Un religieux tabassé par la racaille dans l’indifférence générale

Lundi soir, vers 20 heures à Avignon, le père Grégoire de la communauté de Saint-Jean a été agressé « en pleine rue, par quatre voyous d’origine nord-africaine. Tabassage en règle, fracture du nez, perte de connaissance, nuit à l’hôpital ». Le religieux, qui était en habit, a été trouvé inconscient sur le sol.

Aucun titre dans la presse. L’information laisse les médias indifférents. Leur attention se concentre ailleurs en effet : sur les actes dits « homophobes ». Une attention qui a des visées idéologiques puisqu’elle a pour but de disqualifier la mobilisation des opposants au « mariage » gay, avec lesquels les médias font systématiquement le lien. Monter en épingle des faits divers, leur associer des perspectives politiques ou sociétales, susciter une émotion, nourrir et favoriser ainsi l’amalgame… Bref, les médias français sont passés maîtres dans l’art d’ériger des lois générales à partir de  faits singuliers. On imagine déjà les centaines de milliers de familles qui ont défilé dans la rue, armées de battes de baseball pour faire la peau aux homos. Mais bien sûr…

En attendant, les journaleux sont bien peu émus de ce que les hommes d’Église se fassent tabasser par la racaille. S’il s’était agi d’un rabbin ou d’un imam tabassé par des crânes rasés, il est plus probable que cela eût séduit la presse. Mais il était blanc et catholique, il n’appartenait à aucune « minorité » (pas encore…), donc il lui restait le droit de fermer sa gueule…

L’athéisme politique grotesque de François Hollande

Le site internet de France 3 Haute-Normandie évoque l’inauguration du festival Normandie impressionniste, dimanche 28 avril à Rouen et suggère que le président de la République, François Hollande, aurait refusé de s’exprimer devant un tableau représentant une scène à caractère religieux : « Découvrant que François Hollande devait prononcer un discours devant une immense toile représentant une scène à caractère religieux, et devant l’impossibilité technique de déplacer ce tableau à la taille XXL, les autorités avaient demandé aux employés du musée de tendre une immense bâche bleue », peut-on y lire. Le tableau en question ? Le Martyre de sainte Agnès, de Joseph-Désiré Court.

En décembre dernier déjà, le président de la République avait fait décrocher un portrait de l’Abbé Pierre du mur d’un centre Emmaüs où il donnait une conférence de presse. L’Elysée avait alors invoqué « des raisons techniques » : le cadre aurait provoqué « un reflet gênant pour les caméras ». Peu crédible.

Le musée des Beaux-Arts de Rouen explique qu’il s’agit cependant d’un « dispositif normal » pour le président qui « parle toujours devant une grande toile bleue ». Sauf que François Hollande s’est déjà exprimé devant des décors plus chargés qu’un simple fond uni. Ainsi, le 12 mars dernier à Dijon,  il s’était exprimé devant l’imposante Etude pour les gloires de la Bourgogne, d’Henri-Léopold Lévy, laquelle orne la salle des Etats de l’Hôtel de Ville. Vraiment pas crédible.

Décidément, il semble que la République ne reconnaisse absolument rien au dessus d’elle. Le Bon Dieu est sans doute un concurrent trop sérieux pour elle qu’elle se sente en danger chaque fois qu’une trace ou un témoignage de notre Histoire lui rappelle la Foi du peuple français ! Concurrence insupportable que celle d’une religion qui a façonné l’âme française, d’un Dieu qui a fait de la France sa fille aînée…malgré François Hollande, sans doute.

Les prostituées des Femen s’attaquent à un homme d’Eglise !

Quatre militantes de Femen ont fait irruption, seins nus, dans une conférence qui réunissait jeudi soir à Ixelles, André Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, et Guy Haarscher, professeur honoraire à l’ULB, autour du thème « Blasphème : offense ou liberté de s’exprimer ».

Les quatre militantes de Femen, qui se trouvaient dans le public venu assister à la conférence, ont mené leur action peu après le début des débats, aux cris de « Léonard y’en a marre », « Stop Homophobia » ou encore « God saves the gouines ». Monseigneur Léonard a été aspergé de jets d’« eau bénite » contenue dans des sprays en forme de Vierge Marie.

