Ce lundi 30 septembre, après le discours qu’a tenu le polémiste à la Convention de la droite, la société des journalistes du Figaro (autrefois journal de « droite », enfin, de la droite molle) en appelle à la rédaction du journal. Un seul contributeur de droite, c’est déjà trop !
Elle a publié ce communiqué sur le réseau social twitter :
Une fuite importante de données révèle que le réseau social Pinterest (moteur de recherche de photographies, dirigé par Ben Silbermann) censurait le mot « chrétien » et diverses expressions comportant le mot « bible » (y compris « versets bibliques» ) de la saisie automatique dans la barre de recherche de sa version américaine. Cette restriction semble se concentrer sur le christianisme et ne pas impacter le judaïsme et l’islam.
Cette black-list de la saisie semi-automatique a été découverte par des activistes du Project Veritas.
En effet, un document intitulé « Comportement des termes sensibles », montre que Pinterest gère une liste noire interne de mots et d’expressions, qui empêche l’utilisation des fonctions les plus importantes telles que l’auto-complétion, les résultats de recherche, les tendances et les notifications. Continuer la lecture de « USA : Pinterest censure les contenus chrétiens et conservateurs »
Parmi les invités à ce congrès organisé samedi à Paris par les amis de Marion Maréchal, Eric Zemmour est allé le plus loin, dans la description du réel, dénonçant « une guerre d’extermination de l’homme blanc hétérosexuel ».
Son intervention complète, pour les curieux (le son est mauvais dans les premières minutes, puis cela s’arrange : LCI, chaîne publique, est incapable de faire un direct correctement, ce que les ados de 15 ans font sans difficulté maintenant !)
Alors qu’un déluge de larmoiements républicains souvent hypocrites ne va pas cesser pendant plusieurs jours, il nous semble utile d’équilibrer un peu la présentation de l’œuvre de Jacques Chirac. En ayant une pensée pour les victimes de sa politique.
Jacques Chirac, qui vient de mourir à l’âge de 86 ans après avoir pu échapper aux tribunaux pour sénilité réelle ou feinte, fut Premier ministre de la France (1974-1976 et 1986-1988), longtemps maire de Paris et président de la République de 1995 à 2007.
Sachant se rendre aimable auprès du grand public en serrant des pinces, sifflant des bières et tâtant le derrière des vaches au salon de l’agriculture, il laisse néanmoins derrière lui un bilan catastrophique, se faisant élire comme homme de droite et menant une politique de gauche.
Nous pouvons signaler sommairement et de façon non exhaustive quelques points :
► en 1976 : le regroupement familial qui a transformé une immigration temporaire de travail en une immigration de peuplement et d’ayants-droit sociaux mettant ainsi en œuvre une politique de Grand Remplacement.
Chirac osera, en 1998, profitant de la coupe du monde de football : « La France n’est pas gauloise, elle est plurielle ».
► La dette publique de la France passant de 600 à 1200 milliards d’euros (de 1995 à 2007 seulement).
► Les affaires des HLM de Paris, des emplois fictifs de la Mairie de Paris, de la cassette Méry (financement du RPR), Clearstream…
La mansuétude de la police et de la justice à son égard pourrait être très étonnante pour un naïf démocrate.
Même Sarközy, qui sait de quoi il parle, ne put s’empêcher de dire : « Franchement, je n’ai jamais vu un type aussi corrompu. »
► En 1986, le serment devant le B’nai Brith (franc-maçonnerie interdite aux non juifs) et caché aux Français, de ne jamais s’allier au Front national, laissant un boulevard à la gauche. La « lutte contre l’extrême-droite » – il haïssait les nationalistes – sera son seul vrai combat. « On est un des rares pays dans lequel l’extrême droite n’est pas au pouvoir, et ça, c’est l’héritage le plus important de Jacques Chirac », dit son ministre et ami Jacques Toubon.
► son refus de lutter contre la globalisation des marchés, qui laissera le champ libre aux multinationales, aux trans-nationales, aux entreprises ayant leur siège social dans les paradis fiscaux des îles caraïbes.
► la fin du service militaire.
► La fermeture de la presque totalité des industries de fabrications textiles et bientôt métallurgiques françaises.
► En 1999, l’agression et le bombardement de la Serbie pour lui arracher le Kosovo et le livrer aux islamistes.
► La baisse promise sur l’impôt sur les revenus oubliée au profit d’une augmentation sur la TVA, le Foncier, la taxe d’habitation, les charges patronales, salariales… Et la création en 1975 de la taxe professionnelle ruineuse pour les entreprises et donc pour l’emploi.
