Alors que la civilisation et le peuple qui ont été sécrétés par la Gaule puis la France sont sur le point de disparaître, le sol français révèle encore des bribes de son passé immémorial.
« Entre août et novembre, des fouilles ont été menées à Giberville, en amont de la construction d’un lotissement. Cette fouille révèle des vestiges du Mésolithique jusqu’aux périodes contemporaines, et particulièrement une tombe princière de l’âge du bronze ancien, soit 1800-1600 ans avant Jésus Christ. « La fouille a livré quatre ensembles funéraires de l’âge du Bronze ancien. L’un de ces groupes contient deux très grandes tombes et une dizaine d’autres plus modestes associées à une exceptionnelle tombe dite ‘princière’. Son vaste caveau, de forme trapézoïdale, devait être surmonté d’un monument funéraire dont aucune trace n’a été conservée », indique l’INRAP dans un communiqué.
Eric Zemmour est un juif honnête, qui reconnait donc que le maréchal Pétain, deux fois sauveur de la France, a aussi sauvé les Juifs français d’une déportation massive. Il s’est battu pour eux, il a aussi refusé fermement le port obligatoire de l’étoile jaune là où il avait un peu d’autorité (en zone libre).
Mais l’héroïque vieillard ne bénéficie d’aucune gratitude.
En particulier de la part des habituelles associations liés au lobby juif et qui passent leur temps à poursuivre les Français non politiquement corrects devant les tribunaux.
C’est le 27 novembre 1095, depuis Clermont (en Auvergne), donc au cœur de la France, que le pape Urbain II a appelé à la Première Croisade.
Il s’agissait, comme en atteste la reproduction de son discours ci-dessous, de venir en aide aux Chrétiens d’Orient, persécutés par les Mahométans conquérants.
C’était peut-être une époque lointaine, mais certains problèmes étaient similaires à ceux d’aujourd’hui…
Cependant Urbain, comme ses successeurs, serait outré par le comportement de François, et de voir que les dirigeants de la France non seulement ne sont pas chrétiens, mais sont anti-chrétiens, et promeuvent la persécution physique des Chrétiens d’Orient.
Au XIe siècle, c’est de toute l’Europe que les Croisés vont affluer, et libérer Jérusalem.
Mais nos ancêtres y prirent une telle part que les Infidèles désignaient communément les Croisés comme « les Francs ». Loin des mythes honteux que les républicains (en particulier les instituteurs – les « Hussards noirs de la République » dont est nostalgique une bonne part de la droite) colportèrent sur les Croisades, elles constituèrent l’un des épisodes les plus glorieux de notre histoire et l’une des plus hautes manifestations de la générosité et de la noblesse de notre peuple.
Certains hommes s’y illustrèrent particulièrement, tels Godefroy de Bouillon ou Baudouin IV, à la tête du Royaume franc de Jérusalem.
Pour lire d’honnêtes livres sur les Croisades, cliquez ici.
L’appel d’Urbain II, (version audio puis texte) rapporté par Foucher de Chartres, vraisemblablement témoin de l’homélie :
Alors que l’on entend à nouveau beaucoup parler du « général » de Gaulle en termes excessivement élogieux, nous remettons en avant cet article signalant un excellent livre au service de la vérité historique.
La journaliste Anne Brassié recevait pour son émission sur Radio Libertés le colonel Michel Le Pargneux à l’occasion de la sortie de son excellent livre de synthèse : Pétain – De Gaulle, une autre vision de l’histoire (présentation ci-dessous).
« Sur les actions comparées de Philippe Pétain et de Charles De Gaulle, il règne – du moins dans les mondes médiatique et scolaire – une pensée unique aussi rigide que fragile. Au-delà d’une certaine propagande et d’une ignorance généralisée, quelle est la réalité ?
Le jeune philosophe (un vrai, lui) belge Stéphane Mercier propose ici une conférence fort intéressante. Il reste très clair et accessible.
D’abord, dans la première moitié, avant de parler du grand philosophe et théologien Saint Thomas d’Aquin, il présente l’époque dont il est le fruit. Il remet ainsi à l’honneur le « Moyen Age », notamment sur le plan intellectuel : une époque d’effervescence intellectuel loin des clichés d’obscurantisme que les Modernes véhiculent. Des rappels passionnants et importants.
Puis il se penche sur Saint Thomas d’Aquin et son approche du couple foi/raison, en évoquant notamment son livre (que Stéphane Mercier a traduit et annoté lui-même) Les raisons de la foi (disponible ici).
La fête de l’archange Saint Michel est très populaire chez les Chrétiens et la liturgie de ce dimanche lui rend hommage.
C’est le plus grand des anges, vainqueur de Lucifer, chef de la « milice céleste », « défenseur de la foi », mais aussi… ange protecteur de la France !
Il est le patron des soldats (et en particulier des parachutistes) et de nombreux corps de métier.
Ci-dessous un article de présentation de l’archange paru dans l’excellente revue L’Héritage.
Pour une émission exceptionnelle diffusée en direct sur la bande FM, Alain Pascal, spécialiste de l’histoire occulte, était invité à propos de son livre la Renaissance cette imposture (ses autres livres sont disponibles ici).
Il était accompagné du frère Thierry (responsable du cercle Retour au réel).
La version officielle (révolutionnaire et antichrétienne) de l’histoire, à propos de la prétendue « Renaissance » (et par conséquent à propos du prétendu « Moyen Age »), est trop souvent répandue, même dans les milieux chrétiens.
