Parodie LGBT de la Cène : un des pervers mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant? (video)

Une nouvelle polémique a éclaté sur internet après la cérémonie d’ouverture, après que cette séquence a été repérée.
Lors de cette mise en scène soigneusement préparée, l’« artiste » subversif mime-t-il un égorgement auprès d’un enfant?

Déjà, rien que le fait de mêler des enfants à ces travestis et militants homosexuels (qui les enlaceront à un moment de la séquence) devrait révolter tout le monde et déclencher des enquêtes.

Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau

Alors qu’un grand émoi, en France et surtout à l’étranger, a été suscité par une mise en scène – de femmes et travestis exubérants, aux attitudes indécentes ou obscènes – qui ressemblait furieusement à une parodie du dernier repas du Christ (la Cène) représenté par Léonard de Vinci dans un tableau illustre, un contre-feu a été allumé sur les réseaux sociaux.

Pour désamorcer la crise, certains avancent avec conviction une thèse qui disculperait d’un blasphème et d’une provocation antichrétienne :

Beaucoup tombent trop facilement dans le panneau, d’autant que devant le tollé international, certains organisateurs rétropédalent.

Pour ce qui concerne la théorie du tableau de Van Biljert, œuvre qui est infiniment moins connue que celle de Léonard de Vinci (et n’est pas particulièrement fameuse, alors que ceux qui l’exhument font mine de prendre pour des incultes ceux qui la méconnaissaient, ce qui est une technique de manipulation minable) :
– d’une part elle s’inspire elle-même du fameux tableau de Vinci sur la Cène, elle le reprend !
C’est même précisé dans le musée où est exposée cette toile.
– d’autre part le ventripotent peint en bleu symbolisant Dionysos durant la cérémonie apparaît près de trois quarts d’heure après le début de la séquence blasphématoire…

Ceux qui décidaient de cette mise en scène laide et répugnante (avec des travestis se frottant à des enfants en arrière-plan) savaient très bien comment serait interprété leur tableau.
A travers le monde, de très nombreux chrétiens et même non-chrétiens compatissants ont exprimé leur indignation devant cette parodie antichrétienne. Même Mélenchon a déploré, avec une sincérité que nous ne connaîtrons qu’au Jugement dernier, cette attaque.
Même la lamentable et très mollassonne Conférence des Evêques de France a réagi, c’est dire !
La gauche la plus tarée, elle, se réjouit ouvertement, comme le « philosophe » médiatique Raphael Enthoven, qui parle de « Cène enwokée » :


D’autre part, tous les gros médias (le Monde, le Figaro, etc.) ont évoqué la Cène, en parlant de cette séquence.

France Télévision, le diffuseur de la cérémonie, se pâmait, en parlant de « mise en Cène » :

Quand absolument tout le monde comprend la même chose, c’est que le message est clair.

D’autre part, des intervenants directs ont eux-mêmes présentés leur ignoble prestation comme une représentation de la Cène !

Un travesti qui avait un rôle de premier plan et particulièrement indécent assumait au micro de BFMTV :

L’activiste subversive Barbara Butch a repris fièrement sur sa page Instagram  un message (le supprimant plus tard) assumant la moquerie :


Elle avait repris un autre message, plus blasphématoire encore, que nous ne retranscrirons pas.

Damien Gabriac, l’un des organisateurs de la cérémonie d’ouverture des JO, confirme la question de France Inter qui lui parle de « la Cène » :

Bref tout le monde a compris ce qu’il y avait à comprendre ; les tentatives de diversion relèvent de la mauvaise foi, et le rétropédalage de certains organisateurs, devant le tollé qu’ils ont suscité, ne fait qu’ajouter à leurs graves méfaits la lâcheté et le mensonge.

Cérémonie d’ouverture des JO : wokisme, perversion et blasphème au menu

Une volonté acharnée de subversion.

La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a mis en œuvre de très importants moyens techniques et a duré quatre heures…

On pouvait s’attendre à du mauvais goût et quelques provocations, mais les organisateurs y sont allés fort, avec plusieurs séquences brutalement wokistes (c’est-à-dire gauchistes), obscènes, perverses ou carrément blasphématoires…

En termes politiques, le mélenchonisme et le macronisme qui dominent les sphères médiatique, politique et culturelle, sont pleinement satisfaits.

