Ce jeudi 9 novembre 2017 se tenait au tribunal correctionnel de Beauvais, le procès de Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France, accusé d’avoir mis en ligne sur son blog des photos « violentes » de nature à contrevenir à l’article 222-33-3 du Code Pénal qui sanctionne : « l’enregistrement et la diffusion d’images de violence portant atteinte volontaire à l’intégrité de la personne ».
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Catégorie : Flicage, répression, racket
« Emplois francs » : la nouvelle trouvaille de Macron pour obliger les entreprises à recruter des immigrés
« À Tourcoing (Nord), mardi 14 novembre, le président de la République, Emmanuel Macron a appelé à une « mobilisation nationale pour les villes et pour les quartiers ».
Le chef de l’État souhaite mettre en place notamment les emplois francs, un dispositif qui accorde une prime aux entreprises qui recrute un habitant d’un quartier populaire (comprendre : colonisé).
Dieudonné expulsé du théâtre de la Main d’Or et condamné pour « antisémitisme »
« La cour d’appel a ordonné mercredi l’expulsion du polémiste controversé Dieudonné du théâtre parisien de la Main d’Or, demandée par les propriétaires de cette salle où il se produit depuis plus de 15 ans. Cette décision, qui confirme un jugement de septembre 2015, est exécutoire, et peut donc être appliquée immédiatement.
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Prison ferme pour tous les “délinquants de la pensée” ?
Ainsi s’intitule le pertinent et peu rassurant éditorial de Jérôme Bourbon, dans le dernier Rivarol :
« La répression, telle une machine infernale, ne cesse de se renforcer et de punir les opinions dissidentes. En cette seule année 2017, des peines de prison ferme ont été prononcées contre des personnalités aussi connues que Dieudonné et Alain Soral et contre des publicistes et polémistes comme Hervé Ryssen et Boris Le Lay. L’humoriste a été condamné définitivement en Belgique à deux mois de prison ferme et 9 000 euros d’amende pour « incitation à la haine » et propos jugés antisémites. Dieudonné était poursuivi pour des propos tenus lors d’un spectacle en mars 2012 à Herstal, dans la région de Liège, devant un millier de spectateurs, et qui avaient été enregistrés par la police. Chaque année des millions de crimes et de délits sont commis mais la police n’a rien d’autre à faire que d’enregistrer les spectacles de Dieudonné et de transmettre l’enregistrement à la justice en vue de le faire condamner, c’est ahurissant ! Alain Soral a, lui, été condamné à trois mois de prison ferme pour avoir publié sur son site Egalité et Réconciliation un dessin jugé “négationniste”. Le blogueur Boris Le Lay, en exil au Japon, a été, quant à lui, condamné à un total de six ans de prison ferme, le tribunal de Quimper en juillet dernier l’a condamné à 32 mois de prison ferme pour « provocations à la haine raciale », la loi Pleven, contrairement à la loi Gayssot, permettant — ce que l’on ne sait pas suffisamment — de prononcer des peines jusqu’à cinq ans d’embastillement !
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Agnès Buzyn menace : les enfants non vaccinés ne rentreront pas à l’école
Par contre pas de problèmes à ce que le gouvernement fasse entrer des « migrants » par dizaines de milliers alors qu’eux ne sont pas vaccinés et viennent de zone à risque d’un point de vue médical !
« Les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires dès le 1er janvier prochain ne seront pas autorisés à entrer en crèche ou à l’école, a prévenu la ministre de la Santé. Cette obligation concerne les enfants nés à partir de 2018.
Si les parents qui refusent la vaccination ne seront pas condamnés, leurs enfants ne pourront en revanche pas être scolarisés. La ministre des Solidarités et de la santé a confirmé dimanche au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro que les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires à partir du 1er janvier 2018 « ne rentreront pas à l’école ou en crèche », qu’il s’agisse d’établissements public ou privé.
La ministre, qui avait proposé dans un premier temps une clause d’exemption avant de faire marche arrière, a tenu à indiquer que certains pays avaient quant à eux mis en place des sanctions et que d’autres, comme les États-Unis, « où les vaccins ne sont soi-disant pas obligatoires », interdisaient l’entrée à l’école des enfants non vaccinés. » (Source)
Le «mouchard» informatique légalisé en 2011 par Sarkozy n’a « jamais été mis en œuvre »
La loi du 14 mars 2011 d’orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (dite LOPPSI 2) avait précisément légalisé la «captation de données informatiques (schématiquement, les logiciels espions)». Une disposition qualifiée par les auteurs de la note d’«éminemment stratégique» car elle permet aux autorités «de contourner le chiffrement en prélevant les informations directement sur le terminal de communication au moment de leur saisie». Au moment de leur saisie, c’est important, car à ce moment-là, elle ne sont pas encore chiffrées.
