Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique

Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

L’armée juive de Hitler – par Laurent Glauzy

Docteur en Histoire, Bryan Mark Rigg a étudié aux prestigieuses universités de Yale et de Cambridge. Né en 1971, il est de confession baptiste et d’ascendance juive. Cet écrivain américain effectua son service national dans l’armée israélienne, en tant que volontaire, avant de s’engager dans l’armée américaine.

Publié en 2003, son livre Hitler’s Jewish Soldiers (Les soldats juifs de Hitler) traite de l’histoire peu connue des nombreux Juifs allemands ayant servi dans l’armée du IIIe Reich.

Cent cinquante mille hommes d’origine juive effectuèrent leur service militaire dans la Wehrmacht, sous le régime de Hitler.
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C’était un 31 décembre : décès de Bernard Faÿ

le 31 décembre 1978, à Tours.

Spécialiste de la Franc-maçonnerie, cet homme brillant fut historien, critique et professeur au Collège de France avant de devenir administrateur général de la Bibliothèque nationale sous Vichy, par lequel il fut par ailleurs chargé de l’administration des sociétés secrètes, conformément aux lois antimaçonniques.

Ses obsèques se déroulèrent le 4 janvier suivant, célébrées par Mgr Ducaud-Bourget, en présence de Mgr Lefebvre.

On peut se procurer les 3 principaux ouvrages de Bernard Faÿ (Naissance d’un monstre : l’opinion publique, Philippe Pétain et Louis XVI) en ligne  ici.

Sortie du nouveau livre-évènement d’Alain Pascal : « la Réforme, cette révolution »

Nous apprenons la parution du nouveau livre d’Alain Pascal, ancien collaborateur de Serge de Beketch, après sept années de « silence ».
Il s’agit du quatrième et dernier tome de sa fameuse série sur la Guerre des gnoses.

Chercheur spécialisé en philosophie et en histoire occulte, Alain Pascal était déjà l’auteur de  La Trahison des Initiés, en 1996, réédité en 2013, La pré-Kabbale, 1999 (épuisé), Islam et Kabbale contre l’Occident chrétien, 2001 (épuisé), La Renaissance, cette imposture, 2006.

Il s’agit là d’un ouvrage volumineux (624 pages), magistral, documenté et très attendu, qui étudie les ressorts secrets de l’avènement du protestantisme, cette révolution qui déchira la Chrétienté et signa son déclin.
Il comporte un index des noms, un index des mots-clefs, une solide bibliographie et une table des matières détaillée (sur 10 pages).
Il coûte le prix (modéré pour cette taille) de 28 euros et est disponible ici.

Nous espérons revenir bientôt sur ce livre-événement, qui va probablement faire parler de lui, mais voici déjà ci-dessous sa quatrième de couverture :

« La Réforme de Luther, une vraie réforme ? Non, une révolution qui est la conséquence de la Renaissance et donc un produit de la gnose et de la Kabbale.
La Renaissance étant une imposture, sa fille, la Réforme, est une régression religieuse, mais aussi une révolution politique. Car, au-delà d’un bouleversement du dogme de l’Église et des Sacrements, Luther est responsable du premier nationalisme révolutionnaire, le nationalisme allemand qui s’attaque à l’Empire de Charles Quint.
En inscrivant la Réforme dans la suite de la Kabbale, Alain Pascal ouvre une brèche sur le politiquement correct concernant le nationalisme allemand, mais aussi sur le religieusement correct car il décrit le protestantisme dans la suite de l’islam comme un nouvel instrument des initiés orientaux contre l’Occident chrétien.
C’est évidemment l’histoire secrète du XVIe siècle qui est contée, l’initiation des principaux Humanistes et « réformateurs » à l’« illumination » kabbalistique, véritable raison de leur complicité dans la Guerre des gnoses contre la tradition chrétienne.
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La Seconde Guerre mondiale était décidée avant l’invasion de la Pologne

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Sotheby’s mettra aux enchères, dans quelques semaines, un brouillon du discours lu par le roi George VI pour annoncer l’entrée du Royaume-Uni dans la Seconde Guerre mondiale.

Le document est daté du 25 août 1939, soit une semaine avant que le IIIe Reich n’envahisse la Pologne.

Il apparaît donc que, contrairement à la version officielle, le Royaume-Uni n’est pas entré en guerre en raison de l’invasion de la Pologne, qui n’a fourni qu’un prétexte, mais pour d’autres motifs.

Source Daily Mail via Réseau Voltaire

Le visage de Robespierre reconstitué

Une belle tête de psychopathe !

« C’est un homme au visage grêlé par la petite vérole, à l’air fatigué par la Terreur qu’il avait fait régner dans un pays débarrassé de son roi.