Il faut garder en tête que cette cérémonie a été vue par environ un milliard de téléspectateurs… Ils considèreront logiquement la France comme un pays d’homosexuels, de pervers et de blasphémateurs antichrétiens.

Signalons en vrac :

▬ un clip débile montrant la formation d’un couple futile (interracial évidement), qui devient rapidement un trio libertin avec le renfort d’un type maquillé de façon très malsaine. Baisers sur la bouche et regards libidineux. Nous ne mettrons pas d’illustration… Cette scène et d’autres ont d’ailleurs été coupées lors de la diffusion dans certains pays moins dégénérés.
Evidemment le métissage est promu et généralisé.

▬  une diva chantant « les aristocrates on les pendra », déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée, en un tableau effrayant (combien d’enfants traumatisés à travers le monde?) :

le bon goût et les méthodes républicaines exposés fièrement à un milliard de spectateurs…

Si l’idée était de faire de la cérémonie un hommage à la République française, qui s’est illustrée dans la barbarie autant que Daesch, c’est en effet réussi.

▬ des personnages à l’allure horriblement contre-nature s’exposant avec obscénité :

Il faut vraiment être malade pour s’afficher ainsi, ou pour organiser, ou apprécier, ce genre de spectacle.

▬  la chanteuse africaine Aya Nakamura déclamant ses paroles obscènes (heureusement incompréhensibles par 99% des gens) en se touchant ostensiblement l’entrejambe. A ce propos :

« Le spectacle poussif (play-back raté) d’Aya Nakamura, chanteuse présentée peut-être rapidement comme francophone, a été l’occasion d’une forte démonstration d’hostilité gauchiste.
En effet, en plus d’un ridicule et d’un mauvais goût souvent communs au reste de la cérémonie, la prestation de cette vedette qui piétine et massacre la langue française a été placée par les organisateurs devant le bâtiment de l’Académie française, comme un doigt d’honneur aux amis du français et plus généralement aux « conservateurs » (les gens sains d’esprit).
De plus, on a contraint la fanfare de la Garde républicaine à se mêler maladroitement aux gesticulations d’épileptiques des danseuses africaines, à joindre sa musique à ce bruit. Ce groupe d’hommes blancs en uniforme (l’ordre) incarne symboliquement l’ennemi du moment. Il convenait de l’humilier. » (source)

▬  Une atroce scène de parodie du célèbre tableau de Léonard de Vinci représentant la Cène du Christ, entouré de ses apôtres :

vinci cene milan

Ici, on a eu droit à des drag-queens (hommes travestis caricaturalement en femmes et prenant des postures provocantes), à la place de Jésus et ses disciples :

Les gens qui ont fait cela le regretteront amèrement au jour du jugement.
Ils ont par ailleurs blessé de très nombreux croyants à travers le monde.
Mais il ne faudra pas compter sur la Conférence des évêques de France, serpillère du pouvoir mondialiste, pour réagir virilement. Elle préfère ouvrir sa bouche pour dénoncer les patriotes lors des élections.

Après un long moment, lors de cette ignoble scène, un chanteur ventripotent vaguement connu (Philippe Katerine) s’est exposé quasiment nu et couvert de bleu. Il représentait Dyonisos, dieu grec, patron des amateurs d’orgies. On comprend que Macron et les siens le préfèrent au Christ, mais il ne symbolise pas encore vraiment la France, non ?
D’autres divinités païennes étaient représentées, telle Sequana, la déesse antique de la Seine.


Notez en arrière-plan les travestis et femmes à barbe qui se collent à des enfants !

Par prudence légale, nous ne dirons pas à quoi tout cela nous fait penser, mais vous en êtes sûrement arrivés aux mêmes conclusions.

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► voir aussi : Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau

Les ministres étrangers de « l’Education » et de la « Culture » soutiennent la provocation antichrétienne d’un travelo maghrébin

Qui aurait pu imaginer un tel spectacle il y a 20 ans, à part les nationalistes les plus lucides ?

