21 mai 1681 : ouverture du canal du Midi

Le canal du Midi ou canal des Deux-Mers est un canal français, long de 321 km, qui relie la Garonne (au niveau de Toulouse) à la mer Méditerranée.
Il fut considéré par ses contemporains comme le plus grand chantier du XVIIe siècle.
Sous le règne de Louis XIV, Pierre-Paul Riquet supervisa ce projet aux allures d’improbable défi, et fit preuve d’une grande largesse à l’égard des ouvriers et artisans (12 000 au total), posant d’indiscutables avancées sociales.
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C’était un 20 mai…

1869 : initiation de Gambetta à la loge « La Réforme » à Marseille, où figurent déjà Gaston Crémieux et Naquet.

1925 : début du procès de Corneliu Codreanu, chef nationaliste roumain et fondateur de la Garde de Fer, qui a abattu en plein prétoire le préfet Manciu, en octobre 1924, alors que ce dernier le menaçait.
Signe de son extraordinaire popularité, 19 300 avocats se sont faits inscrire volontairement pour défendre bénévolement le prévenu (qui sera acquitté le 26).

1990 : décès à Paris à l’âge de 36 ans, à la suite d’un étonnant « arrêt du cœur », de l’historien et journaliste nationaliste Yann Moncomble, auteur de livres d’investigation explosifs tels que La trilatérale ou les secrets du mondialisme, Les vrais responsables de la 3 eme Guerre mondiale, L’irrésistible ascension du mondialisme, Du viol des foules à la synarchie ou le complot permanent.

Source

C’était un 19 mai…

Rocroi
1643 : sur le plateau de Rocroi, dans les Ardennes, Louis de Bourbon, 23 ans, duc d’Enghien, le futur Grand Condé, obtient une victoire triomphale sur les troupes coalisées du capitaine-général Don Francisco de Mellos de Breganza, gouverneur espagnol des Pays-Bas.
La bataille de Rocroi met fin à la réputation d’invincibilité des « tercios » espagnols, des unités composées de piquiers, d’arquebusiers et de fantassins armés d’épées. Les armées espagnoles ne se remettront jamais de cette défaite et le renom de supériorité militaire dont elles disposaient passe définitivement aux Français, au début de ce qui s’annonce comme le Grand Siècle français.

1898 : première grande manifestation d’étudiants nationalistes en hommage à Jeanne d’Arc.
Après avoir fleuri la statue de Frémiet, place des Pyramides, aux cris de « vive Jeanne d’Arc et vive le Roi ! », ils gagnent le siège du Peuple français, le journal de l’abbé Garnier, tandis que l’abbé leur donne la réplique : « Vive Jeanne d’Arc, la France aux Français ! »

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C’était un 18 mai …

1291 : après plus d’un mois de combats intensifs, les musulmans (200 000 hommes) donnent l’assaut aux murailles de Saint-Jean d’Acre (qui ne compte que 35 000 habitants).

10 000 chevaliers chrétiens sont massacrés : « on marchait sur les morts comme sur un pont ».

La dernière poignée de chevaliers survivants combattra jusqu’au 28 mai.
C’en est fini de la présence franque en Terre sainte.

Lors de cette journée terrible, meurt Guillaume de Beaujeu, grand Maître de l’ordre du Temple.
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Rappels d’histoire à Melenchon qui glorifie l’Armée rouge

Le baratin de ce communiste espagnol antifrançais appelle quelques remarques.

1) Merluchon oublie évidemment le Pacte germano-soviétique, qui a donné l’annexion-découpage de la Pologne (entre autres) et qui dura d’août 1939 à juin 1941. Jusqu’à cette date, les communistes français s’opposaient à la lutte contre l’Allemagne hitlérienne.

2) L’étranger Pierre Boussel, dit Lambert, futur chef de la secte trotskiste OCI et maître à penser de Melenchon appelait alors, pendant la « drôle de guerre », au « défaitisme révolutionnaire » : « derrière un soldat nazi se cache un travailleur allemand ! ». Plus qu’une collaboration, une trahison complète de la France, tandis que les hommes de droite nationaliste (qui étaient globalement contre la déclaration de guerre), montaient tous au front courageusement.

