L’antifrançais Badinter a été panthéonisé

Un homme haineux et hargneux, qui fut particulièrement nuisible à la France

Le « Panthéon », qui est – rappelons-le – une église volée, confirme un peu plus son statut de déchetterie républicaine, avec la venue triomphale de Robert Badinter.

Enfin, venue symbolique, car c’est un cercueil vide qui a été porté solennellement dans l’édifice, la dépouille de ce « saint » du Système (mort en février 2024 à l’âge de 95 ans) repose toujours au carré juif du cimetière de Bagneux ; en effet, sa femme, la très malfaisante Elisabeth Badinter (riche socialiste, fille du fondateur de Publicis Marcel Bleustein), n’a pas voulu qu’elle soit déplacée. Elle a avancé un motif romantique (être enterrée avec lui à sa mort), mais le doute est permis : est-ce par exemple la croix qui s’élève encore au sommet du Panthéon qui gêne cette farouche « laïcarde » ?

La tombe du « grand homme » du moment a d’ailleurs été souillée d’un graffiti ce jeudi, provoquant une grande indignation médiatique. Or, si effectivement cet acte est lamentable (mais qui est l’auteur ? On n’est pas à l’abri, une nouvelle fois, de provocations), on ne se souvient pas d’un tel émoi à propos du véritable saccage de la tombe de Jean-Marie Le Pen (attaquée à la masse, la croix étant brisée en plusieurs morceaux), trois semaines après son inhumation ; d’ailleurs, depuis, l’enquête n’a pas avancé d’un centimètre…

Il faut rappeler en quelques mots qui était ce Robert Badinter.  Fils d’immigrés juifs de Moldavie tout juste « naturalisés français » et sans attaches particulières, Robert Badinter devint professeur de droit et avocat, en droit commun et des affaires, faisant fortune dans ce deuxième domaine.

Mais il se rendit célèbre en tant qu’avocat de meurtriers, en combattant dans ses plaidoiries, avec grandiloquence, la peine de mort.
Il défendit notamment, avec succès, plusieurs assassins d’enfants… leur évitant la peine capitale.
Parmi ses dernières victoires, il y a le sauvetage de Patrick Henry, en 1977, qui avait enlevé et assassiné un garçonnet de 7 ans (l’étranglant, de face, tandis qu’il appelait son père à l’aide), ainsi que Mohamed Yahiaoui, en 1978, qui avait assassiné un couple de boulangers (défigurés au couteau et égorgés), ou encore, en 1980, Norbert Garceau, qui avait assassiné une jeune femme (alors qu’en 1953, il avait déjà étranglé une jeune fille de quinze ans et avait été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, puis libéré en 1972 !)…

Très hostile à la liberté de recherche historique et à la liberté d’expression, il consacra son dernier procès avant de devenir ministre de la Justice, à faire condamner Robert Faurisson, en 1981.

Parallèlement à sa carrière d’avocat, ce riche homme de gauche fut militant au parti socialiste et, cette même année, devint ministre de la Justice, sous Mitterrand.

Il s’illustra alors en présentant à l’Assemblée le projet de loi abolissant la peine de mort, qui fut adopté cette même année 1981.

Rappelons que la peine de mort n’était plus appliquée, dans les faits, depuis plusieurs années. Mais c’est une victoire symbolique forte pour Badinter, qui décapita ainsi l’échelle des peines traditionnelle.
Les assassins furent soulagés. Tant pis pour les victimes (en particulier celles qui seront victimes de récidivistes, et qui auraient donc été sauvées par la peine de mort)…

Cet homme imprégné d’idéologie cosmopolite s’est aussi, à ce poste, signalé par un renforcement de la domination du droit européen sur le droit français, ou encore par son soutien à l’homosexualisme le plus sordide : il a fait supprimer la disposition légale pénalisant les relations homosexuelles avec un mineur… !
Oui : Badinter et ses compères socialo-communistes ont voulu que les mineurs puissent légalement (à partir de 15 ans) se faire sodomiser par des adultes…

Ils détruisirent ainsi un peu plus la civilisation et les protections qu’elle permettait envers les jeunes.

