Sécurité rentière : deux nouveaux dispositifs pour piéger les automobilistes

C’est bien connu, la République veut toujours d’argent dans les caisses. Pour que la collecte soit bonne, deux nouveaux pièges seront progressivement installés dans les années à venir sur les routes de France.

Le leurre par panneau

Ils ont la forme d’un radar, les effets dissuasifs d’un radar, mais ce ne sont que des leurres. La première zone de radars leurres en France a été installée, mardi 9 février, sur une portion d’une route départementale dans le Pas-de-Calais, entre Aubigny-en-Artois et Le Parcq.

Principe de ce nouveau dispositif appelé « leurre par panneau » ? Onze panneaux de signalisation « Pour votre sécurité, contrôles radars fréquents » ont été placés le long de la départementale 939. Mais il n’y aura en réalité qu’un seul radar, caché derrière l’un de ces panneaux, et qui sera régulièrement déplacé.

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Radar de « Stop »

Le dernier né, qui en fait n’en est pas un à proprement parler, est composé d’une caméra vidéo et d’un système de lecture automatique des plaques d’immatriculations. Sa cible? Les panneaux « stop ». Si un automobiliste s’approche de la zone en question à trop vive allure, alors le dispositif considère que le conducteur ne compte pas marquer l’arrêt et déclenche l’enregistrement vidéo ainsi que le relevé d’immatriculation. Ensuite, un policier installé dans un centre de contrôle peut constater l’infraction éventuelle et rédiger un PV électronique.

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Apple et Google résistent au FBI en refusant d’installer des « backdoors » sur leurs mobiles

La polémique enfle aux Etats-Unis sur la question du chiffrement des données et le sujet est en train de s’extraire du seul cadre des grands groupe tech, et de la problématique du respect de la vie privée des utilisateurs, pour s’inviter tout doucement dans la campagne présidentielle.

Après une plainte du FBI, un tribunal fédéral américain a mis en demeure, cette semaine, le groupe de Cupertino de débloquer l’iPhone 5C d’un des deux assaillants de l’attaque terroriste qui a eu lieu à San Bernardino en décembre dernier et a fait 14 morts. « Nous sommes obligés de résister face à ce que nous considérons être un abus de pouvoir de la part du gouvernement américain », a tranché, cinglant, Tim Cook, mercredi .

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La Turquie interdit aux médias de couvrir l’attentat d’Ankara


Aujourd’hui, un attentat à la voiture piégée contre un convoi militaire a fait au moins 28 morts et 61 blessés dans la capitale turque. Le conseil supérieur de la radio et de la télévision de Turquie a interdit la publication des photos et des vidéos liées à l’attentat à la voiture piégée contre un convoi militaire qui s’est produit le 17 février dans la capitale turque.

«L’interdiction concerne la diffusion en direct d’images du lieu de l’attentat, d’animations sur le moment de l’explosion et de ses conséquences, victimes comprises», a déclaré à l’agence russe RIA Novosti un représentant du conseil.

Les médias rapportent que l’interdiction s’étend également aux informations publiées par les journalistes sur les réseaux sociaux.

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PEGIDA : Le général Piquemal passera en comparution immédiate ce lundi

piquemalCe lundi, cinq personnes passeront en comparution immédiate au tribunal de Boulogne-sur-Mer après leur interpellation samedi à Calais lors d’un rassemblement hostile aux migrants. Parmi elles se trouve un général ancien patron de la légion étrangère, Christian Piquemal, désigné comme ayant eu « le rôle principal » dans cette manifestation interdite. Il sera poursuivi pour « participation à un attroupement qui ne s’est pas dissout après sommation » et les quatre autres personnes pour « port illégal d’armes ». Ils risquent une peine allant jusqu’à un an de prison ferme.

« On sait bien que la manifestation a été interdite et que l’autorité de l’Etat a été défiée. Le général, il n’est pas venu à Calais pour faire de la figuration », a affirmé à l’AFP le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi. Les quatres autres individus avaient été contrôlés en amont de la manifestation et portaient sur elles « des armes dangereuses » de type taser, poing américain et cutter. « Ceux là, même s’ils n’ont pas participé à la manifestation, puisqu’ils ont été contrôlés avant, ils étaient là pour en découdre: on ne vient pas à une manifestation interdite avec des armes si on n’a pas l’intention d’en découdre », a expliqué cette même source.

Samedi soir, de nombreuses réactions à l’arrestation du militaire, ancien commandant de la Légion étrangère de 1994 à 1999, et qui n’est plus en service actif, agitaient les réseaux sociaux.

