En bref : petit tour de la Hollandie

Les chiffres magouillés du Pôle Emploi

Le véritable nombre de chômeurs pour le mois de juin 2014 s’élève à 9.5 millions en France. Voir le détail :  ici

Violente rixe dans le Gard

« Les affrontements entre les deux bandes rivales – composées chacune d’environ 40 personnes – ont fait au total 8 blessés, dont une personne plus gravement atteinte, mais dont le pronostic vital n’était pas engagé.
Des barres de fer et des armes blanches ont été utilisées au cours de la rixe, et des témoins ont rapporté avoir entendu un coup de feu, même si aucune douille n’a ensuite été retrouvée, et qu’aucune personne n’a été blessée par balle. » Source : Le Figaro

Un djihadiste grenoblois tué en Syrie

Selon plusieurs sites islamistes, ou des comptes Twitter de spécialistes du djihad comme David Thomson de RFI, Abu Tamimah, un djihadiste originaire de Grenoble, a été tué vendredi lors des combats menées par l’Etat islamique en Irak et au Levant à Raqqa au nord de la Syrie. Le jeune homme, parti en Syrie depuis 2012 était particulièrement célèbre sur les sites internet et faisait de la propagande en faveur du djihad.  Source : FDS

Pas de repas hallal en prison

Pas de repas hallal en prison

La Cour administrative d’appel de Lyon vient d’annuler un précédent jugement du tribunal administratif de Grenoble, qui avait été saisi par un détenu, datant du 7 novembre 2013, obligeant le directeur du centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier, dans l’Isère, à servir des repas hallal.

La Cour a simplement estimé que « compte tenu de la possibilité pour les détenus de bénéficier de repas sans porc ou de repas végétariens, de la possibilité de disposer de repas adaptés lors des principales fêtes et de la possibilité d’acheter de la viande hallal par l’intermédiaire de la cantine, un juste équilibre était ménagé entre les nécessités du service public et les droits des personnes détenues en matière religieuse ».

Elle s’est contenté de suivre l’avis du rapporteur public qui avait demandé l’annulation du jugement incriminé le 2 juillet dernier, qui avait réclamé de suspendre « provisoirement » le jugement du tribunal à cause du « coût financier et organisationnel élevé »

La moindre des choses en France… Il ne viendrait pas à l’idée d’un Chrétien occidental emprisonné en Arabie Saoudite d’aller réclamer du poisson le vendredi…

De Gaza à Barbès

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Aligner sa politique sur celle d’Israël d’un côté, encourager une forte immigration arabe et majoritairement musulmane pendant des décennies de l’autre… puis s’étonner.

Seuls nos hommes politiques en sont capables, mais ils sont du même coup responsables des scènes de guerre vues à Barbès et Sarcelles ce week-end.

Voitures brûlées, synagogue attaquée, policiers agressés… Une violence qui n’est pas nouvelle mais qui s’intensifie d’année en année. Les islamo-racailles se reconnaissent, prennent conscience de leur nombre et donc de leurs forces…

Ils ne se battent évidemment pas tant pour Gaza que contre la France et c’est ce que refusent d’avouer ou de reconnaitre nos dirigeants. C’est pourtant ça qui devrait les préoccuper.

Les dégâts sont immenses, les condamnations timides pour nos pros de l’indignation et les manifestations qui avaient été interdites sont désormais … autorisées mercredi prochain. Une récompense pour bon comportement sans doute.

En face d’un phénomène qu’ils sont incapables d’endiguer, ils baissent les armes, retirent les forces de l’ordre ou les empêchent d’intervenir et ne remettent par ailleurs jamais en cause leur politique internationale… et c’est la France qui subit les dégâts d’un conflit qui s’est étendu sur ses terres sans que son peuple n’ait rien demandé ni voulu.

 

Syrie : entretien avec un combattant islamiste français

Maxime, Français de 22 ans est parti faire le djihad en Syrie aux cotés de l’Etat Islamique. Lorsqu’il parle de partir en opération il est difficile de ne pas penser aux milliers d’irakiens massacrés par cette bande de barbus.

