MAJ : selon P.E Blanrue, ce serait l’actionnaire actionnaire américain General Motors, lui même tenu par United Against Nuclear War Iran (groupe ultrasioniste dont la présidente est la bushiste Kristen Silverberg et l’un des conseillers d’administration, Meir Dagan, directeur du Mossad de 2002 à 2010, etc.) qui aurait forcé le groupe PSA à abandonner le marché (prometteur) iranien.
pour des raisons politiques, alors que ses ventes se sont effondrées et que le groupe licencie à tour de bras. 450 000 véhicules étaient vendus par an dans ce pays qui échappe au contrôle des mondialistes.
Aux sources de la colère des mineurs, il y a la décision du gouvernement de réduire drastiquement les aides au secteur de 300 millions d’euros à 100 millions seulement cette année. Selon les syndicats, 30 000 emplois directs et indirects seraient menacés.
« C’est une grande injustice, je crois qu’il est important en ce moment d’aider les travailleurs plutôt que de verser des aides aux banquiers comme ils le font. » déclare un mineur.
La bourse, dont on justifiait l’existence par le fait qu’elle inondait l’économie de liquidités et donc servait à quelque chose, présente quelle utilité aujourd’hui ? Le cabinet Dealogic vient de publier des statistiques éclairantes. Si, en 1998, les entreprises françaises se finançaient pour 43% au moyen du marché financier, ce ratio n’était plus de que 6,2 % au premier semestre 2012.
Ces dernières années, seuls les crédits fournis par les banques ont assuré le financement des entreprises françaises. Mais là encore, les statistiques sont implacables : « Entre 2008 et 2009, la part des banques dans le financement des entreprises françaises est passée de 61% à 22% ». Comme les banques doivent resserrer les boulons avec les réglementations de Bâle III, le décor a peu de chance de changer… Et pourtant, la grande majorité des petites et moyennes entreprises a besoin des banques puisqu’elles assurent plus de 90% de leur financement.
Le Conseil Consultatif du gouvernement fédéral allemand a publié vendredi son avis sans prendre des gants et en oubliant la langue de bois. « L’Union monétaire Européenne fait face à une crise systémique, qui menace la survie de la monnaie commune et la stabilité économique de l’Allemagne… » « Les conditions qui sont prévues pour une attribution directe d’une subvention du Mécanisme Européen de Stabilité (MES) pour les banques ne seront pas atteints dans un avenir prévisible… » « La solution de la crise aiguë ne doit pas conduire à une introduction hâtive d’une union bancaire. »
La Finlande préfère se préparer à sortir de l’euro plutôt qu’à payer les dettes des autres pays de la zone euro, affirme la ministre des Finances Jutta Urpilainen, vendredi dans le quotidien financier Kauppalehti.
Nous voulons résoudre la crise, mais pas à n’importe quelles condition : «La Finlande est engagée à être un membre de la zone euro et nous estimons que l’euro est bénéfique pour la Finlande. Toutefois, la Finlande ne s’accrochera pas à l’euro à n’importe quel prix et nous sommes prêts à tous les scénarios, y compris à abandonner la monnaie unique européenne», «La responsabilité collective pour les dettes et les risques d’autres pays n’est pas ce à quoi nous devons nous préparer» déclare-t-elle.
Peter Sutherland dirige le Forum global sur les migrations et la développement, qui rassemble des représentants de 160 nations pour partager des idées politiques. Il est aussi le président non exécutif de Goldman Sachs International et ancien président du géant prétrolier BP,
Interrogé en Grande-Bretagne par le sous-comité de la chambre des Lords pour les affaires de l’UE, qui enquête sur les migrations dans le monde, il a prétendu à ses pairs que la prospérité de beaucoup d’Etats européens dépendait de leur capacité à devenir multiculturels..
Il a déclaré à la Chambre des Lords que l’immigration était une « dynamique cruciale pour la croissance économique » dans certains pays de l’UE « et qu’il était cependant difficile de l’expliquer aux habitants de ces Etats ».
Une population native vieillissante et déclinante dans des pays comme l’Allemagne ou ceux du sud de l’UE est « le principal argument pour le développement d’Etats multiculturels, et j’hésite à utiliser ce mot car des gens l’ont attaqué ».
« Il est impossible de considérer que le degré d’homogénéité sous-entendu par d’autres personnes peut survive car les Etats doivent devenir des Etats plus ouverts, au regard des personnes qui y habitent. Tout comme le Royaume-Uni l’a montré.»
Pointant du doigt les sociétés européennes « qui nourrissent toujours un sens de l’homogénéité et de la différence par rapport aux autres », il a précisé : « et c’est précisément ce que l’Union européenne devrait saper de son mieux ».
Moody’s a abaissé hier soir les notes de crédit de 15 des principales banques mondiales, parmi lesquelles trois françaises, BNP Paribas, Société Générale et Crédit agricole.
“Toutes les banques concernées par la décision d’aujourd’hui ont une exposition significative à la volatilité et aux risques de pertes considérables induites par les activités sur les marchés de capitaux“, a expliqué dans un communiqué Greg Bauer, directeur général de la division Global Banking de Moody’s.