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Le général Piquemal a été arrêté à Calais lors d’une manifestation de PEGIDA

Général PiquemalLe général Piquemal, ancien commandant de la légion étrangère, a rejoint le mouvement anti-immigration Pegida pour une manifestation qui se déroule à Calais malgré une scandaleuse interdiction de la part du gouvernement.

Au moins 20 autres manifestants ont également été interpellés, a indiqué un journaliste sur place, en citant un représentant de la préfecture.

La publication de cette nouvelle a immédiatement enflammé les réseaux sociaux, de nombreux internautes qualifiant cette arrestation d’«erreur stratégique» de la part du gouvernement.

Une centaine de partisans de Pegida se sont rassemblés ce samedi à Calais devant la gare, sous forte présence policière qui réclamait la dispersion du groupe de personnes.

Arrestation des manifestants à Calais

Le gouvernement interdit désormais les manifestations des opposants politiques

manif

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé mercredi l’interdiction de toutes les manifestations pouvant provoquer “des troubles à l’ordre public” à Calais (Pas-de-Calais), alors que la branche française du mouvement anti-islamisation Pediga comptait défiler ce week-end dans le centre-ville.

J’ai demandé à la préfète [sic] du Pas-de-Calais de procéder à l’interdiction de toutes les manifestations, quels que soient leurs organisateurs, qui sont susceptibles d’occasionner des troubles à l’ordre public”, a indiqué Bernard Cazeneuve. Le ministre de l’Intérieur a également précisé que l’interdiction concernait “tous ces groupes qui appellent à la tension, à la division et à la violence” et qu’elle durera “aussi longtemps que le climat actuel demeurera”.

(source Europe 1)

Le gouvernement français s’arroge donc le droit de déterminer quelle manifestation légalement déposée est politiquement légitime. Un recul spectaculaire des libertés fondamentales en France.

L’abbé Beauvais à nouveau devant les juges pour injure raciale envers Taubira

cap« Poursuivi pour injure raciale, l’abbé Xavier Beauvais, relaxé en premier instance, est jugé ce mercredi en appel au palais de justice de Paris. Cet ancien curé de la paroisse intégriste de Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris, qui officie maintenant à la paroisse Saint-Pie X de Marseille, avait crié, lors d’une manifestation anti-mariage homosexuel, à l’appel du mouvement Civitas: «Y’a bon Banania, y’a pas bon Taubira.» Ces faits remontent au 20 octobre 2013.

Jugé une première fois le 25 mars 2015, l’ecclésiastique avait plaidé l’ignorance. Face à ses juges, vêtu d’une soutane, il avait expliqué que, n’ayant ni ordinateur ni téléphone portable, ne lisant pas les journaux, ne regardant pas la télévision, il ne connaissait pas la connotation raciste de l’ancien slogan de la marque de chocolat en poudre. Le slogan «Y’a bon Banania» est interdit depuis 2011 sur les produits de la marque.

A la barre, l’abbé avait expliqué qu’il entendait ainsi opposer la référence à la famille que représente pour lui Banania, à l’«élément de destruction de la famille» qu’est pour lui la loi Taubira sur le mariage homosexuel. Il avait ajouté que le tirailleur sénégalais, icône de la marque de chocolat en poudre, s’était «battu pour la France» tandis que, de son point de vue, la ministre de la Justice se battait contre. «Je ne suis pas raciste, c’est contraire à ma religion», avait-il assuré à la barre.

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Nantes : une conférence nationaliste interdite par le préfet ! Sur pression des antifas et de… l’extrême-droite

A Nantes, une conférence était prévue ce samedi 16.

Consacrée à l’Ukraine, elle devait recevoir un ancien combattant du régiment Azov, unité composée de nationalistes et qui s’est illustrée sur le front, face aux séparatistes pro-Kremlin.

Une réunion privée, dans un lieu privé, avec une publicité restreinte.

Mais c’en était déjà trop pour certains hystériques – qui fantasment surtout sur d’hypothétiques valises de billets venant du Kremlin -, pour les « antifas » qui sont terrifiés à l’idée que des nationalistes puissent – même si c’est à 2500 km – porter des armes et s’opposer victorieusement à leurs compères locaux, et pour le lobby juif toujours désireux d’exercer son pouvoir.

On a ainsi pu assister à une campagne de calomnie éhontée sur internet, où des communistes et malheureusement une certaine droite nationale (le blog d’informations du FN ou encore Media-Presse-info par exemple), ont diffusé les bobards de guerre les plus grossiers :
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Un décret autorise les captations de données et de conversations Skype en temps réel

Skype étant le principal logiciel de discussion en ligne.