Sans doute que ce jeune con approuve l’exécution de ces gamins syriens par ses « frères » :

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le terroriste visait le Louvre et la Tour Eiffel

Le cas d’Ali n’est pas isolé, prévient le juge Marc Trévic. En prison depuis un an, le jeune homme est enfermé dans le cadre de l’information judiciaire pour « association de malfaiteurs » ouverte à son encontre depuis son arrestation par les enquêteurs de la DGSI alors qu’il s’apprêtait à gagner un maquis du Sud algérien pour s’y entraîner.

L’enquête vient de révéler des messages cryptés que le fameux Ali échangeait avec un haut dignitaire d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI) dans lesquels il suggérait de viser un large éventail d’objectifs parmi lesquels la Tour Eiffel, le Musée du Louvres, des centrales nucléaires, le Festival d’Avignon ou encore des bars ou boîtes de nuit.

Des candidats au djihad toujours plus nombreux

Difficile de savoir si le jeune homme, que son avocate décrit (évidemment…) comme un jeune homme faible et victime d’un véritable endoctrinement, serait passé à l’acte, mais la DGSI, elle, insiste sur son zèle.

Aqmi reste la menace principale mais chaque zone de conflit « en terre d’islam » fait naître de nouvelles vocations, de nouvelles filières de djihadistes qui deviennent terroristes potentiels à leur retour en France. Les atrocités d’Abou Bakr al-Baghdadi qui vient de proclamer la création d’un califat en Irak attire déjà de nouvelles recrues.

A quand la surveillance des imams et des mosquées ?

Le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, a choisi d’élargir l’arsenal juridique pour l’adapter au mieux à ces nouvelles menaces. Il propose, notamment, de renforcer la surveillance d’Internet, qu’un enquêteur de la DGSI qualifie de « principal lieu d’endoctrinement et de radicalisation des jeunes candidats au départ ». Ce n’est donc plus la prison ?

Le renforcement de la surveillance internet est aussi une façon d’accroître les contrôles et la surveillance des citoyens Français, au nom de leur sécurité… Si on essayait de renforcer la surveillance des frontières, des banlieues, des imams et des mosquées pour commencer ?

L’Algérie défilera le 14 juillet !

ALGERIEAprès des semaines de rumeurs imprécises, de démentis et d’hésitations, c’est officiel, Alger a accepté de défiler le 14 Juillet et participera donc aux cérémonies à Paris a annoncé son chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra.

« L’Algérie participera, dans le même format et dans les mêmes conditions que 80 autres nations dont des citoyens sont tombés sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, à la manifestation prévue à Paris à cet effet », a dit le ministre.  « Le peuple algérien assume toute son Histoire et honore ses propres contributions à la liberté à travers le monde », a-t-il ajouté.

Une présence qui engendre des polémiques en France comme en Algérie. Simplement parce que non, l’armée algérienne défilant sur les Champs Elysées ne se lit pas comme la participation de « 80 autres nations ».

Il s’agit d’abord de l’armée de tous ces ressortissants qui confient haïr la France tout en y habitant. Mais ce sera aussi le drapeau du FLN, inchangé depuis, qui défilera sur les Champs Elysées alors même que la France n’a pas été capable de se souvenir, le 5 juillet, des massacrés d’Oran.

C’est aussi un hymne national qui prend directement la France à partie, comme aucun autre hymne dans le monde ne le fait, et qui révèle que l’esprit de contre-colonisation est toujours vif :

Ô France ! le temps des palabres est révolu
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre Révolution le rendra
Car Nous avons décidé que l’Algérie vivra
Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins ! Soyez-en témoins !

Le ministre Français des Affaires étrangères Laurent Fabius avait pourtant estimé le 20 juin dernier, répondant déjà aux polémiques naissantes, que la présence de soldats algériens lors des cérémonies du 14 juillet sur les Champs-Elysées n’avait « rien de choquant », puisqu’il s’agit de commémorer tous les sacrifices qui ont été faits durant la Première Guerre mondiale. Intéressant de lire à ce sujet l’entretien de Jean-Dominique Merchet qui remet largement les choses à leur place quant à ces « sacrifices ».