La note de BNP Paribas a été abaissée de deux crans à A2 contre Aa3, celle de la Société Générale d’un cran à A2 contre A1, avec, dans les deux cas une perspective stable. Quant à Crédit agricole, sa note a été abaissée de deux crans à A2 contre Aa3, mais la perspective, dans son cas, est négative.
LE SCANDALE DES PATRONS INCOMPETENTS ET S U R P A Y E S
Rémunération de Pierre Mariani, Président du comité de direction de Dexia.
Dès 1892, le travail de nuit des femmes était interdit en France.
En 1999, Bruxelles condamne notre pays pour cette entorse à la prétendue « égalité des sexes », pilier du féminisme institutionnel.
Cette condamnation est bien accueillie par E. Guigou (photo), Garde des Sots du gouvernement Jospin (PS).
Et en 2002 elle liquide la protection nocturne des femmes.
Hier (19/6/12), l’agence cancer de l’OMS annonce que le travail de nuit augmente le risque de cancer du sein de 30 % en moyenne, parfois de 40 ou même 60 %.
Selon Reuters : Des responsables de l’Union européenne ont indiqué hier à Reuters que plusieurs hypothèses étaient sur la table (NDLR : pour éviter la déconfiture de certaines banques). Parmi elles, la solution extrême qui consisterait à imposer, au moins en Grèce, des contrôles aux frontières. Les discussions ont porté sur la possibilité de suspendre les accords de Schengen, qui organisent la libre circulation et les contrôles aux frontières dans la majorité des 27 pays de l’UE.
90 millions d’euros sortis des banques françaises
Autre solution d’urgence: le plafonnement des retraits aux distributeurs de billets et des contrôles sur les mouvements de capitaux, «au moins en Grèce». Les retraits massifs se multiplient en Europe, alors que les épargnants s’inquiètent pour leurs économies. D’après les données compilées par Reuters auprès de 120 banques cotées européennes l’an dernier, plus de 120 milliards d’euros ont été sortis de deux banques en Belgique, dont Dexia, en cours de démantèlement. Les banques françaises les plus exposées à la Grèce ont enregistré des retraits de dépôts de 90 millions d’euros, dont 30 millions pour chacune des banques BNP Paribas et Crédit agricole. Trente milliards d’euros ont quitté les coffres des banques italiennes.
Les taux d’intérêt espagnols viennent d’atteindre un nouveau sommet, supérieur à 6% tandis que les taux allemands sont au plancher. Dans le même temps on évoque un besoin urgent de 60 milliards d’euros pour recapitaliser les banques espagnoles. Au fil des jours, l’Espagne se rapproche du scénario grec et tend à voler la vedette au Portugal. Si cela se confirme, le système bancaire français se retrouvera plus rapidement fragilisé parce que les banques françaises sont les plus engagées en Espagne après les banques allemandes. En effet, selon les informations présentées par la BRI (Banque des règlements internationaux) les banques françaises sont exposées à hauteur de 132 milliards d’euros. C’est autre chose que les quelques 45 milliards d’euros d’engagements sur la Grèce ! Pas étonnant que le Financial Times signale que le Crédit Agricole et la Société générale sont en danger.
D’ailleurs, N. Sarkozy n’aurait-il pas dégagé tous ses avoirs de la Société Générale du temps de sa superbe ?
Les analystes attendent et font des paris sur le délai à partir duquel les autorités politiques espagnoles sonneront l’appel de l’Union européenne et du FMI en renfort. Les financiers eurocrates de Bruxelles ne savent plus s’en sortir autrement que par le recours à des fonds et à des effets de levier. C’est ainsi que d’aucuns imaginent le soutien de la BEI (Banque Européenne d’Investissement) dont le capital augmenterait de 10 milliards d’euros, ce qui lui permettrait, en faisant appel à l’effet de levier, de prêter 60 milliards d’euros. Mais ce n’est qu’une piste parmi d’autres…
« Pour le chef de l’État, les « eurobonds » ou obligations européennes, c’est-à-dire la mutualisation de tout ou partie des dettes nationales, « font partie de la discussion », car c’est le seul moyen de rassurer définitivement les marchés en leur montrant que l’euro est bel et bien irréversible. Ce débat est devenu central depuis quelques jours avec la énième résurgence de la crise grecque : au lieu d’accumuler des « plans de sauvetage » chaque fois trop tardifs et trop limités, l’idée d’effectuer ce saut majeur vers la fédéralisation de la zone euro est défendue par la Commission (qui a détaillé les différentes options dans un livre vert présenté en novembre dernier) et le Parlement européen et s’est imposée dans la plupart des capitales européennes. […] Le hic est que le gouvernement allemand campe, pour l’instant, sur une ligne dure, soutenue par les Pays-Bas et la Finlande : « les euro-obligations ne contribuent pas à relancer la croissance dans la zone euro », a lancé Angela Merkel à son arrivée. Mais le camp allemand est très loin d’être soudé. Outre l’opposition sociale-démocrate (SPD) et écologiste (Grün), plusieurs voix se sont élevées dans la majorité conservatrice pour que le sujet ne soit pas évacué […]. »
« Mais la première et fondamentale question n’est pas là. La question est que la mutualisation des dettes fait que l’Union européenne devient ispo facto une fédération, comme par exemple la République fédérale allemande. […] Mais avec la mutualisation de la dette, il ne s’agit plus d’une aide, il s’agit d’un pot commun : celui d’un unique Etat européen.