
Le 14 juillet 2016, un Arabe fonçait volontairement sur la foule au volant d’un camion, à Nice, tuant 86 personnes et en blessant près de 500…
Mais l’attitude d’autres personnes, juste après cette attaque terroriste, mérite d’être soulignée et rappelée.
Des personnes – dont tout le monde se doute qu’elles ne sont pas françaises – ont, juste après ce massacre, pillé les cadavres encore chauds.
« Comme l’ont rapporté nos confrères de Nice-Matin à travers plusieurs témoignages, pendant que les secours s’occupaient des corps et des blessés des » charognards » tentaient de dépouiller les corps inertes : « Le soir du 14-Juillet. Nadia, Daniel et Ludovic, membres de l’Union nationale des parachutistes, racontent une nuit en enfer. Une nuit à veiller les morts et à protéger les vivants » raconte le journaliste, avant de livrer le récit de l’un des témoins sur place : » Le pire c’était les charognards. Des gens tournaient autour des cadavres. Ils soulevaient les corps avec les pieds…Ils sont venus comme des mouches ».
Ces hommes sans honneur et sans vertu s’en prennent même aux corps des enfants : « Il ne lui restait que sa poupée. Une poupée rose à côté d’elle. Un gars est arrivé et a pris la poupée, je me suis battu pour la reprendre ». Alors Nadia présente à ce moment-là intervient : « J’ai pris la petite poupée et je l’ai glissé sous la couverture de survie, tout contre elle, pour qu’elle reste avec elle ». »
Daniel quant à lui explique s’être battu plusieurs fois avec un homme qui volait un portable sur un corps : » « Je lui ai dit, lâche ça. Ils sont arrivés à cinq. Ils ont fait tomber mon béret et ils ont pris le portable. Je n’avais pas peur, j’étais dans une colère ».
Consternés et sous le choc, ils évoquent même « les gens qui venaient voir, parfois avec leurs enfants ». » (source)
« De ce cauchemar éveillé, beaucoup ont gardé une image tout droit venue de l’enfer : des charognards qui, sur les cadavres encore chauds, ont fouillé les poches, pillé les sacs. »
« Sophie reste hantée par les sourires glaçants de gamins réjouis par ce spectacle de désolation. « Ils étaient morts de rire » » (source)
En France, les Français vivent ainsi aux côtés de nombreux psychopathes – dépourvus non seulement de morale mais d’humanité – qui n’attendent que l’occasion de se réjouir de leur malheur, sinon de le provoquer directement…