« Après un oubli de près de 100 ans depuis la prise de la Bastille, le 14 juillet devient fête Nationale en 1880, sous la IIIe République.
La République toute nouvelle se cherche des symboles. Là encore, comme souvent en cette période de notre Histoire Nationale, l’action des francs-maçons sera importante.
C’est le frère Benjamain Raspail, député de la Seine pour la gauche républicaine (fils aîné de François-Vincent Raspail, candidat malheureux à la présidence de la République en 1848, carbonaro et franc-maçon au sein de la célèbre loge parisienne Les Amis de la Vérité), qui dépose le 21 mai 1880 la loi faisant du 14 juillet la fête nationale. Ce projet de loi, signé par 64 députés, sera adopté par l’Assemblée le 8 juin et par le Sénat le 29 juin. Elle sera promulguée le 6 juillet 1880. Continuer la lecture de « 14 juillet : fête nationale ou fête maçonnique ? »
C’est une barrière qui tient toujours, alors que beaucoup de choses vacillent : le Dicastère pour la doctrine de la foi a publié une note, approuvée par François, concernant la franc-maçonnerie.
Dans une lettre adressée à un évêque philippin, rendue publique mercredi 15 novembre (lisible en anglais ici), le cardinal Victor Fernandez, préfet, écrit :
« Sur un plan doctrinal, il doit être rappelé que l’appartenance active à la franc-maçonnerie par un fidèle est interdite en raison de l’incompatibilité entre la doctrine catholique et la franc-maçonnerie ».
Voici une traduction du document, suivie de brèves remarques de notre part :
Rudy Reichstadt passe sa vie à dresser sur son site « Conspiracy Watch » des LISTES de gens qu’il jette à la vindicte populaire et médiatique en les qualifiant de complotistes et d’antisémites, même s’ils n’ont jamais été condamnés par la justice.
Et quand il y a un petit retour, devinez quoi ? Il pleurniche.
Quelle indignité.
Les rabbins Ron Chaya et Touitou – actifs et connus sur internet – ont chacun interpellés l’humoriste Gad Elmaleh, car il s’est à moitié converti au christianisme et ils ont peur qu’il fasse tache d’huile.
Ils ont rappelé que dans le judaïsme rabbinique, il est gravement interdit pour un juif d’entrer dans une église, car il se rendrait coupable selon eux « d’idolâtrie » (mais dans une mosquée, aucun problème).
L’abbé traditionaliste Olivier Rioult délivre suite à cela un message catholique à Gad Elmaleh.
L’abbé Rioult est l’auteur d’un livre intitulé La Question juive, ouvrage désormais de référence sur ce thème.
« Étrange découverte pour ces trois explorateurs urbains qui ont visité, dans la nuit du vendredi au samedi 26 novembre, un château abandonné, à Trébons, non loin de Lourdes, dans les Hautes-Pyrénées. Ils y ont trouvé un crâne, des ossements, des scalpels, rapporte « Le Parisien ». L’ensemble de ces trouvailles ont été transférées à l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale à Pontoise (95) pour évaluer s’il s’agit de restes humains.
[…] Les amateurs d’exploration ont trouvé sur les lieux des symboles de l’iconographie franc-maçonne, des documents qui font référence à des protocoles de cérémonie… Le propriétaire du château est un ancien médecin d’une clinique de Tarbes. Il est décédé en septembre à 90 ans. Son appartenance à la franc-maçonnerie est établie. Il n’est en revanche pas connu des services de police. » (Sud-Ouest)
Rions un peu maintenant avec les déclarations de la gendarmerie (institution où la franc-maçonnerie est sur-représentée) :
« Une piste criminelle ? Peu probable selon la gendarmerie des Hautes-Pyrénées. « Ces restes sont érodés et très usés. Ils datent peut-être de plus d’un siècle », explique une source officielle au « Parisien ». Les résultats d’analyse aideront à dater les ossements et à pencher davantage vers une hypothèse plutôt qu’une autre. »
Ossements, échantillons de peau (précise le Parisien) et scalpels ? Oh, non, ça n’a sûrement rien de criminel…
La famille Klarsfeld, qui fait profession (« business » diront les mauvaises langues) de « la mémoire de la Shoah », est une ennemie – résolue, acharnée, prête à tout – de la droite nationale, depuis des décennies.