Après la victoire que des Français et chrétiens non-reniés ont obtenu en exigeant fermement l’abandon d’un projet scandaleux, certaines réactions valent d’être mises en valeur :

  1. Deux envahisseurs sont à la tête d’importants ministères (ministères auxquels la gauche s’est toujours accroché à juste titre pour son combat culturel, et dont l’un – la culture – lui fut offert par De Gaulle avec des conséquences terribles).
  2. Ces deux funestes personnages brandissent les armes du « politiquement correct », avec des mots sensés tuer tout débat (et qui font hélas encore effet sur les esprits faibles), pour défendre le projet d’un concert quasi-pornographique donné par un travesti maghrébin dans une église désacralisée.

Vraiment, quel symbole de cette benne à ordures qu’est devenue la France !

Et bravo aux résistants qui ont empêché ce répugnant spectacle, a fortiori dans un édifice qui, même s’il est désacralisé, fut érigé pour la gloire de Dieu, dans une époque de foi et de progrès moral (le vrai « progrès »).

Une couverture pédo-pornographique des éditions Hatier et de la fondation Nicolas Hulot ?

Dans la série des « cahiers de vacances nature » pour enfant des éditions Hatier en collaboration avec la fondation Nicolas Hulot, les couvertures font quasi toujours la promotion du métissage : c’est le minimum syndical chez ces gens-là.
Mais on nous signale une illustration, parue il y a déjà quelques temps, qui frappe encore plus fort, avec ce que presque tous les internautes considèrent sous-entendu obscène peu discret.

Le ministre macroniste du Travail révèle être adepte des mœurs de Sodome

Encore un !

Olivier Dussopt
Sans blague ?

Au premier plan de la réforme des retraites, le ministre du Travail Olivier Dussopt a rendu public, dans un magazine homosexualiste obscène, ce qui a toujours été considéré dans notre civilisation comme un affreux vice.

« Dans une interview donnée à Têtu et parue vendredi 24 mars au soir, le ministre du Travail a indiqué avoir été la cible de «nombreuses remarques homophobes», révélant par la même occasion publiquement son homosexualité pour la première fois. […]

Au cours de cet entretien, Olivier Dussopt a également tenu à rappeler ses combats politiques des dernières années. «Mon engagement, c’est l’énergie que j’ai consacrée à défendre le mariage pour tous et la PMA pour les couples lesbiens, dès 2012», explique-t-il. Le ministre souligne aussi être «favorable à la GPA», même s’il se sait «minoritaire sur cette position au sein de la majorité présidentielle». (source)

Un vrai destructeur de civilisation, qui aura à rendre compte des malheurs de nombreux enfants que se seront offerts certains prétendus « couples ».

Cette citation est savoureuse :

« S’il considère que celle-ci «n’est ni un secret ni un sujet», l’ancien socialiste estime qu’«être homosexuel n’est jamais neutre». «Mais on a le droit de défendre des causes, de militer, de participer au débat sans faire de sa situation personnelle un élément politique en soi», s’est-il défendu. »

Quelle hypocrisie…
La France sous régime républicain est un Etat particulièrement liberticide : il y a tout un tas de causes pourtant naturelles, honorables et légitimes que les lois votées par ces politiciens interdisent de défendre clairement !
On ne peut par exemple plus parler franchement de l’homosexualité, d’un point de vue moral, religieux ou psychiatrique, comme on l’a pourtant fait pendant des siècles (et ce comportement n’a cessé d’être considéré officiellement comme une pathologie psychiatrique, en France, qu’en 1992).
Mais quand les gens de gauche (au sens large) parlent de « libertés », nous savons bien qu’ils pensent seulement à celles qui leur sont favorables.

En tout cas, avec (entre autres?) les ministres Gabriel Attal, Franck Riester, Clément Beaune, on a une belle brochette…

Sans parler de Macron lui-même qui prête le flanc aux rumeurs les plus choquantes.

L’icône féministe Simone de Beauvoir abusait de ses élèves mineures et les rabattait sur le pervers Sartre

Pour un public averti…

Simone de Beauvoir (1908-1986) fut une militante de l’athéisme, du communisme et de l’existentialisme (doctrine de son concubin, le funeste « philosophe » Jean-Paul Sartre). Elle fut aussi – et c’est surtout à ce titre qu’elle est connue aujourd’hui – une pionnière et championne du féminisme.

