« Nous avons acheté Manhattan, la Hongrie, la Roumanie et la Pologne »

Il nous faut rétablir certaines vérités concernant le Jobbik, le parti nationaliste hongrois.
Les merdias français l’accusent parfois de délire antisémite, parce qu’il affirme par exemple que les Israéliens raflent massivement l’immobilier hongrois.
Laissons donc le président israélien Shimon Peres nous donner son avis (à l’Hotel Hilton de Tel-Aviv en 2007) :

Russie : les provocatrices punk condamnées

Féministes protestant contre le verdict en détruisant un crucifix...

Emoi chez les Occidentaux : les trois pétasses d’un groupe de punk-rock nommé grossièrement « Pussy riot » ont été condamnés par la justice moscovite, après avoir profané l’autel de la cathédrale du Christ Sauveur.
Le 21 février 2012, elles avaient improvisé, encagoulées, avec guitares et sonorisation, une « prière punk » intitulée « Marie mère de Dieu – chasse Poutine ! ». Les paroles de la chanson sont entre autres « Sainte Marie mère de Dieu, deviens féministe », « merde, merde, merde du Seigneur », etc.
Elles viennent d’être condamnées à 2 ans de prison, pour « incitation à la haine religieuse » et « hooliganisme ». Poutine avait appelé à un jugement clément tandis que l’Eglise orthodoxe avait réagi plus fermement.

Les réactions indignées à l’encontre du verdict se multiplient chez les élites occidentales, à l’instar du ministre français de la culture (sic), l’écrivain pornographique Aurélie Filippetti, qui se dit « consternée » par cette « justice d’un autre âge », et qui défend vivement la possibilité de profaner les lieux de culte chrétiens au nom de la « liberté d’expression » et de la « liberté artistique ».

Évidemment, dans le monde occidental outré, pas un mot de condamnation pour la profanation elle-même.
En Ukraine, le groupe féministe Femen a manifesté son soutien aux inculpées en détruisant publiquement un grand crucifix, confirmant la haine antichrétienne qui se trouve derrière leurs revendications.
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Graves dérapages de Laurent Fabius : « Assad ne mérite pas d’être sur terre »

Le chef de la diplomatie (sic)  française (sic) Laurent Fabius, qui a visité jeudi un camp de réfugiés syriens à la frontière turque, a déclaré que « le régime syrien devait être abattu et rapidement », dénonçant « les exactions » de Damas contre les « populations civiles ».

Le ministre des affaires étrangères, va-t-en-guerre sioniste fanatique, s’est permis de tenir des propos particulièrement outranciers au cours d’une opération de communication-manipulation, à propos du président syrien :

« Arès avoir entendu les témoignages bouleversants des personnes ici (…) quand on entend ça et je suis conscient de la force de ce que je suis en train de dire : Bachar al-Assad ne mériterait pas d’être sur terre », a-t-il dit aux journalistes.

Israël « préparé comme jamais » à une guerre contre l’Iran

Alors que la presse israélienne évoque régulièrement le scénario d’une guerre contre l’Iran, l’ex-ministre de la Défense civile (Matan Vilnai), qui vient d’être nommé ambassadeur en Chine, assure dans une interview parue mercredi que « le front israélien est préparé comme il ne l’a jamais été » à cette hypothèse. « Les estimations font état d’une guerre qui durerait 30 jours et aurait plusieurs fronts », avance même Matan Vilnai.

Afghanistan, Irak, Côte d’Ivoire, Libye, Mali indirectement, Syrie et bientôt Iran…
A chaque fois, le peuple avale le même scénario : il faut renverser le grand méchant dictateur pour y installer la gentille démocratie… Cela se termine toujours de la même façon : le pays est en ruiné, divisé, la population crève de faim, les USA touchent le pactole et les larbins occidentaux récupèrent des miettes au nom des droits de l’homme…

Jimmy Carter et la politique d’Obama

Alors que l’ONU accuse l’armée syrienne de « crimes contre l’humanité » et les rebelles de « crimes de guerre », l’ancien président démocrate Jimmy Carter revient sur la politique de Barack Obama.

