« Quand j’ai vu la une de Voici de cette semaine, j’ai cru à un nouveau gag du Gorafi. Voilà notre Président en photo sur le célèbre tabloïd, torse nu, moulé dans un gilet de sauvetage réglementaire, lunettes noires vissées sur le nez : à quelques abdos et une bonne dose de classe près, on aurait dit un succédané de Steve Mac Queen… Les clichés ressemblent à des paparazzades, mais pourtant, si le magazine est publié en l’état, on imagine que c’est parce que le photo-reportage a reçu un bon de sortie en bonne et due forme des services de l’Élysée…
D’aucuns pourraient se réjouir qu’un responsable département de l’ex-FN dénonce à nouveau l’immigration massive.
Mais c’est pour mieux combattre la « transphobie » (hostilité contre la « transexualité »)…
Nous sommes sommés de trouver normal le choix de leur sexe par les gens et de valider un prétendu « changement de sexe ».
La conformation du parti à « l’air du temps » est quasi-complète.
Le 21 juillet, « le président de la République a été interrogé dans le “20 heures” de TF1 sur la recrudescence des faits de violences des dernières semaines. Attaques au mortier contre les forces de l’ordre, gendarme renversée par un chauffard, chauffeur de bus frappé à mort, pompiers agressés durant des interventions… Autant de cas qu’Emmanuel Macron a regroupés sous le terme générique “d’incivilités” dans sa réponse, assurant que l’État appliquerait en retour la “tolérance zéro”. » (source)
« Incivilité » : acte ou parole contraire aux bonnes manières à l’égard d’autrui, aux usages du monde (Littré).
Cet individu incarne donc à la caricature le cynisme politicien, la malhonnêteté et la manipulation de l’opinion jusqu’au foutage de g…
Mais là, il y est allé un peu fort tout de même.
Utiliser un tel mot pour désigner des crimes, des meurtres (en voulant atténuer leur gravité uniquement parce qu’ils sont commis par des étrangers sur des Français) heurte logiquement tous ceux qui ont encore des notions basiques de langue française.
En tout cas nous nageons en plein délire orwellien.
Mise-à-jour 07/07 : en fait le type est tout simplement un fou furieux gauchiste :
Le médiatique avocat Eric Dupont-Moretti vient d’être nommé Garde des Sceaux par Macron.
Cet individu fut impliqué dans de nombreux procès fameux et sordides.
Il défendit notamment des politiciens corrompus, des accusés du scandale pédocriminel d’Outreau (un lien avec sa nomination?), des immigrés accusés de divers crimes, s’illustrant en particulier dans la défense du frère de Mohamed Merah : Abdelkader (« que j’ai eu l’honneur de défendre » dit-il), islamiste lui aussi et accusé de complicité avec le criminel de Toulouse et Montauban.
Dupont-Moretti essayait de faire pleurer dans les chaumières à propos de la mère du terroriste, malheureuse d’avoir perdu son fils, vous comprenez…
Bon, en tout cas les magistrats et la police – avec qui il se chamaille beaucoup – vont sûrement faire la tête…
Avec la liste des crapules qu’a défendues cet énergumène, on pourrait le croire attaché, même excessivement, aux libertés.
Que nenni.
En 2015, il s’en prenait au Front national – pourtant déjà très largement gauchisé par une Marine Le Pen en quête d’approbation médiatique – et souhaitait même l’interdiction d’un des premiers partis de France !
Il déclarait sur France Inter :
« C’est un parti qui n’est pas républicain [quelle blague !]. Je pense qu’il faut l’interdire ».
La première phrase du discours d’installation du nouveau maire, la pseudo-écologiste Michèle Rubirola, fut : « Marseille appartient à qui vient du large ».
Il s’agit d’une citation de Blaise Cendrars sortie de son contexte et choisie à dessein pour exprimer le projet de la gauche : offrir la France à toute immigration possible en échange de voix.
En réalité Marseille n’appartient qu’aux Français, particulièrement à ceux qui vivent sur place. Enfin, théoriquement.
PS : la tête de file LR au Conseil municipal, talonnant la Rubirola, a refusé que les voix des élus RN se portassent sur lui.
