Le château de Blois (Loir-et-Cher), c’est mille ans d’Histoire et quatre châteaux en un même lieu. L’histoire de ce palais commence au IXe siècle.
Catégorie : Fabrication française
Le Puy du Fou reçoit la récompense de la meilleure création mondiale
Le Puy du Fou a reçu pour la deuxième fois un Thea Award à Los Angeles pour la récompense de la “meilleure création mondiale” avec son attraction historique sur la vie de Charette “Le Dernier Panache”.
Elle est considérée comme la récompense suprême par les professionnels dans le monde du spectacle. L’an dernier, c’est le spectacle “Les amoureux de Verdun” qui avait permis au parc à thème vendéen de recevoir cette distinction.
NDCI : un parc d’attractions qui porte avec talent les valeurs traditionnelles de la France. Le spectacle concerné par la récompense (Le Dernier Panache) mérite, à lui seul, le déplacement.
Laguiole : les véritables producteurs aveyronnais gagnent leur combat judiciaire
Un entrepreneur du Val-de-Marne avait déposé la marque «Laguiole », empêchant les entreprises de l’Aveyron de donner à leurs couteaux le nom de leur village. La justice européenne vient de donner raison aux «véritables» producteurs aveyronnais.
La société qui fabrique les «véritables» couteaux de Laguiole a gagné mercredi devant la justice européenne contre des produits d’autres origines, souvent étrangères, qui «usurpaient» le nom de ce village de l’Aveyron, emportant ainsi un combat emblématique de la défense du Made in France. Dans une décision définitive, la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a annulé mercredi la marque «Laguiole», qui avait été déposée par un entrepreneur du Val-de-Marne pour les produits déjà fabriqués par la Forge de Laguiole, société historique du village de l’Aveyron.
Un premier jugement français, en 1999, avait donné à La Forge le droit d’appeler «Laguiole» ses couteaux, estimant que le terme n’était pas une marque mais une référence à la forme du couteau. Mais les autres produits de la société ne pouvaient pas se prévaloir de cette origine. L’arrêt européen, qui entérine une première décision rendue en 2014 par l’UE, permet maintenant à La Forge d’apposer le nom «Laguiole» sur ses fourchettes, cuillères ou autres tire-bouchons.
Les syndicats et les grands patrons d’accord pour s’opposer à la protection du travail des Français
Les frères ennemis main dans la main pour refuser vigoureusement de protéger le travail des Français sur les chantiers. Alors que les dirigeants des multinationales n’ont jamais caché vouloir réduire les coûts et prioriser l’embauche étrangère, les syndicats font mine de vouloir protéger les travailleurs face à l’avidité des grands groupes. Mais lorsqu’une mesure de bon sens s’impose, les ennemis d’un jour se réunissent pour lutter ensemble contre le patriotisme économique.
Paris – Le débat sur la « clause Molière », qui vise à imposer le français sur les chantiers dans certaines régions, a pris de l’ampleur mardi à quelques semaines de la présidentielle avec la prise de position du Medef et de plusieurs syndicats qui dénoncent une mesure « nationaliste ».
Plusieurs régions principalement de droite (Ile-de-France, Hauts-de-France, Normandie, Auvergne-Rhône-Alpes…), mais aussi des villes ou départements (Haut-Rhin), ont imposé l’usage de la langue de Molière sur les chantiers dont ils sont maîtres d’oeuvre.
L’inventeur du « Flyboard » contraint de quitter la France
« J’ai déjà refusé des avances de l’armée américaine ; 180 pays me font un pont d’or pour aller chez eux… Si je devais partir, ce serait à contrecœur ».
Encore un génie français obligé de quitter son pays à cause d’un harcèlement administratif idiot et d’un inintérêt de la part des autorités.
C’est le rêve de chacun depuis de nombreuses années : devenir l’homme volant, comme dans les films de science-fiction ou d’anticipation. Depuis peu, un homme et son équipe ont mis au point le « Flyboard Air », un engin volant propulsé par du kérosène qui permet à un homme de se tenir debout au-dessus du sol. Sous le capot : 1000 chevaux et une vitesse de pointe estimée à 150 km/h.
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Alstom : Un scandale d’Etat ?