En France, un collectif baptisé « Non au défilé des troupes algériennes le 14 juillet 2014 »  s’est constitué pour protester contre cette présence.
En Algérie, la puissante organisation des moudjahidines (ONM, anciens combattants) s’est opposée publiquement à la présence de militaires algériens au défilé à Paris.

M. Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, a par ailleurs indiqué que l’Algérie condamnait « fermement » la « profanation » en France du drapeau algérien le 30 juin avant le match Algérie-Allemagne en huitième de finale de la Coupe du Monde de football au Brésil. Les autorités algériennes souhaitent que l’enquête ouverte à ce sujet « aboutisse afin que l’auteur de ce crime subisse la rigueur de la loi ». 

Silence assourdissant en revanche du côté de nos « élites » sur les centaines de drapeaux Français brûlés par ces Algériens qui répètent en insultant la France, qu’ils sont là pour « se venger »…

L’Algérie avait déjà pris les Champs-Elysées pendant la Coupe du Monde par la biais de ses ressortissants sans un mot de la part des autorités françaises… Etant donné les multiples dégradations durant ce mondial, les affronts quotidiens que font les ressortissants algériens à la France sur son propre sol, et l’histoire commune des deux pays, cette invitation ressemble fort à une trahison.

La police affirme que Barbès « se transforme en Etat de non-droit »

BARBES

Dans les colonnes du Parisien, des policiers, presque tous sous couvert d’anonymat, livrent des témoignages accablants : le quartier du XVIIIème arrondissement de la Goutte-d’ Or à Paris, déjà classé en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP), est en passe de devenir une zone de non-droit.

Des témoignages édifiants

Le récit que font les policiers de certaines scènes qui se déroulent à Barbès est édifiant. Les témoignages se passent de commentaire : « Jeudi dernier, on est arrivé à une situation extrême » confie un policier. « Un contrôle sur une bagarre au couteau s’est terminé en révolte de rue. Les policiers ont dû dégoupiller une grenade de désencerclement afin de pouvoir rejoindre entiers leur voiture qui était à 30 mètres ! » poursuit le fonctionnaire de police. Un témoignage à peine croyable. Manque de moyen, sous-effectif… le commissariat du quartier de la Goutte-d’ Or, dans le XVIIIème arrondissement, est « au bord de l’implosion » selon le quotidien, qui précise que «plusieurs fois, le commissariat de la Goutte d’Or a dû diffuser au micro son appel à toutes les unités». Un policier a précisé : «200 policiers sur tout Paris ont été appelés à la rescousse. Samedi le quartier s’est à nouveau embrasé… »

Unsa-Police déclare l’« état d’urgence »

Le syndicat de policiers, Unsa-Police, dénonce une situation qui ne peut plus durer. Il diffuse depuis vendredi un tract « Etat d’urgence ! ZSP du XVIIIème »  pour dénoncer la situation. « Ce sont des voyous qui tiennent le quartier ».

Le Parisien décrit des scènes étonnantes en plein Paris, où des « supermarchés à ciel ouvert » se tiennent dans ces quartiers. On peut y acheter drogues, mais aussi « vélos fraîchement volés »  ou encore des« vêtements de marque neuf à même le sol »… Le quotidien révèle aussi le contenu des procès-verbaux des derniers jours. Le constat est sans appel : « ils attestant de ce trafic et de la montée en violence du quartier ».

La fin de l’article, là encore, se passe de commentaires. Un fonctionnaire de police témoigne que « jeudi dernier, certains policiers ont reçu la consigne de laisser tomber les contrôles des marchés à la sauvette ».

Lu sur Valeurs Actuelles

 

Léonarda et sa famille continuent à défier la France…

Leonarda et son père

Léonarda Dibrani, expulsée avec fracas médiatique l’année dernière, se trouve avec sa mère et trois de ses frères en Croatie, pays membre de l’Union européenne, a déclaré aujourd’hui son père, Resat Dibrani.