Goussainville, 30.000 habitants, dans le Val d’Oise sera administrée pendant les 6 prochaines années par un maire communautaire, Abdelaziz Hamida, dont une rumeur persistante a dit qu’il était fiché S pour radicalisme islamique. En effet, c’est ce que l’express du 26 septembre 2019 affirmait, disant même : « Abdelaziz Hamida est réputé proche du mouvement fondamentaliste Tabligh, une organisation dont le nom a été cité dans le dossier judiciaire de la filière djihadiste de Lunel » Le néo-maire a certes porté plainte contre l’hebdomadaire, mais l’Express ne s’est pas rétracté pour autant, son article étant toujours en ligne !
Quoiqu’il en soit, Hamida qui se promenait en djellaba jusqu’en 2010, quand il présenta sa liste -qui ne peut être légalement composée que de Français-, n’hésita pas à dire : « On a des Français, des Turcs, des Noirs, des Arabes » ce qui lui avait valu ce tweet très naïf de Valérie Pécresse :
La vile manoeuvre du député ne lui a pas servi, puisqu’il est sechement battu, obtenant 42 % des voix contre 58 % pour son ex-adjoint.
La politique politicienne, où les intérêts des politicards priment sur l’intérêt commun, est parfois compliquée.
Ainsi, à Sarcelles, l’ancien maire et actuel député PS François Pupponi affronte pour les municipales son ancien premier-adjoint et actuel maire, Patrick Haddad, qui a l’investiture PS…
Le combat est fratricide, comme le rappelle cet article du JDD. Tout cela se passe à Sarcelles, villes où de multiples communautés se juxtaposent… Aussi, ces candidats sont prêts à tout pour glaner des voix, d’autant qu’au niveau des idées rien ne les distingue.
Pensant sans doute qu’il a perdu l’importante communauté juive, François Pupponi mise sur la communauté musulmane… et va se prosterner à la mosquée. Lui, qui il y a encore 6 mois ne cessait de nous alerter sur le danger du communautarisme et plus particulièrement musulman…
Je vous présente @fpupponi candidat à la mairie de #Sarcelles. Celui qui passe d'un plateau télé à un autre pour dénoncer le "communautarisme" et le clientélisme a sagement attendu la fin de la prière dans une mosquée de Sarcelles ce jour pour pêcher les voix des fidèles. pic.twitter.com/ThpS3R5Yws
Nous vivons tout de même un moment politique fabuleux, avec la Macronie.
Tenez, hier, le fameux porte-parole du gouvernement, l’africaine Sibeth Ndiaye, répondait à un journaliste :
« Je ne saurai pas expliquer aujourd’hui, à mes enfants par exemple, s’il est normal ou pas de jeter des pierres sur les forces de l’ordre. »
Extraordinaire propos d’un des principaux représentants de l’Etat, d’un porte-parole du régime, disant cela publiquement à propos de la police, qui est notamment là pour défendre ce régime justement !
Le politicien pourri (LR) Patrick Balkany s’amuse bien à la fête de la musique, après avoir mis la France dans une m… noire.
Il avait été libéré en février au bout de 5 mois de prison seulement, pour « raisons de santé », alors qu’il devait en faire trois ans.
Maintenant que ça va mieux, il pourrait peut-être « payer sa dette à la société » ?
Il arrive, mais c’est peu commun, que le ministre de l’Intérieur soit flanqué d’une sorte de numéro 2 officiel, comme c’est le cas entre l’ignoble et vulgaire Christophe Castaner et le plus réservé Laurent Nuñez (qui a droit, lui, à son tilde sur le « n » dans les documents officiels de la République, contrairement aux Bretons…).
Le ministre de l’Intérieur est dirigé par un duo.
Qu’est-ce qui explique cette incongruité apparente ?
Le problème est simple.
Macron a voulu mettre un politicien ami à la tête de cette institution capitale, quelqu’un qui lui soit fidèle, doublé d’un « parleur ».
Or Castaner, on le sait, n’est pas très intelligent ni cultivé (ses camarades le surnomment « Rantanplan », mais il est roublard, il a été formé dans les bars louches de Marseille où il fréquentait la pègre, c’est un kéké, qui suit les modes et aime « draguer ». Et il n’est pas franc-maçon, contrairement à ce qui a pu être dit sur certains sites : il est trop […] pour ça.
