Un artiste de gauche aboie pendant 7h contre le Front national…

Les artistes de gauche sont impayables (ou très chers…).

Surtout quand ils veulent exprimer leur colère politique face aux méchants patriotes.

Ainsi, on apprend qu’un certain Olivier de Sagazan, un « plasticien » qui vit et « travaille » à Saint-Nazaire, a effectué dimanche une « performance artistique » qui a beaucoup surpris localement.

Il s’est posté devant l’école Carnot, dans le centre-ville, pour interpeller les électeurs qui se rendaient au bureau de vote, en aboyant pendant 7 heures.
En plus des journalistes et des politiciens du Système, des détraqués se mettent donc aussi à aboyer, littéralement, sur les électeurs !

Selon Ouest-France, « une attitude qui a inquiété les témoins et suscité la visite de la police, venue s’assurer qu’aucun trouble à l’ordre public ne pouvait être constaté. « Une expérience douloureuse, physiquement et psychologiquement » a commenté l’artiste. »

Pour lui mais peut-être aussi pour le voisinage…

Video détente : une racaille corrigée aux Etats-Unis

usaNous évoquions récemment ici le nouveau jeu à la mode aux Etats-Unis chez les racailles africaines : attaquer des Blancs au hasard dans la rue et essayer de le mettre K.O d’un coup.
Ci-dessous une video un peu différente, qui détendra un certain nombre de nos lecteurs, où l’on voit une racaille provoquer lourdement puis attaquer un Blanc dans la rue : une mauvaise pioche pour elle.
(images violentes : )
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Douai : un élu communiste tabassé par « des gens de la cité »

Extrait d’un article savoureux paru dans la Voix du Nord :

« Gérard Delhaye est élu, adjoint aux affaires sociales à la mairie d’Auby, pas boxeur. Pourtant, à voir sa tête, on jurerait qu’il a été compté par l’arbitre sur un ring. Outre le pansement posé sur neuf points de suture qui lui barre le front, le sexagénaire a les deux yeux au beurre noir. Et la tête comme un compteur à gaz. […]

« Je suppose qu’ils devaient me connaître car ils ont cité mon nom : Delhaye, bâtard, branleur d’élu », raconte l’élu sortant, candidat sur la liste « Unis pour Auby » conduite par le maire Freddy Kaczmarek. Faut-il y voir un rapport direct avec son mandat ? Gérard Delhaye s’interdit toute conclusion hâtive [sic !]. Tout juste se permet-il de dire qu’« ils doivent être de la cité » du Bon-Air. »

Drame de l’art contemporain : une femme de ménage jette une oeuvre d’art

art-rromLa pauvre ne s’est pas aperçue que les détritus au sol dans une galerie d’art italienne étaient en fait une oeuvre d’art estimée à 11 000 euros.

« Vous êtes femme de ménage à la galerie Salat Murat de Bari, dans le sud de l’Italie. Mission matinale, vous inspectez les salles et passez derrière tous les petits indélicats qui ont abandonné derrière eux chewing-gums et autres papiers gras la veille. Là, vous tombez sur du papier journal, des cartons et des biscuits éparpillés sur le sol. Qu’est-ce que vous faites ? Vous les jetez ?

Eh bien, une femme de ménage a eu la même réaction. Mal lui en a pris puisque ce qu’elle a cru être des ordures étaient en fait une installation de l’artiste new-yorkais Paul Branca, pour l’exposition Display Mediating Landscape. »

« Si ce genre d’incidents est rare, il existe quelques précédents d’artistes ayant déjà vu leurs créations partir direct à la poubelle. Ansi, en 2001, une installation de Damien Hirst à la Eyestorm Gallery de Londres, constituée d’une collection de bouteilles de bière, de tasses à café et de cendriers plein de mégots avait été déblayée par erreur.

L’artiste allemand Gustav Metzger a également fait les frais des bonnes intentions des employés du Tate Modern qui avaient balancé un sac de papier destiné à son exposition. Et en 1999, un gardien avait jeté préservatifs et draps tachés pensant que l’exposition My Bed de Tracey Emin avait été vandalisée pendant la nuit. »

Image d’illustration : une autre pièce d’art contemporain en pleine nature, probablement d’origine rrom.

Étonnant ballet entre l’Inde et le Pakistan, la cérémonie de Wagah

inde
Un salut nazi pédestre ?!

[Détente]
Chaque soir, à l’unique poste-frontière entre l’Inde et le Pakistan, depuis la partition des deux pays en 1947, le baisser de drapeaux est devenu un étonnant (cocasse même) spectacle, une sorte de ballet martial, entre militaires des deux nations.
À Wagah, village coupé en deux au Pendjab, entre Amritsar et Lahore, ils se défient dans des cris et des postures intimidantes. Avant une rapide poignée de main entre un Indien et un Pakistanais et la fermeture des grilles.
Cette sorte de ballet martial, instauré en 1959, est suivie par des milliers de spectateurs des deux côtés de la frontière : une parenthèse d’excitation patriotique entre les combats et les tensions entre les deux pays rivaux, notamment au Cachemire.

Dieudonné tient bon et promet une « année de la quenelle »

La dernière video de Dieudonné, suite à la campagne politico-médiatique hystérique contre lui et la « quenelle », fait déjà un tabac sur internet.
L’humoriste ne lâche rien face aux intimidations et aux menaces.
On regrettera un passage superflu et erroné sur les Békés (Blancs de Martinique, qui ont bien le droit de préserver leur identité – mais c’est un métis qui s’exprime).

Reconstitution du visage de Robespierre : Mélenchon ne digère pas et déraille !

Sur son blog, le président du Front de Gauche vitupère après la reconstitution du visage de Maximilien de Robespierre, l’un des meneurs sanglants de la Révolution française.
La vilaine trogne ne saurait correspondre à la réalité, prétend Mélenchon dans une réaction purement idéologique :

« une tête bien peu engageante si j’en juge par la photo publiée. Vieille ruse de l’iconographie dont je fais les frais plus souvent qu’à mon tour : la laideur du visage est censée révéler la laideur de l’âme ! »
« En voyant le prétendu masque de Robespierre, comme beaucoup, j’ai vite compris que c’était un épisode de plus de la lutte idéologique sur le sens du contenu de la grande révolution. »

C’est sûr qu’on est très loin de l’iconographie traditionnelle !

« Tout ceci est fait d’enjeux très concrets. Disqualifier Robespierre, c’est depuis toujours disqualifier la révolution, et à travers celle-ci son œuvre libératrice, les principes d’action politique qui ont triomphé avec elle » etc., etc.
L’auteur de la reconstitution,  Philippe Froesch, spécialiste mondial en ce domaine, utilisant les techniques et logiciels de la police scientifique, répond : « Cela a été fait sur la base du masque mortuaire, qui a été pris le 10 termidor, par Marie Grosholtz, qui deviendra Marie Tussaud. On observe des poches sous les yeux, les yeux bouffis, les marques de l’image de synthèse sont exactement celle qu’on retrouve sur les masques mortuaires. »

Mélenchon termine sa diatribe de républicain meurtri dans une envolée historico-médicale : « « Petite vérole » ça fait maladie vénérienne, vie déréglée. En réalité il s’agit de la variole, maladie endémique des siècles durant. Ce détail situe le niveau de la bassesse auquel est située cette opération de communication débile. ».

Or, pas de bol pour Merluche, variole et petite vérole sont synonymes !

Qui écrit des débilités ?!

Et oui, Robespierre avait bien une tête de psychopathe. Et pour cause…