Elle a par exemple persécuté judiciairement (et donc politiquement) Jean-Marie Le Pen pour des déclarations historiques pourtant peu audacieuses.
En 2017, cette famille (Serge, Beate et Arno) publiait par exemple sur une page de Libération, avant les présidentielles, une affiche délirante de mauvaise foi :
A Avignon, un artiste a peint ces jours-ci une fresque représentant le funeste Macron comme une marionnette (Pinocchio) animée par Jacques Attali.
Bien vu et pas méchant.
Mais c’en est trop pour des associations et personnalités communautaristes (suprémacistes, diront certains) juives qui ont pleurniché et obtenu facilement gain de cause.
Pour elles (et pour les journaleux et politiciens au garde-à-vous devant elles), c’est très mal de représenter un juif dans le rôle d’un personnage de l’ombre puissant. Il faut mettre un Gaulois à la place.
Une fresque de street-art peinte à Avignon et représentant l’économiste Jacques Attali en marionnettiste qui manipule un Emmanuel Macron grimé en Pinocchio, largement dénoncée comme antisémite, a été effacée vendredi 24 juin, au matin, ont confirmé la préfecture et la communauté d’agglomération du Grand Avignon à l’AFP. «À la suite des réactions d’émotion et de la polémique grandissante suscitées par la fresque du graffeur Lekto située sur le parking des Italiens à Avignon, le préfet de Vaucluse a échangé hier avec le président du Grand Avignon, propriétaire des lieux, afin de convenir de l’effacement de cette fresque. Cette opération a été réalisée ce matin même», a indiqué la préfecture dans un courriel à l’AFP. (source Figaro)
Et tant pis, si effectivement, Attali a un rôle considérable auprès des chefs d’Etat français. Les journalistes de gauche ont le droit le dire parfois, eux, car on ne peut soupçonner chez eux quelque liberté d’esprit que ce soit.
Macron avait promis avant son élection que « cette nouvelle ère ne sera pas la continuité ».
Ce bobard à gogos n’aura pas fait long feu, car il vient de nommer Premier ministre (et non pas, évidemment, Première ministre comme le disent gauchistes idiots et autres féministes ignares) une certaine Elisabeth Borne (de son vrai nom Bornstein), technocrate socialiste de 61 ans et pur produit de la caste en place.
« Cette nomination signifie d’abord que le chef de l’Etat a décidé, au moins symboliquement, d’orienter davantage à gauche sa politique. Lors de son premier mandat, il avait choisi des Premiers ministres venus de la droite (ou prétendue telle) : Edouard Philippe (2017-2020), puis Jean Castex (2020-2022). Il a choisi cette fois-ci, ce qui n’était pas forcément évident au départ, une personnalité politique fortement marquée à gauche puisqu’elle est passée par les cabinets de Lionel Jospin à Matignon (1997-2002) et par celui de Ségolène Royal à la Transition écologique (2014-2015), sans oublier un détour par la préfectorale et la mairie de Paris tenue par le Parti socialiste depuis une vingtaine d’années.