L’action fut de courte durée et les quatre militantes ont été évacuées de l’auditoire avant que le service de sécurité de l’ULB n’ait le temps d’intervenir. Mais l‘archevêque André Léonard a pris la chose avec calme et sérénité, priant durant l’assaut et embrassant ensuite, quand le calme fut revenu, les statues de plastique représentant Marie qui contenait l’ « eau bénite ».

Voilà donc, et la photo est très révélatrice, les défenseurs de la cause féminine ! Seins nues, violentes, elle renvoient de la femme une image dégradée, une image avilissante qui ne fait pas honneur aux vraies femmes, évidemment étrangère à la vulgarité dans laquelle sombrent en permanence les Femen.

La question est désormais la suivante : quelles sanctions encourent ces prostituées ? Manifestation non déclarée, violence en réunion, agression et atteinte aux personnes, atteinte à la pudeur… On a vu ces derniers jours la justice relativement expéditive, qui embarquait des jeunes pour beaucoup moins que ça…

Hier soir, vendredi, aux Invalides : clercs gazés et l’un d’eux embarqué

Après un moment en GAV. Le religieux de saint Nicolas a été relâché. Sur la photo les traces de son passage à tabac par les sbires de Manuel Valls.

Un lecteur de Contre-info raconte :
« Du gaz , de la matraque , des charges , des blessés, des [flics en] civils planqués dans la foule qui interviennent violemment sans mettre le brassard ; la routine des soirées aux invalides… nouveauté hier , après le départ du service d’ordre de « la manif gnan gnan », les chants et les slogans étaient lancés par les prêtres de St Nicolas ! l’un deux a été arrêté, et tout le public s’est solidarisé réclamant leur libération jusqu’après minuit »

« tout le monde a été gazé ! même les » veilleurs » ,un groupe de 500 personnes qui priait pacifiquement assis sur la pelouse ; une dizaine de jeunes ont été arrêté et les prêtres ont été arrêté et gazés quand ils ont voulu protéger une jeune fille matraquée à terre par des flics en civil ! »

Les clercs en question sont de Saint Nicolas du Chardonnet.
Arrivés à la fin de la manif officielle, ils ont animé le rassemblement qui s’en est suivi, jusqu’à ce que la police disperse tout le monde, plus ou moins violemment, comme d’habitude.

Dans la video visible ici, on voit un frère, de Saint Nicolas, se faire embarquer, puis frappé au sol par les flics.

Un spectacle qui a du réjouir Frigide Barjot, qui crache volontiers sur les « intégristes » et qui déclarait ces jours-ci, dans une bouffé délirante « Je demande à Manuel Valls, ministre de l’intérieur, que tous les groupuscules identitaires et nationaux soient préventivement mis hors d’état de nuire à notre mouvement. »

Des apostats encouragent une démarche de « débaptisation » !

A la faveur du débat sociétal concernant les « mariage » des homosexuels, les catholiques font entendre leurs voix pour rappeler les exigences de l’ordre naturel que l’homme ne peut pas enfreindre sans mettre en grand péril l’équilibre humain. Ce faisant, ils souhaitent rappeler les principes sur lesquels notre civilisation s’est bâtie, pénétrée des principes chrétiens. De quoi susciter évidemment l’indignation des révolutionnaires laïcards, pour qui la France est née en 1789 sur les cendres de la civilisation chrétienne.

Pour manifester leur indignation, ces chantres de la « table rase », qui ont déjà renié depuis longtemps les racines chrétiennes de leur pays, sont passés à l’étape suivante : ils renient désormais leurs propres racines spirituelles, en apostasiant. Ils ont entrepris pour cela une démarche de débaptisation !

Une démarche qui n’est pas nouvelle, mais qui refait surface ces derniers jours. « En 1996, de nombreux « catholiques-malgré-eux » ont décidé de se faire débaptiser, en réaction aux propos du pape Jean-Paul II : « France, qu’as-tu fait de ton baptême? » et pour montrer ainsi que les formules « identité chrétienne de la France » ou formules « France, fille aînée de l’église » sont sans fondement », expliquent les apostats sur leur site. L’objectif de cette démarche ?  « Rétablir la vérité en ne vous faisant plus recenser parmi les fidèles de l’Eglise et, accessoirement, de lui rappeler qu’elle n’est pas au-dessus des lois, notamment en matière de tenue de fichiers, même manuels, sur les individus. L’institution religieuse doit se plier aux lois humaines et faire comme toute entreprise, commerce, association« .

