La cérémonie « française » annuelle des « Césars » regroupe l’entre-soi du monde du cinéma, pour s’entre-féliciter et se décerner des prix.
Autour de films généralement « engagés » (dans le monde médiatique, « engagé » signifie uniquement « militant gauchiste », car les militants de droite n’y ont tout simplement pas droit de cité), et parfois de productions franchement immondes, ce sont finalement divers lobbys qui s’épaulent ou se querellent, comme l’a bien illustré ce cru 2020 : lobby féministe, lobby juif, lobby immigré. Les deux premiers se sont écharpés sur le cas du réalisateur pédocriminel juif Roman Polanski, objet d’un remarquable soutien tribal :
Que les #Cesars aient attendu que #Polanski, absent, ne puisse répondre pour le moquer, l’humilier, surjouer le dégoût et aller jusqu’à refuser de prononcer son nom, voilà qui dit bien où étaient, hier soir, les vrais « misérables».
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 29, 2020
Mais la cérémonie a aussi été marquée par l’ahurissante charge d’une actrice africaine, une certaine Aïssa Maïga, venue cracher grossièrement dans la soupe et réclamer plus d’étrangers dans les films, poursuivant les Blancs de sa vindicte avec une formidable ingratitude et un aveuglement sidérant :
Continuer la lecture de « Césars : valse des lobbys et hostilité envers les Blancs »