« Dans le calme d’un dimanche précédent le début des vacances de Noël, le gouvernement a publié au Journal officiel un décret autorisant les forces de l’ordre à surveiller toutes les informations apparaissant sur l’ordinateur d’un suspect (de ses conversations Skype à ses sites consultés), dans le cadre de procédures judiciaires.

Permettre à des enquêteurs de capter en temps réel (et à distance) les données informatiques de suspects, c’est possible.

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France 2015 : un septuagénaire mis en examen pour tentative de meurtre sur son cambrioleur

Le pauvre homme n’a pas voulu se laisser faire… Il a d’abord tenté de refouler l’intrus avec un bâton, puis avec une balle en caoutchouc… Il sera finalement mis en examen pour tentative de meurtre…

Un Bisontin de 74 ans a vu un cambrioleur rentrer chez lui samedi soir. Il a tenté de le chasser à coup de bâton mais le jeune homme n’a pas pris la fuite et s’est attaqué au septuagénaire. Le vieil homme s’est dégagé, a récupéré son fusil dans la pièce voisine et il a tiré sur le cambrioleur.

La balle en caoutchouc du fusil de chasse a blessé grièvement le cambrioleur au cou mais ses jours ne sont pas en danger. Les faits se sont déroulés entre les quartiers Planoise et des Vallières de Besançon. Aujourd’hui, l’habitant a été mis en examen pour tentative de meurtre et il devrait être placé sous contrôle judiciaire. Source

Wi-Fi interdit, Tor bloqué, backdoors… les nouvelles idées liberticides qu’étudie le Ministère de l’Intérieur

« Les services du ministère de l’Intérieur envisagent de nombreuses mesures pour renforcer une nouvelle fois la sécurité [sic] au détriment des libertés. Coupure obligatoire de tout réseau Wi-Fi ouvert, blocage des réseaux d’anonymisation et fourniture des clés de chiffrement des messageries font partie des pistes soumises à arbitrage.

La liste des mesures envisagées par le gouvernement pour renforcer la sécurité au détriment de la liberté et de la vie privée s’allonge. Alors que le gouvernement envisage déjà de nouvelles lois sécuritaires qui permettraient par exemple de croiser tous les fichiers de données personnelles détenues par l’État, d’obliger à l’installation d’émetteurs GPS sur les voitures louées, d’allonger la durée de conservation des données de connexion ou encore de faciliter le recours aux IMSI-catchers, Le Monde évoquait de nouvelles mesures recensées par le ministère de l’Intérieur.

Le quotidien a en effet pu consulter un tableau édité en interne le mardi 1er décembre par la direction des libertés publiques et des affaires juridiques (DLPAJ), qui dépend du ministère de l’Intérieur de Bernard Cazeneuve. C’est elle qui prépare les projets de lois et de décrets relatifs aux libertés publiques et à la police administrative. C’est donc dans ce cadre, pour rédiger deux nouveaux textes législatifs — l’un sur l’état d’urgence, l’autre sur l’anti-terrorisme, que la DLPAG a dressé les mesures demandées par la police ou la gendarmerie qui pourraient être inscrites dans les textes attendus pour janvier 2016.

Parmi ces mesures qui ne sont encore que des hypothèses de travail figure une série de nouvelles restrictions aux libertés sur Internet :

Répression démesurée face à un petit patron dissident

mais la République n’aime pas qu’on la touche au portefeuille…

Thierry Borne est chef d’entreprise. Président du « Parti de Rien », il milite pour « l’éviction de la classe politique au pouvoir et l’instauration d’une démocratie réelle en France ». Le communiqué suivant a été publié sur sa page Facebook le 9 décembre 2015.

« Il y a un début à tout.

Depuis des mois, j’ai écris beaucoup de textes pour réveiller la population. Humblement, il m’a semblé avoir raison de le faire. J’ai régulièrement utilisé le « nous ». Aujourd’hui il est temps que je m’exprime en mon nom.

Ce matin une quarantaine de gendarmes armés de mitraillettes ont pris possession de mes Ecuries et de mon restaurant. Mon délire ? Ne plus être affilié au régime soi-disant obligatoire. Effectivement, j’ai fait cela sans aide extérieure, en provoquant le système. Mais je l’ai fait dans le respect de nos lois constitutionnelles et en application des directives européennes sur la libre concurrence des banques et des assurance. Un dossier vieux de plus de vingt ans. Aujourd’hui, alors que que la France a été condamné par la Cour européenne pour non-application de cette réglementation, le pouvoir en place veut me mettre à genou pour me faire taire. Les magistrats véreux mangent dans la main de son qui leur distribue leurs avancements. On a viré mes 13 employés légaux alors que l’État crapule emploie plus de 44 000 personnes illégalement.