Le vrai visage du révolutionnaire Maximilien de Robespierre (1758-1794) nous apparaît, avec un réalisme surprenant, grâce au talent du Mulhousien Philippe Froesch. Spécialiste mondial de la reconstitution faciale, installé aujourd’hui à Barcelone, cet Alsacien de 49 ans » s’est basé notamment sur un masque mortuaire réalisé à l’époque par la future madame Tussaud.

L’adage discuté « le visage est le reflet de l’âme » nous vient logiquement à l’esprit !

Salazar, un grand Portugais

Sur Antonio de Oliveira Salazar, chef nationaliste et catholique du Portugal entre 1932 et 1968, on avait déjà l’ouvrage de Jacques Ploncard d’Assac, ainsi que le plus récent et excellent livre de Jean-Claude Rolinat : Salazar le regretté.

En complément (et non pas en remplacement !), nous proposons aujourd’hui à nos lecteurs ce documentaire video, en portugais sous-titré français.

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Il y a 220 ans : la République rendait le tutoiement obligatoire

Quand le tu tue

Le 31 octobre 1793, un décret révolutionnaire rendait obligatoire le tutoiement, ainsi que l’emploi de Citoyen et Citoyenne à la place de Monsieur et Madame.

Un égalitarisme forcené – négateur de l’ordre social traditionnel mais cachant hypocritement un nouvel ordre oligarchique fondé sur l’argent et sur une hiérarchie occulte – que les communistes  allaient essayer de mettre en œuvre aussi brutalement en Russie de 1917, en instaurant le tutoiement obligatoire et camarade au lieu de monsieur.

Aujourd’hui, notons que la société libérale arrive peu à peu aux mêmes fins égalitaristes, mais plus progressivement et plus discrètement, comme d’habitude.

Le tu devient presque obligatoire socialement, et des hommes de 40 ans sont vexés quand de rares jeunes leur donnent du vous spontanément, car ils ont l’impression d’être vieillis !

Au-delà d’un appauvrissement du langage, d’un simplisme brutal dans les rapports humains et d’une négation de l’ordre social, cette dictature du tu, impitoyable chez les jeunes générations, doit être férocement combattue !

 

Il y a 45 ans : dissolution d’Occident

Le 31 octobre 1968, à la suite de diverses destructions et attaques, le mouvement Occident est dissous par le pouvoir gaulliste.

Parmi les chefs de cette dynamique organisation regroupant surtout des jeunes, s’en trouvaient trois qui ont mal tourné : les futurs ministres libéraux Gérard Longuet, Hervé Novelli et Alain Madelin.
Ceux-ci, pour se dédouaner, et d’autres, ont eu tendance à présenter Occident comme une association principalement ou uniquement anticommuniste.

En réalité, c’était un véritable mouvement nationaliste, hostile au communisme et au libéralisme, doté d’une doctrine et dispensant une sérieuse formation politique. Il savait aussi être physiquement vigoureux quand nécessaire.

Quelques images (muettes) d’une manifestation d’Occident (et d’autres) :

Ecouter comment parlaient nos ancêtres il y a 6000 ans

« L’existence d’un idiome unique ayant donné naissance à toutes les langues indo-européennes modernes est connue depuis le XIXe siècle, rappelle le magazine Archeology, à l’origine de cette initiative passionnante. Appelé Proto-Indo-européen (PIE), il était parlé entre 4500 et 2500 avant JC, mais n’a laissé aucune trace écrite. Cela n’a pas empêché les linguistes de reconstruire cette langue perdue, et de tenter de recréer sa prononciation.

Dès 1868, un linguiste allemand nommé August Schleicher écrit une fable, intitulée « Le Mouton et les Chevaux », à partir des connaissances réunies à l’époque sur le PIE. Depuis, elle est régulièrement mise à jour pour intégrer les nouvelles informations glanées par les chercheurs. Evidemment, ce travail reposant sur la linguistique comparée n’est pas 100% fiable et il n’existe pas de consensus au sein de la communauté des spécialistes du PIE. Toutefois, Andrew Byrd de l’Université du Kentucky s’est lancé dans la retranscription audio de cette fable en se basant sur le travail d’Eric Hamp et de feu Subhadra Kumar Sen. »

On décèle tout de même un accent anglais…

Voici ce que dit le texte en français :
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C’était un 10 septembre 1955… Poujade contre Faure (+ bonus Mendès)

Pierre Poujade était à l’époque un meneur populiste de premier plan, leader syndical pouvant rassembler des centaines de milliers de personnes à une réunion, député et dirigeant de l’Union de défense des commerçants et artisans (UDCA).
Voyons ci-dessous et ci-contre comme le « populisme » de l’époque différait de l’actuel.