Le livre d’Alain Pascal en question est capital, car il n’y en a pas d’autres sur ce thème (ni avec cette approche : mettre en valeur ses aspects ésotériques) et qu’il est vaste et complet, même si l’on peut ne pas être d’accord avec tout ce qui y est dit.
On peut trouver cet ouvrage, La Renaissance, cette imposture, uniquement auprès de la Librairie française (adresse et horaires ici) et sur son site internet, en promotion à 15€ au lieu de 24€.
Voici l’entretien filmé d’Eric Vieux de Morzadec, à l’occasion de la sortie de son livre Héros oubliés (disponible ici) sur l’épopée méconnue des Français, en particulier des généraux engagés dans l’armée sudiste.
Il y a aussi son précédent livre Le 1er Bataillon de Zouaves de Louisiane.
A l’occasion de la sortie de son livre Chypre, l’épine turque dans le talon européen (disponible ici), l’écrivain Jean-Claude Rolinat était invité de TV Libertés pour parler de l’histoire de l’île et de son actualité inquiétante, face aux velléités impérialistes d’Erdogan.
« Le médecin colonel Jean-Louis Rondy nous a quitté.Véritable légende au sein de la grande famille militaire, il a rejoint ses compagnons d’armes à 94 ans.
Fils d’un héros de la grande guerre, qui était médecin comme lui, il s’engage à 18 ans en 1944 dans la 2ème DB après avoir participé aux combats de la libération de Paris en tant qu’infirmier. Il ira de Paris à Berchtesgaden avec le régiment de marche du Tchad. L’âge requis pour l’engagement étant de 21 ans, il mentira sur son âge afin de pouvoir combattre.
A son retour en France, il décide de devenir officier et essaye de rentrer à Saint Cyr, mais déçu par la mentalité de l’encadrement, il choisit de reprendre ses études de médecine abandonnées suite à son départ pour la guerre.
Il se dirigera vers la médecine militaire et rejoint Bordeaux où se trouve l’école de la Santé Navale. L’officier qui les reçoit donne le ton : « les Français à droite ! Les gaullistes à gauche ! » la marine française n’ avait toujours pas pardonné Mers el Kebir !!
« En ces temps de repentance et d’ethno-masochisme, puisque ceux qu’il est difficile de désigner autrement que par le terme d’ennemis, vu leur comportement à l’égard de la France, s’amusent à jongler avec le contexte historique, alors, faisons de même.
L’Algérie aux abois économiquement, ruinée par les profiteurs du Système qui depuis 1962 se sont méthodiquement engraissés en pillant ses ressources, a donc l’outrecuidance de demander des excuses à la France. Pourquoi pas d’ailleurs, puisque, comme le disait Etienne de la Boétie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux » ?
Des excuses donc pour avoir tracé en Algérie 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres goudronnés, construit 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes (soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et jusqu’à la semoule pour le couscous…
On peut se procurer ici les fort intéressants livres de ce chercheur, spécialiste de « l’histoire occulte » (du rôle des sociétés secrètes et des courants ésotériques dans l’Histoire).
Emission de Daniel Habrekorn, diffusée sur Radio Courtoisie le 2 février 2020.
« Le mardi 30 juin 2020, pliant à son tour sous l’air du temps, le roi des Belges a présenté « ses plus profonds regrets pour les blessures infligées lors de la période coloniale belge au Congo ».
Des « regrets » qui n’avaient pas lieu d’être.
Pour au moins quatre raisons principales :
1) En 1885 quand fut internationalement reconnu l’État indépendant du Congo (EIC), les esclavagistes zanzibarites dépeuplaient tout l’est du pays. Ayant largement franchi le fleuve Congo, ils étaient présents le long de la Lualaba, de l’Uélé, dans le bassin de la Lomami, un des affluents majeurs du Congo, et ils avaient quasiment atteint la rivière Mongala.
Dans cette immense région, de 1890 à 1896, au péril de leur vie, de courageux belges menèrent la « campagne antiesclavagiste ». Au lieu de lassantes et injustifiables excuses, c’est tout au contraire la mémoire de ces hommes que le roi des Belges devrait célébrer. Continuer la lecture de « « Congo : les regrettables « regrets » du roi des Belges » par Bernard Lugan »
« A-t-on retrouvé les guillotinés de la place de la Concorde ? Aymeric Peniguet de Stouz pense pouvoir répondre par l’affirmative. Selon l’administrateur de la chapelle Expiatoire, les restes des 500 personnes exécutées pendant la Terreur reposeraient entre les murs de cet édifice religieux, bâti en mémoire de Louis XVI et Marie-Antoinette.
Comme le révèle Le Parisien, Aymeric Peniguet de Stouz s’est plongé en 2018 dans une longue enquête, entre documents historiques et fouilles archéologiques. «De déduction en déduction», ce «Sherlock Holmes des archives» aurait fait une découverte surprenante, précisent nos confrères : les restes des 500 personnes décapitées place de la Concorde entre le 21 janvier 1793 et le 28 juillet 1794 ne seraient pas enterrées dans les catacombes, contrairement à ce que pensait la communauté des historiens, mais dans la petite chapelle du VIIIe arrondissement parisien. […] » (source et suite Le Figaro)
« Plutôt que de vouloir réviser l’Histoire de France et détruire nos symboles, les immigrés occupant notre pays feraient mieux de rendre hommage à ces quelques grands Français qui, par leur courage et leur volonté, ont permis que les peuplades africaines ne meurent plus de faim, qu’elles arrêtent de s’entretuer dans des guerres tribales, ou qu’elles cessent d’être massivement décimées par les maladies tropicales comme la malaria.