L’arnaque de l’« élevé en plein air », ou comment choisir ses oeufs et poulets

« L’histoire de la vache folle et des « farines animales » a tellement écœuré les populations que même les poulets sont aujourd’hui étiquetés « élevés au grain », comme si c’était un gage de qualité.

Mais vous, cher lecteur, qui aviez des grands-parents à la campagne, ou qui avez eu des « leçons de choses » à l’école primaire, vous savez que le poulet n’a jamais été un animal végétarien, et encore moins un consommateur de maïs !

Le snack préféré de la poule, c’est un ver de terre dodu. Donnez-lui la couenne de votre jambon, elle sera au ciel !

Si vous lui en laissez la liberté, votre poule passera sa journée à gratter la terre à la recherche d’asticots, d’insectes. Si elle n’en trouve pas, elle picorera des herbes, des plantes vertes, des petites pousses, des racines, et, occasionnellement seulement, des graines.

C’est ce qu’il faut à une poule pour être heureuse, en bonne santé, et faire de bons œufs. Mais encore faut-il pour cela qu’elle ait l’occasion de sortir !

Poulets d’usine « élevés en plein air »

Tout l’art du marketing est de jouer avec des expressions qui trompent le consommateur, sans en avoir l’air.

Ainsi, au supermarché, vous avez remarqué que vous pouvez acheter des œufs de poules « élevées en plein air ». Sur l’emballage, la photo d’une belle cocotte rousse picorant à son aise dans un pré d’herbe verte et grasse, par temps ensoleillé.

Or, voici ce qu’impose la législation pour avoir droit au label « élevées en plein air » :
« En journée, accès à un parcours extérieur en majeure partie recouvert de végétation (4 m2 de terrain par poule). »

Eh bien je prétends que seul l’expert en marketing détectera le piège caché sous cette formule.
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Nouvelles preuves des dangers du cannabis pour le cerveau

On connaissait depuis de nombreuses années déjà les dangers du cannabis pour le cerveau, une nouvelle étude démontre aujourd’hui que le quotient intellectuel diminue fortement chez les jeunes consommant régulièrement cette drogue dite « douce ».

Le cerveau humain en plein développement de l’adolescent est victime de la consommation régulière de cannabis.

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Alerte dans nos assiettes

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Plus de quatre-vingts substances chimiques, dont certaines susceptibles d’être cancérigènes, sont ingérées en une seule journée par un enfant de 10 ans à travers ses repas composés suivant les recommandations du ministère de la santé, selon une étude du mouvement Générations futures – qui milite notamment pour une agriculture sans pesticides et sans OGM – et du réseau Health and Environnement Alliance, en partenariat avec WWF-France et le Réseau environnement santé. (Lire l’article du Monde, en édition abonnés, « Des résidus chimiques dans l’assiette des enfants »).

Les associations, qui lancent une campagne de sensibilisation intitulée « Cancer et environnement », ont acheté dans des supermarchés de l’Oise et de Paris entre juillet et septembre les denrées alimentaires généralement consommées en quatre repas et un encas en une journée par un enfant d’une dizaine d’années. Ces repas-types, incluant les recommandations officielles – telles que cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers et 1,5 litre d’eau par jour – ainsi que des friandises, ont été examinés par plusieurs laboratoires indépendants en France et en Belgique pour y détecter la présence de substances chimiques, pesticides, métaux lourds et autres polluants.
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Le business du commerce équitable

Documentaire non dénué d’intérêt que l’on peut visionner pendant quelques jours ici :

« Le business de l’éthique, qui prétend réconcilier le porte-monnaie et la morale, brasse des milliards d’euros. Du Mexique au Kenya, Donatien Lemaître a décortiqué toute la filière. Il montre comment l’idée généreuse du commerce équitable est de plus en plus récupérée par des as du marketing ou des multinationales en quête de virginité. »

Merci à Josselin

450 euros d’amendes pour des légumes clandestins

Cela s’est passé à Lavelanet, en Ariège.
Des maraîchers ont reçu la visite d’un agent de la répression des fraudes.
Leurs torts ? Vendre des plants de tomates (classiques) non inscrites au catalogue officiel…