La famille avait réclamé fin mai à l’ambassade de Croatie au Kosovo des passeports croates, ils ont obtenu les titres de voyage et n’ont donc plus qu’à terminer la procédure en Croatie. Mme Dibrani et quatre de ses six enfants possédaient déjà des passeports croates dont la validité avait expiré.

Bientôt en France grâce à l’espace Schenghen

« Nous avons une énorme occasion de quitter le Kosovo, la plus grande depuis que nous avons été expulsés de France. J’ai de l’espoir », a déclaré Resat Dibrani au Figaro. En devenant des ressortissants croates, les Dibrani pourraient théoriquement revenir en France à cause du principe de la libre circulation des personnes dans l’espace Schenghen…

« Attention, j’arrive en France ! », lâchait Resat Dibrani toujours au Figaro.

« Lundi (aujourd’hui Ndlr), ils auront les passeports, et dans une semaine, quinze jours, on partira, toute la famille ensemble!  Comme ça, ma femme – enceinte de huit mois et demi – accouchera à l’hôpital de Pontarlier, là où est née Medina (une autre de leurs filles Ndlr)». Ils jouent donc contre la montre pour bénéficier du droit du sol…

Resat Dibrani veut « faire payer la France »

 «On va leur montrer à Hollande et à Valls qui est le chef ! On va leur dire en face ! Ils ne me croyaient pas quand on disait qu’on était européens. Ils nous ont renvoyés au Kosovo comme des animaux, avec de faux papiers. Ah, le préfet du Doubs, il va être bien dans la merde ! » affirme tranquillement le clandestin qui défie le gouvernement depuis maintenant des mois…

Il n’a aucune limite dans ses revendications portées par une législation européenne destructrice de toute souveraineté : « Il faut que toute l’Europe sache ce qu’a fait la France, tonne-t-il. Nous allons aller à la Cour de Strasbourg, pour demander des dommages et intérêts. La France, maintenant, on va la faire payer ! » Oubliant au passage que la famille Dibrani avait déjà coûté 594 697,118 euros au contribuable Français…

Fabienne, institutrice de 34 ans, assassinée par Rachida à Albi.

Fabienne tuée

Vendredi matin, dernier jour de l’année scolaire, une institutrice de grande section de maternelle a été poignardée par Rachida, le mère d’une élève de la classe de cette jeune maman de 34 ans.

Rachida, auteur du crime, était déjà connue des services de police : elle avait été signalée au début de l’année au parquet pour des « troubles psychiques » et une enquête pour délaissement de mineur avait alors été ouverte. Elle avait été hospitalisée jusqu’au 18 mars dernier avant de récupéré la plus jeune de ses deux filles en Espagne, avant de la scolariser dans cette petite école d’Albi, en mai.

Vendredi, elle est venue à l’école avec un couteau de cuisine dans son sac à main et a tué la jeune institutrice devant tous ses élèves « parce qu’elle n’était pas gentille avec sa fille », laissant deux fillettes de 6 ans et 9 mois orphelines.

Comme d’habitude, les troubles psychiatriques sont mis en avant, et personne ne relève qu’il s’agit encore une fois du meurtre d’une Française par une étrangère, aux origines marocaines cette fois-ci.

Troubles psychiatriques sans doute, qui ne l’empêchaient pourtant pas d’avoir la garde de se petite fille de 6 ans…

L’invocation de cette excuse psychiatrique est devenue le signe évident d’un meurtre commis par des étrangers, cachant la réalité d’une part, déresponsabilisant ces agresseurs d’autre part.

Ironie bien triste de cette histoire  : Fabienne Terral-Calmès était engagée au sein du Réseau Education Sans Frontière (RESF) et accompagnait notamment une famille béninoise de cinq enfants menacée d’expulsion, et militait pour sa régularisation. 

