Gollnisch et le Jobbik embarrassent la direction du FN

Le Front National aurait « rompu les liens avec le Jobbik », le puissant et dynamique parti hongrois nationaliste, selon son vice-président, Louis Aliot.

Bruno Gollnisch, son prédécésseur à la vice-présidence, chargé des questions internationales, affirme que les deux partis continuent d’être des partenaires, notamment dans le cadre de l’Alliance européennes des mouvements nationaux (AEMN) qu’il préside :

« Le FN a toujours des liens avec le Jobbik. En tout cas, moi, je continue à en avoir. Je continue à travailler sur le plan parlementaire avec eux.

Louis Aliot m’apprend que l’on n’a plus de liens avec le Jobbik ! Louis Aliot n’est malheureusement pas au Parlement européen et je ne sais donc pas si M. Aliot est exactement informé de la situation ». […]
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Une extrême-droite totalement perdue

Il s’agit certes d’une anecdote, mais cela reste révélateur de la confusion qui règne dans les mentalités de ce qu’on appelle l’« extrême-droite ».
Le groupe Bloc identitaire propose à ses militants de décider de l’attitude du mouvement pendant les élections présidentielles. A défaut de pouvoir participer à la consultation nationale, il veut en organiser une en interne.  Il est demandé aux adhérents de choisir entre : personne, Marine Le Pen, Frédéric Nihous (du mouvement para-umpiste CPNT) et … le politicard centriste François Bayrou.
L’atout de ce dernier étant, à en croire le Bloc identitaire, son européisme…
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Billet de Jerome Bourbon à propos du procès intenté par le FN à Rivarol

« Le 9 décembre la XVIIe chambre correctionnelle de Paris rendait sa décision dans le procès que nous avaient intenté Jean-Marie Le Pen et le Front national à la suite d’un article paru dans RIVAROL du 15octobre 2010 en pleine campagne interne pour la succession du Menhir à la tête du mouvement qu’il a présidé trente-huit ans durant. Deux phrases de l’article étaient incriminées. Voici la première : «Si Le Pen voulait absolument que ce fût sa fille qui lui succédât et personne d’autre, il aurait mieux valu le dire clairement, imposer à tous sa progéniture comme dans la communiste et tyrannique Corée du Nord et ne pas faire semblant d’organiser une élection démocratique ouverte à tous». Pour cette considération, faite de surcroît au conditionnel, Jean-Marie Le Pen nous demandait «30000euros à titre de dommages et intérêts avec intérêts de droit et la somme de 20000euros sur la base de l’article 475-1 du code de procédure pénale ainsi qu’en tous les dépens».
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Le voyou et le pourri Jacques Chirac enfin condamné

Il est exceptionnel, sous notre République, que le très haut personnel politicard soit condamné pour ses innombrables malversations.
Mais aujourd’hui, ce fut le cas avec le verdict qui a frappé le très funeste Jacques Chirac.
En l’occurence, la République n’avait rien à perdre, la tenace réputation d’escroc collant irrémédiablement à la peau de l’ex-président ; il ne restait qu’à le condamner pour donner l’impression d’une justice n’ayant peur de rien.

Chirac a été ainsi condamné à une peine de deux ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris. Il a été reconnu coupable de «détournement de fonds public», «abus de confiance» et «prise illégale d’intérêt» dans les deux volets de l’affaire, instruits par les parquets de Paris et de Nanterre.

La peine reste donc bien légère et symbolique…
D’après certains, le sursis n’est dû qu’à l’état de sénilité que met en avant Chirac pour fuir les procès et ses responsabilités. De sévères « troubles de la mémoire » qui ne l’ont pas empêché de sortir ses mémoires justement, il y a quelques mois.

France Intox en pointe dans la manipulation

Depuis hier, la radio d’information étatique ne cesse de parler de la tuerie de Liège (à laquelle il faut ajouter un autre cadavre découvert plus tard).
Mais, à la différence des autres affaires de ce type, les journalistes se refusent obstinément à nommer le criminel…
On se doute bien de la raison, puisqu’il s’agit d’un étranger du nom de Nordine Amrani.

Encore plus vicieux : la radio payée par nos impôts répète à l’envi que le tueur est un « passionné d’armes à feu » : presque un « facho » quoi !

De leur côté, les politiciens belges tirent les leçons de ce drame et proposent non pas de s’attaquer au problème de l’immigration massive, mais plutôt de renforcer la législation sur les armes…
Une mesure qui ne contraindrait, on s’en doute, que les honnêtes gens.

Encore un scandale économique républicain : les préfets fantômes

Des dizaines de hauts fonctionnaires ont le titre de préfet alors qu’ils ne le sont pas.
Un copinage politique qui leur permet notamment de toucher une retraite de préfet sans en exercer la fonction.

Parmi eux, prenons les exemples des politicards PS Michel Vauzelle et Michel Delebarre. Ils touchent aujourd’hui une pension mensuelle de 4.000 € brut en tant que préfets fantômes, qui vient s’ajouter à leurs indemnités de parlementaires et d’élus locaux : soit 15.124 € brut (Michel Delebarre) et 9.760 € brut (Michel Vauzelle). Sans compter pour chacun une indemnité (forfaitaire) représentative de frais de mandat de député de 6.000 € net.
D’ici quelques années, lorsqu’ils décideront d’abandonner leurs mandats, ces deux parlementaires pourront cumuler la totalité de leurs retraites de préfet, de parlementaire et d’élu local ! Soit en tout, de l’ordre de 12.000 € mensuels brut pour le premier et 10.000 pour le second.
Rappelons que, selon l’Insee, le montant moyen brut des pensions en France s’élevait, en 2009, à 1.196 € par mois…