Comment se fait-il que cette ancienne enseignante soit une icône de ce mouvement – et que son nom soit donné à de nombreux collèges et écoles ! – alors qu’elle fut non seulement une prédatrice sexuelle abusant de certaines de ses élèves, mais encore la pourvoyeuse de mineures vierges qu’elle manipulait pour les livrer à l’appétit de débauche de son amant, le pervers Jean-Paul Sartre ?

C’est cela le féminisme ?

Pour rappel, Jean-Paul Sartre :

Ces accusations terribles sont documentées et les héritiers intellectuels de la Beauvoir et de Sartre, fondateurs de la gauche moderne, ne les nient plus.

Plusieurs livres et articles publiés depuis 20 ans ont établi que Simone de Beauvoir fut la complice de Jean-Paul Sartre dans ses agressions sexuelles en série sur des mineures. Avec un physique plutôt ingrat, Sartre, avait un appétit particulier pour les vierges que Simone de Beauvoir lui livrait après les avoir elle-même séduites. Elle les choisissait souvent parmi ses élèves.

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La vision de la famille délirante d’un « penseur » gauchiste

Geoffroy de Lagasnerie est un « philosophe » et « sociologue » gauchiste.
Le voici, chez un gros média, expliquer en quoi la vie de famille est selon lui un appauvrissement :

Oui, on sort moins quand on est marié, mais en même temps le besoin s’en fait normalement moins sentir.
Pour beaucoup de gens, il n’est alors effectivement plus nécessaire d’aller régulièrement picoler dehors et chercher un conjoint (ou plus souvent un « partenaire »), c’est normal, et ils en sont heureux.

Le gauchisme, maladie mentale, est haineux des réalités naturelles les plus nobles (et de la raison).

Quoi de neuf à la télévision ? Elle continue sur sa pente…

Des spectacles quasi-pornographiques, des « cours de danse en talons » pour de jeunes hommes, et le mauvais goût le plus inimaginable… Le tout à des heures de grande écoute.

Qui a encore la télé chez soi ?
Elle n’est bonne qu’à bourrer le crâne et à petit à petit souiller l’âme et brouiller tous les repères…

Sur C8, chaîne du groupe Bolloré (que certains gauchistes voient comme un croisé de l’ordre moral)
Voilà le projet concernant l’homme blanc. 

La descente aux enfers du Figaro…

dans les enfers du ridicule et du pervers.

Non, cet article ne sort pas de Konbini ou Libération, mais du quotidien autrefois de centre-droit :

Un homme se maquillant comme une femme et se présentant comme « ni homme ni femme » est qualifié au féminin et présenté comme « non-binaire » (c’est contradictoire non?).

On est chez les fous !

L’idéologie du genre chez les Scouts de France

Les parents qui inscriraient leurs enfants dans ce mouvement apostat et gauchiste se rendraient gravement fautifs

Finies la fleur de lys et la croix. Le nouveau logo des scouts et guides de France, adopté en 2019, ne manquera pas d’évoquer la symbolique maçonnique auprès de certains connaisseurs.

Riposte catholique rapporte :

«Les Scouts et Guides de France sont un mouvement scout toujours reconnu par la Conférence des évêques de France, malgré leur abandon de la pédagogie de Baden-Powell. Il n’empêche que cette association vit selon l’air du temps, une ambition de feuille morte. Désormais, c’est l’idéologie du genre qui prend ses quartiers au sein de ce mouvement, comme l’indique cet article du Parisien :

Chez les scouts et guides de France, dont la mixité remonte à 2004, le mouvement explique évoluer avec la société. Louis se réjouit : « Un de nos jeunes est en transition, je ne connaissais pas de personne trans, mais j’ai fait l’effort pour qu’il se sente bien intégré au groupe, de l’appeler Léo aussi. Au début, je réfléchissais dix fois aux mots employés pour ne pas le blesser ou le genrer au féminin : nous ne sommes pas déconnectés des enjeux de la jeunesse ! » Pour aller encore plus loin, son groupe a décidé de créer « une safe place », poursuit-il sans masquer sa fierté.