L’ancien président Jimmy Carter a signé une tribune dans le New York Times du 24 juin titrée Un bilan cruel et inhabituel. Il y déplore le bilan des Etats-Unis en ma­tière des droits humains: “Les révélations selon lesquelles des responsables très haut placés choisissent pour cibles des person­nes à assassiner à l’étranger, y compris des citoyens américains, ne sont que la plus récente preuve inquiétante de l’ampleur de la violation des droits de l’homme par notre nation”.Si Carter ne mentionne pas explicitement le nom du président Obama, la politique qu’il dénonce est incontestablement celle poursuivie par l’occupant actuel de la Maison Blanche. Selon Carter, la politique américaine actuelle de lutte contre le terro­risme est en violation de 10 des 30 articles de la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, ce qui par implica­tion fait de M. Obama un criminel de guerre.

Source : LIESI

Syrie : quelques voix commencent a dénoncer la propagande

Alain Chouet, ancien chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE, livre son point de vue sur les événements qui se déroulent actuellement dans le monde arabe et notamment en Syrie.

Si vous vous informez sur la Syrie par les médias écrits et audiovisuels, en particulier en France, vous n‘aurez pas manqué de constater que toutes les informations concernant la situation sont sourcées « Observatoire syrien des droits de l‘homme » (OSDH) ou plus laconiquement « ONG », ce qui revient au même, l‘ONG en question étant toujours l‘Observatoire syrien des droits de l‘homme.

Les Frères à la source de l’info

L‘Observatoire syrien des droits de l‘homme, c‘est une dénomination qui sonne bien aux oreilles occidentales dont il est devenu la source d‘information privilégiée voire unique. Il n‘a pourtant rien à voir avec la respectable (NDLR : ce n’est pas l’avis de la rédaction de CI) Ligue internationale des droits de l‘homme . C‘est en fait une émanation de l‘Association des Frères Musulmans et il est dirigé par des militants islamistes dont certains ont été autrefois condamnés pour activisme violent, en particulier son fondateur et premier Président, Monsieur Ryadh el-Maleh. L‘OSDH s‘est installé à la fin des années 80 à Londres sous la houlette bienveillante des services anglo-saxons et fonctionne en quasi-totalité sur fonds saoudiens et maintenant qataris.

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Nationalisme(s) en Hongrie

Vu sur le site du Renouveau français, un compte rendu avec de belles photos du festival nationaliste hongrois annuel :

« Comme chaque année depuis douze ans, s’est déroulé en Hongrie un festival nationaliste où des milliers de personnes se sont retrouvées pour quelques jours, partageant un programme dense et varié.
Cette année, le festival était doublé de deux journées « internationales » (le Festival boréal) et accueillait des délégations d’Italie, d’Espagne, de Suède, de Norvège, de Pologne, de Croatie et… de France.
Le Renouveau français avait été invité par les organisateurs du festival et un groupe de militants s’est donc rendu en pays magyar.

Ils ont pu découvrir un événement particulièrement bien organisé par le HVIM (« Mouvement de jeunesse des 64 comtés »).
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Syrie : les islamistes de « l’ASL » montrent leur véritable visage