Elisabeth Borne a été de toutes les aventures depuis la gauche plurielle il y a vingt-cinq ans sous la présidence de Jacques Chirac, a été directrice de cabinet de Ségolène Royal au ministère de l’Ecologie sous François Hollande. Avec Gérald Darmanin, Bruno Le Maire et Jean-Yves Le Drian, Elisabeth Borne, âgée aujourd’hui de 61 ans, fait partie des rares ministres qui le sont restés tout au long du quinquennat. Nommée aux Transports en mai 2017, elle est appelée à la rescousse en juillet 2019 pour remplacer au pied levé à la Transition écologique François de Rugy, contraint à la démission. Un an plus tard, elle est propulsée au ministère du Travail à la place de Muriel Pénicaud, un poste qu’elle a occupé jusqu’à sa nomination le 16 mai à Matignon. En matière de nouveauté et de renouvellement, on fait mieux. C’est la deuxième femme à occuper le poste de Premier ministre. Y réussira-t-elle mieux qu’Edith Cresson qui fut Premier ministre de François Mitterrand pendant 10 mois et 18 jours, du 15 mai 1991 au 2 avril 1992, et qui fut d’une rare incompétence, multipliant les boulettes et autres maladresses, n’étant manifestement pas à la hauteur de la fonction ? […] » (source)
Borne est l’inventeur de la « suspension de contrat de travail » pour les soignants non vaccinés : statut qui ne donne droit ni au chômage, ni au RSA, ni aux congés, ni à la formation… Pour contraindre de force les récalcitrants à subir les injections d’ARNm. Les pseudo réfugiés extra-européens et les étrangers « réguliers » sont beaucoup mieux traités…
Réputée cassante, dure et intraitable, elle va certainement exécuter impitoyablement les souhaits les plus choquants de Macron et les Français vont en baver…
Elisabeth Borne vient d’une famille juive russe, réfugiée en France en 1939. Son père Joseph Bornstein s’opposant aux Allemands, il fut déporté en 1942, revint en France et après la guerre, il dirigea avec sa femme française… un laboratoire pharmaceutique.
Elisabeth précisait il y a quelques années au micro de l’horrible Frédéric Haziza, lors d’une soirée de Radio J (radio communautaire juive), que « c’est une communauté [la communauté juive NDLR] qui est la mienne, qui a participé à l’histoire de la République, et qui a toute sa place dans la République ».
Et dans quelle communauté classe-t-on les Français de souche ?
En tout cas, les dirigeants communautaristes (« suprémacistes » diront certains) juifs se réjouissent bruyamment, tel le président du Consistoire de Paris, dont la dernière phrase de ce tweet est un peu étrange :
Au passage, la Borne risque de faire souffrir les automobilistes, déjà persécutés et vaches-à-lait :
Le « Mur pour la paix » est une « œuvre d’art » militante, élaborée par une certaine Clara Halter.
« Constitué d’une charpente métallique habillée de bois, d’inox et de verre, il mesure près de 16 mètres de longueur, 13 mètres de largeur et 9 mètres de hauteur. Sur les grandes façades de verre est écrit le mot « paix » en 49 langues différentes. ».
Très laid, il a été installé – aux frais de cet imbécile de contribuable – en l’an 2000, sur le Champ-de-Mars, entre l’Ecole militaire et la tour Eiffel avec lesquels il jurait grossièrement, saccageant la perspective d’un des lieux les plus visités de Paris.
Il y a bien sûr eu des résistances, mais elles ont été vaincues par la mairie ainsi que par le poids politique du mari de « l’artiste » Clara Halter : Marek Halter, immigré juif polonais, militant mondialiste et « antiraciste » forcené (c’est-à-dire promouvant le génocide des peuples blancs par invasion et métissage) sentencieux et pompeux, « écrivain » dont le talent principal est d’être un membre actif d’un lobby puissant.
Le Mur pour la Paix est directement inspiré du Mur des lamentations de Jérusalem puisque les visiteurs peuvent laisser un message de paix dans les fentes prévues à cet effet.
Son architecture reprend aussi, et de manière éclatante, de nombreux éléments de la symbolique franc-maçonne.
Son message mondialiste est-lui même tout à fait typique de cette force occulte.
Vraiment, ce « Mur » coche toutes les cases, sur la forme (laideur, transgression par rapport au lieu d’installation…) et sur le fond.