Une émission de France Inter sur la vente scandaleuse d’un fleuron de l’industrie française à la multinationale américaine General Electric. Le journaliste Jean-Michel Quatrepoint, qui a enquêté sur cette histoire et qui en a fait le récit dans « Alstom, scandale d’Etat », est invité dans l’émission.
« Mistral perdant » : suite et fin de l’affaire des frégates
Les chantiers navals russes OSK, qui ont construit les deux porte-hélicoptères Mistral en collaboration avec les chantiers de Saint-Nazaire, vont construire leur propres navires, sur le même modèle. « Grâce au savoir-faire que les Français nous ont transmis« , a précisé, le 29 décembre, Alexey Rakhmanov, le président d’OSK.
La France avait annulé, en juillet 2015, la livraison des bâteaux à la Russie après l’invasion de l’Ukraine.
« Si l’on tient compte du fait que la France a restitué à la Russie l’argent payé pour la construction des navires, ce savoir-faire nous a été transmis pour presque rien », a ajouté Rakhmanov.
Ses chantiers ont notamment appris de leurs homologues de Saint-Nazaire les techniques d’assemblage de navires par grands blocs et la conception 3D.
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Cinéma : « Au prix du sang » et « Silence », les prochaines sorties de Saje distributions
Saje distributions s’est fait une spécialité de la diffusion en France de films chrétiens passés sous silence par les canaux habituels.
On lui doit notamment les versions françaises de Cristeros (sorti en 2012 aux Etats-Unis et deux ans après chez nous), mais aussi Padre Pio, saint Philippe Néri ou encore Le bon pape Jean XXIII (qui fera moins l’unanimité chez nos lecteurs, n’en doutons pas).
Cette jeune société s’apprête à nous faire connaître deux autres films.
Le premier, prévu pour le 25 janvier, est sorti en 2011 en Espagne. L’action démarre au début de la guerre civile espagnole. Itinéraire croisé d’un prêtre débonnaire appelant à la charité et au pardon jusqu’à l’excès et d’un nationaliste infiltré chez les républicains comme espion, le tout sur fond de la jeunesse du fondateur de l’Opus Dei.
Notons que ce film est réalisé par Roland Joffré, déjà connu pour l’excellent Mission
Pour ceux qui veulent en savoir plus, c’est ici.
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La cristallerie royale de Champagne va fermer après trois siècles d’existence
Des sommes colossales, se chiffrant par milliards, pour les « migrants », les politiciens en trouvent toujours. Mais pour sauvegarder la France, les Français et leur patrimoine, c’est autre chose ! Ils refusent de sauver 30 emplois…
« La « Cristallerie Royale de Champagne-BAYEL » est l’une des plus anciennes manufactures françaises de cristal soufflé bouche. Cette cristallerie de réputation mondiale n’a jamais éteint ses fours depuis le XVIIème siècle.
La Royale de Champagne d’aujourd’hui est l’héritière d’un savoir-faire parmi les plus riches et raffinés où la main de l’homme est souveraine. Soufflage à la bouche, taille à la main, gravure au sable, satinage, dorure, dépôt de platine, émaillage… sont autant d’hommages aux métiers du feu qui ont fait la réputation de Bayel.
Les 30 salariés de la Cristallerie Royale de Champagne sont déçus et choqués. Ils ont appris lundi dernier que leur entreprise implantée à Bayel (Aube) devait bientôt fermer ses portes. L’officialisation de cette décision pourrait intervenir le 31 mars prochain pour une cessation d’activité avant le début de l’été.
Comment la Commission européenne étouffe Ariane et Airbus dans le but de favoriser leurs concurrents américains
L’Union européenne nous est officiellement présentée comme la nécessité pour des Etats européens de se regrouper pour être forts dans un monde globalisé afin de faire face à d’autres entités, tels les Etats-Unis, la Chine, etc.
« Sans l’Europe, chaque Etat qui la constitue ne serait rien et vulnérable, alors que grâce à l’Europe, nous sommes regroupés et pouvons résister aux autres ». Combien de fois cette antienne a-t-elle été répétée ? Pourtant, la façon dont la Commission européenne vient de réagir au sujet du rapprochement Airbus-Ariane nous prouve que rien n’est plus faux et que les commissaires et technocrates bruxellois poursuivent d’autres desseins que de protéger notre continent, ses industries, ses populations.