Il n’est pas doué pour les dossiers, il ne maîtrise pas son sujet ; voyez comme Nuñez doit le reprendre publiquement devant une commission parlementaire :
Castaner n’a pas de passé dans la police ou le corps préfectoral.
Bref, Macron le voulait là pour des raisons politiciennes, ou pire encore, mais cela risquait fort de ne pas passer auprès de la police, de la gendarmerie et des différentes services du Ministère ne comprenant pas quelle est sa légitimité et le trouvant tout simplement trop […].
Bon, Fillon mérite d’être condamné pour le mal énorme qu’il a fait à la France au sein de la fausse droite (celle qui s’est alliée régulièrement aux socialistes contre les patriotes), notamment en tant que Premier ministre du criminel Sarközy.
Mais les faits qui s’établissent montre bien les machinations minables de la vie politicienne démocratique et le rôle honteux de la « justice ».
« Madame Houlette, ancienne patronne du Parquet National Financier, vient enfin d’avouer, et devant l’Assemblée, Nationale, s’il-vous-plait : oui, elle a subi des pressions pour accélérer les procédures contrer François Fillon lors de la campagne présidentielle de 2017.
Des pressions qui l’auraient obligée à ouvrir une information judiciaire, alors qu’elle n’en était qu’au stade de l’enquête préliminaire, et que selon ses dires, elle n’avait pas assez d’éléments pour aller plus loin.
Madame Houlette avait jusqu’à présent affirmé qu’elle n’avait subi aucune pression dans cette affaire : elle était en poste, elle ne l’est plus, ceci explique sans doute cela… Continuer la lecture de « Affaire Fillon : le juge rouge Houlette confirme la machination et donc l’élection faussée de Macron »
Le monde est parfois petit ! Ainsi, si nous savions qu’avant d’être président, Macron était employé chez la banque Rotschild, un article de Causeur nous apprend qu’Assa Traoré travaillait à l’Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rothschild, contrat qui a pris fin en décembre 2019. Il ne s’agit certes pas juridiquement du même employeur, la banque étant distincte de l’association caritative, mais on voit très clairement les mêmes réseaux !
D’ailleurs, nous dit Causeur, l’employeur d’Assa Traoré était très complaisant avec son employée. Celle-ci étant en arrêt-maladie depuis la mort de son frère Adama (en juillet 2016), bien que depuis cette date, elle eût une activité militante débordante (meetings, interview, manifestations, écriture d’un livre, etc etc). On comprend pourquoi, dans son livre en dernière page, elle « remercie la fondation Opej pour sa compréhension et son soutien » (OPEJ : Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rotschild).
Ils sont prêts à tout, prêts à faire la danse du ventre pour essayer de capter un nouvel électorat, après que le prolétariat français, ou ce qu’il en reste, soit passé au camp national.
Ici Jean-Paul Lecoq, le candidat communiste à la mairie du Havre :
En 2012, il critiquait Nicolas Sarkozy qui voulait une loi anodine et évidente « visant à imposer un examen de langue française à tout candidat au regroupement familial. »
En 2018, il voulait que la France accueille plus de réfugiés « en régularisant notamment les ni expulsables, ni régularisables. » Il se vantait d’ailleurs d’en avoir accueilli : « Il faut aujourd’hui faire clairement les choses, il faut accueillir les réfugiés. C’est un devoir et ils ont le droit d’être accueillis. Il faut les accueillir dignement, c’est ce que j’ai fait dans ma ville”, glissait le maire socialiste de Dijon.
L’hallucinante réaction du maire de Dijon, complètement dépassé alors que les kalach sont sorties…
Rebsamen : « J’ai beaucoup d’affection, comme tous les Dijonnais pour ce beau quartier des Grésilles, dans lequel on a beaucoup investi… » #dijonpic.twitter.com/fXFJ68pDo3
Il regarde ses pieds, il a la voix tremblotante…
Il est moins à l’aise que dans sa loge maçonnique…
Ces politiciens sont complètement à la masse.
Ils ont mis la France dans une situation catastrophique et sont incapables d’assurer aux Français la sécurité la plus élémentaire.
Ils s’enfuiront les premiers, à moins de devenir les larbins serviles des « remplaçants », ce que certains ont déjà commencé à faire.
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