Le nouveau porte-parole africain du gouvernement a voulu faire comprendre qu’il avait quelques références culturelles.
Reprenant sur BFM TV la célèbre attitude de doute de l’apôtre Saint Thomas, Sibeth Ndiaye l’attribue au philosophe et théologien saint Thomas d’Aquin (12 siècles après) :
Alors que la violence est un moyen courant d’agit-prop des groupuscules et des associations gauchistes – loi travail, Notre-Dame-des-Landes, Gilets jaunes – les gouvernement successifs ne s’attaquent que rarement aux meneurs, aux finances et structures juridiques d’extrême-gauche. Mais lorsque des militants « identitaires » font, sans violence, un peu de pub à leur groupe et tentent d’attirer l’attention sur un sujet politique sensible, la République n’hésite pas longtemps.
Paris (AFP) : « Sibeth Ndiaye, nouvelle porte-parole du gouvernement français connue pour son franc-parler et son langage souvent cru, a remercié le Sénégal, son « pays de naissance », en prenant lundi ses fonctions.
« C’est d’ailleurs vers les miens, ma famille, mes amis que je me suis tournée. Je veux les remercier ici très profondément du soutien qu’ils m’ont apporté, c’est aussi au Sénégal le pays de ma naissance que j’ai puisé le courage de gravir cette marche en toute humilité« , a-t-elle ajouté lors de la passation de pouvoirs avec l’ancien porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, démissionnaire pour briguer la mairie de Paris. Continuer la lecture de « Nouvelle porte-parole de la macronie, Sibeth Ndiaye remercie… le Sénégal ! »
Le député rouge et n°2 du parti de Mélenchon éructe sur twitter, alors que des militants d’un mouvement identitaire déploient une banderole contre l’immigration.
Cet individu dont le fonds de commerce et le moteur idéologique est la « lutte des classes » ose pointer une doigt une tentative de « division »…
Et surtout, il arrive en même temps à dire que ces Français sont des « idiots utiles du gouvernement » et que ce même gouvernement doit les dissoudre !
Voilà les cadres politiques du moment…
L’Associated Press vient de publier un article en anglais qui s’alarme de la vigueur des groupes politiques patriotiques en Ukraine. Alors que des proches de Porochenko sont accusés de corruption, le G7 a fait part de son inquiétude concernant les groupes nationalistes dans une lettre adressée au ministère de l’Intérieur. Visiblement, les démocraties occidentales se soucient moins de la probité du gouvernement et du bien commun des Ukrainiens, que de la stabilité de leurs pantins à la tête du pays.
Pascal Canfin, ancien député « Vert » (c’est-à-dire en réalité pastèque : vert à l’extérieur, rouge à l’intérieur), ancien ministre, président de l’organisation WWF pour la France, vient d’être annoncé en n°2 de la liste euro-mondialiste macroniste aux élections européennes. Tout ce petit monde est très fier.
Rappelons un fait d’armes de cet individu : devant se rendre à une conférence sur la coopération à Bamako au Mali, en avril 2013, Pascal Canfin, qui était alors ministre délégué auprès du ministre des affaires étrangères chargé du développement s’est opposé à l’expulsion judiciaire d’un Africain.
« Cesare Battisti a finalement jeté le masque. Arrêté en Bolivie à la mi-janvier, après 37 ans de cavale, et extradé dans la foulée en Italie où il doit purger la perpétuité, il a été interrogé durant le week-end par un magistrat et un membre de la division antiterroriste de la [police]. L’ancien leader des Pac, les prolétaires armés pour le communisme, a alors reconnu avoir participé à deux assassinats et en avoir commandité deux autres. Il s’agit des meurtres du gardien de prison Antonio Santoro en 1978 et de celui du chauffeur de la police, Andrea Campagna, un an plus tard.
Selon la presse italienne, qui cite les déclarations des magistrats de Milan chargés de l’interrogatoire, l’ex-terroriste a également avoué avoir commandité les meurtres du bijoutier Pier Luigi Torregiani et d’un boucher, Lino Sabbadin, en 1979 […] ». Et de présenter ses excuses aux familles de victimes pour « la douleur causée ». » (Source Marianne)
Pendant des années Battisti vivait en France, qui refusait – pour notre honte encore une fois – de l’extrader vers l’Italie où la justice l’a réclamé puis condamné.
Il était fermement soutenu par une ribambelle d’intellos, de gauche évidemment (en France, les intellos sont de gauche, comme les artistes, sinon ils sont… inconnus) : ils le considéraient comme un résistant, un réfugié politique injustement « accablé par un repenti ayant négocié l’absolution de ses crimes contre un témoignage », selon la formule emphatique de Bernard-Henri Lévy, l’un de ses plus fervents défenseurs. Ce BHL est fabuleux : il est dans tous les mauvais coups.
Parmi les autres écrivains, « artistes », « historiens » et politiciens : Philippe Sollers, Guy Bedos, Jacques Higelin, Pierre Vidal-Naquet, Miou-Miou, Georges Moustaki, le député de l’UMP Jacques Remiller, Danièle Mitterrand, etc.