Devenu président du Conseil constitutionnel en 1986, il en a fait un bastion de la gauche (c’est toujours le cas, avec le sinistre Fabius à sa tête) et une arme du « gouvernement des juges » face au politique (et surtout, évidemment, face à la politique de droite). Charles Pasqua mit d’ailleurs à l’époque, déjà, en cause son impartialité lorsque le Conseil annula huit articles de sa loi sur l’immigration…

Derrière le masque du super-républicain, il y avait un communautariste véhément et vigilant, soucieux du bien-être des siens et endogame, mais qui parallèlement a passé son temps à culpabiliser les Français en dénonçant un fumeux racisme, incitant ainsi au génocide par métissage du peuple qui l’avait accueilli et enrichi ; c’était un faux gentil, dont le visage exprimait facilement la haine la plus féroce, la hargne la plus tenace, dès qu’il s’agissait des causes communautaires, qui prévalaient pour lui par-dessus tout ; c’était un faux humaniste, qui fut avec sa réforme le bienfaiteur des pires criminels, au mépris des victimes et au détriment des citoyens innocents ; c’était, évidemment, un faux sage, militant pour les pires causes et verrouillant le système au profit de la gauche, contre le principe démocratique.

Une belle canaille, un « saint » convenable pour ce régime désastreux à bout de souffle.

PS : ayons une pensée pour les victimes oubliées de l’affaire du talc Morhange, en 1972, quand 36 bébés moururent empoisonnés par du talc toxique, et que près de 200 autres furent gravement intoxiqués, certains restant lourdement handicapés. Badinter fut l’avocat du puissant PDG fautif, et au procès, s’en prit avec brutalité (dixit le JT de l’époque) aux parents dans l’épreuve, prétendant qu’ils étaient là pour l’argent, et ne manifestant aucune empathie envers ces membres endeuillés de la France populaire, laborieuse et honnête.

Ce beau château appartient au CSE de France Télévision

Dans la série : « où partent les impôts des Français ? »

Le Comité interentreprises de FranceTélévision – l’agglomérat de plusieurs chaînes de propagande gaucho-mondialiste payé par le contribuable – est propriétaire de ce château en Dordogne : 115 hectares de terrain et une piscine privée qui, comme l’a révélé la Cour des comptes, a couté à elle seule 1 000 000 € !

29 septembre : la saint Michel !

Saint Michel au sommet de la flèche de l’Abbaye du Mont Saint-Michel © Ibex73 Creative Commons

La fête de l’archange Saint Michel est très populaire chez les Chrétiens.
C’est le plus grand des anges, vainqueur de Lucifer, chef de la « milice céleste », « défenseur de la foi », mais aussi… ange protecteur de la France !

Il est le patron des soldats (et en particulier des parachutistes) et de nombreux corps de métier.

Ci-dessous un article de présentation de l’archange paru dans l’excellente revue L’Héritage.

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Condamnation de Sarközy : justice peut-être partiale, mais Justice immanente

L’ancien président de la République a été condamné à 5 ans de prison, qu’il va devoir effectuer prochainement malgré son appel, pour « association de malfaiteurs », dans le cadre de l’enquête sur le financement libyen de sa campagne électorale de 2007. Il a été disculpé d’autres accusations, faute d’éléments tangibles (l’homme d’affaires Ziad Takieddine, mort il y a quelques jours, affirmait avoir remis 5 millions d’euros à Sarközy et Claude Guéant).
Deux de ses proches (Brice Hortefeux et Guéant) étaient secrètement aller rencontrer Abdallah Senoussi, numéro 2 du régime de Kadhafi, mais aussi terroriste d’État responsable de la mort de 140 Français dans le vol UTA 772 en 1989. Pour manigancer quoi ?
C’est ce point qui a permis la condamnation de Sarközy.

De nombreux commentateurs médiatiques et politiques s’étonnent de la condamnation et de sa sévérité au regard de la faiblesse des éléments recevables, l’enquête n’ayant pas réussi à établir beaucoup de faits.
D’autres évoquent le cas d’Al Capone, le célèbre parrain maffieux italo-américain, qui, inattaquable pour ses meurtres, est tombé finalement pour « fraude fiscale ».

