Cette Maïtena Biraben, journaliste multimillionaire grâce à la redevance des Français, représente bien sa caste.
D’un côté, ils parlent du Grand Remplacement comme d’une théorie, complotiste de surcroît. De l’autre ils se plaignent qu’on voit encore trop de Blancs dans certaines réunions.
Voici ce qu’elle a mis sur Twitter, en réponse à quelqu’un qui postait des photos d’un meeting de Zemmour à Biarritz :
Des Français vont carrément en prison pour des propos critiques – sans appel objectif à la haine ou à la violence – quant à l’action de certaines populations étrangères. Des Français sont harcelés policièrement, perquisitionnés, vilipendés par les médias pour avoir exprimé leurs doutes sur les bienfaits de l’invasion étrangère, chez eux.
En revanche, quand cet intrus appelle carrément à tuer les Blancs, sans aucune nuance (« Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs / Attrapez-les vite et pendez leurs parents »)., dans deux chansons, il s’en sort. Et peut continuer à parader en France, probablement aux frais des Français.
Quand les Français cesseront-ils de supporter ce régime de fous ?
« Condamné en première instance à une amende de 5 000 euros pour son clip «Pendez les blancs», le rappeur Nick Conrad vient d’être relaxé par la cour d’appel de Paris en raison d’un vice de procédure. […] LCI précise que l’erreur remonte au tout début de l’affaire. Après avoir été entendu par la police, Nick Conrad est convoqué par le procureur devant le tribunal correctionnel à une date ultérieure à trois mois, alors qu’il aurait dû l’être à une date à moins de trois mois.
La cour d’appel a ainsi conclu qu’elle était dans l’impossibilité de juger cette affaire. «C’est une victoire pour nous», ont déclaré les avocats du rappeur, Chloé Arnoux et David Apelbaum, cités par Le Parisien, «même si un débat sur le fond aurait été intéressant».
Maîtres Arnoux et Apelbaum auraient semble-t-il préféré gagner sur le fond, en arguant qu’il doit être loisible, ou même qu’il est légitime, de pouvoir appeler à tuer les Blancs, mais sans pour autant pouvoir simplement critiquer les autres.
Au défilé gauchiste contre l’extrême-droite et le racisme qui se déroulait le samedi 12 juin, vous aviez, au premier rang, tenant avec Mélenchon la grande banderole de tête, la présidente de l’UNEF ouvertement hostile aux Blancs.
Rappelons qu’elle n’a jamais été inquiétée pour cela, par aucune association ni aucun juge.
Et qu’elle défile donc encore le plus tranquillement du monde contre le… racisme, qui est effectivement un sujet qu’elle connaît bien.
Comme nous l’avons répété maintes fois, « antiracisme » est un mot codé pour « antiblanc ».
Par Andrej Sekulović dans la revue slovène Demokracija:
« Le XXe siècle a été un siècle de grands changements. Outre les innovations technologiques, les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale ont été marquées par de nombreux changements sociaux, principalement dus à l’hégémonie culturelle de gauche qui s’est finalement consolidée dans les sociétés occidentales au cours de cette période. En conséquence, la nouvelle gauche, qui préférait se concentrer sur les droits des groupes marginalisés, y compris diverses minorités ethniques et sexuelles, plutôt que sur les droits des travailleurs et les inégalités de classe, a commencé à redéfinir les termes et concepts communément acceptés, puis à inventer de nouveaux vocabulaires pour répondre à ses besoins idéologiques.
La culpabilité des Blancs comme stratégie de gauche
Ce message du Figaro, sur sa page facebook, est éloquent.
Il confirme de façon très officielle ce que nous expliquons depuis des années : le mot « diversité » est utilisé de façon trafiquée par l’oligarchie médiatico-politique pour désigner non pas seulement la diminution de la proportion de Blancs, mais carrément l’élimination des Blancs. Les autres ne sont pas simplement représentés, mais surreprésentés.
Tout comme le mot antiracisme est un mot codé pour exprimer le racisme antiblanc.
PS : nous rappellerons qu’aimer vraiment la diversité humaine, c’est justement défendre la perpétuation des différents peuples et races humaines, face aux immigrations de remplacement et au métissage généralisé.