Ce 10 septembre, Pierre Poujade adresse dans Fraternité française (organe de l’UDCA) un éditorial au président du Conseil Edgar Faure :
« Aujourd’hui la France bouge, car elle ne veut plus de ta politique de trahison. Elle ne veut plus de cette lutte fratricide en Afrique du Nord et ne te confiera pas ses enfants pour un nouveau Dien Bien Phu. (…)
Aujourd’hui, Faure, tu t’inscris dans l’histoire comme l’un des hommes les plus néfastes à la patrie.
Aujourd’hui, Faure, je te dis : fous le camp, toi et les tiens
[Faure était juif, NDCI], car demain il sera peut-être trop tard.
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15 août : Assomption et fête nationale française

L’Assomption désigne l’élévation aux Cieux de la Sainte Vierge, corps et âme.

Celle-ci – qui selon la doctrine catholique tient dans l’humanité une place si particulière – quitta ce monde d’une façon extra-ordinaire : son corps étant préservé de la corruption que connaissent les cadavres, tout comme son âme avait été préservée de toute corruption du péché.

C’est la principale fête mariale.

En France, s’ajoute au 15 août le caractère de fête nationale, depuis Louis XIII.

Voyez ci-dessous, en comparant les 2 origines, comme on est loin du 14 juillet qui commémore la naissance mythologique de la République dans la haine et dans un bain de sang bien réels.

En 1637, après 22 ans de mariage, le roi n’a toujours pas d’héritier et la France est dans une guerre difficile.

Le souverain prépare un vœu qui consacrerait la France à Notre-Dame de l’Assomption, plaçant la nation sous la protection de la Sainte Vierge ; on dit qu’il y pense depuis longtemps.

En novembre 1637, un texte est enfin soumit au Parlement. Puis soudain, la bonne nouvelle tombe : la Reine est enceinte !

Le vœu sera finalement signé par le Roi le 10 février 1638, comme un remerciement, et instaurera les processions du 15 août en hommage à Notre-Dame de l’Assomption.

Le 5 septembre 1638, naît le dauphin de France, futur Louis XIV. De par sa naissance vue comme quasi-miraculeuse, il reçoit le nom significatif de Louis-Dieudonné (« donné par Dieu »).

Ce vœu a été publié sous la forme d’un édit dont voici le texte intégral :

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C’était un 13 août…

1792 : internement de Louis XVI et de la famille royale à la « tour du Temple ».
Cette ancienne forteresse parisienne, située dans le 3e arrondissement de Paris, sera détruite en 1808.
Selon la majorité des historiens, le fils du Roi et héritier de la couronne y décède, dans des conditions infâmes en 1795, âgé de 10 ans.

L’abbé Augustin Barruel (peut-être le principal historien de la Révolution française, et en tout cas le premier) voit en cet épisode l’apogée du « complot maçonnique », qui est pour lui derrière les événements révolutionnaires.

L’ouvrage fameux de l’abbé, qui connut un grand succès, s’intitule « Mémoires pour servir à l’histoire du jacobinisme ». L’auteur y développe son explication « complotiste », accusant en particulier la secte des Illuminés de Bavière.

On pourra se procurer ici ce pavé nécessaire à toute bibliothèque contre-révolutionnaire solide.

Près de 70 ans après la fin du conflit, la traque des nationaux-socialistes continue

Vous trouverez ici la liste des nazis recherchés pour « crime contre l’humanité » et « crimes de guerre ».
Le centre Simon-Wiesenthal vient de lancer une campagne d’affichage dans les plus grandes villes allemandes pour inciter à la délation et faire condamner quelques vieillards sur des lois érigées à la fin de la Seconde guerre mondiale.
Pour motiver les troupes, l’organisation sioniste promet 25 000 € pour tout renseignement conduisant à l’arrestation d’un nazi en cavale… Et ça presse car « Nous n’avons plus beaucoup de temps. Deux ou trois ans au maximum » selon l’historien juif Efraim Zuroff.

Impossible d’en réchapper, même pour les innocents et les mourants : « En 2011, un ancien garde du camp de Sobibor, John Demjanjuk, avait été condamné à cinq ans de prison pour complicité de crime contre l’humanité. Malgré l’absence de preuves et de témoins, il avait été jugé, en tant que garde du camp, coresponsable des meurtres qui y furent perpétrés. Condamné à cinq ans de prison, il est mort un an plus tard, à 91 ans. » (Le Figaro)
C’est beau de voir tant d’humanité chez ceux qui nous ont « délivré  de la barbarie nazie ».

Depuis le procès de Nuremberg (1945-1946), 106 000 soldats allemands ou nazis ont été accusés de crimes de guerre. Parmi eux, 13 000 ont été jugés et la moitié condamnés.