Les droitards sont en tout cas effondrés. Quel peuple d’éternels cocus !
Car même si Sarközy n’était pas formellement un « malfaiteur », c’est un malfaisant de la pire espère !
Il fut l’un des dirigeants les plus catastrophiques de l’histoire (en passe de se terminer, sauf sursaut) de France, comme nous allons le rappeler brièvement pour les Français à la mémoire si faible.
Aussi, même si dans cette affaire il était condamné à tort par une caste judiciaire haineuse et partiale, qui prend de plus en plus de pouvoir, en plus d’être à gauche, et qui doit être combattue, Sarközy mériterait les travaux forcés à perpétuité pour le tort qu’il a fait au pays dont il a eu l’honneur d’être responsable, et qu’il méprisait en réalité.

Rappels sur l’activité de Nicolas Sarközy :

Politique intérieure :

– le Traité constitutionnel européen : refusé par référendum en 2005, ce projet d’asservissement de la France à l’Union européenne a été, sous l’impulsion de Sarközy, ressuscité sous forme du traité de Lisbonne, ratifié par voie parlementaire en 2008 sans consultation populaire.

– Immigration : sous Sarközy, l’immigration légale a atteint un pic de 250 000 titres de séjour annuels, malgré sa rhétorique de fermeté. Sa loi de 2006 sur “l’immigration choisie” a été un échec, avec seulement 14% d’immigration professionnelle contre un objectif de 50 %.

– « Discrimination positive » : Sarközy bafoua le principe de lutte contre les discriminations – déjà scandaleux – et mit en place officiellement une discrimination contre les Français de souche, en l’appelant de la façon la plus mensongère « discrimination positive ».

– Partisan résolu du grand Remplacement, il affirma publiquement que le métissage,  “Ce n’est pas un choix, c’est une obligation”.

Une véritable obsession :
sarko
Contrairement à ce que prétend ce bonimenteur, la consanguinité n’a jamais tué une société ou un peuple : elle est problématique dans le cadre d’union entre membres d’une même famille ou dans un cadre très restreint (un village, au fil des générations). Strictement rien à voir avec un peuple ou une race.
Ajoutons qu’en 2010, Carla Bruni, son épouse, parla en privé d’un « vieux sang pourri » qui coule dans les veines des Français, en référence à leur supposée frilosité face à l’immigration et au métissage…
Rarement dans l’histoire de l’humanité un peuple a été dirigé par des gens qui le méprisaient autant, et souhaitaient si fortement sa disparition.
En 2021, après une condamnation, Sarközy expliquait de façon délirante que les juges avaient été méchants avec lui car il leur avait grosso modo reproché autrefois d’être trop blancs :

J’ai toujours dit, et je le maintiens, qu’il est nécessaire d’avoir plus de diversité dans le recrutement des magistrats. J’ai rappelé un jour que j’étais moi-même un « petit Français de sang mêlé » : j’aimerais que ces « Français de sang mêlé » soient mieux représentés dans toutes les corporations. Les civilisations disparaissent sous l’effet de la consanguinité, pas sous celui de la diversité. C’est ce que j’avais voulu dire à l’époque. Et c’est cela qui justifierait une vengeance ?

Comme si les magistrats de gauche avaient eu un réflexe ethnique français ! Quelle défense indigne… Quelle indignité…

– Ruine d’EDF avec la loi NOME : adoptée en 2010 sous l’impulsion de François Fillon et Sarközy, elle a imposé à EDF de vendre son électricité nucléaire à un prix sous-évalué à ses concurrents via l’Arenh (Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique), qui eux n’avaient pas investi dans ses infrastructures.  EDF a dû vendre à de simples entreprises commerciales à un coût inférieur à ses coûts de production.

– En 2009, il a impulsé la départementalisation de Mayotte, effective en 2011 : une catastrophe économique et démographique pour la France.