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Valls veut interner les personnes fichées S

Attention ! Projet très dangereux pour tous les opposants au gouvernement socialiste ! Il est utile de rappeler que ce ne sont pas exclusivement les jihadistes qui sont fichés « S », mais tous les contestataires (patriotes, catholiques, communistes etc…) du pays.

Trouvé sur 20minutes : Jusqu’où ira le gouvernement dans la lutte contre le terrorisme ? Difficile d’y répondre à la lecture du document soumis par Manuel Valls au Conseil d’Etat et mis en ligne ce mercredi sur le site Lundi MatinLe projet de réforme constitutionnelle, qui vise à inscrire l’état d’urgence et la déchéance de nationalité des binationaux dans la constitution, a été soumis à l’avis de la plus haute juridiction administrative.

Centre de rétention et bracelets électroniques

Au-delà du détail des futurs articles, déjà publiés dans la presse, le texte interroge sur la légalité de trois mesures : le placement en centre de rétention « à titre préventif, de personnes radicalisées (NDCI : définition de radicalisé ?), présentant des indices de dangerosité et connues comme telle par les services de police » et de « personnes ayant déjà fait l’objet d’une condamnation à une peine d’emprisonnement pour des actes de terrorisme » et à défaut, le placement des « personnes radicalisées (…) sous surveillance électronique ».

Contacté par 20 Minutes, le Conseil d’Etat précise qu’il ne divulgue jamais d’informations sur son activité en lien avec le gouvernement, « si des précisions doivent être communiquées, c’est le gouvernement qui s’en chargera lui-même ». Matignon, pour sa part, n’était pas en mesure de répondre à nos sollicitations.

La République prévient qu’elle va violer « les droits de l’homme » !

Les « Droits de l’homme » sont, on le sait, une fumisterie qui permet de faire avancer l’idéologie républicaine totalitaire et le mondialisme. Si l’on est à contre-courant ou si l’on propose une alternative nationaliste, on se retrouve au bout du compte accusé de menacer les sacro-saints « Droits de l’homme ».

Mais voilà qu’on apprend que la République s’apprête à violer elle-même ces nouveaux textes sacrés !
On voit encore une fois toute l’hypocrisie du pouvoir…

« C’est officiel : la France envisage de déroger aux Droits de l’homme, dans le cadre de l’état d’urgence décidé après les attentats.
Le gouvernement a lui-même envoyé un courrier au Conseil de l’Europe pour l’en informer. « Les autorités françaises ont informé le Secrétaire Général du Conseil de l’Europe d’un certain nombre de mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence […], mesures qui sont susceptibles de nécessiter une dérogation à certains droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme« , peut-on lire sur le site du Conseil. Une procédure nécessaire pour se prémunir d’un éventuel procès auprès de la Cour européenne des Droits de l’homme (CEDH). »

Concrètement, le ministère de l’Intérieur a désormais la possibilité d’ordonner des perquisitions, de jour comme de nuit, sans passer par une autorité judiciaire. Durant ces perquisitions, les policiers peuvent notamment fouiller et copier toutes les données informatiques qu’ils souhaitent. Autre mesure concernée : l’élargissement des assignations à résidence à n’importe quelle personne pour laquelle il y a « des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l’ordre public ». On sait ce que ça veut dire.

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Avranches : après les attentats, ils avaient tiré sur un kebab et finiront en prison

Capture

Alors que les racailles doivent avoir un casier long comme le bras avant de prendre de la prison ferme, que les magistrats leur trouvent toutes les raisons du monde de les excuser, les patriotes ne bénéficient pas du même traitement de faveur.

Les deux hommes ayant tiré sur la vitrine d’un kebab à Avranches ont été condamnés à de la prison ferme, ce mercredi 25 novembre. L’un des prévenus a expliqué son geste « à cause du trop plein d’arabes ». Une réaction aux attentats de Paris qui les enverra derrière les barreaux.

Dans la nuit du 19 au 20 novembre, deux jeunes ont tiré un coup de fusil dans la vitrine d’un kebab d’Avranches. Rapidement interpellés, ils étaient présentés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Coutances, ce mercredi 25 novembre.

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