► La prolifération des radars, nouvelle manne financière taxant routiers et commerciaux ou le contribuable qui part ou rentre de son travail.
► La suppression du Lundi de Pentecôte, en s’interrogeant dans le même temps sur l’opportunité d’accorder un jour de congé pour les fêtes musulmanes.
► On lui doit en 1975 la loi Veil qui tue légalement plus de 200 000 enfants français par an dans le ventre de leur mère (plus de huit millions depuis 1975 !)
► en 1995 : la condamnation de la France en tant que telle pour les déportations des juifs sous l’Occupation. Ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’avait voulu faire, Chirac l’a fait sans honte et sans hésitation : condamner solennellement le pays dont il présidait officiellement aux destinées.
Sur ce thème et pour remettre les choses à l’endroit, on pourra lire l’excellent livre du colonel Le Pargneux : Pétain – De Gaulle, une autre vision de l’histoire.
► « Les racines de l’Europe sont aussi musulmanes que chrétiennes » (Élysée, 28 oct. 2003)
► En réalité laïcard rad-soc, il osa affirmer : « il n’y a pas de loi morale au-dessus de la loi civile », se plaçant ainsi en héritier de la Révolution française et dans une perspective totalitaire.
Nous vous proposons de relire l’éditorial de Jérôme Bourbon paru dans Rivarol en octobre 2016 :
Richard Ferrand est président macroniste de l’Assemblée nationale ; 4e personnage de l’État, il n’a pas démissionné bien qu’il ait été mis en examen il y a quelques semaines pour « prise illégale d’intérêts »… Il est vrai que les Français s’habituent au fil des décennies à être gouvernés par des pourris. Mais ce n’est pas le sujet aujourd’hui.
Une petite video montre ce bobo-gaucho-mondialiste en pleine action, et c’est révélateur de la farce qu’est la démocratie.
L’histoire et les morts n’y changeront rien, aucune leçon n’a été tirée de ces dernières années. Les hommes aveuglés par le pouvoir et l’idéologie continueront de piétiner la mémoires des Français tombés sous le coup du jihad pour récupérer quelques voix aux prochaines élections.
Entre la gestion catastrophique d’EDF (notamment à cause des syndicats), l’Union Européenne et sa politique capitaliste d’ouverture obligatoire à la concurrence et les mensonges du gouvernement Macron, les augmentations hallucinantes et successives des prix de l’électricité sont le résultat d’un combo de bêtises idéologiques et de magouilles politiques.
Trouvé sur Le Parisien : « Entre + 3,5 et + 4 % ! Voici, selon des calculs validés par plusieurs sources, la hausse que les tarifs de l’électricité risquent de subir au 1er janvier 2020. Soit une soixantaine d’euros supplémentaires sur la facture d’un ménage se chauffant à l’électricité. Et une trentaine d’euros pour ceux qui utilisent un autre moyen de chauffage. Cette augmentation est le résultat d’une bataille entre l’Etat, la Commission européenne, EDF et les autres fournisseurs d’électricité. Explications.
Le 10 septembre, nous dévoilions les dessous d’un accord confidentiel obtenu par la France auprès de la Commission européenne pour obtenir le feu vert sur la scission d’EDF. En échange de la séparation de ses activités de distribution (Enedis) et de production (le nucléaire), EDF verrait le prix de son électricité d’origine nucléaire (Arenh), qu’elle a obligation de vendre à ses concurrents, revalorisée à 45 euros le mégawattheure (MWh), au lieu des 42 euros actuellement. Une mauvaise nouvelle pour les consommateurs. En achetant leur électricité plus chère, les concurrents d’EDF seraient également obligés de relever leurs prix.
Encore un exemple de réforme à la petite semaine de la part du gouvernement Hollande. Les promesses d’économies se transforment en gouffre financier sans apporter quoi que ce soit de supplémentaire aux Français, sinon d’accentuer la centralisation du pouvoir politique…
Trouvé sur L’Opinion : « Selon le rapport annuel sur les finances locales de la Cour des comptes, la fusion des régions devenue effective début 2016 « a occasionné dans un premier temps des surcoûts importants, notamment en matière de rémunération des personnels et d’indemnités des élus. » Le congrès de l’association Régions de France se tiendra les 30 septembre et 1er octobre, à Bordeaux.
