19h30 mercredi 16 novembre: les manifestants contre la pièce Golgota Picnic se rassemblent près de théatre Garonne à Toulouse. Ils sont près de 300, une grand succès pour la région et ce premier jour.
Une très grande majorité de jeunes, mais aussi des pères et mères de famille. Les moines et novices capucins en habit se font remarquer dans les rangs, avec les prêtres en soutane. A genoux, chapelet, cantiques et quelques slogans alternent, soutenus par la fanfare tambour et trompette, et une bonne sono. Un cordon de CRS a retenu le gros des manifestant à 200 m du théatre, mais un petit groupe était arrivé devant le théatre lui-même par une des 3 rues qui y mènent (à savoir pour les prochaines manifestations !). Il a pu y dire aussi le chapelet sous la pression des contremanifestants. L’entrée au théatre était filtrée.
C’est à un véritable sursaut chrétien que l’on assiste à travers toute la France en réponse à la christianophobie ambiante et, en particulier, aux spectacles blasphématoires promus avec la complicité de nombreuses institutions publiques. Près de cinq mille personnes ont manifesté à Paris le 29 octobre dernier et près de deux mille à Rennes le 10 novembre. Et pas une représentation du spectacle profanatoire de Roméo Castellucci (Sur le concept du visage du fils de Dieu) n’a pu se tenir sans que des chrétiens soient rassemblés devant le théâtre concerné pour faire acte de protestation et de réparation publiques.
Compte rendu envoyé par un protestataire : Face aux blasphèmes répétés, la mobilisation ne faiblit pas, à Paris comme en province. Jeudi soir c’est à Rennes qu’environ 1300 manifestants se sont rassemblés pour une marche de protestation et de réparation. Dès 19h la foule afflue sur la Place de Bretagne où rendez-vous a été donné par l’Institut Civitas. Après un discours dynamique d’Alain Escada rappelant la raison de la mobilisation, le cortège s’est ébranlé pour rejoindre le Théâtre National de Bretagne où était jouée la pièce blasphématoire de Castelluci. Banderoles et drapeaux en tête, la marche s’écoule solennellement, les chants et prières étant parfois entrecoupés de slogans de protestation. Arrivés à 100 mètres du théâtre, les manifestants sont bloqués par la police à l’aide de grandes grilles bloquant tout le quartier.
Dans ce premier volet de notre petite réflexion sur la subversion antichrétienne actuelle, on s’intéressera en particulier au réseau médiatique et financier libéral-libertaire,son idéologie, ses objectifs à peine voilés, et ses méthodes qui déterminent son champs lexical.
La « mafia » de l’anti-culture
Un phénomène qui n’a cessé de s’amplifier ces derniers temps est la coopération du secteur « culturel », information ou divertissement (toute information devant d’ailleurs être un divertissement, ce qui est très net sur le Grand journal de Canal+), bien souvent diffuseur d’une vision du monde hédoniste et relativiste, et des groupes de pression politico-financiers. Etudier ce système devrait faire l’objet d’un travail en soi, et sortirait du cadre de la présente réflexion. Toutefois il est bon de la garder à l’esprit pour appréhender les rouages de la subversion antichrétienne.
Alain Escada raconte sa rencontre avec Jean-michel Ribes, directeur du Théâtre du Rond-Point à Paris : Marc-Olivier Fogiel, figure bien connue de la télévision, m’a invité dimanche dernier à participer à son émission « Face à l’actu » sur M6. Il s’agissait de débattre en direct avec Jean-Michel Ribes, directeur du Théâtre du Rond-Point. Un exercice difficile compte-tenu du peu de temps consacré au sujet qui nous occupe, à savoir les spectacles qui profanent l’image du Christ. Dix-sept minutes auront été insuffisantes pour quitter les habituelles invectives et aborder les vrais principes. Cela aura néanmoins permis d’un peu faire connaissance avec M. Ribes qui accueillera en son théâtre à partir du 8 décembre l’odieux spectacle intitulé « Golgota Picnic ».
D’emblée, une anecdote révèle le personnage. Juste avant notre débat, c’est Valérie Pécresse, ministre du Budget, qui est interrogée par Marc-Olivier Fogiel sur la situation économique. Lorsque la ministre quitte le plateau, nous nous croisons. Jean-Michel Ribes la saisit par le bras pour la féliciter de la façon avec laquelle elle a remis Fogiel à sa place. Une minute après, nous nous installons sur le plateau. Il reste 45 secondes avant le direct. Ribes en profite pour féliciter… Fogiel de la façon dont il a mouché la ministre. En deux minutes, montre en main, Jean-Michel Ribes vient de démontrer sa longue expérience dans l’usage tous azimuts de la brosse à reluire. C’est qu’on ne devient pas directeur du Théâtre du Rond-Point sans quelques relations et qu’on ne le reste pas sans les entretenir…
Vous savez que Delanoë mène la guerre aux automobilistes, rackettés sans vergogne, pour alimenter les caisses de la mairie.
