Aux États-Unis, les conservateurs montent au créneau contre la chaîne de cafés qui a décidé de gommer les symboles chrétiens de Noël sur ses gobelets. Donald Trump a même appelé au boycott et la vidéo d’un évangéliste devient virale.
L’Amérique conservatrice est remontée contre le nouveau design des gobelets Starbucks choisi pour Noël. À l’approche de la saison des fêtes, la chaîne de cafés a en effet décidé de changer ses décorations festives. Cette année, la firme américaine a gommé toutes références à la fête religieuse telles que les flocons de neige, les sapins ou les chants de Noël. Seul atout festif visible: les gobelets porteront la couleur rouge du père Noël.
Il n’en fallait pas plus pour irriter le camp chrétien conservateur. Selon eux, le choix de Starbucks illustrerait le triomphe du politiquement correct antichrétien. À leurs yeux, Noël est une fête chrétienne et l’Amérique progressiste en efface les symboles pour choyer les autres religions.
Le quotidien espagnolEl Mundo signale deux cas de sacrilèges commis par des musulmans : l’un dans une église de Malaga, l’autre contre un lieu de dévotion.
Le premier cas a été découvert le 1er novembre au soir par le curé de la chapelle du Carmel « Torre de Benagalbón » (commune de Rincón de la Victoria, Malaga). Le tabernacle a été forcé mais n’a pu être ouvert, des objets du culte et des images pieuses ont été abimés ou brisés. Les auteurs du sacrilège ont laissé peint à la peinture noire « Allah » à l’intérieur du lieu de culte. Une plainte a été déposée auprès de la Guardia Civil de Malaga.
La Cour administrative d’appel de Paris avait été saisie par la Fédération des libres penseurs de Seine-et-Marne, opposée depuis 2012 à la municipalité dans ce dossier. Cette association faisait appel d’une décision du tribunal administratif de Melun, qui avait donné son feu vert fin 2014 à l’installation de cette scène de la nativité.
Dans son arrêt, rendu le 8 octobre 2015 (voir ici), la Cour demande à la ville de Melun de verser 1.500 euros à la Fédération départementale des Libres penseurs, au titre des frais de justice. Elle estime qu »une crèche de Noël, dont l’objet est de représenter la naissance de Jésus, doit être regardée comme ayant le caractère d’un emblème religieux et non comme une simple décoration traditionnelle », heurtant ainsi le « principe de neutralité des services publics ».
Dominique Mathiot, le directeur de cabinet du maire (LR) de Melun, s’est dit « surpris » par la décision de la cour administrative et a indiqué à l’AFP que la mairie avait demandé à son avocat de faire appel devant le Conseil d’Etat.
La demande de dédommagement présentée par l’Église catholique de Terre Sainte à la suite de la destruction partielle de l’église de la multiplication des pains de Tabgha a été rejetée par l’autorité fiscale israélienne, rapporte l’agence vaticane Fides. Le sanctuaire, situé au bord du lac de Tibériade (Israël), avait été visé par un incendie criminel dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 juin.
Le fonctionnaire de l’autorité fiscale israélienne, Amir Cohen, aurait envoyé une lettre aux responsables de l’église de la Multiplication des pains, indiquant que le dommage provoqué par l’incendie ne fait pas partie de ceux pouvant être indemnisés par l’autorité fiscale israélienne.
La législation garantit en effet le dédommagement pour les seuls actes de violences causés par le conflit israélo-arabe. Le caractère terroriste de l’attaque contre le sanctuaire de Tabgha n’aurait ainsi pas été retenu par les bureaux chargés de verser le dédommagement.
Mieux vaut être musulman que chrétien d’Orient pour obtenir l’asile en France. Invités de Jean-Marie Le Méné sur Radio Courtoisie, Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie à l’université de Tours, et Marc Fromager, directeur de l’Aide à l’Eglise en détresse, lui ont expliqué pourquoi.