3) Si l’Armée rouge a eu des pertes aussi énormes (loin tout de même des chiffres avancés avec fantaisie par Melenchon), c’est à cause de la politique du Parti communiste russe qui privilégiait des vagues d’assaut incessantes pour gagner du terrain, au mépris de la vie de ses citoyens qu’elle envoyait au carnage. Derrière les lignes, des commissaires politiques communistes tiraient sur les récalcitrants.

4) L’invasion de l’Armée rouge a été pour les zones qu’elle a conquises synonyme de dévastation : millions de viols (encouragés par les officiers, concernant les Allemandes), centaines de milliers ou millions de civils tués, millions de prisonniers traités de manière inhumaine (les sources russes avancent elles-mêmes que 580 000 prisonniers de guerre de l’Axe périrent dans les camps soviétiques).
S’en est suivie une nuit communiste de plusieurs décennies sur les pays dominés par Moscou (dont les jeunes générations ignorent tout).

5) pour en revenir aux Etats-Unis : l’URSS n’aurait rien pu faire pendant la 2e Guerre, si elle n’avait été très massivement approvisionnée par les Américains :

15-17 mai 1940 : à Stonne, l’héroïsme des soldats français

de Henri de Saint-Amand :

« Bataille oubliée de la Seconde Guerre mondiale, Stonne symbolise, à bien des égards, la résistance et la pugnacité de l’armée française face à l’invasion ennemie, suite à l’offensive du 10 mai. Les combats s’engagent le 14 mai aux alentours de cette petite ville des Ardennes, située au sud de Sedan, prise le 13 mai par les Allemands.

Stonne est un verrou stratégique car il permet l’accès aux routes vers Paris, vers le centre et le sud de la France.
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C’était un 17 mai : fondation de Montréal

montrealLe 17 mai 1642, une cinquantaine de Français débarque au Canada pour implanter une communauté catholique.

Menés par Jeanne Mance et Paul de Chomedey, sieur de Maisonneuve, ils fondent le village de Ville-Marie.
Un siècle plus tôt, l’explorateur Jacques Cartier avait baptisé « Mons Realis » (latin pour « Mont Royal ») la montagne surplombant la ville.

Aujourd’hui capitale économique du Québec et malheureusement très cosmopolite, elle est peuplée par plus de 1,6 million d’habitants.

C’était un 15 mai…

1948 : en Roumanie, le gouvernement communiste rafle l’essentiel des anciens cadres du « mouvement légionnaire », nationaliste et chrétien, de Corneliu Codreanu encore présents, soit environ 20 000 personnes. La plupart  mourront en prison.

1958 : Dissolution, par décret, en se fondant sur le décret-loi de 1936, de la Phalange française, du Front d’action nationale, de Jeune nation et du Parti patriote révolutionnaire.

1960 : scission du syndicat étudiant UNEF, à la suite d’une motion pro-FLN.
Création de la Fédération des étudiants nationalistes (regroupant nombre des jeunes de l’organisation « Jeune nation » dissoute deux ans auparavant). Son texte fondateur, publié l’été suivant, Le Manifeste de la classe 60 (rédigé notamment par Dominique Venner, mais aussi par un François d’Orvical), fait écho à la célèbre Lettre à un soldat de la classe 60 de Robert Brasillach.

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C’était un 14 mai…

841 : les Vikings mettent à sac Rouen et pillent l’abbaye de Saint-Ouen.

1610 : assassinat d’Henri IV.

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Ce souverain, l’un de ceux qui marqua le plus l’histoire et la mémoire nationales, se rendait au chevet de son ami Sully, quand, à la faveur d’un ralentissement sur la route, il fut mortellement poignardé par François Ravaillac.
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C’était un… 13 mai :

1634 : bataille de Cocherel (Eure) remportée par le connétable Bertrand du Guesclin sur l’armée anglo-navarraise de Charles Le Mauvais.

