Dix fois plus d’enfants et d’ados obèses qu’il y a 40 ans

En 2016, 124 millions de jeunes de 5 à 19 ans étaient considérés comme obèses dans le monde, contre seulement 11 millions en 1975, révèle une étude conduite par l’OMS.

Le nombre d’enfants et d’adolescents obèses dans le monde a été multiplié par plus de dix depuis 1975, mais ceux en insuffisance pondérale restent encore plus nombreux, selon une étude publiée mercredi, qui appelle à lutter de front contre ces « deux fléaux » de la malnutrition. Si les tendances observées ces dernières années se poursuivent, l’obésité juvénile surpassera l’insuffisance pondérale d’ici 2022, prédisent toutefois les auteurs de cette étude, publiée dans la revue médicale britannique The Lancet.

124 millions de jeunes obèses. En 2016, 124 millions de jeunes de 5 à 19 ans étaient considérés comme obèses, contre seulement 11 millions en 1975, évalue l’étude, conduite par l’Imperial College de Londres et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Le phénomène concerne toutes les régions du monde. Les pays les plus touchés sont certaines îles de Polynésie (plus de 30% des 5-19 ans touchés aux îles Cook, par exemple), tandis que ce taux atteint ou dépasse 20% aux Etats-Unis, en Egypte ou encore en Arabie saoudite. Si cette prévalence semble plafonner depuis quelques années dans les pays riches, elle continue à grimper dans les pays à revenu faible ou moyen.

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Agnès Buzyn menace : les enfants non vaccinés ne rentreront pas à l’école

Par contre pas de problèmes à ce que le gouvernement fasse entrer des « migrants » par dizaines de milliers alors qu’eux ne sont pas vaccinés et viennent de zone à risque d’un point de vue médical !

« Les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires dès le 1er janvier prochain ne seront pas autorisés à entrer en crèche ou à l’école, a prévenu la ministre de la Santé. Cette obligation concerne les enfants nés à partir de 2018.

Si les parents qui refusent la vaccination ne seront pas condamnés, leurs enfants ne pourront en revanche pas être scolarisés. La ministre des Solidarités et de la santé a confirmé dimanche au Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro que les enfants qui n’auraient pas reçu les onze vaccins obligatoires à partir du 1er janvier 2018 « ne rentreront pas à l’école ou en crèche », qu’il s’agisse d’établissements public ou privé.

La ministre, qui avait proposé dans un premier temps une clause d’exemption avant de faire marche arrière, a tenu à indiquer que certains pays avaient quant à eux mis en place des sanctions et que d’autres, comme les États-Unis, « où les vaccins ne sont soi-disant pas obligatoires », interdisaient l’entrée à l’école des enfants non vaccinés. » (Source)

L’affaire Weinstein : thèmes dominants racialistes, harmoniques sexistes

Le thème dominant dans la symphonie politique dont Weinstein n’aura été que le coup de cymbale ou le pipeau d’ouverture, est bien le rapport entre ethnie et sexe. Dans la réalité, l’Europe et le monde demeurent K.O. debout depuis le déferlement de migrants qui a submergé l’Europe depuis 2014 et devant le nombre incalculable d’agressions et de viols que cela a provoqué, dont la nuit de la Saint Sylvestre 2015 à Cologne est l’épisode le plus connu. Dans la réalité, aux États-Unis, pour l’année 2015 (ce type de statistiques par communauté n’est pas facile à obtenir en ligne pour toutes les années), 36.000 Blanches (soit 33,6 % des Blanches violées) ont été violées par des Noirs (alors que ceux-ci ne formaient alors que 12 % de la population) : par comparaison, moins de 10 femmes noires l’ont été par des Blancs.
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Scandale : Monsanto aurait rémunéré des scientifiques pour signer des études écrites par ses salariés…

C’est une technique répandue de manière notoire dans l’univers des laboratoires pharmaceutiques d’après Le Monde. Le ghostwriting (écriture fantôme au sens littéral ou quand quelqu’un signe un texte écrit par un autre qui reste dans l’ombre) serait courant dans le monde scientifique liée à l’industrie des médicaments. Le quotidien révèle dans son édition du 4 octobre 2017 qu’il s’appliquerait aussi, et abondamment, dans les couloirs du géant de l’agrochimie : Monsanto.