Dans la foulée du meurtre atroce de cette jeune femme, la famille a demandé à la préfecture, « en mémoire de Fabienne », la régularisation de cette famille. Les services préfectoraux auraient donné une réponse favorable…

Des décennies d’immigration de masse, de laxisme judiciaire, et de culture de l’excuse systématique envers les immigrés ont encore une fois abouti à un meurtre. Mais les politiques successives sont également responsables de la culpabilisation de cette famille qui choisit, souffrant de la mort d’une des leurs, d’accentuer – au moins symboliquement – le problème en pensant participer à sa résolution…

 

Ouverture d’une école « musulmane » dans le Rhône

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« Beaucoup de familles de confession musulmane ne se reconnaissent plus dans le système public » a affirmé le directeur de cette future école, Abdelmajid Lekki.

Les raisons évoquées sont d’abord la qualité de l’enseignement dispensé et les difficultés d’encadrement. Mais rapidement une motivation majeure apparaît, celle de la loi de 2004 interdisant les signes religieux à l’école. A La Plume, dans cette nouvelle école, les petites filles pourront porter leur voile. (Photo groupe scolaire la Plume prise lors de la rentrée test).

La motivation s’est attisée, de ses aveux, au moment le la légalisation du mariage pour tous, un refus grandissant de la décadence occidentale qui ne fait que renforcer le repli identitaire de ces populations déjà déracinées.

L’école a reçu son agrément au printemps et fonctionnera hors contrat. Une rentrée « test » a eu lieu le 5 mai avec 11 élèves. En septembre 75 enfants seront accueillis de la grande section de maternelle au CM1.

Le matin, les cours classique seront dispensés, l’après-midi : apprentissage de la langue arabe, du Coran et des sciences religieuses. Une école coranique en somme.

Le directeur insiste : « à l’exception de quelques éléments qui nous semblent trahir la vérité historique, on peut dire qu’à plus de 80%, les programmes officiels de l’Education nationale seront respectés ». Un enseignement qui se fera donc en fonction de cette patrie qu’est l’islam, rejettant probablement des pans de l’Histoire de France allant contre son avantage…

Des enseignants agréés par l’Education nationale et des professeurs spécialisés et reconnus dans les domaines religieux ont été recrutés.

Le budget annuel est de l’ordre de 135 000€ : Des frais de scolarité à 130€ par mois, le reste financé par des dons privés…

Bien naïf celui qui peut croire une seconde que les enfants ressortiront parfaits petits Français…

Séquestrée, frappée et violée par deux hommes « en situation irrégulière »

Capture d’écran 2014-07-02 à 14.38.45Dans la nuit de vendredi à samedi, une jeune femme de 19 ans a été séquestrée, frappée et violée par deux hommes, dans la Drôme.

Vers une heure, ils la croise, elle demande du feu pour allumer une cigarette. Ils « sympathisent » et se dirigent ensemble vers l’habitation qu’ils squattent à Bourg-lès-Valence (photo DL/Fabrice HÉBRARD).

Après son calvaire, la jeune femme est laissée « libre » et se dirige aussitôt au commissariat de la ville. Les deux hommes sont interpellés dans la matinée. Il s’agit de deux hommes en situation irrégulière dont l’identité est difficile à établir… Une fois de plus.

Ils sont depuis lundi en détention provisoire, mis en examen pour viol en réunion et séquestration.

Drépanocytose : la carte de France du Grand Remplacement mise à jour

La drépanocytose est une maladie génétique qui ne concerne quasi-exclusivement que les populations extra-européennes : elle ne touche essentiellement que les personnes originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord. (source)

Les chiffres (officiels) du dépistage  permettent de dévoiler une partie des fameuses « statistiques ethniques » toujours interdites en France. En effet, du fait des particularités ethniques de la maladie, le dépistage en  France métropolitaine ne concerne que les enfants à risque en raison de l’origine de leurs parents (il est par exemple systématique chez tous les enfants naissant en Guadeloupe, Martinique, Guyane, à la Réunion, à Mayotte).