– Théorie du genre à l’Éducation nationale : en 2011, sous son mandat, des manuels scolaires de SVT ont commencé à intégrer des chapitres sur « le genre », prétendant que l’identité sexuelle était socio-culturelle autant que biologique.

– Fin de la double peine : la réforme de 2003, impulsée par Sarközy comme ministre de l’Intérieur, a limité les expulsions automatiques d’étrangers délinquants. Il fallait donc garder ici des malfaiteurs administrativement étrangers, leur laissant loisir de nuire encore. Peu de pays acceptent une telle folie.

– Saccage de l’Hôpital public : les réformes hospitalières de 2009 (loi HPST) ont abouti à des budgets rognés et fermetures de lits.

– Vente de 20% des réserves d’or : en 2004, comme ministre, Sarközy a vendu près de 600 tonnes d’or de la Banque de France pour 4,67 milliards d’euros. Une très mauvaise opération (voir ici).

– Ouverture à gauche et promotion du remplacisme : sitôt élu sur une ligne de droite dure, Sarközy a ouvert son gouvernement à des figures comme le socliaste Bernard Kouchner aux Affaires étrangères, le socialiste Éric Besson à la Prospective, Rachida Dati (Justice), Fadela Amara (politique de subventions des quartiers ethniques), ou Ramatoulaye Yade. Application de la « discrimination positive ».

– Suppression du crime de haute trahison : la révision constitutionnelle de 2007, sous son impulsion, a remplacé la “haute trahison” par un vague “manquement aux devoirs”. Une protection pour l’avenir ?

– Maintien des Accords d’Évian : Sarközy a préservé les facilités d’immigration algérienne issues des accords de 1962, malgré les appels à leur renégociation, favorisant un flux migratoire incontrôlé.

– Enterrement du rapport sur le financement des syndicats : en novembre 2011, sous son mandat, un rapport parlementaire explosif sur les financements opaques des syndicats et patronat (plus de 5 milliards d’euros annuels, avec des abus via les comités d’entreprise et des publicités suspectes dans les publications) a été rejeté et “enterré” par l’Assemblée, malgré six mois de travail et 45 auditions. Cette décision, prise à la veille des élections présidentielles de 2012, visait à se concilier la gauche syndicale en vue de la réélection de Sarközy.

– Constructions de mosquées : en 2006, le rapport Machelon, commandé par Sarközy, ministre de l’Intérieur, a permis l’autorisation des subventions indirectes communales aux lieux de culte, et encouragé les baux emphytéotiques (souvent à 1 euro/an), contournant la loi de 1905. Cela a accéléré surtout, évidemment, la construction de mosquées (près de 2 500 en 2012), souvent financées par des fonds étrangers, notamment qataris.

– Débat truqué sur l’identité nationale lancé en novembre 2009 par Éric Besson, ministre de l’Immigration avec le “grand débat sur l’identité nationale”. Ce sujet crucial a été transformé en un exercice de communication pro-multiculturaliste et pro-immigrationniste.

– Soupçons de collusion avec Bernard Tapie : en 2007, alors président, Sarközy est soupçonné d’avoir influencé la décision de recourir à un arbitrage privé (« simulacre d’arbitrage » dixit le juge d’instruction) en faveur de Bernard Tapie (qui empochera 400 millions d’euros) plutôt qu’à une procédure judiciaire classique pour régler son différend avec l’entité publique gérant les dettes du Crédit Lyonnais…

— Flicage et racket des Français : tout en développant l’invasion migratoire, il mit en place un système de surveillance et de restrictions des libertés des Français, au nom de la sécurité. Sur internet : « la propagation et l’apologie d’idéologies extrémistes [sic] seront réprimées par un délit figurant au code pénal, avec les moyens qui sont déjà ceux de la lutte antiterroriste ». (2012)
A l’Intérieur, il a fait installer des centaines de radars contre les automobilistes : « Ces radars ne seront plus annoncés par des panneaux et ne pourront plus être signalés en tant que tels par les systèmes d’avertissement entre automobilistes ». Heureusement, ce dernier point sera invalidé en justice.