La firme vivement controversée pour ses produits jugés nocifs pour l’environnement et la santé, notamment le glyphosate utilisé dans le désherbant Roundup, serait à l’origine d’articles scientifiques niant les effets négatifs du produit sur la santé.
Ainsi, en plus de grands médias américains (comme Forbes) dans lesquels des scientifiques renommés, comme Henry Miller, acceptent de signer des « brouillons de qualités » à peine modifiés, des revues scientifiques spécialisées se font aussi le relais de tels écrits peu objectifs.

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Cocktail de 11 vaccins : l’école sera interdite pour les enfants non vaccinés

Les enfants qui ne se font pas administrer le nombre délirant (et kabbalistique) de 11 vaccins ne pourront pas accéder aux crèches et écoles (sauf certaines hors contrat a priori).
Les peines d’amende et d’emprisonnement pour les parents réfractaires sont en revanche supprimées… jusqu’à nouvel ordre.

Quatre heures avant qu’on débranche sa respiration artificielle… il se réveille du coma

« Après son accident vasculaire cérébral et la lourde opération qui l’avait suivi, Martin Jervis avait des chances infimes de s’en sortir. Une terrible nouvelle pour ses proches qui, refusant l’acharnement thérapeutique, s’apprêtaient à le laisser partir. Mais alors qu’il n’y restait plus que quatre heures avant le scan final qui devait déterminer quand il serait temps de débrancher la machine qui le maintenait artificiellement en vie, le Britannique de 61 ans, que tous pensaient condamné, a soudain ouvert les yeux. « C’était un choc complet » se souvient sa femme, Barbara « Nous devions lui faire nos adieux le jour même.» Une surprise d’autant plus grande que les équipes médicales avaient prévenu la malheureuse épouse : suite à sa chute inexpliquée dans leur maison de Bignall End, dans le Staffordshire, et au caillot de sang qui avait obstrué les veines de son cerveau, Martin Jarvis présentait un état de mort cérébrale. »

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On peut craindre que certains médecins, qui se prennent un peu pour Dieu, se précipitent parfois un peu vite sur les organes…

Lobbying : L’UE encouragée à reconnaître que l’homéopathie est « dangereuse »

Le Conseil consultatif des académies scientifiques européennes (EASAC), qui a pour objectif de peser sur la politique de l’Union européenne dans divers domaines, vient de demander que l’UE mette en place des règles plus strictes pour encadrer les médecines alternatives. L’homéopathie en particulier est dans son collimateur : selon l’organisme qui représente 29 académies nationales en Europe, cette médecine douce « ne rime à rien » et « la promotion et l’utilisation de produits homéopathiques fait courir des dangers significatifs ».

C’est une condamnation véhémente de l’homéopathie et de ses principes affirmant que l’on peut soigner le mal par le mal, et que l’eau possède une « mémoire » : le rapport de 12 pages de l’EASAC affirme que cette médecine est « scientifiquement invraisemblable » et qu’elle ne produit rien de plus qu’un effet placebo. Son danger résiderait dans le fait que les patients retarderaient le recours à des soins conventionnels en se fiant d’abord à l’homéopathie.