Encore une réforme décidée sur un coin de table, sans évaluation en amont ni suivi en aval, qui aura coûté cher alors qu’elle devait apporter économies, simplification et efficacité. Bref, un cas typique de mauvaise politique publique. Les régions sont bien passées de 22 à 12 en métropole (la Corse a un statut particulier), le 1er janvier 2016, malgré un temps de préparation très court. Mais trois ans plus tard, « les gains d’efficience visés (…) restent aujourd’hui limités », euphémise ce mardi la Cour des comptes, dans
son rapport annuel sur les finances locales.
La ligne éditoriale de Contre-Info est éloignée de certaines positions d’Alain Soral et de sa galaxie, tout en leur reconnaissant du talent et certaines bonnes analyses. Sa condamnation à 18 mois de prison ferme (!) pour avoir relayé une simple vidéo avec des pancartes sur lesquelles des noms de personnalités sont inscrits et jetés dans un feu, devrait faire trembler tous les Français.
Trouvé sur Le Monde : « Poursuivi pour provocation à la haine raciale et injure publique aggravée, l’essayiste d’extrême droite Alain Soral a été condamné à vingt-quatre mois de prison, dont dix-huit mois ferme, et 45 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Bobigny, a appris l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 19 septembre, auprès du parquet. Continuer la lecture de « Alain Soral condamné à 18 mois ferme pour des pancartes jetées au feu ! »
Certains éléments du jeu politicien démocratique deviennent publics.
« Nous sommes en janvier 2012. François Hollande n’est pas encore président de la République mais la campagne est lancée. François Rebsamen, proche de Hollande, est invité à dîner par le frère de Jacques Attali, qui a pris sous son aile le jeune Macron. Autour de la table sont présents de nombreux grands patrons : “Gérard Mestrallet (Suez), Jean-Pierre Clamadieu (Rhodia), Jean-Pierre Rodier (Pechiney), Serge Weinberg (Sanofi) et quelques autres…”, détaille Le Monde. En clair, ce sont des industriels de gauche qui sont venus à ce dîner pour évoquer quelques sujets avec un proche de Hollande. Continuer la lecture de « Emmanuel Macron a été embauché à l’Elysée par François Hollande à la demande de patrons du CAC 40 »
L’argent coule à flot lorsqu’il s’agit des rejetons de l’immigration… Pour les Français, c’est 400 fermetures d’école rien que pour la rentrée 2019 (voir ici).
Le régime offre un beau poste à ce militant cosmopolite pour le consoler du fiasco de 2016.
« Presque sept mois après le départ de Sylvain Fort, le chef de l’État a désormais un nouveau conseiller en communication pour les questions nationales. Joseph Zimet, 46 ans, ex-directeur général de la mission interministérielle du Centenaire de la Première guerre mondiale, travaillera aux côtés de Nathalie Baudon, la conseillère en communication internationale d’Emmanuel Macron.
«Au sein du cabinet du président de la République, il sera en charge de la presse et de la communication nationale du président», précise l’Élysée, confirmant une information du Monde. Le chef de l’État n’avait plus de responsable de sa communication nationale depuis le départ de Sibeth Ndiaye en mars 2019, nommée porte-parole du gouvernement. Historien de formation, ce proche de la mouvance strauss-kahnienne prendra ses fonctions dès cette semaine. » (source)
Quel culot peuvent avoir ces politiciens, alors que la France a connu une répression policière et judiciaire, envers les Giles jaunes, pas vue depuis les débuts de la Ve République !
L’interro surprise se révèle totalement ratée pour ce député de la majorité incapable d’expliquer la réforme que son parti fait passer au parlement. Elle était sûrement plus loquace pour raconter des salades à ses clients.
Le niveau politique du Système est chaque année plus lamentable, mais il faut reconnaître que la vague Macron a fait fort.
D’ailleurs, puisqu’on parle d’elle, rappelons qu’en 2017, l’enquête sur les activités de voyance de Vignon (avant qu’elle ne devienne député) avait été classée sans suite très rapidement par le parquet (on comprend tous ce que cela signifie…). On peut dire qu’en tout cas elle avait fait ce qu’il fallait pour sa retraite !
« Le dossier Vignon arrive sur le bureau du Procureur par les services fiscaux. En amont de l’enquête judiciaire, la direction des Finances Publiques de la Haute-Garonne a déjà « scanné » les revenus de la future députée. Le « fisc » s’est livré à une expertise. Il a estimé que les soupçons étaient suffisamment lourds pour justifier la saisine de la justice. Le classement sans suite est, d’ailleurs, un camouflet pour les « impôts ». Leur analyse n’est donc pas suivie par le parquet.