Il reste que le baptême marque l’âme de manière indélébile : nul ne peut donc effacer la grâce qu’il communique. L’homme étant libre, il peut cependant ne pas y être fidèle…

Un sénateur socialiste veut interdire l’expression publique du culte catholique en France !

[tribune libre de Jean de Rouen]

L’ancien bâtonnier de Mayotte, Thani Mohamed Soilihi, actuellement sénateur socialiste de Mayotte, a défendu hier le « mariage » homosexuel devant le Parlement. Et le socialiste de s’étonner, lors du débat au Sénat et alors que la discussion générale sur le projet de loi était engagée, d’avoir entendu des prières aux abords du Palais du Luxembourg.

Mohamed Soilihi a en effet déclaré : « Je m’étonne d’avoir entendu des membres de l’organisation Civitas prier devant l’entrée de notre assemblée, alors même que les prières de rue sont interdites depuis le 16 septembre 2011, au nom du principe de laïcité« . Concluant : « Cette interdiction ne saurait s’appliquer qu’aux musulmans de ce pays, au nom cette fois-ci du principe d’égalité« .

Nous voudrions donc rappeler quelques faits à monsieur le sénateur socialiste de Mayotte. D’une part, la laïcité consiste à distinguer les pouvoirs de nature différente, tels les pouvoirs temporel et spirituel. Et à cet endroit, la civilisation chrétienne n’a pas attendu monsieur le sénateur, puisque le Christ lui-même déclarait qu' »il fallait rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ». Distinction d’ailleurs ignorée des juifs et des musulmans dont les sociétés sont théocratiques. Distinguer les pouvoirs de nature différente, voilà donc ce que les catholiques n’ont jamais remis en cause, fidèles en cela au principe sur lequel s’est construite la civilisation chrétienne : que l’on sache, ils ne demandent pas que le droit canon ou que les Saintes Écritures se substituent au code civil ! Contrairement aux musulmans dont le texte sacré, le Coran, est une véritable juridiction temporelle…

Cela dit, distinguer la nature des différents pouvoirs ne signifie pas bannir toute expression publique du culte.
Continuer la lecture de « Un sénateur socialiste veut interdire l’expression publique du culte catholique en France ! »

Destruction de l’église saint Jacques d’Abbeville !

Depuis mardi dernier, 2 avril, l’église saint Jacques d’Abbeville, dans la Somme, est finalement détruite. Dans la vidéo qui suit, filmée mercredi, les ouvriers d’Apinor, la société en charge du chantier de déconstruction, attaquent la démolition de la façade est de l’édifice religieux, après avoir éventré l’ouest mardi. Toitures, vitraux et autres pierres sont ainsi tombées sous les assauts de la pelle mécanique.

Ce merveilleux joyau de notre patrimoine spirituel et culturel, ce témoin de notre histoire, trace d’une Foi qui a habité tout un peuple, est en train de disparaître avec ce qu’il reste, semble-t-il, de notre mémoire nationale et de nos racines chrétiennes. Derniers vestiges de ce que nous fûmes, d’un passé apparemment révolu dont le souvenir paraît s’estomper inexorablement avec le temps qui passe…

Et pendant que l’on détruit nos églises, on construit des mosquées, sous la pression d’une immigration massive, aujourd’hui de peuplement, demain de substitution…


Démolition de la façade est de l’église Saint… par courrier-picard

Le cinéma, levier de la cathophobie

Hier, mercredi 3 avril 2013, est sorti en Belgique, sur les écrans de cinéma, le film « Au Nom du Fils », dont voici le résumé communiqué au public : « Quand une femme de foi, animatrice d’une tribune sur une station de radio catholique, dévouée à sa famille et a la souffrance du monde, est confrontée à la pédophilie des prêtres et au suicide de son fils, la croyance fait place à la rage et à la violence. Quand le silence de l’Église crée le chaos et la désespérance de ses brebis… »

On l’aura compris, encore une attaque en règle contre l’Église, une véritable incitation à la haine contre le catholicisme. Une facilité bien convenue dans laquelle se complaît en permanence la petite caste des journaleux et autres artistes en mal d’inspiration.

