!
Nota bene (du 22 mars, 9h30) :
Il y a en fait un conflit entre le professeur Raoult et le mari du monstrueux ministre de la Santé Agnès Buzyn, Yves Lévy (qui fut à la tête de l’Inserm jusqu’en janvier 2020, date à laquelle il fut remplacé par son coreligionnaire Gilles Bloch).
Didier Raoult l’a publiquement exprimé à plusieurs reprises et notamment dans un article du Canard qui soulignait « le conflit d’intérêts patent entre une décision ministérielle sur le statut des futurs IHU et la position similaire du PDG de l’Inserm ».
Lors de l’inauguration de l’unité de Didier Raoult, celui-ci n’a pas reçu les honneurs qu’il méritait : « quand il a été inauguré en mars 2018, l’IHU Méditerranée Infection de Didier Raoult n’a pas obtenu d’Yves Lévy, alors patron de l’Inserm et encore époux de l’ex-ministre de la Santé Agnès Buzyn, le label qui lui donnerait une reconnaissance indiscutable. Le chercheur iconoclaste a donc dû batailler auprès du gouvernement pour faire entendre la voix de son pôle de recherche qui figure pourtant parmi les plus prolifiques du pays. » (source) Le même Lévy qui inaugurait en 2017 le laboratoire de haute sécurité biologique P4 de Wuhan, ville où est apparue le coronavirus…
Petite compilation, qui se conclut avec un rappel de ce que les mêmes disaient à l’époque de Tchernobyl (et de son nuage radioactif qui serait magiquement arrêté à la frontière, lui).
Les « réfugiés » forcent leurs enfants à inhaler de la fumée, les battent et les emmènent à la frontière exprès pour montrer à tout le monde comme les Grecs sont cruels avec les réfugiés.
« Immigrants » or »Refugees »put children to inhale smoke beat them and drag them on purpose to the border to show everyone how bad Greeks behave against refugees.
La cérémonie « française » annuelle des « Césars » regroupe l’entre-soi du monde du cinéma, pour s’entre-féliciter et se décerner des prix.
Autour de films généralement « engagés » (dans le monde médiatique, « engagé » signifie uniquement « militant gauchiste », car les militants de droite n’y ont tout simplement pas droit de cité), et parfois de productions franchement immondes, ce sont finalement divers lobbys qui s’épaulent ou se querellent, comme l’a bien illustré ce cru 2020 : lobby féministe, lobby juif, lobby immigré. Les deux premiers se sont écharpés sur le cas du réalisateur pédocriminel juif Roman Polanski, objet d’un remarquable soutien tribal :
Que les #Cesars aient attendu que #Polanski, absent, ne puisse répondre pour le moquer, l’humilier, surjouer le dégoût et aller jusqu’à refuser de prononcer son nom, voilà qui dit bien où étaient, hier soir, les vrais « misérables».
Mais la cérémonie a aussi été marquée par l’ahurissante charge d’une actrice africaine, une certaine Aïssa Maïga, venue cracher grossièrement dans la soupe et réclamer plus d’étrangers dans les films, poursuivant les Blancs de sa vindicte avec une formidable ingratitude et un aveuglement sidérant :