– Explosion de la dette publique française : de 2002 à 2006 (Sarközy ministre de l’Economie puis de l’Intérieur) : augmentation de 299 milliards d’euros. De 2007 à 2012 (Président) : augmentation de 682 milliards d’euros.

Politique étrangère :

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C’était un… 19 septembre

1793 : à Torfou, victoire des Vendéens, commandés par Charette, face à l’armée dite « de Mayence », des soldats républicains commandés par Kleber.

► pour des livres, bandes dessinées et DVD sur la chouannerie et les guerres de Vendée, voir ici.

1812 : mort à Francfort, de Meyer Amschel Rothschild, le fondateur de la puissance financière de la famille.
Destiné à devenir rabbin, il entra chez un banquier de Hanovre où il se constitua un petit capital qui lui permit de s’installer comme prêteur et changeur à Francfort.
Il gagna la confiance du Landgrave de Hesse et devait rendre des services à l’Angleterre en lutte contre la France.
Il laissa cinq fils, anoblis par l’empereur Habsbourg d’Autriche en 1815 et faits barons en 1822. Son fils Nathan se constitua une énorme fortune en manipulant les cours de la bourse à l’occasion de la bataille de Waterloo.

1826 : disparition de William Morgan, ancien franc-maçon qui menaçait de dévoiler les secrets de la maçonnerie américaine. Le 10 septembre précédent, l’imprimerie qui devait publier son ouvrage fut incendiée. Le lendemain, Morgan fut arrêté sous un prétexte fallacieux. Rapidement disculpé, il fut à nouveau arrêté pour une dette de 2,68 dollars remontant à plus de cinq mois. Un inconnu régla sa dette le 12 septembre et emmena Morgan.
Il disparut finalement le 19 et ne fut jamais retrouvé vivant, ayant été très certainement tué par des « frères ». En octobre 1827, son corps fut repêché dans le lac Ontario. Le scandale fut énorme.
Dès 1828 fut fondé le « Parti anti-maçonnique ». Son candidat obtint, aux élections de 1832, plus de 1 300 000 suffrages et le parti compta jusqu’à 25 représentants à la Chambre, l’année suivante.
Entre 1827 et 1830, le nombre de loges de New York passa de 480 à 30 et celui de leurs membres de 20 000 à 3 000. Les loges ne reprirent leur essor qu’à partir de 1840.

1846 : apparition de la Sainte Vierge à la Salette (Isère), devant Maximin Giraud (11 ans) et Mélanie Calvat (14 ans).

« On ne respecte plus le dimanche, jour du Seigneur, on jure sans cesse en ne respectant pas le nom de mon Fils. Si mon peuple ne se convertit pas, il lui arrivera de grands malheurs. Je ne peux plus retenir le bras de mon Fils »

► pour des livres sur la Salette, voir ici.

1870 : début du siège de Paris par l’armée prussienne.

1914 : bombardement de la cathédrale de Reims par l’artillerie allemande.
Le toit, la charpente et le clocher de l’ange sont détruits. Le retentissement est mondial et Reims, déjà bombardée plusieurs fois, acquiert le statut de ville martyre.

la cathédrale de Reims en feu après le bombardement.

1946 : appel de Churchill, à Zurich, pour une union européenne. Ce jour peut être considéré comme la date de lancement de l’UE.

Source : Ephémérides nationalistes

Assaillant fou au couteau : la réaction ahurissante du gouvernement tunisien

Le 2 septembre, à Marseille, un Arabe de 35 ans attaquait et blessait 5 personnes à coups de couteau, avant de menacer une patrouille de police qui était venue à sa rencontre.
Il s’est avancé vers elle en brandissant ses grands couteaux, malgré les avertissements. Les policiers ont été évidemment contraints de lui tirer dessus. On peut voir la video de la fusillade sur internet, et elle ne laisse aucun doute sur le bien-fondé des tirs des policiers.
Il n’a pas survécu, ce qui a épargné aux Français une longue et coûteuse procédure judiciaire, ainsi qu’un coûteux séjour en prison, avant qu’il soit relâché pour pouvoir recommencer.