L’homéopathie serait « dangereuse » en détournant les patients des traitements conventionnels

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Aluminium dans des vaccins : « Nous ne pouvons plus perdre de temps »

Alors que le gouvernement a annoncé rendre obligatoire 11 vaccins dès 2018, une étude de l’agence du médicament relance le débat. Les opposants à l’extension de l’obligation vaccinale sont accusés de complotisme, mais le chef du service de pathologies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, réclame des budgets supplémentaires afin de mener des études sérieuses pour déterminer les conséquences de l’injection des adjuvants aluminiques. L’agence du médicament, elle, fait la sourde oreille…

Il aura fallu près de dix-huit mois au Pr Romain Gherardi, chef du service de pathologies neuromusculaires à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne) pour obtenir 150 000 € en 2014 de l’ANSM (Agence du médicament) afin de mener ses recherches sur la neurotoxicité de l’aluminium des vaccins. Aujourd’hui , il en appelle aux pouvoirs publics pour les poursuivre

Que s’est-il passé depuis que l’ANSM a rendu son avis en mars ?
Romain Gherardi. Rien du tout. Il n’y a eu aucun signal des autorités laissant penser que le sujet les intéressait alors même que le rapport dit qu’il faut approfondir les études. En finançant l’essai, l’ANSM s’est donné bonne conscience et puis basta. Pour continuer l’immense chantier devant nous, nous avons besoin de 550 000 EUR. En plein débat sur l’extension de l’obligation vaccinale, cette décision doit être de nature politique. Nous ne pouvons plus perdre de temps de recherche.

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Reportage : « Hôpital public, la loi du marché »

Productivité ! Rentabilité ! Management ! Equilibre budgétaire ! Ces règles d’or de l’entreprise privée s’appliquent désormais… à l’hôpital public. Pour combler le déficit de la Sécurité sociale (6,1 milliards d’euros cette année), l’Etat impose aux médecins, infirmières, aides-soignants ou directeurs de nouvelles méthodes de gestion.

A ce chef de service de réanimation, on demande, comme à un cadre du privé, de faire mieux avec moins de personnel et du matériel vieillissant. Ces infirmières, comme des ouvrières à la chaîne, doivent consacrer à la toilette de leurs patients un temps limité, calculé au plus juste. Le directeur de cet hôpital, tel un patron de PME, tente de convaincre les banques de lui prêter de l’argent pour ne pas mettre la clé sous la porte…
Une enquête du magazine « Envoyé spécial ».

Des poulets avec des têtes de poussins : les images d’un élevage intensif vendéen

En dépit de l’objectif de l’association (la promotion du végétarisme), L214 nous permet par ces images, de saisir la cruauté d’un modèle de production qui ne respecte ni les animaux, ni les êtres humains. C’est aux Français d’être acteur de leur consommation, et de refuser d’acheter les produits issus de l’agriculture intensive et chimique.
L’association pour le bien-être animal L214 a publié une nouvelle vidéo choc d’une exploitation industrielle de poulets en Vendée. Les images ont été tournées entre avril et mai de cette année.

L’Agence nationale de sécurité du médicament est renvoyée en correctionnelle pour « homicides involontaires par négligence »

Alors que  Macron souhaite imposer aux Français l’injection d’un cocktail de 11 vaccins dans les veines de nos enfants, on apprend aujourd’hui que l’ANSM est accusée « d’homicides involontaires par négligence » dans l’affaire du Mediator.

Quatorze prévenus et onze personnes morales, dont les laboratoires Servier et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), sont renvoyés en correctionnelle dans l’affaire du Mediator, selon les informations de France Inter, mardi 5 septembre. Outre les 25 prévenus, dans cette affaire, il y a 4 133 plaignants dont 3 970 personnes physiques.

Les laboratoires Servier et l’ANSM sont renvoyés respectivement pour « homicides involontaires par violation délibérée » et « homicides involontaires par négligence ». L’Agence du médicament est ainsi soupçonnée d’avoir tardé à suspendre l’autorisation de mise sur le marché et ne pas avoir informé les patients et les médecins des risques.

Consommé pendant plus de 30 ans par cinq millions de personnes en France, le Mediator, un antidiabétique commercialisé en 1976 et largement détourné comme coupe-faim, a été retiré du marché en 2009. Il pourrait être responsable sur le long terme de 1 500 à 2 100 décès, selon la dernière expertise judiciaire.