Tout ce beau monde racontait n’importe quoi sur Battisti, pour le défendre, par connivence idéologique (car bien sûr pour un type de droite accusé, il n’y aurait eu personne).
Selon la Stampa, Cesare Battisti les aurait aussi évoqués, ajoutant lors de son audition : « Je n’ai jamais été victime d’une injustice, je me suis moqué de tous ceux qui m’ont aidé, je n’ai même pas eu besoin de mentir à certains d’entre eux ».
Y aura-t-il repentance de ces individus ?
Trouvé sur Valeurs Actuelles : Tandis que Marine Le Pen accepte de se parer de l’étiquette de « populiste », Marion Maréchal s’y refuse. Et quant au projet d’« union des droites », que la présidente du Rassemblement national qualifie d’« Arlésienne qui n’a jamais marché », préférant aller prospecter du côté de La France insoumise, sa nièce y croit dur comme fer, espérant faire tomber les digues entre traditionalistes et nationalistes.
Enfin, et signe d’une rupture au plus profond des convictions de chacune, les deux femmes s’opposent sur un point crucial, longtemps marqueur historique du parti des Le Pen : l’immigration. Aussi, après le virage idéologique qu’a entrepris Marine Le Pen en qualifiant en 2014 la théorie du « grand remplacement » de « vision complotiste », puis en martelant dimanche dernier sur le plateau de France 3 « ne pas connaître » telle théorie, sa nièce, elle, l’estime « pas absurde ».
En se rangeant aux côtés de l’écrivain Renaud Camus, Marion Maréchal témoigne là, selon l’hebdomadaire britannique, de sa volonté de « briser le conformisme idéologique » de la pensée française.
Toujours intimidée par les médias de gauche et leur politiquement correct, la présidente du Rassemblement national a de nouveau fait mine, dans le contexte de l’attaque sanglante d’une mosquée en Nouvelle-Zélande, de ne pas savoir ce qu’est le « grand remplacement » :
« Je ne connais pas cette théorie du ‘grand remplacement’. Je n’ai jamais utilisé ce terme-là », a-t-elle déclaré sur France 3 dimanche.
Le « grand remplacement » n’est hélas pas une « théorie », comme le serinent les médias, repris par Marine Le Pen.
Cette expression mise en lumière par l’écrivain Renaud Camus désigne un fait, particulièrement grave et menaçant : le remplacement d’un peuple, le peuple français autochtone, par un nouveau peuple issu de l’immigration massive (15 à 18 millions de non-européens en France) et du métissage généralisé.
Le ministre de l’Intérieur appelle les préfets « à la plus grande vigilance »,après les attentats contre deux mosquées du centre-ville de Christchurch (Nouvelle-Zélande), vendredi 15 mars, qui ont fait au moins 49 morts. « Par précaution », Christophe Castaner leur demande de « renforcer la surveillance des lieux de culte », tout en précisant que « des patrouilles seront assurées à proximité des espaces confessionnels ».
Le catastrophique ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, dit « le mutileur », s’est rendu tardivement dans une soirée qui se déroulait dans un établissement de nuit parisien ce samedi 9 mars, peu après la fin de l’acte XVII des Gilets jaunes.
Fêtant à sa façon sa journée de travail et un bon chiffre concernant les arrestations et détention illégales, cet indécrottable kéké s’est fait immortaliser par des téléphones portables (il semble ignorer l’invention de cet objet) et la presse à scandale vient de publier les clichés, repris ensuite partout sur internet.
Des clichés gênants car on y voit Castaner, marié depuis 25 ans, flirter publiquement et embrasser une femme, après s’être envoyé quelques verres de vodka.
Des policiers n’ont pas caché leur colère vis-à-vis de cet homme qui aime parler du « devoir d’exemplarité ».
A main levée, les eurodéputés, réunis à Strasbourg, ont accédé à la demande des juges parisiens qui l’avaient notifiée en octobre 2018 au cofondateur du Front national, devenu Rassemblement national. Il s’agit au moins de la quatrième fois que le Parlement européen lève l’immunité parlementaire de Jean-Marie Le Pen, absent aujourd’hui de l’hémicycle. La levée de l’immunité parlementaire de l’eurodéputée RN, Dominique Bilde, a également été votée dans le cadre de la même affaire.
Ce gouvernement de libéraux forcenés s’apprêtent à vendre une entreprise française rentable, cruciale pour l’économie nationale, importante sur le plan sécuritaire et stratégique, en le justifiant de cette manière : « le rôle de l’État n’est pas de gérer des baux commerciaux pour des boutiques de luxe ».
Ca dépasse l’entendement.
Trouvé sur Europe 1 : « Est-ce le rôle de l’État de faire des baux commerciaux pour des boutiques de luxe ? »ADP a rapporté à l’État « 173 millions d’euros » de dividendes en 2017, « c’était 100 millions de moins quelques années auparavant, aujourd’hui c’est rentable, mais je pose une question très simple : est-ce le rôle de l’État de faire des baux commerciaux pour des boutiques de luxe dans des duty free ? », a-t-il demandé sur France Inter.