Mais ce qui s’est passé ensuite est ahurissant :

Le ministère des affaires étrangères tunisien a annoncé, dans un communiqué, avoir convoqué le chargé d’affaires par intérim de l’ambassade de France à Tunis pour lui faire part de sa « vive protestation ». Le ministère a précisé lui avoir demandé « de transmettre aux autorités de son pays le fait que la Tunisie considère cet incident comme un meurtre injustifié, et attend de la partie française toute la rigueur et la célérité nécessaires dans l’enquête ». (source)

Pour qu’un petit pays ose ainsi – au lieu de se confondre en excuses – se plaindre de la mise hors d’état de nuire de ses criminels les plus furieux en dit long sur la considération dont jouit la France dans le monde  : un paillasson pour ceux qui la submergent et pour ceux qui la voient de l’extérieur.
Il aurait fallu le laisser tuer les policiers et poignarder d’autres personnes jusqu’à ce qu’il se lasse ?!

Cela en dit aussi long sur la mentalité des dirigeants de ce petit pays musulman présentés comme raisonnables…

 

 

11e Dimanche après la Pentecôte – textes de la messe commentés

Nous vous proposons une présentation des textes liturgiques propres à ce dimanche (rite catholique traditionnel, tel que le suivaient nos aïeux), avec leur commentaire.

« Les miracles du Sauveur sont plus qu’un simple signe de sa puissance et de sa bonté ; ils sont en même temps le symbole de ce que sa grâce opère à l’intime des âmes. L’ « Ephphetha » qui a guéri le sourd-muet, l’Église le redit sur chacun de nous au baptême : ouvre-toi pour entendre les promesses de Dieu, ouvre-toi pour les proclamer.
L’Église nous fait encore chanter aujourd’hui la toute-puissance et l’infinie bonté de Dieu, qui rassemble et réjouit son peuple par la protection qu’il lui donne (intr., offert.). Il nous a faits pour lui et connaît les besoins profonds de nos âmes ; il nous exauce au-delà même de nos désirs (coll.). C’est également la grâce divine qui  donne aux ministres de l’Évangile des possibilités d’influence et de rayonnement surnaturels qui ne peuvent venir que de l’Esprit de Dieu (Ép.). »

Dom G. Lefebvre

 

TEXTES AVEC COMMENTAIRE DE DOM GUÉRANGER
(dans l’Année liturgiquedisponible ici avec ses autres livres)

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La présidente d’extrême-gauche des « Scouts de France » démissionne et est remplacée

Marine Rosset

Marine Rosset a quitté ses fonctions de présidente des soi-disant « Scouts et Guides de France », deux mois après son élection, suite à une certaine émotion soulevée par son profil : elle dénonce maintenant de l’« homophobie », alors que c’est son gauchisme forcené qui a le plus choqué. Elle est en effet lesbienne militante (pas simplement homosexuelle), prétendument « mariée » à une femme, ayant eu un malheureux enfant né par PMA (« Cet enfant a deux mères [sic]. Dans des pays déjà dirigés par l’extrême droite, comme l’Italie, notre famille [sic] n’existerait pas »), militante et candidate du parti socialiste…
Sa démission est une bonne nouvelle (tout n’est pas encore possible dans ce pays où l’on marche sur la tête), mais il ne faut pas rêver : son remplaçant, Pierre Monéger, a des idées aussi tordues que Rosset (« « Je resterai fidèle aux lignes que Marine Rosset avait impulsées. »)

Pour rappel, Marine Rosset avait élue par 22 voix sur 24 membres du Conseil d’Administration de l’association. Celle-ci est donc profondément vérolée, et n’a plus grand chose de catholique, ni de scout.
Les parents catholiques qui y inscrivent leurs enfants commettent une faute morale, alors que de nombreux mouvements plus décents existent.

 

Les subventions délirantes ou scandaleuses accordées par la ville de Paris en 2024

La qualité de vie se dégrade toujours plus dans la capitale, qui s’enlaidit chaque mois davantage, et on pourrait croire que la ville n’a pas les moyens d’entretenir ne serait-ce que ses rues, quand on voit leur état souvent lamentable et parfois dangereux.
Mais en réalité, il y a de l’argent pour certains !