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L’E171 sous forme de nanoparticule dans les sucreries provoque des lésions précancéreuses chez 40% des rats

Le dioxyde de titane  est utilisé dans divers domaines : cosmétique, crèmes solaires, peintures et matériaux de construction. Il existe sous forme de poudre ultrafine, d’origine minérale. Il est utilisé très couramment dans l’industrie agroalimentaire, inscrit comme additif sous le nom E171 sur les étiquettes, pour ses propriétés de colorant blanc et d’opacifiant. On le retrouve dans des bonbons, des produits chocolatés, biscuits et chewing-gums, M&M’s, biscuits Napolitain, gâteaux glacés Monoprix Gourmet… ainsi que dans des compléments alimentaires. Il est également présent dans des dentifrices et des produits pharmaceutiques.

Le magazine 60 millions de consommateurs a révélé ce jeudi que ce colorant était présent sous forme de nanoparticules (et pas seulement de micro-particules, jugées non dangereuses) dans 18 produits testés, ce qui n’est pas indiqué les étiquettes. Si l’association est inquiète, c’est que des chercheurs de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) ont mis en avant la dangerosité de ce produit sous sa forme nanoparticulaire sur des rats.

Chez les rats sains, le dioxyde de titane a fait apparaître au niveau du côlon des lésions pré-cancéreuses dans 40% des cas. De plus, chez les rongeurs déjà touchés par des lésions, dans 25% des cas elles se sont accrues. En revanche, les animaux non exposés n’ont présenté aucune anomalie à la fin des 100 jours de l’étude.

Évidemment, on ne peut transposer tels quels ces résultats à l’homme, mais ceci est très inquiétant et il ne faut pas trop compter sur la vigilance de l’Etat.

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Des poissons hermaphrodites à cause des pilules contraceptives

Résultat de recherche d'images pour "poissons riviere"Nous alertons depuis des années sur ce danger (car les humains consomment aussi, souvent, ces molécules dans l’eau du robinet), et voici qu’une nouvelle étude confirme nos craintes.

« D’après une étude britannique, 20% des poissons d’eau douce mâles seraient devenus transgenres, notamment à cause des molécules présentes dans les pilules contraceptives qui finissent dans les rivières.

79% des déchets plastiques ne sont pas recyclés ou incinérés

« Initiée il y a seulement une soixantaine d’années, la production de masse des matières plastiques s’est accélérée à une telle vitesse qu’elle a généré 8,3 milliards de tonnes, dont la plupart sont des produits jetables qui finissent par devenir des déchets. […]

« Nous savions tous que la production de plastique augmentait rapidement et de façon dangereuse depuis les années 1950. Mais le fait de calculer la quantité totale des matières plastiques jamais produites nous a laissés sans voix », admet Jenna Jambeck, ingénieure en environnement à l’université de Géorgie spécialisée dans l’étude des déchets plastiques présents dans les océans.

« Une augmentation de ce type « briserait » n’importe quel système n’y étant pas préparé. C’est la raison pour laquelle nous avons assisté à des fuites des systèmes de traitement des déchets vers les océans », ajoute-t-elle.

Les matières plastiques prenant plus de quatre siècles à se dégrader, la majorité d’entre elles existent toujours, même sous une forme différente. Seuls 12 % ont été incinérés.
[…] Les prévisions selon lesquelles les océans contiendront plus de déchets plastiques que de poissons d’ici à 2050, statistiques les plus mentionnées, poussent à une plus grande mobilisation.

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11 vaccins injectés à nos enfants ? La mise en garde de Michel Georget

Michel Georget, professeur de biologie, est le président de la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations. Il met en garde contre le projet gouvernemental d’obliger à injecter 11 vaccins aux enfants en bas âge.

Il est l’auteur de Vaccinations, les vérités indésirables, disponible ici.