« Emmanuel Macron était le grand invité de l’émission « Face the Nation » sur CBS News dimanche 18 avril. Interrogé depuis l’Élysée par la journaliste Margaret Brennan, le chef de l’État est revenu sur de nombreux sujets à commencer par la pandémie de Covid-19 et la vaccination, mais il s’est surtout lâché au moment d’évoquer la question raciale, et l’histoire de la France, sujet sur lequel l’a lancé la journaliste. […]
Emmanuel Macron a tenu à rappeler que les histoires des deux pays étaient « très différentes » parce qu’un pays comme la France était un État « colonial » et que, de par son passé, l’Hexagone appartient toujours à la catégorie « des pays coloniaux avec toujours de l’immigration, avec beaucoup de gens venant des anciennes colonies et, par exemple, du continent africain. »
Raison pour laquelle, selon lui, le pays est confronté à « de nombreuses tensions lorsque des personnes sont victimes de discrimination… » Il met en avant alors les plateformes lancées pour lutter contre ces discriminations et lâche ensuite : « Nous devons déconstruire notre propre histoire. »
Aller « aux racines du phénomène », lancer de nouvelles politiques « pour nous débarrasser du racisme » est donc essentiel pour Emmanuel Macron. C’est ce qu’il a martelé devant Margaret Brennan. Comme pour se justifier une dernière fois de ses propos, le président français a insisté sur la nécessité d’une « politique de reconnaissance » afin de « construire notre unité en étant plus efficace contre les inégalités, contre la discrimination ». Un « défi énorme » qui passe donc par la déconstruction de « notre propre histoire ». »
Encore une fois, Macron a au moins le mérite, contrairement à ses funestes prédécesseurs, de cracher publiquement sa haine de la France, la France réelle, la France historique, la France française. Pays qu’il est censé défendre.
Ce fou furieux crache aussi sur les Français : pleurnichant sur le sort des immigrés qui viennent en France bénéficier d’une qualité de vie incomparable avec celle de leur pays, il stigmatise les Français qui, pour beaucoup d’entre eux, souffrent réellement de l’immigration ! Ce sont bien les Français qui sont nombreux à être littéralement persécutés, rackettés, violés, assassinés…
Honte éternelle aux Français qui ont voté pour cet individu.
« We have in a certain way to deconstruct our own history. »
Propos édifiants de Macron sur CBS qui a expliqué que la France souffre de racisme, l’a lié à son passé colonial et a justifié un projet de « déconstruction de notre histoire » (!) pic.twitter.com/dYy3nEUB9n
« Le président Macron a dit sur une chaîne de télévision américaine (CBS) qu’il faut «déconstruire notre propre histoire», reprenant ainsi le vocabulaire et le programme politique défendus par 0.001% de la population, c’est-à-dire la fraction politisée de la gauche de l’extrême-gauche tarée.
« Emmanuel Macron s’obstine à refuser de voir que la France, l’Algérie et le Rwanda ne parlent pas de la même chose quand est évoquée la question mémorielle. Pour Paris, l’histoire est une science permettant de connaître et comprendre le passé. Pour Alger et pour Kigali, il s’agit d’un moyen servant à légitimer les régimes en place à travers une histoire « arrangée ». L’incommunicabilité étant totale, les dés sont donc pipés dès le départ. D’où le naufrage du « Rapport Stora » et du « Rapport Duclert ».
L’Algérie et le Rwanda ne veulent en effet pas d’une « pacification des mémoires » au sens où l’entend la France puisque toute normalisation passerait obligatoirement par des concessions mémorielles qui feraient exploser les fausses histoires sur lesquelles reposent les « légitimités » des deux régimes.
Le président algérien Tebboune l’a d’ailleurs plus que clairement reconnu quand il a déclaré que « la mémoire nationale ne saurait faire l’objet de renonciation, ni de marchandage ».
En définitive, la France recherche une paix mémorielle fondée sur une connaissance scientifique des évènements du passé quand l’Algérie et le Rwanda exigent son alignement sur leurs propres histoires fabriquées. Continuer la lecture de « Bernard Lugan : « pourquoi il est illusoire de s’obstiner à continuer de croire qu’une « pacification des mémoires » avec l’Algérie et le Rwanda est possible » »
Audrey Pulvar est un personnage emblématique de la caste qui dirige et pourrit la France : « journaliste », présentatrice d’un journal télévisé pour la télévision publique pendant plusieurs années, « chroniqueuse », « militante » (plus exactement élue) politique, responsable d’une organisation « écologiste » (tout en arborant des lunettes en écailles de tortue à 15 000 euros), ce compère d’Anne Hidalgo incarne bien l’idéologie de gauche au pouvoir.
Elle remercie la France – à qui elle doit tout –, par une lutte acharnée contre elle, contre son identité, contre la morale.
Elle vient de faire parler d’elle à nouveau, alors qu’elle était interrogée sur le racisme antiblanc de l’UNEF. Mal à l’aise, elle a déclaré : « Si vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, etc., j’aurais tendance à dire qu’il n’est pas question de le jeter dehors. En revanche, on peut lui demander de se taire, lui demander d’être spectateur silencieux. »
Un cadre de LR (anciennement UMP et RPR) s’émeut et parle de… République.