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L’ignoble Gabriel Matzneff revient (presque), du côté de la Nouvelle Droite

Le pédocriminel Gabriel Matzneff, écrivain bien en cour jusqu’à ce qu’il subisse un opprobre complet fin 2019 – quand une femme écrivain a dénoncé son comportement vis-à-vis des jeunes filles (pour notre part nous dénoncions l’individu dès 2013) – avait disparu, honteux et peureux, des radars.
Nous consacrions un article à cette affaire et aux soutiens que Matzneff avait dans la mouvance dite dissidente et en particulier parmi la « Nouvelle droite », courant à tendance antichrétienne, néo-païenne, antinationaliste et européiste, moralement libertaire, dont le chef de file est Alain de Benoist.
Ce dernier, dans la revue de sa mouvance intitulée Eléments, n’avait, comme nous le rappelions et comme on peut le relire ci-après, pas de mots assez durs pour insulter ceux qui étaient choqués par les écrits pervers de Matzneff…

Bref, voici que trois ans après le scandale, on annonce le retour de Matzneff dans le monde du livre !
Et où donc ? Quel éditeur ose-t-il cette provocation ?
C’est la « Nouvelle Librairie », librairie et maison d’édition de… la Nouvelle Droite.

Quelques jours après cette annonce, le projet tombe toutefois à l’eau, la Nouvelle Librairie affirmant qu’elle renonce :

Certes, l’ouvrage envisagé ne comportait pas de passages ignobles. Mais la réhabilitation et la remise en lumière d’un écrivain qui mériterait le châtiment le plus sévère, alors que la pédocriminalité sévit grandement en France, ne peut que scandaliser les cœurs droits.
La « Nouvelle Droite » et sa « Nouvelle Librairie » ne peuvent faire croire qu’il n’y a nulle complaisance de leur part vis-à-vis de la face la plus horrible de l’œuvre de Matzneff.

Rappelons en effet que ses propos les plus infâmes trouvaient grâce dans la revue phare de la Nouvelle Droite, Éléments, en 1986 (n°60). De Benoist y évoquait deux des livres les plus crus du pervers (Les Moins de 16 ans et Un Galop d’enfer), dans un article exalté intitulé scandaleusement L’Archange Gabriel.
Signalons préalablement qu’un Galop d’enfer comporte des passages très clairs, tels que « il m’arrive d’avoir jusqu’à quatre gamins – âgés de 8 à 14 ans – dans mon lit en même temps » ou « mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de notre secte, où l’on se refile les gosses ».

Eléments :

« D’où l’innocence perverse des midi-deux heures et des cinq à sept (l’heure du goûter) entre la patinoire Molitor, la piscine Deligny, le lycée Paul-Valéry et les résultats du bac. (Aveux sans fard, cynisme compris : “Ce qu’il y a d’agréable avec les très jeunes, c’est qu’entre le bahut et papa-maman elles ne sont guère libres, et qu’on ne les a pas tout le temps sur le dos”). S’ajoutait à cette confession, qui n’a surpris que ceux qui le voulaient bien, un engagement résolu en faveur du génie de l’enfance contre la médiocrité satisfaite des grandes personnes qui donnent des leçons de morale du haut de leur suffisance, et contre l’encroûtement familial (“Ah ! la famille ! quelle invention du diable !”). “L’univers où se meuvent les enfants (je veux dire : que leur imposent les adultes), écrivait Matzneff, est pour l’ordinaire d’une telle bassesse, d’une telle vulgarité, d’une telle déliquescence intellectuelle et morale, que c’est faire oeuvre sainte que de leur apprendre à les mépriser et de les aider à s’en échapper.” [quelle ignoble inversion morale !  NDCI] Une confidence, enfin : “Si j’aime l’extrême jeunesse, c’est parce qu’elle me rend à la part la plus pure, à ce qu’il y a de meilleur en moi.” Avec de tels propos, Gabriel Matzneff ne pouvait évidemment espérer obtenir la médaille en chocolat des associations de parents d’élèves ni le prix du Quai des Orfèvres (section Brigade des mineurs). Il ne pouvait, au contraire, que scandaliser les ligues de vertu et les majorités morales, les esprits pincés, les fesses serrées, les pères-poules et les mâchoires carrées (…). »

Le chef de file de la « Nouvelle Droite » d’ajouter :

« Bien des imbéciles se sont horrifiés de la publication des Moins de 16 ans. […] Quant aux jeunes personnes qui fréquentent Gabriel Matzneff, je ne doute pas qu’elles apprendront à son contact plus de choses belles et élevées que dans la vulgarité et la niaiserie que sécrète à foison leur vie familiale et scolaire. […] et je tiens ce livre salubre pour un acte de courage qui mérite d’être salué ».

