Yves de Kerdrel, éditorialiste et ancien DG du groupe de presse qui détient le magazine tendance « droitard », ne semble pas comprendre le danger irréversible de l’invasion migratoire, ainsi que l’importance du symbole que représente l’Aquarius (l’arche de Noé des gauchistes) et sa cargaison de 54 clandestins.
Au nom du droit de la mer, de l’entraide des marins et surtout du respect de la vie, je demande aux autorités françaises d’accorder à l’#Aquarius le droit d’accoster à Marseille. Notre identité et notre civilisation sont menacées par la PMA et non par 58 réfugiés.
Trouvé sur la Dépêche : Gérard Collomb, décidément très remonté, va plus loin et s’en prend, cette fois en off, directement au chef de l’État et à sa manière de s’exprimer qui peut parfois choquer les Français ou paraître bien élitiste. « Les provinciaux, et j’en suis, ont déjà une tendance naturelle à considérer que les Parisiens ont la grosse tête et les snobent, or des expressions comme la nouvelle grammaire de la politique ou la start-up nation, ils ne s’y reconnaissent pas… ».
Et lorsque La Dépêche du Midi lui demande s’il s’en est ouvert au chef de l’État, le ministre de l’Intérieur a un sourire en coin, hésite, puis lâche : « Nous ne sommes pas nombreux à pouvoir encore lui parler. Ceux qui parlent franchement à Macron sont ceux qui étaient là dès le début : Ferrand, Castaner, Griveaux et moi… D’ailleurs, il va finir par ne plus me supporter. Mais si tout le monde se prosterne devant lui, il finira par s’isoler, car par nature l’Élysée isole ». Continuer la lecture de « En privé, Collomb ne retient plus ses coups contre Macron »
La situation sanitaire du Yemen illustre parfaitement l’indignation à géométrie variable de la classe politique française. Toujours prompte à condamner la violence de l’armée arabe syrienne ou de l’armée russe contre les civils d’Alep ou d’Idlib, leur silence concernant la guerre de notre allié saoudien au sud de la péninsule est assourdissant. L’hypocrisie de la posture moralisatrice et de la « diplomatie sunnite » de nos dirigeants, se rend progressivement complice des pires atrocités.
En démocratie, le pouvoir politique est sans cesse concurrencé par celui des magistrats. Depuis quelques décennies, le politique s’efface progressivement au profit de l’aristocratie républicaine de la magistrature. Désormais, ce sont des juges qui décident de la légalité d’une loi (sic!), ou de l’application par avance d’une autre !
L’époux du père biologique d’enfants nés d’une gestation pour autrui (GPA) à l’étranger a obtenu en justice la reconnaissance de sa filiation par adoption plénière. La cour d’appel de Paris a fait droit mardi à la demande d’adoption plénière, et non simple, de jumelles nées en 2011 d’une GPA au Canada, où celle-ci est légale, a annoncé l’avocate du couple d’hommes, Caroline Mecary. (NDCI : avocat militant au service de la perversion homosexualiste)
Tribune de Pauline Mille pour Reinformation.tv : De nouveaux mots d’ordre politiques proclament qu’il n’y a ni submersion migratoire ni invasion en Europe. Tel est le nouvel axe de la propagande des élites pour berner les peuples qui commencent à s’éveiller et les convaincre que le flux des migrants est une bonne chose.
Les fables répandues par nos élites depuis 2014 ont pris l’eau. Les médias nous assuraient que les migrants affluaient en Europe pour s’y réfugier des guerres qu’ils subissent : le plus grand nombre vient poussé par l’argent, non par la guerre. Au lieu de familles en fuite, on voit une grande majorité de mâles, jeunes. Et les prétendus mineurs ont vingt-cinq ans. En outre, la criminalité de ces migrants, de la Suède à la Sicile, monte en flèche. Bref, la grossière propagande du système a pris l’eau, et les peuples votent massivement populiste. Les élites doivent donc trouver autre chose.
Frédérique Dumas ne digère pas les manquements de la majorité et de l’exécutif en matière d’exemplarité, et liste au Parisien les erreurs qui se sont succédé en quinze mois : « Ce que dit Alexandre Benalla des sénateurs montre qu’il a encore une forme d’impunité. Et Richard Ferrand, à la présidence de l’Assemblée… Sa procédure judiciaire, même s’il n’est jamais mis en examen, est une épée de Damoclès sur une fonction très importante. Il ne s’agit pas de mettre en cause leurs compétences, mais pourquoi nomme-t-on consul Philippe Besson qui a fait un livre sur le président? Pourquoi, quand on a décapité pratiquement tout le ministère de la Culture, la seule nomination que l’on fait est celle d’Agnès Saal [condamnée pour frais de taxis indus, NDLR]. L’exemplarité, c’est aussi une question de bon sens », a-t-elle déploré.
Florian Philippot, ancien bras droit et mentor de Marine Le Pen, homme à tout faire au Front, raconte :
« Nous sommes en mai 2009, au domicile de Marine Le Pen. Le soir même, Marine Le Pen représentera son parti dans un débat consacré aux élections européennes sur France 2.
Nous venons de passer plusieurs heures, avec quelques personnes de son entourage d’alors, à préparer ce rendez-vous télévisuel important. La soirée commence, il va être l’heure de prendre la route pour les studios de la chaîne, le maquillage puis le direct.
