Bonne nouvelle : le torchon communiste « La Marseillaise » placé en redressement judiciaire

Toute la presse cryptocommuniste, bobo bien-pensante et « progressiste » souffre du manque de lecteurs. Lorsque les subventions ne suffisent plus à renflouer les caisses, c’est la fermeture. Le quotidien La Marseillaise, distribué dans le sud-est de la France, pourrait bientôt cesser de diffuser ses analyses communistes.

La Marseillaise a obtenu son placement en redressement judiciaire, devant le tribunal de commerce de Marseille, lundi 28 novembre. Le quotidien régional bénéficiera d’une période d’observation de six mois, selon son président délégué.

Ce journal septuagénaire, fondé pendant la Résistance et proche des communistes, avait déjà connu de graves difficultés avec un premier redressement judiciaire, en novembre 2014. En avril 2015, il avait été racheté par les éditions des Fédérés, dirigées par le secrétaire départemental du Parti communiste.

La double vie de Fidel Castro révélée par son garde du corps

mediaCastro était un chef communiste typique : ascète et austère en public, mais vivant secrètement comme un nabab.
Ce qu’en raconte celui qui fut 17 ans son garde du corps, nous fait penser à la villa turque de Trotski récemment mise en vente.

«  Après avoir vécu dix-sept ans dans l’intimité de Fidel Castro, son garde du corps personnel, Juan Reinaldo Sánchez publie La vie cachée de Fidel Castro, un portrait du Lider máximo qui met à mal la légende du combattant frugal.

Il y décrit le maître de Cuba en amateur de pêche sous-marine, ayant une île à son usage exclusif comme maison de campagne. La légende castriste en sort bien bousculée.

S’il n’y a pas de héros pour son valet de chambre, il n’y en a pas davantage pour son garde du corps. Le lieutenant-colonel Juan Reinaldo Sánchez le démontre largement dans La vie cachée de Fidel Castro, le récit coécrit avec Axel Gyldèn, des dix-sept années qu’il a passées au service rapproché du maître de Cuba. De 1977 à 1994, ce militaire a vécu tout près de Fidel au point de percer la plupart des secrets de celui qui se voulait un révolutionnaire exemplaire vivant de peu et consacrant son énergie à son pays. Alors que le magazine Forbes lui attribue en 2006 une fortune de 900 millions de dollars, lui affirme se contenter de 40 dollars par mois, le montant de son salaire. »

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Etats-Unis : des ouvriers portent des couches parce qu’ils n’ont pas le temps d’aller aux toilettes

Aux Etats-Unis, certains employés du secteur volailler disent n'avoir pas l'autorisation de prendre suffisamment de pauses-pipi, selon des témoignages anonymes recueillis par l'ONG Oxfam.En raison du manque d’ouvriers « flottants », capables de remplacer leurs collègues pendant des absences, les cadres interdiraient parfois aux employés de prendre une pause. L’ONG Oxfam a rassemblé plusieurs témoignages anonymes.

« Les cadences sont telles qu’il leur est parfois difficile de prendre une pause pipi. Aux Etats-Unis, certains employés du secteur volailler ont donc choisi de porter des couches au travail, selon des témoignages anonymes recueillis par l’ONG Oxfam. « La grande majorité » des 250 000 ouvriers « dit ne pas bénéficier de pauses-toilettes adéquates », en « claire violation des lois américaines de sécurité au travail », indique l’étude (PDF en anglais).

Un ouvrier, par exemple, évoque l’expérience de sa mère, qui porte des couches au travail, après avoir été contrainte d’uriner dans ses vêtements. Au Texas, une femme assure que plusieurs collègues de son usine font de même. Mêmes difficultés pour Dolores, ancienne employée dans l’Arkansas, dont les demandes de pause ont été rejetées « de nombreuses fois ». Après avoir essayé de porter une serviette hygiénique, elle a finalement opté pour des couches. « Moi et beaucoup d’autres, nous devions porter des Pampers. »

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Un ancien Commissaire européen rejoint le Conseil d’administration d’ArcelorMittal

Afficher l'image d'origineL’ancien Commissaire européen au Commerce et ancien ministre belge des Affaires étrangères, Karel de Gucht, a été élu mercredi au conseil d’administration du géant multinational de la sidérurgie ArcelorMittal lors de l’assemblée générale annuelle du groupe, a annoncé ce dernier dans un communiqué.