Une campagne qui ne vise donc qu’à semer la haine dans les consciences. Ainsi qu’on a pu le lire sur les réseaux sociaux, « partout, toujours et de plus en plus, les médias nous parlent de la pédomanie des clercs, des silences du haut-clergé et en concluent à la perversité du catholicisme, à la nécessité du mariage des prêtres et à l’instauration d’une éducation laïque. Le pire, c’est qu’en faisant cela, ils se donnent bonne conscience, ils croient faire œuvre philanthropique (la charité, c’est devenu ringard) voire un acte de courage mais n’importe lequel de ces histrions se débinerait comme un péteux devant l’idée de faire le même genre de film qui concernerait la pédomanie des rabbins, des professeurs de la laïque (où les chiffres sont accablants) ou des imams (qui, comme les rabbins, ne sont que des professeurs non astreints au célibat) voire, pour les suicidaires, un film sur les sectes gnostiques et/ou satanistes qui pratiquent ce genre d’abominations en masse. Cette lâcheté du « monde du spectacle » devient quelque chose d’insupportable« .

Voici la bande-annonce du film. Nous vous avertissons qu’elle est violente. Mais elle met en lumière la nature de ce film que personne d’entre nous, bien évidemment, n’ira voir…

Un maire UMP contraint les enfants à manger des merguez hallal le Vendredi saint…

Stephan Rossignol, maire UMP de La Grande Motte (Hérault) et conseiller régional de Languedoc-Roussillon, a fait très fort pour ce Vendredi Saint !
Les enfants scolarisés dans les établissements publics de l’agglomération de L’Étang de l’Or (Hérault) avaient au menu un plat unique : du couscous merguez !
De la viande un Vendredi Saint… Quelle attention de la part de M. le maire… Enfin, je veux dire quelle attention pour les élèves musulmans puisque, selon toute vraisemblance, les merguez étaient en plus “hallal” ! (Source)

Stephan Rossignol serait franc-maçon que cela ne nous étonnerait pas.
[voir sur le même thème le banquet républicain de Blondel l’année dernière]

Metz : la messe est perturbée par l’extrême gauche

Samedi soir, la messe des Rameaux qui se déroulait à la cathédrale de Metz a été perturbée par une quinzaine de personnes. L’incident a commencé au début de la Messe, quand deux drapeaux ont été déployés « par une cohorte trublionne », selon le mot d’un paroissien, témoin de la scène. De quels drapeaux s’agissait-il ? L’un de la CNT, l’autre aux couleurs du Rainbow flag, emblématique du mouvement Lesbiennes, gays, bisexuels et trans (LGBT).

Matthieu Gatipon-Bachette, président de l’association Couleurs Gaies et gêné de cette histoire, a évoqué « une action menée par la CNT et des particuliers ». En un mot, les perturbateurs, et quoiqu’il y ait eu des membres de la LGBT, n’engageaient pas le mouvement. « Les responsables de notre association ne souhaitent pas être associés à cet événement. Nous avions été contactés par la CNT pour participer à cette action, qui ne nous paraissait pas pertinente. Nous avions refusé d’y prendre part », explique-t-il.

Quant à la CNT, elle assume son action : « Nous sommes allés à la cathédrale pour dénoncer les propos de l’Évêque de Metz et son appel à participer à la manifestation à Paris », a déclaré Fouad Harjane, représentant du mouvement.

Dans tous les cas, des activistes des deux mouvements d’extrême gauche étaient présents, avec les drapeaux respectifs de leurs deux mouvement. Et cette perturbation d’un office religieux est scandaleuse car elle touche à ce qu’il y a de plus sacré et de plus intime dans la personne humaine, sa dimension spirituelle. Maintenant, nous pouvons nous interroger à bon droit sur l’absence d’indignation de la classe politico-médiatique, quand la loi a été bafouée, et la liberté fondamentale de croire et de pratiquer le culte ainsi entravée par des groupuscule idéologistes et extrémistes, menaçant ainsi la sacro-sainte laïcité, dogme dont ces gardiens du temple se prétendent pourtant les dépositaires.