Les données disponibles permettent ainsi d’appréhender dans toute son ampleur la réalité de la substitution démographique actuellement en cours (c’est aussi la raison pour laquelle certaines associations demandent un dépistage universel (aussi inutile que coûteux) afin d’éviter « la stigmatisation » [voir cet article] (la drépanocytose est parfois appelée « la maladie des Noirs » [source]) .

Nous disposons à ce jour de trois séries de chiffres : 2005 -2010-2012. Deux cartes ont été publiées pour 2005 et 2010. Nous n’avons les chiffres de 2012 par région que sous forme de liste.

Fdesouche a regroupé ces trois séries en une seule carte, que nous présentons ci-dessous. (cliquer pour agrandir)

Comment comprendre la carte : en Ile-de-France, en 2012, 65,5 des nouveaux-nés ont été dépistés, car considérés comme « à risque ». Signification : en 2012, en Ile-de-France, 65,5% des nouveaux-nés avaient un ou deux parents « originaires des Antilles, d’Afrique noire mais aussi d’Afrique du Nord ». Ce chiffre s’élevait à 60 % en 2010 et à 54% en 2005.

Note : les chiffres de Paca / Corse et Pays-de-Loire /Poitou-Charente restent ambigus en raison du regroupement de zones (voir série de chiffres officiels)

La carte de Fdesouche est basée sur les deux cartes ci-dessous (2010 /2005) et sur la série de chiffres 2012 (cliquer les captures). Le rapport complet pour les chiffres 2012 est ici .

Source

Match de l’Algérie jeudi soir : révélateur de l’état de la France

De nombreuses rues et places de France avaient jeudi soir un aspect révolutionnaire… Que se passait-il ? Simplement un match nul de l’équipe d’Algérie face à la Russie… Ce qui déclencha la « liesse » de nombreuses racailles algériennes, qui ont exprimé à nouveau leur mépris du pays qu’elles occupent.

D’innombrables incendies criminels ont été signalés (voitures, poubelles) ainsi que de nombreuses dégradations, à Roubaix, en banlieue parisienne, à Lyon, Nantes, Grenoble, etc., par les témoins sur les réseaux sociaux, et même par quelques journalistes (Dauphiné Libéré, RTL).

A Roubaix, comme on peut le voir sur ce diapo, de nombreux biens publics et privés ont été attaqués, et des voitures incendiées

Comme dimanche dernier, les racailles ont interrompu la circulation automobile (voitures et transports en commun) et ferroviaire (SNCF et métro) dans de nombreuses villes, sans susciter de réaction des forces de police qui avaient ordre de laisser faire.

Des drapeaux algériens ont été hissés ça et là.

Tard dans la nuit, les forces de l’ordre ont fait évacuer les centres-ville souillés, affrontant parfois la violence des racailles algériennes.

A Mâcon, la police reculait face aux immigrés :

Dans de nombreuses villes, et notamment à Paris, des concerts de klaxons nocturnes ont empêchés les Français de dormir, chez eux, sans que la police – prompte à verbaliser les honnêtes citoyens – ne réagisse.

Encore une fois, la tolérance politico-policière de ce jeudi soir dénote avec la répression qu’ont connu les Français lors des manifestations contre la loi Taubira.

Affaire Hakim Benladghem : des découvertes suspectes à son domicile

Hakim Benladghem était un djihadiste avec des papiers français qui a été abattu il y a un an sur une autoroute belge. La police belge avait découvert chez lui :

Des fusils d’assaut allemands HK neufs dont la vente est réservée aux unités antiterroristes de gouvernements clairement identifiés. Mais aussi un bouclier blindé identique à celui utilisé par les gendarmes en France, des munitions par kilos, des systèmes de vision et de visée nocturne dernier cri, un gilet pare-balles avec des plaques en céramique et des masques à gaz ultra-performants. Il disposait de rations, de réserves d’eau et même d’un kit médical comprenant des garrots automatiques et des seringues auto-injectables de produits d’urgence pour faire face à des blessures graves. Une partie de son appartement était piégée : il avait anticipé l’assaut de son domicile.

Le matériel est extrêmement pointu et coûteux pour un djihadiste autonome. A méditer.

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