On peut accéder ici au fichier public présentant les subventions aux associations votées par la municipalité parisienne.

Alors que la veille de Paris est maintenant endettée à hauteur d’environ 10 milliards d’euros (!!) –Hidalgo ayant fait doubler le montant de la dette que son prédécesseur socialiste Delanoé avait déjà fortement aggravé –, la gauche distribue l’argent public à des centaines d’associations et de projets délirants, qui n’ont rien à voir avec l’intérêt des Parisiens, mais correspondent à ses lubies idéologiques (immigrationisme, dépravation des moeurs, art dégénéré…).
Sans oublier bien sûr le clientélisme : c’est comme ça que ces gens se maintiennent au pouvoir malgré des résultats désastreux, que tout le monde constate.

Quelques exemples pour 2024 seulement :

– Institut des cultures d’islam : 1,5 million d’€
– France terre d’asile : 920 000
– Assemblée citoyenne des originaires de Turquie : 64 000
– Migrations Santé France () : 32 000
– Kabubu (lien social entre « personnes exilées ») : 30 000
– UNEF, association d’étudiants d’extrême-gauche : 20 000
– UGOP (« Lutte contre discriminations sexistes et LGBTphobes dans le sport
») : 14 000
– SOS Racisme : 10 000
– Collectif intersexe activiste (« droits intersexes ») : 10 000
– Tous bénévoles (accueil des migrants) : 10 000
– « Aide à l’intégration des migrants suédophones afghan.e.s » : 6 000
– CHINOIS DE FRANCE FRANÇAIS DE CHINE (« Accès aux droits et au numérique pour les migrants chinois ») : 5 000

Le directeur de l’Aide sociale à l’enfance du Pas-de-Calais condamné pour détention d’images pédopornographiques

L’Aide sociale à l’enfance (ASE, anciennement DASS), structure française qui s’occupe de plus de 300 000 enfants, dont une bonne partie enlevés à leurs parents (et pour une partie de ces derniers, de façon très discutable ou du moins très contestée) est restée dans l’ombre médiatique pendant très longtemps, mais le mur du silence se fissure semble-t-il.
Il est désormais public que plus de 15 000 mineurs sous sa responsabilité sont prostitués.

On vient d’apprendre que

Patrick Genevaux, 39 ans, responsable du pôle solidarités du conseil départemental du Pas-de-Calais et donc de l’aide sociale à l’enfance, a été condamné vendredi à Douai à 15 mois de prison avec sursis pour téléchargement et détention d’images d’enfants à caractère pornographique. Il a été démis de ses fonctions. […] [source]

Aisne : deux boucheries (hallal) fermées après de graves intoxications

Cet article du Parisien ne précisera à aucun moment la spécificité islamique des deux boucheries :

Huit enfants âgés de 1 à 12 ans ont été gravement intoxiqués à cause de ces deux boucheries, et une fillette est morte :

Le fait que ces deux boucheries du nord de la France soient « hallal » n’est pas anodin. Outre le fait qu’il s’agisse d’un marqueur net de l’étendue de la submersion migratoire en cours, occultée par le système politico-médiatique, il y a un enjeu sanitaire derrière cette façon islamique (et rabbinique) de mettre à mort les animaux, comme le signale depuis longtemps le docteur de Peretti, vétérinaire :

[…] Le halal présente, en effet, d’énormes problèmes sanitaires. Un scandale éclatera un jour ou l’autre. On oublie toujours que la pratique de l’égorgement large, la jugulation, coupe la trachée et l’œsophage, provoquant des régurgitations et des souillures. (source)

Evidemment, il faut aussi prendre en compte le fait que de nombreuses populations n’ont pas le même rapport à l’hygiène que les peuples européens.