Si jamais des catholiques ou des nationalistes étaient entrés dans une mosquée pour perturber un office, soyez bien sûr que le ministre des cultes, Manuel Valls, n’aurait pas attendu plus longtemps pour étaler son indignation dans une presse aux ordre qui s’en serait faite le fidèle écho…

Quand France 2 fait la promotion des Femen

Communiqué de Civitas :

« Le PDG de France Télévision aux petits soins avec les FEMEN antichrétiennes

Alors que France 2 se prépare à diffuser ce mardi soir un film documentaire « militant » en faveur du mouvement FEMEN connu pour sa haine antichrétienne et ses actions violentes, voici une photo significative : Rémy Pflimlin, PDG de France Télévision, prenant la pose avec Caroline Fourest, « essayiste lesbienne », ainsi qu’avec la meneuse de cette milice cathophobe.

La même furie antichrétienne disposait d’une carte de presse pour mener son action à Milan contre Silvio Berlusconi.

Ne laissons pas faire ! Nous avons jusque ce mardi soir pour mettre France Télévision sous pression et réclamer la déprogrammation de cette émission de propagande en faveur des FEMEN !

CIVITAS appelle les chrétiens à se faire respecter et à exiger immédiatement auprès de la Direction de France 2 la déprogrammation de ce film banalisant la haine antichrétienne.

Par téléphone, par mail, par fax, organisons le siège de France 2 ! (avec politesse mais fermeté)

Pour envoyer un courrier électronique : http://www.francetelevisions.fr/contact/ecrire.php#

Pour téléphoner : 01.56.22.60.00 « 

Syrie : les américains aux côtés des islamistes…

Le gouvernement des États-Unis vient de décréter une nouvelle aide financière aux rebelles syriens. Le nouveau secrétaire d’État, John Kerry, vient d’annoncer en effet une aide financière complémentaire de 60 millions de $ pour soutenir une opposition désormais aux mains des milices islamistes : car ce sont plus de 60 000 djihadistes qui combattent sur le sol syrien !

Pendant ce temps là, la communauté chrétienne de Syrie, menacée et persécutés par les rebelles syriens, est désormais l’objet d’un « grand exil qui se déroule en silence », selon le mot d’un patriarche libanais. Les chrétiens sont présents sur le sol syrien depuis 2000 ans : actuellement deux millions, ils sont en train de fuir une terre devenue hostile, où les leurs sont martyrisés par les fanatiques musulmans. Ces chrétiens syriens affluent donc, par centaines chaque semaine, au Liban, terre voisine, qui accueille aujourd’hui plus de 920000 Syriens.

Ce sont aujourd’hui des villages entiers de chrétiens qui ont été vidés de leurs habitants. Les uns massacrés, les autres chassés par l’islam. D’autres encore qui fuient, anticipant la répression..

Il est amusant d’entendre certains nous expliquer que des « intégristes », il y en a dans toutes les religions… La rhétorique est commode pour éviter d’entrer dans le sujet. Faut-il conclure du discours de ces bien-pensants, qui ne veulent surtout pas « stigmatiser » une religion, que les fidèles de saint Nicolas du Chardonnay sont comparables aux kamikazes musulmans ? Car lorsqu’ils parlent des « intégristes » catholiques, en voulant les mettre sur le même plan que les « intégristes » musulmans, qui visent-ils exactement ?

Hyères : les pervers insultent la religion de leurs pères

Nouveau scandale à Hyères, dans le Var : un flyer assez singulier a été diffusé pour annoncer une soirée organisée hier dans la discothèque Le Pink. La religion, l’image du crucifix en fond d’affiche et le nom des organisateurs qui empruntent des appellations cléricales, est associée à une soirée où sont mêlés sexe, perversion et pornographie. Instrumentaliser ainsi la religion pour faire une publicité aussi malsaine, tourner en dérision la religion en plein carême, et à deux jours de la renonciation du pape, voilà qui suscite bien légitimement l’indignation des catholiques.