Source et détails

Le Pen contre Rivarol : verdict

Les Le Pen, père et fille, ont intenté plusieurs procès au plus vieil organe de presse de la droite nationale.
Hier, vendredi, le verdict est tombé concernant la plainte de Jean-Marie Le Pen contre Jérôme Bourbon, directeur de la publication, à propos d’un article que ce dernier avait écrit durant la controversée campagne interne pour l’élection du nouveau président du parti.
JMLP reprochait au journaliste de l’avoir diffamé, dans un texte intitulé « La tension continue à monter au Front national » et publié en octobre 2010.
Jérôme Bourbon a été condamné pour ce passage : « des témoignages concordants » faisant état de « centaines d’adhésions (…) actuellement bloquées, au mépris des statuts ».
La 17e chambre correctionnelle a jugé que par cette assertion insuffisamment prouvée, M. Le Pen était « présenté comme un manipulateur, faussant, au mépris des statuts du mouvement politique (…), le jeu démocratique d’une élection dont il cherche à évincer les électeurs susceptibles de voter pour le candidat concurrent de sa fille ».
M. Bourbon a été relaxé pour le reste de l’article. Au final, il a été condamné a verser un euro de dommages et intérêts à JMLP, ainsi qu’à une amende avec sursis de 300 euros.
Une peine relativement légère, alors que l’ex-président du Front National réclamait 30 000 euros de dommages et intérêts et le FN (déclaré irrecevable dans sa constitution de partie civile) 15 000 euros. De quoi tuer le journal. 
Contacté par Contre-info, Jérôme Bourbon s’est déclaré « globalement satisfait du verdict », regrettant qu’un procès fasse suite à ce qui relève de la polémique électorale et estimant qu’il s’agissait d’un « désavœu » pour le FN.
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Malek Boutih accuse Julien Dray de fraude

Malek Boutih est en colère contre son ancien ami. L’ex-président de SOS Racisme a écrit mercredi à Martine Aubry, la première secrétaire du PS, et à Bernard Pignerol, le président de la commission nationale des conflits, pour demander la «suspension» de Julien Dray du parti, révèle Le Parisien. Il souhaite que Dray ne puisse plus «parler au nom du PS» et ne puisse «plus se présenter aux élections». Le socialiste accuse son ancien mentor d’avoir participé à une fraude, afin d’être désigné candidat socialiste aux prochaines législatives dans la 10e circonscription de l’Essonne – dont il est le député sortant. Cette circonscription, également convoitée par Malek Boutih, a été pour l’instant «gelée» par le PS. Dans une lettre envoyée le 3 décembre aux militants de l’Essonne, Malek Boutih affirme que  la «liste électorale a été frauduleusement manipulée» pour permettre à «près de 60 faux électeurs» de participer à la désignation du candidat socialiste.

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L’entourage de Sarközy vaut le coup d’œil

Le très sioniste  Thierry Gaubert (de son vrai nom Goldenberg) était déjà mis en examen par le juge d’instruction de Nanterre pour abus de biens sociaux et escroquerie (utilisation des fonds du 1 % logement des Hauts-de-Seine dans les années 1980-1990), et placé en garde à vue en septembre 2011 dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Karachi. Il est aujourd’hui impliqué dans une affaire de proxénétisme en Colombie.
Thierry Gaubert (frère de l’inquisiteur antinationaliste Patrick Gaubert) est un très proche de Nicolas Sarközy.

Le site mediapart évoque l’affaire : «La police de Bogota a engagé des investigations pour blanchiment présumé visant les propriétés de Thierry Gaubert et de son associé en Colombie, Jean-Philippe Couzi. Après avoir construit leurs villas avec des fonds occultes, les deux hommes ont monté des bars dans le village de Nilo : le « Nibar » et le « Nichon », qui attirent, eux, d’autres soupçons. En France, Hélène Gaubert et Astrid Betancourt ont accusé leurs maris d’héberger des prostituées. Les intéressés démentent. » (source et suite)

L’écrivain Hervé Ryssen rappelle à cette occasion que « le proxénétisme international est largement le fait de la mafia juive », dont il a traité dans un sulfureux ouvrage (disponible ici).

Le candidat anti-blancs à l’élection présidentielle soupçonné de blanchiment !

Alerté par Tracfin, en octobre, le parquet de Paris vient de saisir, selon le Journal du Dimanche du 27 novembre, la Brigade de répression de la délinquance économique d’une enquête préliminaire visant Patrick Lozès, l’ex-président du Conseil représentatif des associations noires (CRAN) et candidat à l’élection présidentielle. Il est soupçonné d’abus de confiance et de blanchiment.

(source)

A droite comme à gauche, les députés votent contre l’amendement de Lionnel Luca

Sans surprise, l’amendement défendu par Lionnel Luca (UMP) visant à réduire de 10% les indemnités des députés en 2012 a été repoussé lundi après-midi à l’Assemblée nationale. L’ensemble des députés UMP présents, dont leur président de groupe, Christian Jacob, venu spécialement en séance à ce moment là, ont voté contre, et la gauche s’est abstenue. Seuls ont voté pour Lionnel Luca et sa collègue de Seine-et-Marne Chantal Brunel. Pour défendre cet amendement, cosigné par 32 députés (dont le porte-parole du Nouveau centre, Philippe Vigier, le villepiniste Jean-Pierre Grand, le non inscrit Nicolas Dupont-Aignan, candidat à l’Élysée en 2012, et le Vert François de Rugy), Lionnel Luca a estimé qu’en période de crise, cette mesure était susceptible de réaliser cinq millions d’euros d’économies. Mais surtout, a-t-il expliqué, de demander «un effort personnel de chacun des députés».

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