L’objectif, pour être tout à fait précis, était de permettre, «sans le consentement des intéressés, d’accéder, en tous lieux, à des données informatiques, de les enregistrer, de les conserver et de les transmettre, telles qu’elles sont stockées dans un système informatique, telles qu’elles s’affichent sur un écran pour l’utilisateur d’un système de traitement automatisé de données, telles qu’il les y introduit par saisie de caractères ou telles qu’elles sont reçues et émises par des périphériques audiovisuels».
La loi prévoit ainsi l’installation à distance ou via «l’introduction dans un véhicule ou dans un lieu privé, à l’insu ou sans le consentement du propriétaire ou du possesseur du véhicule ou de l’occupant des lieux», d’un «dispositif technique» type cheval de troie informatique, ou enregistreur de frappe (keylogger, en anglais). Pour être clair, tout ce qui est tapé sur les claviers des appareils espionnés est enregistré.
La disposition, initialement prévue «pour une durée maximale» de 1 à 4 mois, «renouvelable une fois», a depuis été étendue, mais «sans que la durée totale des opérations ne puisse excéder deux ans». La possibilité d’un «recours aux moyens de l’État soumis au secret de la défense nationale» a depuis, elle aussi, été rajoutée.
«Le texte semble s’être perdu dans les limbes»
Or, déplorent les auteurs de l’analyse, bien qu’introduite dans le Code de Procédure Pénale en 2011, cette disposition «n’a jamais été mise en œuvre, faute d’offre technologique» et ce, quand bien même «les services de renseignement ont développé des compétences en la matière, preuve qu’il n’existe pas d’obstacle technique».
Cette révélation, et ce «coupable oubli», sont d’autant plus étonnants que, soulignent les auteurs de la note, «les ministères de la Justice et de l’Intérieur, après plusieurs mois de travail, sont parvenus à un accord en mars 2017 afin de structurer l’offre étatique de logiciels espions au profit de la police judiciaire»:
«Le texte issu de ce consensus semble s’être perdu dans les limbes, victime de la fin du quinquennat. Sa publication est pourtant déterminante dans la mesure où il prévoit la création d’un service chargé de développer et de mettre à disposition des enquêteurs des solutions informatiques. Il devient urgent de le publier et de le mettre en œuvre.»
Sécurité rentière : la « tourelle », le radar qui contrôlera tout sur les routes
Il fait partie du projet de loi de finances 2018 : pour continuer à améliorer le contrôle des infractions, le gouvernement va faire déployer un nouveau radar multifonctions. Dans les faits, cette « tourelle » pourra presque tout contrôler.
Ceinture, dépassement, smartphone, vitesse, distance de sécurité, plaque d’immatriculation, passage aux feux rouges… le futur radar baptisé « tourelle » pourra, en théorie, contrôler presque toutes vos infractions. Prévu dans le projet de loi de finances 2018, c’est-à-dire le premier budget du quinquennat Macron, cet appareil d’un nouveau genre va progressivement arriver sur nos routes. 455 radars « tourelles » doivent être déployés sur le territoire d’ici fin 2018. Nom de code : Mesta Fusion.
Cette tour, plus haute et plus fine que les radars fixes traditionnels, s’ajoute au déploiement de radars urbains qui viendront se greffer, comme leur nom l’indique, au mobilier des villes. Mais c’est bien le radar « tourelle » qui concentre toute l’attention. Dans les faits, toutes les fonctions de ce nouvel appareil ne seront pas utilisées. Si l’on en croit le document du gouvernement, ce dispositif de contrôle sera « installé dans une tourelle fixe afin de contrôler le franchissement des feux rouges, la vitesse ou le franchissement des passages à niveau ».
Radio Courtoisie condamnée à 25 000 euros par le CSA
Le CSA (« Conseil supérieur de l’audiovisuel ») a rendu ces derniers jours son verdict suite à une enquête qu’il avait ouverte concernant des propos tenus à l’antenne de la radio dissidente.
L’institution avait dans le collimateur les émissions d’Henry de Lesquen (par ailleurs président de la radio de 2006 à juin 2017).
Le CSA s’en prend particulièrement à l’émission du 28 mars 2016, au cours de laquelle « l’un des invités a soutenu que l’Islam « est une religion épouvantable […] une religion de haine » » précise-t-il. « Ces propos n’ont par ailleurs suscité aucune réaction à l’antenne tendant à les modérer ou y apposer un regard critique », poursuit le CSA.
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Général Piquemal : « L’identité de la France disparaîtra si un terme n’est pas mis à cette islamisation rampante qui est due à une immigration incontrôlée »
« L’immigration est massive, incontrôlée. Cela ira vers la disparition des Etats-nation et des populations … L’identité des grands pays et notamment de la France disparaîtra si un terme n’est pas mis à cette islamisation rampante qui est due à une immigration incontrôlée ».