En 2020, cette horreur a enfin été démontée pour laisser place au Grand Palais éphémère, un peu moins laid et moins subversif.
Elle devait être installée ailleurs dans Paris, mais personne n’en veut. Alors Marek Halter tape du point sur la table :
« Deux ans et demi après son démontage du Champ-de-Mars, le monument attend toujours un nouveau lieu. L’écrivain Marek Halter attaque la Ville en justice pour non respect de son contrat
Changement de direction chez la station de radio gauchiste (financée par les impôts) France Inter, réputée pour être très « communautaire ».
La présidente de Radio France, Sibyle Veil (nommée là en 2018 par Macron dont elle est une camarade de promo à l’Ena), a décidé de remplacer Laurence Bloch à a tête de France Inter.
Elle vient de nommer une certaine Adèle Van Reeth.
Vous ne comprenez plus ?
Cette dernière est la femme de Raphaël Enthoven, pseudo philosophe juif longtemps au premier plan de France Culture (et par ailleurs soutien infatigable du président).
« Le PDG du géant pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla, est le lauréat 2022 du Prix Genesis, le Nobel juif, pour sa contribution majeure à la lutte contre la pandémie de coronavirus.
« Le Comité a félicité le Dr Bourla pour son leadership, sa détermination et surtout pour sa volonté d’assumer de grands risques. […] », a indiqué dans un communiqué la Fondation du Prix Genesis […].
Le Comité a également noté la fierté du Dr Bourla pour son identité et son héritage juifs, son attachement aux valeurs juives et son soutien à l’État d’Israël.
Le Prix Genesis annuel d’un million de dollars, surnommé le « Nobel juif » par le magazine TIME, rend hommage à des personnes extraordinaires pour leurs réalisations professionnelles exceptionnelles, leur contribution à l’humanité et leur engagement envers les valeurs juives. […]
Le président israélien Isaac Herzog remettra le Prix Genesis au Dr Bourla lors d’une cérémonie à Jérusalem prévue le 29 juin.
Conformément à la tradition établie par le premier lauréat Michael Bloomberg, tous les lauréats du Prix Genesis ont choisi de renoncer à la récompense monétaire pour des causes philanthropiques. Le Dr Bourla a demandé à la Fondation du prix Genesis d’attribuer son Prix d’un million de dollars à des projets visant à préserver la mémoire des victimes de l’Holocauste, avec un accent particulier sur la tragédie subie par la communauté juive grecque. […] »
« Une polémique au sujet du secret de confession vient de faire ces dernières semaines les choux gras des médias. Qu’a-t-on reproché à Mgr de Moulin-Beaufort[1] ? D’avoir affirmé sur le plateau de Franceinfo que « le secret de confession était plus fort que les lois de la République »[2], ce qui est une évidence si l’on a l’humilité et le bon sens de reconnaître que la République française n’est pas Dieu et que ce régime gouvernant la France, apparu il y a un peu plus de deux siècles dans les circonstances que l’on sait, doit comme toute œuvre humaine respecter et prendre en compte des lois divines qui la dépassent [3]. Tel n’est pourtant pas l’avis du gouvernement, puisque par la bouche de son porte-parole M. Gabriel Attal, celui-ci a enfoncé le clou en affirmant qu’ « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République. » [4] Rien de plus fort, vraiment ? On peut en douter tant il est vrai que l’on n’a jamais vu la République oser s’attaquer à un certain type de secret : celui de la franc-maçonnerie. Cette secte tant de fois condamnée par les papes paraît pourtant être l’une des plus pernicieuses au bien de la société toute entière…
Emmanuel Macron, président rothschildien de leur République, n’est pas discret quant à son goût pour l’ésotérisme (voir ici ou là).
Il est donc parfaitement légitime – alors que les gros médias se moquent ici encore grossièrement des « complotistes », sans rien expliquer – de relever le symbole que Macron a exhibé sur un maillot, lors d’une video de propagande pour son « Pass sanitaire » auprès des jeunes .