De Gucht, 62 ans, a été commissaire européen au Commerce dans la deuxième Commission présidée par José Manuel Barroso (2010-2014), après avoir été commissaire européen au Développement et à l’Aide humanitaire dans la première Commission Barroso (2009-2010).

Cela manifeste bien les relations douteuses qu’entretiennent les multinationales avec les pouvoirs politiques, à leur plus haut niveau…

TAFTA : des révélations fracassantes

Afficher l'image d'originede Gabriel Robin, sur Boulevard Voltaire :

« Négocié très discrètement depuis plus de trois ans, l’accord est une priorité de Barack Obama et de l’Union européenne, qui font tout pour le ratifier au plus vite.

Le halo de mystère entourant les tractations semble désormais s’expliquer. En effet, Greenpeace Netherlands (Pays-Bas) a publié 248 pages de documents confidentiels (lisibles ici, en anglais – NDCI) démontrant clairement le danger que fait peser cette nouvelle usine à gaz mondialiste sur les peuples européens. L’Union européenne et les États-Unis entendent créer un marché unique euro-américain au service des entreprises transnationales, sans même prendre la peine de faire voter leurs populations devenues simples spectatrices de leurs existences respectives. Heureusement, il est de plus en plus difficile de cacher longtemps des secrets dans le monde contemporain, grâce aux nouveaux moyens de communication, à la culture de la transparence et aux lanceurs d’alerte.

Selon Greenpeace, le « traité mettrait les intérêts des grandes entreprises au centre du processus de décision politique et législatif, au détriment des enjeux environnementaux ou de santé publique ». TAFTA est une étape supplémentaire vers la désintégration de la souveraineté politique des nations. […]

Outre cette observation qui ne fait que confirmer ce que nous savons déjà, les documents révélés par Greenpeace font état de la faiblesse du Vieux Continent face aux États-Unis.

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Coca-Cola aurait dépensé 7 millions pour tromper les Français, en arrosant des associations et organismes

Afficher l'image d'origineSelon l’ONG Foodwatch, qui parle de « stratégie de désinformation », l’entreprise  Coca‑Cola aurait déboursé pas moins de 6,7 millions d’euros (hors taxes) sous forme de subventions et d’aides à des projets ou des organismes afin de promouvoir auprès des Français ses produits prétendument allégés tels que le Coca‑Cola « light » et le Coca « zéro ».

Quelles sont les personnes ciblées par Coca‑Cola, bénéficiaires de ce système de corruption par la subvention ? Il s’agirait, selon l’ONG, de médecins, de nutritionnistes et d’associations. Ceux‑ci auraient déclaré sans vergogne que ces boissons édulcorées étaient plutôt bénéfiques pour la santé. Or, ces boissons où le sucre est remplacé totalement ou partie par des édulcorants contribueraient très fortement à l’augmentation des taux d’obésité, de surpoids et de diabète dans la population française, comme le prouvait un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire des aliments.

L’impact de ces révélations est‑il si important ? Les personnes bien informées ne seront pas surprises de voir confirmés les méfaits d’une boisson aussi artificielle et remplie d’additifs chimiques. En revanche, savoir que l’entreprise consacre des sommes si importantes à des opérations de communication mensongères amène à se poser de sérieuses questions sur la capacité de nuisance d’entreprises supranationales, dont le seul centre d’intérêt est le profit désordonné.

Or « de Paris à Lyon, de Lille à Chambéry en passant par Poitiers ou Givors, écrit Foodwatch, des médecins, scientifiques et des organismes – parfois sous tutelle publique – ont été généreusement financés par Coca-Cola France depuis 2010. Des sommes conséquentes souvent employées par les destinataires à plaider la cause des édulcorants au sein de congrès ou dans des publications scientifiques. »

Par exemple :
Fédération française des diabétiques : 268.552 € au moins
Institut Européen d’Expertise en Physiologie (IEEP) : 719.200 €
Centre National pour le Développement du Sport (CNDS) : 1.118.926 €
Association française des diététiciens nutritionnistes : 117.764 €
CreaBio : 653.798 €
International Prevention Research Institute, IPRI : 690.000 €
Centre de recherche pour l’Etude et l’Observation des Conditions de vie (CREDOC) : 85.000 €

La liste des « aides » versées par Coca-Cola est disponible ici.

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