3 vidéos montrant des rebelles syriens jetant des corps du toit d’un bâtiment ou égorgeant sauvagement un homme ont été diffusées sur le net. Sur la première vidéo (ci dessous), des corps de policiers syriens sont jetés un à un du toit d’un bâtiment. Selon 20 minutes, dans une autre vidéo amateur, un homme, les yeux bandés et les mains liées dans le dos, essaie de résister alors qu’un groupe le force à s’allonger sur la chaussée. Les combattants lui crient « Assieds-toi » et l’un d’eux crie: « Je prèfère qu’on le tue par balle » mais un autre lui rétorque: « Non, tais-toi ». Alors que des gens crient aussi « Allah Akbar », un homme apparaît avec un petit couteau, l’égorge et son sang se répand sur la chaussée. « C’est le sort de tous les chabbiha (bandits) et ceux qui soutiennent Bachar (al-Assad) », assure le cameraman. Ce dernier ajoute « Hamdoulillah » (louange à Dieu) et demande à l’égorgeur de s’arrêter, ce qu’il ne fait pas. « O Bachar, c’est le sort de ton armée et de tes chabbiha », ajoute le caméraman. Dans le troisième clip, tourné à Azaz dans la province d’Alep, un homme portant une barbe est sorti d’une voiture avec les mains attachées derrière le dos et jeté à terre. Un homme tire sur lui avec un pistolet et un autre l’achève avec un fusil mitrailleur.

Attention, les images peuvent choquer certains lecteurs :

Forcément, les acteurs de la propagande sont gênés aux entournures : « Cela bénéficie au régime et aux ennemis de la révolution à l’intérieur et à l’extérieur » a déclaré Abdel Rahmane (OSDH).

L’Afrique Réelle N°32 – Août 2012

Editorial de Bernard Lugan :
Le continent africain connaît actuellement une situation particulièrement agitée avec trois principaux points chauds : Libye, Mali et RDC. Le président tchadien Idriss Déby Itno avait mis en garde Nicolas Sarkozy, ce dernier s’apprêtant à déclencher une intervention militaire contre le régime du colonel Kadhafi. Il ne fut hélas pas écouté. Aujourd’hui, son analyse de la situation libyenne tombe comme un couperet : « Quand je regarde l’état actuel de la Libye, où chaque localité est gouvernée sur une base tribale par des milices surarmées ou par ce qu’il reste des forces fidèles à Kadhafi, notamment aux frontières sud et ouest, ma crainte a un nom : la somalisation ». Entretien à Jeune Afrique, 15 juillet 2012.
Au sujet du Mali, j’écrivais dans mon éditorial du mois de juillet dernier : « II n’existe pas d’autre solution que locale et passant par un appui direct donné aux Touaregs, seuls capables de lutter contre les bandes islamistes en zone désertique. En échange d’une telle aide, il leur serait demandé de renoncer à leur idée d’indépendance au profit d’une très large autonomie ».
Le président Déby qui partage la même analyse fait des recommandations pleines de bon sens : « Il faut sauver les Touaregs du MNLA avec qui on peut discuter et qui sont en train de se faire engloutir par les islamistes, et négocier avec eux une sortie de crise qui ne soit pas une partition du Mali. Et il faut combattre les terroristes avec une force suffisamment dissuasive ». Entretien à Jeune Afrique, 15 juillet 2012.

Syrie : la guerre de l’ASL contre tout ce qui n’est pas sunnite

Reseau Voltaire : La presse occidentale décrit l’« Armée syrienne libre » comme une organisation sunnite conservatrice, par opposition à Al-Qaeda (et sa branche locale le Front de soutien au Peuple du Levant) qui serait, elle et uniquement elle, extrémiste. Cette présentation est fausse tout d’abord parce que certains des leaders de l’« Armée syrienne libre » sont des responsables de longue date d’Al-Qaeda. Il n’est donc pas possible de distinguer complètement les deux structures l’une de l’autre. Ensuite, l’ASL se place sous l’autorité spirituelle du cheikh Adnan al-Arour dont le programme est explicitement takfiriste, c’est-à-dire qu’il entend épurer la communauté musulmane et expulser ou tuer les non-musulmans.

Syrie : trahison du président du Conseil des ministres

Alors que la presse aux ordres nous rabache les oreilles qu’un coup dur a été porté à l’état syrien avec la défection Riad Hijab, le Réseau Voltaire livre une analyse sensiblement différente.