Citant et s’appuyant sur les travaux de l’infâme militant gauchiste Pierre Vidal-Naquet, Macron Emmanuel Macron a reconnu aujourd’hui dans un communiqué de l’Élysée (à lire ici) que le mathématicien Maurice Audin, disparu en 1957, est « mort sous la torture du fait du système institué alors en Algérie par la France ». La présidence de la République a également souligné que la France avait instauré un « système » recourant à la « torture » pendant la guerre d’Algérie.
Mamoudou Gassama, le malien qui a porté secours à un enfant en escaladant la façade d’un immeuble parisien fin mai, a obtenu la nationalité française, selon le décret de naturalisation paru au Journal officiel mercredi.
L’annonce ne tarit pas d’éloges, la naturalisation de Gassama « présente pour la France un intérêt exceptionnel. »
Le 7 septembre, alors que Merkel s’indignait des violences supposées en marge de rassemblements à Chemnitz après le meurtre présumé d’un Allemand par deux migrants, Hans-Georg Maassen, chef du renseignement allemand, a démenti dans la presse l’existence de « chasses collectives » contre les étrangers, contredisant ainsi publiquement la chancelière.
Cette attaque intervient alors que la dirigeante allemande est en conflit ouvert avec le supérieur de M. Maassen, le ministre conservateur de l’Intérieur Horst Seehofer.
Voici le genre de « Marseillais » venus « acclamer » Macron lors de sa promenade dans les rues de la ville :
« – On est sans papiers ! On t’aime trop ici !
– pourquoi vous êtes venus ici à Marseille ?
– Pour les vacances.
– Faut régulariser. Vous êtes en train de le faire ?
– Ben oui.
– Depuis combien de temps ?
– 8 ans. »
Alors que le président Macron déambulait vendredi soir dans les rues de Marseille, attirant les curieux à défaut de partisans, Mélenchon buvait à une terrasse de cette même malheureuse ville.
Les deux larrons ont organisé une pseudo rencontre fortuite sous l’œil gourmand des caméras.
Et Mélenchon tombe le masque : le prétendu « premier opposant » à Macron, qui l’après-midi même traitait ce dernier de « plus grand xénophobe qu’on ait » lors d’un meeting, devenait tout miel face au président. « Peut-être d’une légère exagération marseillaise » tentait d’ironiser le Rouge.
Mélenchon en meeting :
Et en bonus, voici le genre de « Marseillais » venu acclamer Macron :
« – On est sans papiers ! On t’aime trop ici !
– pourquoi vous êtes venus ici à Marseille ?
– Pour les vacances.
– Faut régulariser. Vous êtes en train de le faire ?
– Ben oui.
– Depuis combien de temps ?
– 8 ans. »
Si certains Français avaient encore des doutes concernant les mensonges des acteurs de cette affaire, ce refus montre à l’évidence que que le protégé du Président n’a jamais été inquiété avant que l’affaire n’éclate au grand jour.
On se souvient qu’en juillet dernier, Patrick Strzoda avait affirmé devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – laquelle a été dissoute depuis — que le salaire d’Alexandre Benalla était celui d’un chargé de mission, sans primes et que ces informations étaient disponibles auprès de la Cour des comptes et de la mission parlementaire de la commission des Finances. Or, Philippe Vigier ainsi que la députée qui lui a succédé à la tête de cette mission parlementaire, Lise Magnier, avaient démenti vigoureusement ces affirmations.
Esteban Morillo, Samuel Dufour, Alexandre Eyraud, comparaissent depuis mardi 4 septembre devant la cour d’assises, à Paris, afin de répondre d’une rixe dans laquelle le jeune militant de l’extrême-gauche violente Clément Méric avait trouvé la mort (après les avoir, avec ses amis, attendus et attaqués), à Paris en 2013.
Les jurés, après dix jours d’audience (un procès exceptionnellement long pour ce type d’affaires), trancheront, tandis que le tribunal médiatique et politique lui, a déjà tranché depuis le 5 juin 2013. Ainsi, certains journaux n’ont pas hésité à qualifier de « meurtriers » des individus pas encore jugés, tandis qu’à l’époque, Manuel Valls (qui avait parlé d’« assassinat ») avait engagé la dissolution de mouvements politiques innocents, sans attendre l’issue du procès.
Esteban Morillo et Samuel Dufour, qui ont tous les deux fait de longs mois de détention provisoire, sont poursuivis pour violences « ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Un troisième, Alexandre Eyraud, est poursuivi pour violences aggravées. Ils encourent respectivement vingt et cinq ans de prison.
Pour faire le point sur le procès en cours, Breizh Info a interrogé Serge Ayoub, à l’époque chef des JNR (Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires), mouvement auquel n’appartenait pas Esteban Morillo (qui était proche de 3ème Voie), et qui fût au centre de la tempête médiatique et politique :
« Le contrat des Rafale provoque des remous dans les milieux politiques et médiatiques indiens. Le journal de Bombay The Indian Express affirmait fin août que Julie Gayet, la compagne de François Hollande, aurait obtenu en 2016 le cofinancement d’un film de la part du milliardaire indien Anil Ambani. Or ce dernier se trouve être le principal bénéficiaire des investissements que Dassault a promis de réaliser en Inde en contrepartie de la vente de 36 avions de combat. »