Les cas de sportifs travestis qui battent des records féminins est un véritable caillou dans la chaussure des commissaires idéologiques du « Nouveau monde ». D’un côté c’est l’aboutissement de la théorie du genre, mais d’un autre, c’est une catégorie dite opprimée, les trans, qui en opprime une autre, les femmes. L’exclusion des travestis des compétitions officielles féminines, reviendrait à désavouer le dogme progressiste selon lequel le sexe est une construction sociale.
Trouvé sur Sputnik : « Un homme biologique qui s’identifie comme une femme a provoqué un scandale dans le monde du sport en battant quatre records mondiaux d’haltérophilie. Ses pairs jugent qu’il est injuste de reconnaître les performances d’un(e) sportif(-ve) qui ne soit pas physiquement comme ses rivales.
Mary Gregory, une haltérophile, a suscité une réaction très négative chez certaines olympiennes après avoir annoncé qu’elle avait battu quatre records du monde à une compétition de 100% Raw Weightlifting Federation aux États-Unis.
Mary Gregory a déclaré sur Instagram qu’elle avait remporté la victoire «neuf fois sur neuf», notamment en établissant quatre nouveaux records mondiaux.