Commentaire de Jonathan Sturel :
« Le républicanisme est une secte.
Nouvelle preuve :
L’ancienne animatrice de télévision devenue élue parisienne Audrey Pulvar a pris le parti de soutenir l’UNEF et justifie les réunions interdites aux Blancs. Nous verrons si le parquet se saisit de l’affaire ou si des plaintes seront déposées contre ces déclarations racistes.
D’ici là, c’est le bal des condamnations molles sur Twitter. Pécresse, qui en réalité se moque pas mal de voir le racisme anti-blanc se propager dans la société (le dénoncer trop fort serait «faire le jeu de Marine le Pen»), profite de l’occasion pour tacler une concurrente politique. Petit tweet faiblard mais inoffensif, contrairement à celui de Geoffroy Didier, cet autre robinet d’eau tiède de la fange UMP. Lui, il va carrément jusqu’à dire que Pulvar doit s’excuser… « auprès de la République » (sic).
« Une fake news de plus pour l’AFP, l’Agence France Presse qui entend donner des leçons de journalisme au monde entier, et qui par ailleurs, bénéficie de l’appui de nombreuses autorités (GAFA comme Etats) pour informer le grand public. Alors qu’une fusillade s’est déroulée dans le Colorado, aux USA, lundi 22 mars, l’AFP a communiqué immédiatement sur le profil de l’homme arrêté, tireur présumé comme étant « un homme blanc seulement vêtu d’un short de sport, en train d’être escorté par des policiers hors du magasin ».
Toutes les rédactions françaises ont embrayé dans la foulée en reprenant la dépêche AFP plutôt que d’éventuellement, creuser par eux mêmes via la presse américaine et la presse locale dans le Colorado. Cela donne ceci, sachant que tous ces articles sont encore disponibles sur Google, qui les considère comme étant de référence quant au traitement de cette actualité.
L’UNEF est le principal syndicat étudiant (subventionné par le contribuable), depuis des décennies. D’abord de gauche socialiste, il a, comme le reste de la gauche, poursuivit son évolution vers le gauchisme le plus crasse, le plus virulent, le plus dément.
Outre ses combats contre l’ordre moral naturel et traditionnel ces dernières années, il semble avoir désormais pour principal combat l’effacement de tout ce qui touche à l’identité blanche de la France.
Cohérent, contrairement à d’autres, il a effectué lui-même ce « grand remplacement » à sa tête.
Sa présidente depuis 2019, une certaine Mélanie Luce, a avoué il y a quelques jours, devant une journaliste qui a dû lui tirer les vers du nez, et en s’expliquant très confusément, que son syndicat – qui vitupère depuis des décennies contre des supposées discriminations raciales – organisait désormais des réunions interdites aux hommes et des réunions interdites aux Blancs (et à eux seuls).
Les Français doivent bien comprendre ce qui les attend, s’ils ne mettent pas un terme à l’action de la gauche et de la fausse droite qui se succèdent depuis des générations au pouvoir (politique, culturel, médiatique…).
La présidente de l’#UNEF admet que son syndicat organise des réunions interdites aux Blancs : dans nos facs, des salles sont donc fermées à des étudiants pour leur couleur de peau… Pour mettre fin à cette dérive raciste assumée, il faut dissoudre l’UNEF. pic.twitter.com/mfIs4PDXPv
Vexé d’avoir été condamné alors que d’autres de son acabit échappent en effet à la justice (mais il s’en est tout de même bien tiré dans les affaires Bygmalion et Bettencourt : ses partisans font mine de ne pas le noter), l’ancien président Nicolas Sarközy met en cause la magistrature.
Et que lui reproche-t-il ?
D’être politisés à gauche, comme le font ses naïfs soutiens ? Non.
D’être vexés car il les avait accusé il y a quelques années d’être trop nombreux à être français, c’est-à-dire pas assez métissés !!
« Sur France 2 en 2007, Nicolas Sarkozy avait fait une sortie remarquée après avoir assisté à l’installation du nouveau président de la Cour de cassation. “Je regardais la salle, je voyais 98% d’hommes […] qui se ressemblaient tous, mêmes origines, même formation, même moule, la tradition des élites françaises, respectables, bien sûr, mais pas assez de diversité”, avait-il évoqué. Plus tard il utilisera une image qui fera grincer des dents la corporation : “Tout le monde qui se ressemble aligné comme des petits pois, la même couleur, même gabarit, même absence de saveur”. » (source)
Dans un entretien au Figaro, il explique aujourd’hui que les magistrats sont méchants avec lui car ils auraient été vexés, il y a quelques années, par ces sorties :
Faut-il y voir une vengeance des magistrats, que vous aviez appelés les « petits pois » quand vous étiez chef de l’État ?