En 1954, 876 variétés de plants étaient inscrits sur le catalogue, contre 182 en 2002.
Il y a une standardisation des semences en cours, au profit de Monsanto et autres monstruosités capitalistes…

Source

France : 93 % des cours d’eau sont empoisonnés par des pesticides

Durant ses travaux, le CGDD a recherché dans ses points de mesure 550 pesticides et parmi ces produits, 377 – soit 68 % – ont été décelés au moins une fois.
Pire, 19 % des points présentent plus de 20 pesticides différents (contre 15 % en 2010). Dans les départements d’outre-mer (Martinique, Guadeloupe et La Réunion), cette statistique tombe à 5 %.

Le rapport précise que les 15 substances pesticides les plus quantifiées dans les cours d’eau de France métropolitaine en 2011 sont en majorité des herbicides ou leurs dérivés.

Autre constat de cette étude : certains pesticides interdits aujourd’hui ont été détectés alors qu’ils ne sont plus utilisés. C’est le cas de l’atrazine et du métolachlore, interdits en 2003, ou du diuron (fin 2008). Une présence persistante qui s’explique par la lente dégradation de ces produits chimiques : employés durant de longues années, ils persistent dans l’environnement et sont toujours une source de pollution.

Source : France Info

Solutions locales pour un désordre global

Le documentaire de Coline Serreau cherche à poursuivre au delà des documentaires « environnementaux » récents en montrant des solutions en marche. La réalisatrice y croise tout autour du monde des hommes et des femmes qui mettent en œuvre leur propres solutions aux désordres environnementaux.

Michel Desmurgets : la vérité scientifique sur les effets de la télévision

Conférence très intéressante sur les effets de la télévision sur le développement de l’attention, du langage, du sommeil, de l’obésité, de l’espérance de vie et de l’intelligence. A regarder IMPÉRATIVEMENT si vous avez la télévision dans votre foyer. « La vérité scientifique sur les effets de la télévision » est un ouvrage écrit par Michel Desmurgets, chercheur français spécialisé en neurosciences cognitives. Son livre est disponible ici.

Don du sang : vers une autorisation pour les invertis…

Après avoir tenté de dénaturer le « mariage » au nom de l’égalité, quoi de plus logique que de laisser les invertis donner leur sang ?
Ce qui était jusqu’à présent interdit par précaution sanitaire.
C’est un  « retard inadmissible » que les parlementaires socialistes veulent s’empresser de rattraper. Les tractations commencent :

Olivier Véran, député PS de l’Isère, a remis ce mardi un rapport au ministère de la Santé sur la filière sang en France. Après un constat plutôt sévère, le député fait 30 propositions. L’élu souhaite notamment que les homosexuels puissent à nouveau donner leur sang. (Europe 1)

Monsieur Véran souhaite notamment « renforcer la sécurité du don ». Rien de plus logique lorsque l’on sait que :

Seulement 25 % des personnes interrogées (NDLR : des invertis) déclaraient n’avoir eu des rapports qu’avec un partenaire stable, 29 % déclaraient un partenaire stable et des partenaires occasionnels et 36 % n’avaient eu des rapports qu’avec des partenaires occasionnels. Près de la moitié de ces hommes déclaraient avoir consommé du poppers (NDLR : une drogue), 33 % du cannabis et 14 % avaient eu des abus d’alcool répétés durant la même période.

Saumon norvégien : danger pour la santé !

Le gouvernement norvégien vient de recommander, pour les femmes enceintes et jeunes, de ne pas manger de saumon plus de deux fois par semaine. Il a été forcé de reconnaître – tardivement – que ce poisson gras est aussi bourré de produits toxiques.

« Le gouvernement aimerait surtout que la nouvelle ne traverse pas la frontière. Pensez : la Norvège a été en 2012 à l’origine de 60% de la production mondiale de saumon atlantique, le pays a produit près d’1,2 million de tonne de ce poisson. Et les 29 milliards de dollars annuels générés par les exportations de ce secteur-clé de l’économie pourraient s’en trouver affectés.