Le général Piquemal est interviewé par Armel Joubert des Ouches
Christian Piquemal radié des cadres de l’armée
Isère : prison et amende pour une tête de sanglier déposée devant une mosquée
De la prison et une amende pour une simple tête de sanglier déposée devant une porte… Pas de dégradation, pas d’injure, pas de graffiti, pas d’agression physique… La charia commence déjà à s’appliquer en France.
Deux jeunes habitants de Pont-de-Beauvoisin (Isère) ont été condamnés ce jeudi à 3 et 6 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bourgoin-Jallieu pour avoir accroché une tête de sanglier à la porte de la petite salle de prière musulmane de leur village.
Les Républicains proposent d’interdire la diffusion du nom et la photo des terroristes…
…Sous peine de 15 000€ d’amende ! Sous prétexte d’éviter une gloire posthume aux terroristes, des députés du parti « de droite » Les Républicains ont déposé aujourd’hui une proposition de loi visant à interdire de révéler le nom des terroristes… Le véritable motif de cette proposition de loi liberticide est bien évidement à chercher ailleurs…
Proposition en PDF : ici
Edouard Philippe annonce un nouveau « plan de lutte contre l’antisémitisme » englobant « l’antisionisme »
Dans une synagogue pour le nouvel an juif ce lundi, le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé que l’État mettrait en œuvre à partir de 2018 un nouveau « plan pluriannuel de lutte contre l’antisémitisme » « pour la période 2018-2020 ».
Rendant hommage à Manuel Valls –présent lundi soir et très applaudi– et à son « plan national de lutte contre le racisme et l’antisémitisme » de 100 millions d’euros lancé au printemps 2015, Edouard Philippe a annoncé le sien, dans la continuité du précédent.
Le chef du gouvernement a dû reconnaître que les « actes antisémites » ont baissé en 2016 (-58,5%), mais il s’est rabattu sur la « banalisation de l’antisémitisme et de sa forme réinventée (…) qu’est l’antisionisme » notamment sur les réseaux sociaux.
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A bout de nerf, une mère gifle son enfant et se fait interpeller par la BAC…
Après avoir giflé son fils de deux ans, une mère a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan. Elle a finalement été relaxée.
Une mère de famille âgée de 32 ans a été jugée par le tribunal correctionnel de Perpignan pour avoir donné une gifle à son enfant âgé de deux ans et demi. Hospitalisé pour une gastro-entérite, l’enfant refusait d’avaler ses médicaments. La mère a expliqué aux enquêteurs, puis à la barre du tribunal, qu’elle était à bout de nerf après 48 heures quasiment sans dormir à tenter de soigner son fils.
Une infirmière donne l’alerte
C’est une infirmière témoin de la scène, grâce à un hublot qui se trouvait sur la porte de la chambre, qui a donné l’alerte rapporte France Bleu Roussillon. Elle évoque un coup “violent”. La tête de l’enfant aurait été “projetée en arrière”. La mère, elle, a été placée en garde à vue par les policiers de la BAC.
Le CNNum dénonce la « spirale sécuritaire infernale » de la France
A l’occasion de l’examen du nouveau projet de loi antiterroriste, le Conseil national du numérique (CNNum) alerte sur la « trajectoire sécuritaire » du gouvernement, qu’il juge « infernale ». Un article de notre partenaire La Tribune.
Le Conseil National du Numérique (CNNum) a beau être un organe consultatif du gouvernement, cela ne l’a jamais empêché de taper sur la main qui le nourrit. Sous François Hollande, l’institution alors présidée par l’actuel secrétaire d’Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi, n’avait pas hésité à critiquer les attaques du gouvernement contre le chiffrement ou la création du méga-fichier d’identité TES, jugé trop intrusif.
En début de semaine, le CNNum a fourbi son premier rappel à l’ordre contre la politique d’Emmanuel Macron, accusée de poursuivre la « trajectoire sécuritaire » du précédent quinquennat. Dans un rapport sévère intitulé « Prédiction, chiffrement et libertés », l’organe consultatif dénonce une « situation critique » sur le plan du respect des libertés individuelles à l’heure de la révolution numérique.
« Sécurité absolue impossible à atteindre »
Inéligibilité des auteurs de propos politiquement incorrects : le Conseil constitutionnel désavoue la LICRA
En juillet, la LICRA (officine communautaire promouvant la répression du « politiquement incorrect ») avait fait adopter par l’Assemblée nationale un amendement délirant, rendant inéligibles les Français condamnés pour propos « racistes, antisémites ou homophobes » (cf article de Jérôme Bourbon ici).
Mais voilà que le Conseil constitutionnel, coincé par les textes, vient de rendre un arrêt stipulant que l’amendement n’était pas compatible avec notre Constitution…
La LICRA enrage et exige, sur un ton menaçant, encore plus de soumission des mondes politique et judiciaire.