De Benoist n’a pas de mots assez durs contre ceux qui ne goûtent pas les écrits et l’activité de Matzneff, « qui [l]‘enchante de ce qu’il écrit et [l]‘honore de son amitié ».
« Les gens qui n’aiment pas Matzneff me sont immédiatement antipathiques », déclarait-il encore en 2012.
Et, par exemple, toujours dans ce numéro 86, à propos de « l’œuvre » de son ami qu’il qualifie souvent d’« aristocratique » (comme lui, faut-il croire) :

« les réactions hostiles qu’elle suscite ont valeur de signe : elles désignent immanquablement les natures méprisables, les natures basses de ceux qui, quoi qu’ils en aient par ailleurs, sont fondamentalement étrangers à toute aristocratie spirituelle. On peut même en faire un test : entre ceux qui aiment Matzneff et certains de ceux qui ne l’aiment pas, il passe à mes yeux une frontière infranchissable, qui vaut tous les poteaux indicateurs. »

Nous serons au moins d’accord sur cette dernière phrase.
De Benoist, qui ne croit à rien et est dévoré d’orgueil (et donc de mépris), invoque comme à son habitude des concepts pompeux et hypocrites ; il établit une inversion radicale des valeurs, de ce qu’est une aristocratie spirituelle. Présenter comme noble la licence morale la plus absolue et la plus répugnante, en insultant ceux qui sont choqués par l’abus d’enfants, il fallait oser…
On s’affligera de la popularité dont lui, la revue Eléments et ce courant d’idées malsain qu’est la Nouvelle Droite bénéficient dans la mouvance nationale, y compris chez certains qui s’affichent comme chrétiens.

PS : le directeur actuel d’Eléments est aussi celui de la Nouvelle Libraire : François Bousquet, que l’on lit partout dans les médias « nationaux » et que l’on entend très souvent sur Radio Courtoisie.

Éducation nationale : le Conseil d’État valide l’utilisation de prénoms d’usage pour les élèves « transgenres »

Le Conseil d’Etat, où la maladie mentale qu’est la gauche sévit

Ces jeunes perdus et déboussolés par une société folle pourront exiger de se faire appeler du prénom de leur choix (sans l’accord des parents et au mépris de l’état-civil)…

« Le Conseil d’État a validé la conformité à la loi de la « circulaire Blanquer », déposée le 29 septembre 2021 par l’ex-ministre de l’Éducation nationale, rapporte Le Parisien, vendredi 30 septembre. Cette décision signifie que, désormais, les élèves transgenres pourront avoir recours à un prénom d’usage à l’école, sans avoir besoin de passer par un changement de nom à l’état civil.

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Irlande : un professeur catholique emprisonné pour avoir refusé d’utiliser les pronoms neutres d’un de ses élèves transgenre

Le totalitarisme progressiste progresse…

« Un délit d’opinion ? En Irlande, un professeur catholique a été emprisonné lundi 5 septembre, rapporte le Daily Mail. Son tort ? Avoir refusé d’user des pronoms neutres d’un de ses élèves transgenre. Enoch Burke, enseignant en allemand et histoire dans un établissement scolaire catholique irlandais, a été arrêté et traduit en justice. Devant le tribunal, il a affirmé avoir été suspendu par l’école pour avoir, en mai dernier, refusé d’appeler un de ses élèves « un garçon » comme étant « une fille ». Il a déclaré qu’une telle directive était « contraire aux Écritures » et allait à l’encontre de « l’éthique de [s]on école et de l’Église d’Irlande », et qu’il ne pourrait jamais l’accepter, car il n’est pas d’accord avec l’idéologie transgenre.

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