En effet, Airbus et Ariane voulaient « se marier » ce qui aurait créé le n°1 mondial dans les domaines de l’aéronautique et l’aérospatial. Ce groupe aurait été très concurrentiel, puisque de cette union, des économies auraient pu être faites, au grand dam de leurs concurrents, tels Boeing ou le producteur de fusées américain SpaceX. Mais ce mariage n’aura pas lieu. La raison ? C’est la commission européenne elle-même qui s’y oppose !
Dans une excellente tribune de Damien Lempereur et Brice Wartel parue dans le Figaro, les raisons évoquées par les technocrates bruxellois nous sont données : cela créerait une « position dominante » qui serait contraire à une concurrence libre et non faussée !
Bref, Bruxelles dit non à la fusion des deux groupes européens dans le but de protéger leurs concurrents américains, chinois, russes ou autres ! Cela est d’autant plus un scandale que ces concurrents sont pour la plupart subventionnés par leurs Etats.
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L’anneau de Jeanne d’Arc de retour en France
Volé à Jeanne d’Arc par l’évêque Cauchon lors de son procès, l’anneau de la sainte, propriété des Anglais depuis 1431, vient d’être acheté aux enchères par le Puy du Fou, pour la somme de 376.833 euros.
L’affaire commence le 24 février 2016. Ce jour-là, Me Jacques Trémolet de Villers, qui vient de publier un livre sur le procès de Rouen, alerte son ami Philippe de Villiers que l’anneau de Jeanne d’Arc, aux mains des Anglais depuis son martyre en 1431, sera mis aux enchères le 26 février par la maison Timeline Auctions de Londres. L’avocat connaît l’existence de l’objet, car il est mentionné dans les interrogatoires d’époque. Il s’agit d’un anneau en laiton décoré de trois croix et sur lequel est inscrit «Jhesus Maria». L’évêque Cauchon, qui devait condamner sa prisonnière pour sorcellerie, prétendait qu’elle l’avait utilisé pour accomplir de fausses guérisons. Peu scrupuleux, il le confisqua, puis le donna ou le vendit au cardinal anglais Henry Beaufort. A compter de ce moment, le bijou ne quittera plus l’Angleterre. Son authenticité étant crédible, Philippe de Villiers y voit aussitôt l’occasion de rapatrier une relique chargée de symbole.
Averti par son père, Nicolas de Villiers, président du Puy du Fou, décide de racheter l’anneau. Il reste alors moins de 36 heures pour réunir les fonds. «On se doutait que la vente allait battre des records, raconte Nicolas de Villiers. La Fondation Puy du Fou Espérance, en tant que personne morale, pouvait y participer à hauteur de 80.000€ mais pas au-delà. Nous avons donc fait appel à des donateurs et nous sommes arrivés à la somme de 350.000€.» Le 26 février, mandaté par la Fondation, un avocat se rend aux enchères de Londres. Mis en vente à 19.051€, l’anneau de la sainte affole la salle. Tout le monde surenchérit. Finalement, les Français l’emportent à 376.833€. Le porte-parole de Timeline Auctions se contentera de déclarer: «Il rentre en France». Sans donner l’identité des acquéreurs, que Le Figaro Magazine révéle dans son édition du 4-5 mars.
Le mot de la fin appartient à Nicolas de Villiers, acteur principal de l’opération: « J’irai le chercher le 4 mars et nous organiserons une cérémonie officielle le 20 au Puy du Fou. Ensuite, l’anneau sera exposé au public dans un lieu dédié du parc. Il faut que chacun puisse le voir. N’oublions pas que Jeanne d’Arc est la patronne de la France. »
Source : Le Figaro
Areva veut supprimer 3.636 postes en France
Le plan social se précise chez Areva, l’ex-fleuron français du nucléaire. Ce mardi, la direction a présenté en comité central d’entreprise (CCE) le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) envisagé pour les divisions Areva NP (ex-Framatome, division réacteurs) et Areva NC (ex-Cogema, division uranium).