Les deux explications de Frédéric Pichon :
« Je me suis entretenu cet après-midi avec un haut fonctionnaire de la République qui travaille dans l’accueil des réfugiés et qui m’a dit très clairement, en me disant que je pouvais le répéter partout donc j’en profite pour le faire – qu’il y a des consignes gouvernementales pour noyer la question des chrétiens d’Orient. Il me dit : « Voilà, il y a des chrétiens syriens et irakiens qui attendent depuis huit mois un visa à Beyrouth ». Il m’explique : « Il faut savoir que l’ambassade de France à Beyrouth sous-traite l’instruction des dossiers de visas à une compagnie privée libanaise détenue par un musulman sunnite. » C’est un haut fonctionnaire, c’est quelqu’un de sérieux, c’est un préfet. Il me dit que maintenant, il conseillerait presque – mais je ne veux pas lancer ici un appel à émigrer pour les chrétiens – aux chrétiens d’émigrer sans demander de visas et de passer par la Turquie et de se cacher dans ce flot [de migrants] pour avoir des chances d’être accueillis. Parce qu’il y a des consignes, m’a-t-il dit, surtout pour les chrétiens syriens qui sont réputés être pro-régime.
En gros, la consigne, ça a été de dire : « Vous pouvez accueillir des Syriens, mais à condition qu’ils ne soient pas pro-régime. » Sous-entendu : si vous êtes alaouites ou chrétiens, vous êtes réputés être pro-régime, donc bizarrement, votre visa est instruit pendant huit mois à l’ambassade de France. »
C’est un sujet extrêmement important et pourtant très peu traité par la « réinfosphère ». De très nombreuses communes vont changer de nom d’ici quelques mois afin de fusionner avec les villages voisins. Les mairies se plient aux directives européennes afin de continuer à toucher les dotations de l’Etat… C’est donc l’argent qui pousse les communes à abandonner leurs histoires… Il est clair que ces fusions marquent la fin des petites communes avec des noms de saints…
Excellent reportage d’Armel Joubert des Ouches pour Reinformation.tv :
Communiqué de la Custodie de Terre Sainte : Au cours de l’après-midi du samedi 4 juillet, nous avons perdu contact avec le Père Dhiya Aziz, franciscain Irakien de la Custodie de Terre Sainte, curé à Yacoubieh de la province d’Idlib (district de Jisr al Chougour, Syrie).
Quelques militants d’une brigade armée inconnue, peut-être liée au Front Al-Nosra, l’ont emmené pour un bref entretien avec l’émir du lieu. Depuis lors, nous avons perdu sa trace et sommes dans l’incapacité de dire où il se trouve.
Nous faisons tout notre possible pour localiser le lieu de sa détention et obtenir sa libération.
Qui n’a pas déjà vu un joueur de football faire un signe de croix (Lionel Messi par exemple) ou une prière en entrant sur le terrain ou en célébrant un but ?
Cette image, François Baroin et l’Association des maires de France (AMF) [François Baroin est le président de l’AMF] aimeraient ne plus la voir. Tout du moins au niveau « des équipes nationales » françaises.
Dans une série de recommandations sur la laïcité, rendues publiques mercredi 24 juin, l’AMF réclame ainsi « une exemplarité sans faille des équipes nationales » car « quand on représente la France, on représente la République ». Dans le viseur de l’association donc, les joueurs de football principalement.
Le vice-président de l’AMF, Patrick Molinoz, évoque ainsi l’hypothèse d’un footballeur « qui se signerait sur le terrain » […]
Une très intéressante analyse publiée par Réinformation.tv sur la récente décision de la Cour suprême des Etats-Unis qui a imposé à tous les états américains la légalisation du « mariage » homosexuel. Le texte est long mais les tenants et les aboutissants de cette décision sont si graves qu’il convient de prendre le temps de le lire…
La communauté « gay » des Etats-Unis est folle de joie après la décision de 5 juges sur 9 de la Cour suprême d’imposer à tous les Etats de l’Union d’autoriser le « mariage » des couples de même sexe. C’est la pleine saison de la Gay Pride dans le monde entier. Le lobby LGBT exulte. Il a raison, écrit le juge John Roberts dans son opinion dissidente. « Si vous faites partie des nombreux Américains – quelle que soit leur orientation sexuelle – qui sont en faveur de l’extension du mariage de même sexe, n’hésitez pas à célébrer la décision de ce jour. Célébrez le fait que vous avez atteints un but désiré. Célébrez la possibilité d’exprimer d’une nouvelle façon l’engagement envers un partenaire. Célébrez la possibilité d’obtenir de nouveaux avantages. Mais ne célébrez pas la Constitution. Elle n’est pour rien dans cette affaire ». En revanche, l’objectif profond, ou à tout le moins l’effet de la décision, est évident : la décision Obergefell v. Hodges contredit toutes les convictions religieuses traditionnelles et ouvre la voie à la persécution religieuse.