1917 : près de Fatima, petit village du Portugal, trois enfants (photo ci-dessous) sont témoins d’une apparition mariale alors qu’ils gardaient leurs moutons. La Sainte Vierge réapparaîtra cinq fois, insistant sur la prière (le rosaire en particulier), la pénitence, la dévotion des premiers samedis du mois et la consécration de la Russie à son Cœur immaculé (« Si on accepte mes demandes, la Russie se convertira et on aura la paix; sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église […] »). Lors de la dernière apparition, « miracle du soleil » devant 70 000 personnes.

Lucie (1907-2005?), François (1908-1919) et Jacinthe (1910-1920)

1930 : s’achève la première traversée aéropostale de l’Atlantique Sud, par Jean Mermoz, aventurier, pionnier et pilote français de légende.
Aux commandes d’un hydravion Latécoère, il relie Saint-Louis-du-Sénégal à Natal, au Brésil, en 52 heures. Trois ans plus tôt, il avait réalisé la première liaison Toulouse-Dakar.
Par son physique (il était surnommé « l’archange »), son audace et son endurance, Mermoz fut le plus populaire des pilotes de l’Aéropostale.
Il fut aussi un ardent militant nationaliste.

1958 : Alger se révolte, face aux menaces contre l’Algérie française (on parle du « putsch du 13 Mai »).
Menée par le leader étudiant Robert Lagaillarde, le journaliste Alain de Sérigny, le général  Massu et l’activiste Léon Delbecque (gaulliste), grande manifestation au cours de laquelle Raoul Salan, qui commande les troupes en Algérie, lance un vibrant appel au général de Gaulle. Tous s’en repentiront peu de temps après, face au parjure de De Gaulle, revenu au pouvoir grâce à cet événement en faisant croire (et en disant) qu’il allait garder l’Algérie française.
Ce jour est créé un Comité de Salut public et les autorités civiles d’Algérie transmettent leurs pouvoirs aux généraux Salan et Massu.

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C’était un… 12 mai :

Le duc Henri de Guise lors de la journée des Barricades, illustration de Paul Lehugeur, xixe siècle.

1588 : Journée des Barricades, à Paris : soulèvement populaire, dans le sillage du duc de Guise, chef de la Sainte Ligue, car les Parisiens soupçonnent le roi Henri III de vouloir désigner comme successeur Henri de Navarre (futur Henri IV), un protestant.
La journée se termine par la mort d’une soixantaine de soldats et la victoire du duc de Guise qui prend possession de Paris. Elle valut aux Parisiens sept années de misère. Le roi Henri III sortit secrètement de sa capitale le lendemain, pour n’y plus rentrer.
Dès lors en position de force, Henri de Guise en profite pour faire signer l’édit d’Union à Henri III (ce dernier s’engage à ne jamais conclure « aucune paix ou trêve avec les hérétiques ») et se faire nommer lieutenant général du royaume.

1797 : chute de la République de Venise, la république des doges, après 1100 ans d’indépendance.  Elle était restée neutre au cours des années précédentes, alors que la Révolution française bouleversait l’Europe de l’Ouest, mais les partisans de celle-ci renversent ce jour le patriarcat vénitien.

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Cantique de sainte Thérèse à sainte Jeanne d’Arc ♫♪

L’anniversaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, libératrice de la Patrie, défenseur du roi et du règne du Christ, coïncide avec celui d’une autre jeune fille de France, Thérèse de l’Enfant-Jésus, dite « de Lisieux ».

Toutes deux sont patronnes de la France (patronnes secondaires, car la première est Notre-Dame).