Se sentant démasqué, le président du Conseil des ministres syriens, Riad Hijab, a été exfiltré par l’OTAN vers le Liban, dimanche 5 août 2012.

L’agence de presse nationale syrienne (SANA) n’a pas rendu compte de l’événement, se contentant de signaler qu’il avait été « démis de ses fonctions ».

La Syrie étant un régime présidentiel (comme les États-Unis), les ministres sont nommés directement par le président de la République et cette vacance n’a pas d’incidence sur le reste du gouvernement. Le président Bachar el-Assad a demandé à l’un des quatre vice-présidents du Conseil, Omar Ghalawanji, d’exercer les fonctions de président du Conseil des ministres.

Le chef de l’Armée syrienne libre a annoncé que M. Hijab avait fait défection avec d’autres ministres. La télévision syrienne a montré des images panoramiques de la réunion du Conseil des ministres sous la présidence d’Omar Ghalawanji afin que chacun puisse constater que nul ne manque à l’appel. En outre, le ministre des Biens cultuels –dont le nom avait été cité par une agence de presse- a fait une déclaration à la télévision sur un sujet secondaire afin de mettre un terme aux rumeurs de la presse occidentale le concernant.

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Syrie : portrait d’un révolutionnaire

Le Figaro publie le portrait d’un islamiste de France parti combattre aux cotés de l’ASL sous le titre : « Abou Hajjar, combattant français en Syrie ». Vous le verrez, il n’a rien de très Français et rien d’un défenseur des « droits de l’homme » :

Informaticien de formation, ce moudjahid a quitté la région parisienne il y a quatre mois pour participer au soulèvement contre le régime de Bachar el-Assad et à la réislamisation de la société.

Le Coran et l’épée. Combattre le régime «impie» de Bachar el-Assad, tout en prêchant «un islam pur» pour la Syrie de demain. Depuis qu’il s’est infiltré, il y a quatre mois dans les montagnes du Djebel al-Zawiya, Abou Hajjar accomplit ces deux missions que le prophète Mahomet n’aurait pas reniées. Parti de la région parisienne, cet analyste programmeur français d’une trentaine d’années lutte avec la «Brigade des faucons de Damas», un groupe islamiste d’inspiration salafiste, bien implanté dans la région d’Idlib, non loin de la frontière turque.

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Chasse aux sorcières aux Jeux Olympiques : encore une victime

Nadja Drygalla

Voici un événement qui permet de comprendre la pression qui existe en Allemagne à l’encontre des opposants politiques :

Nadja Drygalla, une athlète de la partie orientale de l’Allemagne, a du quitter les Jeux olympiques.
La raison de ce départ est que son »petit ami » est un responsable local du parti nationaliste NPD.
Dans le passé, Nadja Drygalla a été contrainte de quitter son emploi au sein de la police pour la même raison. (source)

Comme pour la compétitrice grecque elle aussi virée pour des motifs absurdes, les responsables olympiques osent invoquer des « valeurs », alors que leur raout mondial est une apologie du dopage, de l’argent-roi, de la publicité, du mercenariat…

Pierre de Coubertin

Il faudra bientôt aux mondialistes effacer toutes les références à Pierre de Coubertin, qui a créé les Jeux olympiques modernes il y a un siècle, car ce dernier professait des opinions aujourd’hui interdites.
S’affirmant « colonialiste fanatique », il expliquait que « les races sont de valeur différente et à la race blanche, d’essence supérieure, toutes les autres doivent faire allégeance ».
A propos des femmes et des jeux olympiques, il constatait que « les olympiades femelles sont inintéressantes, inesthétiques et incorrectes. Aux Jeux olympiques, leur rôle devrait être surtout, comme aux anciens tournois, de couronner les vainqueurs. »
Sans parler de l’appréciation élogieuse qu’il fit des JO de Berlin en 1936, organisés par le IIIe Reich.