Images de la fête de la « musique » à Paris

Place du Châtelet africanisée :

« La fin du vivre-ensemble » forcé ?
De plus en plus de jeunes Français cherchent à se retrouver entre eux :

D’autre part :

1 500 blessés dont 13 policiers. 145 femmes « victimes de piqûres ». Innombrables vols et agressions. Dizaines d’incendies criminels. Rues jonchées d’immondices. 305 gardes à vue. Je ne parle que des chiffres « officiels ».
On appelle ça « fête de la musique ». (source)

L’Etat va arroser d’argent public la « filière musicale française »

Vous étiez contents de financer des films nuls véhiculant l’idéologie gaucho-cosmopolite et que personne ne va voir ?

Eh bien, maintenant, vous allez financer de la musique du même tonneau.

Comme le commente un internaute :

Le milieu culturel est l’autre pilier qui permet au régime de tenir, avec la police. Souvenez-vous : au moment des Gilets Jaunes, le milieu artistique n’a pas pipé mot, les GJ n’ont eu aucun soutien des acteurs, musiciens, etc subventionnés par le régime et au contraire ont reçu des volées de mépris au soutien dudit régime contre eux. De même, les flics avaient été augmentés pour s’assurer de leur fidélité. L’Etat en faillite trouve de l’argent pour payer ceux qui le légitiment et ceux qui le défendent. Nicolas, lui, paie.

Procès d’émeutiers de la finale PSG – Milan : des peines peu dissuasives…

Le journaliste Paul Sugy assistait lundi aux jugements en comparution immédiate du tribunal judiciaire de Paris, concernant 4 émeutiers.
Les accusés ont le même « profil », les avocats sont de mauvaise foi, les juges attendris, les peines ridicules.

Un exemple avec celui-ci, qui a tiré des feux d’artifice sur les policiers :

 […]Enfin Brahim peine à expliquer la présence dans sa poche de la cagoule avec laquelle on l’a interpellé. C’était parce qu’il conduit parfois un scooter. Par 35 degrés un samedi soir, la cagoule… Casier vierge, «seulement» connu pour des dégradations commises dans l’espace public en 2017 mais il était mineur. Le tribunal n’en tient pas compte. Brahim a reconnu des tirs au mortier d’artifice contre les forces de l’ordre, dit qu’il a «été con»«regrette tellement» ce qu’il a fait. Jure qu’il ne visait pas vraiment les policiers, mais s’emmêle dans un lapsus pénible : il voulait tirer «à leur hauteur», confesse-t-il, voulant dire en réalité «en hauteur», en l’air quoi, précise l’avocate. Dans l’assistance, ses amis, ses cousins, même la responsable d’une association de quartier dans laquelle il fait du bénévolat, sont là pour le soutenir ; sa mère, coiffée d’un hijab, lui adresse un sourire. Brahim étudie et fait actuellement un stage en milieu hospitalier, les juges sont priés de considérer quel préjudice lui causerait un passage par la case prison. L’avocate plaide la relaxe : après tout, le mortier n’était peut-être pas à lui. Et puis, «au quartier il est bien vu, parce qu’il aide les gens». 2 mois avec sursis, 500€ d’amende. […] (source)

Vague de suicides à la DGSI : un troisième cas depuis janvier

Curieux.

le siège de la DGSI [DR NemesisIII (license CC‑BY‑SA‑3.0 )]
La DGSI (fusion des RG et de la DST) est le principal service de renseignement (espionnage et contre-espionnage) intérieur de l’Etat français.

Un policier affecté à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) a été retrouvé mort dans le parking de son service ce lundi après-midi, a appris Actu17 de sources policières. Il s’est suicidé en utilisant une arme de service.

Le drame s’est déroulé au siège de la DGSI, rue de Villiers à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Le policier a été retrouvé sans vie dans un véhicule de service, dans le parking situé en sous-sol. « Il était déjà décédé et il n’y avait malheureusement plus rien à faire », précise l’une des sources. « La compagne du fonctionnaire a indiqué avoir découvert une lettre à leur domicile, où il évoque son intention de mettre fin à ses jours ». […] (source)

En janvier dernier, deux policiers de la DGSI s’étaient déjà donnés la mort, à deux jours d’écart.