Le juge Antonin Scalia a qualifié la décision de « putsch judiciaire ». Cinq juges ont confisqué le pouvoir, contredit la volonté du peuple, passé par pertes et profits des référendums défavorables au « mariage » des couples de même sexe, renversé la propre jurisprudence de leur Cour qui est simplement chargée d’interpréter la Constitution et non de créer le droit, pour imposer leur point de vue subjectif. Intolérable confiscation du pouvoir ; ce « gouvernement des juges » se constate partout dans les prétendus « Etats de droit » où des magistrats non élus deviennent « législateurs suprêmes » par leur propre volonté, et surtout celle de l’établissement qui pourrait les arrêter d’un mot mais trouve là un moyen puissant pour contourner la volonté du peuple et la démocratie.
Le maire du Lavandou, dans un grand élan de courage, a pris la décision de suspendre la messe dominicale en plein air l’été, tradition vieille de 20 ans, pour ne pas « attiser les critiques » ou « exposer les paroissiens au geste d’un déséquilibré », mot courant pour désigné un islamiste.
Faut-il donc rappeler à ce maire les processions qu’osent faire les chrétiens d’Orient dans leurs pays en guerre ? Ces derniers ont au moins la présence d’esprit de se souvenir que c’est là que se trouve leur force, et que « fuir signifie les laisser gagner ». Si l’on commence à annuler les processions et messes par peur des islamistes, autant leur laisser les rennes du pays directement !
Si vous refusez de vous cacher « pour ne pas choquer », il est évidemment possible d’écrire au maire : mairiedulavandou@gmail.com.
Le Talmud est le livre central du judaïsme moderne (c’est-à-dire celui qui s’est construit après la venue du Christ).
C’est probablement le livre le plus haineux et le plus raciste qui ait jamais été écrit dans l’histoire de l’humanité.
Tout y est permis à l’encontre des goyim (« non-juifs », en hébreu, au singulier goy) qui sont abaissés au rang de bêtes.
Le Christ y est insulté et son nom blasphémé des façons les plus ignobles et la Très Sainte Vierge qualifiée de prostituée.
Quand les sociétés chrétiennes découvrirent un jour avec effroi le contenu de ce livre (notamment grâce à des juifs convertis), au Moyen-Age, il fut interdit, brûlé (en particulier sous Saint Louis), etc.
Des versions expurgées furent alors éditées par les rabbins, pour le « grand public ». Ce sont encore celles qu’on peut trouver derrière des vitrines de magasins.
Voici un recueil de quelques sentences de la version originale :
Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un goy.
Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés “hommes”, pas les goyim.
Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts, comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympathie pour le juif qui les emploie.
« L’église de la Multiplication des pains et des poissons, lieu de pèlerinage et site touristique, a été sérieusement endommagée jeudi par un incendie qui aurait été provoqué par des extrémistes juifs.
Le feu s’est déclaré à minuit et a provoqué de vastes destructions à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment, construit sur les vestiges d’une église du IVème siècle au bord du lac de Tibériade, a fait savoir le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld. Un moine et un volontaire ont été hospitalisés suite à l’inhalation de fumée.
La boutique de souvenirs, l’office pour les pèlerins et la salle de réunion ont été le plus endommagés, alors que les bibles et livres de prières ont été détruits par le feu. Cependant, la zone de prière de l’église est resté intacte, a fait savoir le père de l’église Matthias Karl.