Résultat : ce PSE prévoit la disparition de 2.774 postes. « Et cela s’entend hors suppressions de postes chez Areva mines (-84), Areva BS (-550), Eurodif SA (-132) et Areva SET (-96) », précise une source proche du dossier. Soit, au total, 3.636 postes supprimés.
Encore un article raciste sans qu’il y ait la moindre poursuite…
Samir Hammal est un professeur pas très blanc de Science Po qui se plaint de voir des européens sur les affiches publicitaires de la marque de vêtements Jacadi en France… Il pleurniche et il insulte les Français tout le long de son étron politiquement correct.
C’est un petit tyran d’aujourd’hui ! Si les enseignes ne mettent pas en avant les minorités ethniques et les dégénérés sexuels, elles sont immédiatement taxées de racistes et d’homophobes par ce genre de commissaire politique.
Voici son article : « Jacadi, la marque française de vêtement pour enfant se paye une campagne de rentrée fracassante. Acteur star? Mannequin célèbre? Non rien de tout cela. Juste une ribambelle d’enfants blonds. Des enfants « made in France » avec appellation d’origine contrôlée. Il ne manquait plus que le label sur la photo et la mention certifiée « origine française ».
Vision idéalisée de la France, cette campagne aurait presque pu s’intituler « de nos ancêtres les Gaulois à nos enfants les Gaulois ». Ironie du sort (on se demande si tout le service communication et marketing était en vacances), la campagne de pub s’intitule « une rentrée en couleurs ». Ce n’est visiblement pas le cas chez Jacadi.
C’est dans une vitrine d’une boutique du 16e arrondissement que j’ai pu l’admirer, le fameux arrondissement traditionnellement catho aristo alors que pourtant, paradoxalement il compte de nombreuses populations séfarade, libanaise et d’Afrique du nord et est beaucoup plus coloré qu’on ne le croit. »
En Auvergne, des archéologues font une découverte majeure sur les Gaulois
Des chercheurs ont mis au jour fin juillet, dans le Puy-de-Dôme, une centaine de silos de stockage de céréales (pouvant conserver durablement des centaines de tonnes de grain), datant des Gaulois. Une découverte unique en France, et qui témoigne du caractère particulièrement avancé de la société gauloise avant sa conquête par les légions romaines.
C’est une découverte de taille sur les Gaulois, et qui vient écorner un peu plus l’image surannée du guerrier brutal et rustre.
Cannes applique le 100% français dans ses cantines scolaires sans augmentation de prix
Article intéressant trouvé sur francetvinfo.fr : lors de la campagne municipale de 2014, qui coïncidait avec la renégociation du contrat pour la restauration scolaire, David Lisnard s’était engagé à réformer le mode de fonctionnement des cantines. « Nous avons lancé un appel d’offres comprenant des critères précis, explique Dominique Aude Lasset, directrice générale adjointe en charge de l’éducation et de la famille à la mairie de Cannes, interrogée par francetv info. Le cahier des charges précisait que nous voulions une garantie de qualité et d’approvisionnement court. » Des conditions que les mairies ont le droit d’imposer à leurs prestataires.
Plus de 50% des légumes produits en région Paca
Si la législation européenne interdit d’imposer une origine géographique dans les appels d’offres des marchés publics, les communes peuvent légalement demander aux entreprises de restauration de favoriser les circuits courts, c’est-à-dire n’ayant requis qu’un seul intermédiaire. La société peut ensuite proposer dans le contrat de ne fournir que des produits venant de la région.
Compass, l’entreprise aujourd’hui en charge de la restauration scolaire à Cannes, s’est ainsi engagée dans son contrat à fournir des viandes 100% labellisées : les volailles possèdent toutes le label rouge, le bœuf provient uniquement de vaches charolaises… Toute la viande consommée dans les cantines cannoises est garantie d’origine française.
Selon l’engagement pris par la commune, plus de 50% des fruits et des légumes proviennent en outre de filières courtes et sont cultivés dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. « Les salades et les fraises sont même produites dans la vallée voisine de la Siagne, par des agriculteurs cannois », se vante Dominique Aude Lasset.
Le prix des repas n’a pas augmenté