En photo, sœur Thérèse, à 22 ans, interprétant Jeanne d’Arc dans sa propre pièce de théâtre :

Thérèse avait une grande vénération pour la jeune Lorraine, et lui avait composé un cantique en 1894. Le titre original est « Cantique pour la canonisation de la vénérable Jeanne » mais est souvent simplifié en « Chant à Sainte Jeanne d’Arc ».
Ce chant raconte brièvement l’histoire de la Pucelle d’Orléans mais est surtout un appel à la Sainte à aider et prier le peuple de France.
Le voici magnifiquement interprété :

sainte Thérèse dans le rôle de sainte Jeanne d'Arc prisonnière
Encore Thérèse, jouant le rôle de Jeanne d’Arc.

Liturgie de sainte Jeanne d’Arc (et litanies)

Sainte Jeanne d’Arc, patronne secondaire de la France, est née au Ciel le 30 mai 1431 (à l’âge de 19 ans), mais la solennité de sa fête tombe ce deuxième dimanche de mai.
Que nous en dit la liturgie (traditionnelle) de ce dimanche ?

« Jeanne, épouse du Christ, patronne et gardienne de la France » (Magnificat), « fut suscitée miraculeusement par Dieu pour défendre la foi et la patrie. » (Oraison). Instruite par des voix célestes et remplie de la lumière de Jésus (Hymne), elle sut, par sa sagesse, s’imposer à l’admiration des princes et des grands, soumettre des nations étrangères, et laisser à la postérité un souvenir éternel (Epître). Aussi la liturgie la proclame « l’honneur de notre peuple » (Offertoire).

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Esclavage : 12 choses que vous n’entendrez pas sur Radio France !

En cette journée de commémoration de l’esclavage, alors que les médias et les profs essaient de culpabiliser les Français avec une présentation tronquée et biaisée de l’histoire, nous repassons cet explosif article de l’excellente revue  L’Héritage.

On parle beaucoup de l’esclavage, dans les médias, à l’école, dans les cénacles politiciens, dans des manifestations même.

Mais a-t-on une vision complète et réaliste de ce terrible phénomène ?

Voici 12 réalités qui sont ignorées par la plupart des gens, même de ceux qui parlent le plus d’esclavage.
Ces vérités dérangeraient-elles une idéologie en particulier ou un agenda politique ?

1) L’esclavage a été pratiqué très longtemps et presque partout ; mais son abolition est apparue dans le monde européen, sous la pression de l’Eglise catholique particulièrement.

2) L’esclavage a constitué un progrès chez de nombreux peuples primitifs, dans la mesure où, en cas de conflit, il sauvait la vie des hommes vaincus, qui, sinon, étaient massacrés (les femmes étant « mariées » de force).

3) Aux Etats-Unis, au moment de la Guerre de Sécession, seuls 2% des Blancs possédaient des esclaves (4,8% dans les Etats esclavagistes).

4) Le général Lee, commandant des armées sudistes, était hostile à l’esclavage.

5) De nombreux Blancs furent esclaves aux Etats-Unis et dans les îles. En 1640, dans les plantations de canne à sucre des Iles de La Barbade, 21 700 blancs sont recensés sur 25 000 esclaves. De 1609 à 1800, près des deux tiers des Blancs arrivent en Amérique comme esclaves.
Au XVIIe siècle, il y eut davantage de Blancs déportés aux Amériques que de Noirs.

6) Des Afro-américains possédaient eux aussi des esclaves. L’un des premiers propriétaires d’esclaves aux Etats-Unis fut un Noir (Anthony Johnson), qui avait d’ailleurs des serviteurs blancs.

7) Le mot « esclave » vient du nom « Slave », car les peuples slaves (d’Europe centrale et de l’Est) ont été victimes de la traite à très grande échelle (plusieurs millions) pendant des siècles, notamment par l’Empire ottoman.