Sur le mur de l’église a été peint le passage d’une prière juive qui appelait à «bannir les faux dieux». (…)
Ces dernières années, les mosquées et les églises ont souvent été visées par des attaques similaires, qui sont la plupart du temps attribuées à des extrémistes juifs des colonies israéliennes de Cisjordanie. L’année dernière, un groupe de jeunes israéliens a attaqué la zone de prière de cette même église de la Multiplication en plein air le long du lac de Tibériade, en jetant des pierres vers les croyants. Les attaquants ont également détruit une croix et jeté des bancs dans le lac. »
L’antique cité chrétienne de Maaloula, au nord de Damas, a célébré samedi l’installation d’une nouvelle statue de la Vierge Marie, qui remplace celle qui avait été détruite par les djihadistes en 2013. Des dizaines de familles se sont rassemblées aux côtés de responsables civils, militaires et religieux sur la principale place de la ville pour célébrer l’installation de cette nouvelle statue de la Sainte Vierge, qui domine à nouveau le village.
« La statue est un symbole de protection pour moi », a affirmé Samya, une pharmacienne du village avant d’insister : « Maaloula est revenu à la normale avec le retour de la statue ».
Située à 55 km au nord de Damas, Maaloula doit sa renommée à ses églises, couvents mais également à ses refuges troglodytiques datant des premiers siècles du christianisme. La majorité de ses habitants chrétiens sont grecs-catholiques et parlent d’ailleurs encore l’araméen, la langue du Christ.
En avril 2014, l’armée syrienne et le Hezbollah avaient repris la ville aux jihadistes du Front al-Nosra qui s’en étaient emparés quatre mois plus tôt et les 5.000 habitants avaient alors pu commencer à revenir dans le village très endommagé par les combats.
L’armée libanaise a par ailleurs indiqué avoir réussi à saisir à Ersal, au Liban, trois cloches et une grande quantité d’icônes, de croix et de rares manuscrits religieux que les djihadistes avaient volé à Maaloula.
Le patriarche Syriaque d’Antioche et de tout l’Orient était à Toulon le 2 juin, à la rencontre des réfugiés chrétiens Irakiens, Syriens et Libanais… L’occasion pour lui de dénoncer le comportement occidental dans sa région dans un entretien accordé à Var Matin. Un nouveau cri d’alarme sur la situation des chrétiens en Syrie.
Quelle est aujourd’hui la situation des Chrétiens en Syrie ?
La situation est dramatique. Ce n’est pas seulement de l’inquiétude, nous sommes dévastés par ce qui arrive. Il ne s’agit plus de savoir comment on pourrait améliorer nos conditions de vie, mais d’une lutte pour notre survie. On peut parler d’hécatombe, avec la complicité des Occidentaux, qui se disent pourtant défenseurs de la démocratie et des droits de l’homme.
Depuis quelques jours, un nouveau jeu se répand comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, spécialement parmi les collégiens et lycéens. Le défi s’appelle le « Charlie challenge » et consiste à évoquer un « Charlie » qui n’a rien à voir avec le « nôtre » mais qui est un esprit d’abord invoqué au Mexique.
Les règles sont simples : il suffit d’écrire « oui » et « non » sur un morceau de papier, de croiser deux crayons sur la feuille, d’invoquer l’esprit Charlie et de lui poser des questions.
Ce dernier est supposé bouger les crayons pour donner la réponse.
Le jeu semble innocent mais les crayons bougent effectivement quand l’esprit « répond ».
Si le jeu s’est répandu sur toute la planète en peu de temps, c’est en raison de sa simplicité. Des vidéos circulent et expliquent dans toutes les langues ses règles bien particulières.
C’est la raison pour laquelle l’exorciste espagnol bien connu Jose Antonio Fortea a mis en garde les parents contre ce défi qui pose de sérieux risques spirituels, parmi lesquels la possession démoniaque. Il prévient : ce n’est pas un jeu innocent puisqu’il entraîne la pratique occulte de « l’invocation d’esprits », et que « certains de ceux qui jouent seront ensuite tourmentés par les esprits ».