[…] la question de la partialité de certains magistrats peut se poser. J’ai toujours dit, et je le maintiens, que l’endogamie est une mauvaise chose, dans tous les milieux. J’ai toujours dit, et je le maintiens, qu’il est nécessaire d’avoir plus de diversité dans le recrutement des magistrats. J’ai rappelé un jour que j’étais moi-même un « petit Français de sang mêlé » : j’aimerais que ces « Français de sang mêlé » soient mieux représentés dans toutes les corporations. Les civilisations disparaissent sous l’effet de la consanguinité, pas sous celui de la diversité. C’est ce que j’avais voulu dire à l’époque. Et c’est cela qui justifierait une vengeance ?
Il est évident que le procès d’intention que Sarközy fait, pour délégitimer sa condamnation, est absurde.
Mais c’est l’occasion de revenir sur l’obsession métisseuse (c’est-à-dire remplaciste) de cette immigré juif de Hongrie, qui frise l’hystérie.
Souvenez-vous de son fameux discours de 2008 dans lequel il présentait « le défi du métissage » comme « l’objectif » et comme un « impératif » :
Régulièrement, il faisait la propagande du métissage généralisé, en brandissant la menace de la « consanguinité » :
Contrairement à ce que prétend ce bonimenteur, la consanguinité n’a jamais tué une société ou un peuple: elle est problématique dans le cadre d’union entre membres d’une même famille ou dans un cadre très restreint (un village, au fil des générations). Strictement rien à voir avec un peuple ou une race.
Une conférence, à la présentation particulièrement significative du degré de folie qu’atteint la gauche, a retenu l’intention :
Qui est la folle furieuse qui animera cette conférence raciste antiblanche, en France ?
Laissons l’association organisatrice la présenter dans son sabir gauchiste :
« Fatima Khemilat est Doctorante en Sciences Politiques et a enseigné à l’Université Paris Est Créteil.
Elle mène des travaux de recherches sur le rapport entre le culte musulman et les institutions publiques françaises. Ses travaux ont donné lieu à de nombreuses publications et communications la plaçant aujourd’hui comme l’une des spécialistes de l’Islam en France.
Sociologue et chercheuse, Fatima travaille également sur les questions de genre, de race et de sexualité. Elle se sert de son parcours pluridisciplinaire pour apporter un éclairage décolonial et intersectionnel aux questions liées au développement personnel et à la sexualité des femmes racisées. »
Cette femme a donc été financée par les Français, pour ses études, et a été payée par eux pour leur cracher dessus dans leurs universités.
Quel pays de fous !
Elle a aussi été invitée sur Mediapart ou France Culture, par exemple…
Fatima, va faire ton cirque au pays, tu nous raconteras comment ça s’est passé !
Vous savez probablement que la plateforme de films et série à la demande Netflix mène – avec les grands studios de cinéma américain notamment – un travail progressif d’effacement (dans l’imaginaire collectif) de l’identité blanche et de la civilisation occidentale, sans parler de pornographie omniprésente et de propagande pro-LGBT, pro-métissage, etc.
Netflix ne s’embarrasse plus de subtilités désormais.
« Nouvel exemple en date avec la série Vikings : Valhalla, suite de la série Vikings qui va faire les frais des tentatives de négation culturelle.
Ainsi le jarl de Lade, Haakon Sigurdsson, sera joué par Caroline Henderson, une actrice noire.
Représentatif de la fracture entre « élites » cosmopolites et France profonde.
Les pitoyables videos de cette animateur bobo parisien ont légitimement choqué les habitants de la région (la baie de Somme est l’une des plus belles du monde). Même le Courrier picard, au risque de se faire traiter d’antisémite, prend la plume pour protester :
« Julien Cohen, animateur de l’émission Affaire conclue, sur France 2, a quitté Paris pour un séjour en baie de Somme. Il a immortalisé son expérience dans deux vidéos diffusées sur sa page Facebook.
La première vidéo de 59 secondes, intitulée Une après-midi de rêve… ou presque, le montre frigorifié devant le blockhaus du Hourdel qu’il qualifie de vestige, non sans ironie. L’animateur télé joue sur les clichés pour faire un peu de buzz sur sa page. Le jeu de l’audience, dirait-on, si on surfait sur la même vague.
Dans une série (« New Amsterdam »), diffusée sur TF1, on entend un homme de santé expliquant avec assurance à la mère d’un gamin de couleur souffrant d’un cancer, que c’est la faute du racisme (des Blancs, bien sûr). Avant une tirade telle que les gauchistes américains en profèrent dans leurs conférences contre les Blancs…
TF1, qui par ailleurs dénonce le complotisme qui serait toujours irrationnel…