Un Français consomme environ 2,3 kilos de saumon norvégien en moyenne par an. La France a importé, en 2012, quelque 161 175 tonnes de saumon norvégien, soit environ 15% de la production du pays nordique. C’est le premier marché d’export, devant la Russie. »

Le saumon est réputé bon pour la santé (coeur, circulation, etc.). Mais quand ce poisson est nourri aux farines animales, aux antibiotiques et même aux pesticides, on peut imaginer que c’est très différent… La pharmacologue Claudette Béthune, qui a travaillé pour l’organisme norvégien de sécurité alimentaire (le Nifes), avait clairement tranché en 2011 :

« La présence de polluants tels que les dioxines et le PCB dans le saumon génère un risque de cancer, qui, pour les personnes jeunes, dépasse les bénéfices attendus du saumon sur la santé. »

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l’UNESCO préconise d’apprendre la masturbation aux enfants de 5 ans…

Les mondialistes s’attaquent aux enfants de plus en plus jeunes. Les psychologues, pédiatres et autres pervers qui ont pondu ce soit disant « rapport », souhaitent avilir la jeunesse européenne (dans un premier temps) pour la rendre plus malléable. Il n’y a pas besoin d’être catholique pour être effrayé et révolté par ce type de rapport/projet, le bon sens suffit.

Voici le programme :

Le rapport de l’UNESCO, appelé « Directives internationales pour l’éducation sexuelle », sépare les enfants en quatre groupes d’âge : 5 à 8 ans, 9 à 12 ans, 12 à 15 ans, et 15 ans à 18 ans.

En suivant le programme volontaire Onusien sur le sexe, il sera dit à des enfants ayant tout juste 5 ans que « toucher et frotter ses parties génitales s’appelle la masturbation » et que les parties privées « procurent du plaisir une fois touchées par quelqu’un. »

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Kebab : les boulettes de viande étaient faites de patée pour chiens…

« En infraction avec la réglementation sur la vente de boissons, le restaurant avait déjà fait l’objet d’une fermeture administrative en 2012. Mais en repassant près du local récemment, les policiers se sont aperçus que la fraude avait repris. L’enquête consécutive a révélé un désastre sanitaire raconte Var Matin.

Pas moins de cinq services ont été mobilisés pour identifier toutes les infractions commises par ce « kebab ». Outre la police, les douanes, l’Urssaf, les impôts et les services sanitaires ont entrepris de se pencher sur le cas des Jardins d’Anatolie, situé dans la quartier de la Villeneuve à Fréjus.

C’est le dossier sanitaire et hygiénique qui s’annonce le plus spectaculaire. Les inspecteurs ont vite compris que les keftas – ces boulettes de viande hâchée typiques – étaient confectionnées avec de la pâtée pour chien peu onéreuse. Dans le même registre, une épaule d’agneau verdâtre a été retrouvée : assortie d’une vigoureuse marinade, les tenanciers du restaurant arrivaient à la rendre absorbable. »

Source Direct Matin

Le progrès… Il perd près de 2 millions d’abeilles en 30 minutes

Alors qu’il est chez lui, près d’Hensies, Monsieur W. voit un fermier pulvériser son champ. Ce jour-là, le vent souffle très fort et le produit se répand à travers toutes les ruches situées en bordure du champ. Quand le travail du fermier est terminé, l’apiculteur ne peut que constater la mort de toutes ses abeilles.

«  À peine 30 minutes après la pulvérisation, ses 35 ruches étaient mortes. Il ne préfère pas témoigner pour ne pas trop faire parler de lui mais c’est vraiment dur à vivre pour un apiculteur. Il vient perdre 50.000 abeilles par ruche. C’est très décourageant de se relancer après ça  », explique le responsable de la Melliflor à Erquennes. Cette perte suscite bien sûr l’indignation de tous les apiculteurs de la région.

Et les effets sur les humains ?

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