Vous savez aussi que le « théâtre de la Ville » – versant actuellement dans la christianophobie excrémentielle – est financé très majoritairement par les fonds publics, dont ceux de la mairie de Paris.
Vous savez peut-être que, si elle est intransigeante sur le laïcisme dès qu’il s’agit de vestiges de notre civilisation chrétienne, la mairie a les yeux de Chimène pour, en vrac, la Gay pride, l’islam et le judaïsme…
Par exemple, le « Fonds social juif unifié » a touché une subvention parisienne de 180 000 euros en 2011, et « l’Union des Etudiants juifs de France » une aide de 31 000 euros juste pour son opération « Souccot [une fête religieuse juive] expliqué à nos potes » dans un quartier cosmopolite.
Contre-info y était : environ 300 personnes – presque uniquement des jeunes catholiques – se sont rassemblées place du Chatelet pour prier le chapelet, scander des slogans ou chanter des cantiques face au théâtre où se jouait la pièce scato-blasphématoire de Castellucci.
Pas de rafle cette fois-ci, mais un dispositif policier très important, hors de proportions, avec moult policiers en civil et CRS qui ont encerclé les manifestants et les ont bloqués sur place pendant des heures, avec interdiction pour toute personne de quitter la manifestation.
…Ainsi nous saluons l’action de protestation du Renouveau français, bien que notre engagement se situe à des années-lumières de ce mouvement et que nous avons conscience que parmi leur troupe se trouvent des islamophobes patentés.
… Force est de constater que les Musulmans demeurent dans une léthargie humiliante à l’heure où le lobby judéo-maçonnique oeuvre jour et nuit pour attaquer les symboles et forces vives de notre communauté. Cette action de protestation contre la pièce de Roméo Castellucci aurait dû être l’occasion pour les Musulmans de montrer leur amour de Issa, “Jésus” ( que la paix soit sur lui), au lieu de cela, ce sont des Chrétiens, adeptes de la Trinité qui ont pris les devants pour marquer leur opposition, alors que cette tâche incombe aux Musulmans.
Contacté par Nouvelles de France, Abou HAMZA le responsable de Forsane Alizza a déclaré être « affligé que les musulmans n’aient pas agi les premiers » car « Issa (que la paix soit sur lui) est un grand prophète de l’islam ». « En voyant prier sur la scène ces jeunes du Renouveau français, j’ai été touché par l’amour que portent ces chrétiens à leur religion ». Continuer la lecture de « Théâtre : certains mulsumans soutiennent l’action des catholiques »
Les catholiques qui ont perturbé le spectacle dimanche soir et ont été interpellés ont écopé d’interdiction « d’approcher à moins d’un kilomètre du théatre de la Ville », interdiction de se parler, interdiction de se voir…. La répression est délirante.
Les voici monter sur scène pour interrompre le « spectacle ».
Mise-à-jour 20h Les interpellés de samedi soir viennent d’être libérés après pas moins de 48h de garde-à-vue : de vrais criminels !
Des gardés-à-vue de dimanche soir sont poursuivis pour – ne riez pas – atteinte à la liberté d’expression !
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Depuis jeudi dernier, les actions de jeunes Français scandalisés à juste titre par la pièce scatologique antichrétienne de Castellucci (ci-contre des gamins lançant des projectiles sur le portrait du Christ au cours de la pièce) n’ont pas cessé.
En effet, chaque soir, des jeunes ont perturbé la représentation.
La répression ne faiblit pas, et des gardes-à-vue tombent tous les soirs.
Vendredi soir, 20 personnes ont été interpellées pour « jets de projectiles » et « manifestation non déclarée ».
Samedi soir, un groupe de partisans de la décence a investi la scène, comme jeudi.
Le spectacle a là encore été bien retardé.
A la suite de quoi, 5 personnes étaient toujours en garde-à-vue à 12h ce lundi ! Ils vont avoir droit à 48h…
Ils échappent à la comparution immédiate mais auront droit à un procès plus tard.
La « justice » a ses priorités…
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