L’abbé Benoit Moradei, curé  d’Hyères, a réagi dans le journal Var matin, afin de faire entendre sa voix, entendant faire son « devoir de responsable de la communauté catholique d’Hyères« . Il résume lui-même la situation :  « Un crucifix en image de fond, les noms des organisateurs (Père Roman, DJ Père MattG et Père Djoche Lopez) annoncent une parodie – l’Eglise catholique est visée, ainsi que les prêtres. La veille du jour où Benoît XVI quitte sa charge. Pour faire le buzz, je pense. (…) Comme disait Jésus sur la Croix : “Ils ne savent pas ce qu’ils font”. Mais, il me fallait dire mon “coup de gueule” non violent devant un acte moins anodin qu’il n’y paraît. »

La parodie est scandaleuse quand elle touche à la Foi, c’est à dire à ce qu’il y a de plus intime et de plus précieux dans la personne humaine. Ne pas respecter cette dimension intérieure et spirituelle, c’est nier l’homme ou bien le réduire à la matière. Une telle grossièreté est d’autant plus blessante qu’elle vise évidemment la religion de nos ancêtres, celle qui est intrinsèquement liée à l’essor de la civilisation occidentale qui nous a engendré et qui a fait de nous ce que nous sommes, nous constituant héritiers d’un immense patrimoine spirituel.

Décidément, le carême sera là encore l’occasion d’un nouveau chemin de croix pour les catholiques. Mais ce qui est en jeu, ce ne sont pas simplement des susceptibilités -après tout, le catholique doit être prêt à mourir pour sa Foi-, mais l’honneur de l’Église et de Notre-Seigneur. Voilà ce qui motive notre indignation et justifie notre réaction.

Bordeaux : le professeur attaqué par un élève marocain sollicite l’indulgence du tribunal

Suivant les réquisitions du ministère public, qui avait demandé une sanction à « vertus réparatrice et éducative », pour une « transgression d’une gravité, d’une résonance particulières car survenue à l’école, lieu où l’on apprend la façon de se comporter en société », le tribunal correctionnel de Bordeaux a condamné le lycéen marocain de 18 ans, lequel avait agressé en septembre l’un de ses professeurs, à une peine de 120 heures d’intérêt général.

Ce qui surprend, c’est que le  professeur attaqué ait sollicité l’indulgence du tribunal pour son agresseur. On se souvient en effet qu’il avait estimé que la laïcité en France ne respectait pas le droit des musulmans, ce qui entraînait mécaniquement, selon lui, une frustration qui s’exprimait souvent violemment.  « On applique en France la «catholaïcité», pas la laïcité. Il n’y a qu’à voir le calendrier de l’Education nationale calqué sur les fêtes chrétiennes. Je ne vois pas non plus pourquoi on met des sapins de Noël dans les établissements scolaires. Il faut être cohérent« , expliquait en effet ce professeur.

Les faussaires de la civilisation se drapent donc dans les plus belles vertus pour faire progresser leur cause. C’est ignoble.

Algérie : un musulman se convertit au christianisme et se retrouve devant les tribunaux

Un jeune kabyle, I. Mohamed, est poursuivi par le tribunal de Bechar pour apostasie et incitation, avec pressions exercées sur des jeunes musulmans, à changer de religion. Ce jeune chrétien , originaire des At Wagnun (Ouaguenoun), et travaillant au sud de l’Algérie, vient ainsi d’être condamné par la justice algérienne à 100.000 DA d’amende et le payement de tous les frais générés par la procédure judiciaire.

Ce n’est la première fois que des chrétiens sont condamnés par la justice algérienne : car cette dernière postule que les algériens ne peuvent être autre chose que musulmans. En réaction à cette condamnation, les responsables de l’EPA jugent que cette décision judiciaire est atteinte à la liberté de conscience et d’expression : l’injustice du verdict justifie donc, selon eux, leur décision de faire appel. Ils signalent que l’ordonnance régissant le culte autre que musulman n’est « qu’un instrument de pression sur les chrétiens ».

A noté qu’en première instance, le jeune kabyle chrétien avait été condamné à une année de prison ferme assorti d’une amende de 50.000 DA.

Curieusement, les élites françaises, si promptes habituellement à condamner l’intolérance qui sévit dans le monde entier, au point de na pas hésiter parfois à s’ingérer dans les politiques étrangères et à lancer leur troupes dans des guerres ou l’intérêt français n’est pourtant pas en jeu, restent étrangement silencieuses lorsque l’islam supprime, dans leurs anciennes colonies, le droit fondamental de croire, en l’occurrence dans la religion de leurs ancêtres. Le président français s’affiche volontiers avec le président algérien, le laisse facilement culpabiliser les français sur leur histoire coloniale, mais n’a jamais un mot sur le terrorisme que la justice exerce sur la conscience religieuse des algériens…