8) Du IXe au XIXe siècles, environ 2 millions d’Européens de l’Ouest – hommes, femmes et enfants – sont capturés par les musulmans et réduits en esclavage.
Pendant des siècles, de nombreux hommes capturés sont – comme dans le cas des Slaves – castrés, opération qui entraîne la mort d’une grande partie d’entre eux. Quant aux femmes, elles sont souvent destinées à l’esclavage sexuel et livrées à la perversité de leurs « propriétaires », ce qui est parfois aussi le cas des enfants.
Pour donner une idée de l’ampleur de ces razzias, une lettre du 3 février 1442 adressée par un religieux qui résidait à Constantinople au prieur de Saint-Jean-de-Jérusalem (de l’ordre des hospitaliers) mentionne l’enlèvement par les Turcs de 400 000 chrétiens en seulement 6 ans.

9) Pendant des siècles, les Barbaresques (occupant le Maghreb) terroriseront la Méditerranée et ses rivages où ils capturent des Européens, mais ils séviront aussi en Atlantique, jusqu’aux côtes anglaises. La France a conquis Alger, en 1830, pour mettre fin à ce fléau.

10) • La traite arabo-musulmane a concerné environ 17 millions de personnes.
• La traite interne à l’Afrique (entre Noirs) a concerné environ 14 millions de personnes.
• Enfin, en dernière position, la traite vers l’Amérique et les îles a concerné de 9 à 11 millions de personnes (noires et blanches).
• La plupart des Noirs déportés vers les Amériques avaient été réduits en esclavage par d’autres Noirs puis revendus.

11) Pour la traite transatlantique, une très grande partie des navires négriers appartenaient à des familles juives, et des historiens juifs écriront même que « ce commerce était principalement une entreprise juive » I. Au milieu du XIXe siècle, aux Etats-Unis, 40% des Juifs possédaient des esclaves (contre 2% des Blancs).
Dès le IXe siècle, en France, les Juifs étaient communément montrés comme les maîtres de ce « malheureux trafic ».

12) L’esclavage existe encore dans certaines parties du monde arabo-musulman (des images de marchés aux esclaves ont été prises en Libye en 2017) ainsi qu’en Afrique : on estime que près de 40 millions de personnes dans le monde vivent encore en esclavage…
Mais il existe aussi en Europe : aux Pays-bas, chaque année, plus d’un millier de jeunes filles sont victimes d’exploitation sexuelle par des jeunes proxénètes issus de l’immigration ; en Angleterre, dans la seule ville de Rotherham, entre 1997 et 2013, 1400 mineures ont été victimes de viols par des gangs pakistanais, des centaines de jeunes filles réduites à l’esclavage sexuel et à la prostitution.

Henri Ménestrel

Bonus :
Christiane Taubira, montrant que les élites savent certaines choses mais veulent les cacher par idéologie, explique qu’il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabe-musulmane pour que les « jeunes Arabes » « ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express, 4 mai 2006).

Sources :
La désinformation autour de l’esclavage, Arnaud Raffard de Brienne, Atelier Fol’Fer.
Le Génocide voilé, Tidiane N’Diaye, Gallimard.
La désinformation autour de la Guerre de Sécession, Alain Sanders, Atelier Fol’Fer.
Traites négrières, Olivier Pétré-Grenouilleau, Folio.
(I) New world Jewry, Seymour B. Liebman (American jewish historical society), 1982.
(II) Les Négriers en terre d’islam, Jacques Heers, Perrin.
Jews and judaism in the United States, Marc Lee Raphael (American jewish historical society).
They Were White and They were Slaves, Michael A. Hoffman

C’était un 9 mai : mort de Sébastien Deyzieu

Le 9 mai 1994, le jeune militant nationaliste Sébastien Deyzieu rendait l’âme, victime de la répression, lors d’une manifestation organisée par le GUD et d’autres associations.

Il était âgé de 22 ans.

Le traitement médiatique n’eut évidemment rien à voir avec l’affaire Malik Oussekine, qui en son temps entraîna d’ailleurs la démission d’un ministre.
Là le gouvernement, dont le ministre de l’Intérieur était le gaullo-mafieux Charles Pasqua, ne fit montre d’aucune émotion.

Chansons des groupes de « rock identitaire français » In Memoriam et Vae Victis dédiées à Sébastien Deyzieu :

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