La chouette (ou le hibou, secondairement) est un symbole prisé de certains groupes ou cénacles occultes, sinon occultistes.
C’est par exemple l’emblème du « Bohemian Club », organisation américaine regroupant des hommes parmi les plus puissants du pays. Officiellement, c’est pour qu’ils puissent se détendre dans un cadre sécurisé, à l’abri des yeux indiscrets, et discuter tranquillement pendant l’été.
Mais ils sont de drôles de façons de se détendre, avec par exemple une cérémonie devant un hibou géant :
Bref, Macron – qui soigne méticuleusement sa communication – a bien sûr choisi ce maillot pour faire passer un message. Reste à savoir lequel ; une chose est sûre : les gros médias ne nous y aideront pas.
Le général Delawarde, l’un des signataires de la fameuse « tribune des généraux », était invité dans l’émission « Morandini Live ».
Il est pris à partie par un certain Claude Posternak, « historien », « économiste », « publicitaire » (oui, tout ça et sûrement d’autres titres encore!), et surtout militant communautariste juif (comme le montre son compte twitter, obsessionnel), qui semble atteint de frénésie, sinon d’hystérie.
Celui-ci exige – avec le renfort des autres intervenants – que l’invité dise qui est, selon lui, « derrière la meute médiatique ». Bref, qui dominerait les médias.
Ces gens intiment à leur invité l’ordre de répondre.
Et, une fois qu’ils ont la réponse, la réponse qu’ils espéraient (le général dit sobrement « la communauté que vous connaissez bien »), c’est la crise de nerfs sur le plateau.
L’animateur interrompt brutalement l’entretien.
Ce général a répondu avec franchise, et courage (ou naïveté, ou inconscience, c’est selon). Comme le font les gens normaux, entre eux, au bistrot ou ailleurs.
Mais dans les médias, c’est autre chose.
On notera la perfidie, la méchanceté, l’hypocrisie de ces intervieweurs-procureurs.
Bon courage à ce général, qui va avoir des soucis, au « pays des droits de l’homme » et de « la liberté d’expression » (humour).
Quant à la question posée, nous nous garderons de répondre nous-même.
Personne ne domine rien, dans aucun domaine. Voilà.
Ah, si, les salauds de Blancs.
« Principal vecteur de cooptation de l’État profond américain en France, le programme Young Leaders de la French-American Foundation a sélectionné, pour sa promotion 2020- 2021, Razika Abchiche, directrice au sein du département fusions et acquisitions chez Lazard Frères à Paris et à New-York, Sophie Adenot, lieutenant-colonel de l’Armée de l ‘air (présente au titre de la Direction générale de l’armement), Jean-Noël Barrot, député de la 2e circonscription des Yvelines, secrétaire général du MoDem et vice-président du Mouvement Européen-France , Geoffrey Bouquot, directeur de la stratégie d’entreprise et des relations extérieures chez Valeo, ancien collaborateur de Jean-Yves Le Drian au ministère de la Défense, Marina Chiche, violoniste ayant repris la case de Frédéric Lodéon sur France Musique, Florian Delmas , PDG du groupe Andros, Pierre Dubuc, PDG d’OpenClassrooms (dans le secteur subventionné du e-learning), Stéphane Honig, directeur de la stratégie chez Natixis, Perrine Montel, capitaine à la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris et Élodie Vandenhende, fille de la speakerine Denise Fabre, filleule de Michel Drucker, avocate aux barreaux de Paris et de New-York, conseillère spéciale du président de l’Autorité de la concurrence, membre du groupe de travail gouvernemental sur la régulation des plateformes numériques au niveau européen, ancienne collaboratrice de Christine Lagarde et de François Baroin à Bercy après avoir été, en 2008, conseillère au secrétariat général de la présidence française de l’Union européenne au titre du cabinet d’avocats d’affaires américain Orrick. »