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Catégorie : Résistance
Hommage à Jeanne d’Arc à Paris
Ce dimanche 8 mai après-midi, à Paris, avait lieu une manifestation unitaire d’hommage à Sainte Jeanne d’Arc organisée par Civitas, avec la participation du Renouveau français, du Parti de la France, du Cercle national des Combattants et d’autres organisations.
Elle a réuni un millier de patriotes environ, dans une belle ambiance. Un certain nombre de discours furent tenus, entrecoupés d’animations diverses.
En guise d’animation, par exemple, un moine bénédictin jonglant adroitement :
Beau cortège et bonne banderole du Renouveau français :
Voici le discours qu’a tenu son directeur Thibaut de Chassey :
Le discours d’Alain Escada, directeur de Civitas :
Quelques titres interprétées par la chanteuse « Epona » :
« Casser les banques, mais pas les petits commerces »
Le Collectif Defend Naoned, dont les autocollants « action, rébellion » fleurissent sur la ville de Nantes depuis quelque temps, est constitué d’une vingtaine de personnes. Ces jeunes patriotes ont eu les honneurs de la presse locale à la suite de quelques échanges virils avec les activistes gauchistes.
Dimanche à Paris
Le PDF dénonce l’arrivée de 80 clandestins à Buzançais (Indre)
Le 8 mai 2016, Sainte Jeanne d’Arc vous attend à Paris
Concert à Paris
Création du « Centre d’études et d’action sur la franc-maçonnerie »
www.centre-franc-maconnerie.com
Voilà une initiative très intéressante, et bienvenue.
Le site du Centre propose déjà une documentation précieuse, notamment sur la longue liste de condamnations par les papes, depuis deux cents ans.
Congrès nationaliste : participation de Roger Holeindre
Bruxelles : un millier de patriotes dans une manifestation surprise, refusant le « padamalgam »
Traduit de l’article de New Observer par Blancheurope :
« Un peu plus de milliers de patriotes ont organisé une apparition surprise à un rassemblement pacifiste au centre de Bruxelles dimanche, suscitant une confrontation tendue avec une foule de la même taille de gauchistes et de non-blancs venus proclamer « paix et amour » après les attaques terroristes musulmanes dans la ville.
Bien que les patriotes n’aient fait que chanter, la police les a attaqué avec des canons à eau et des matraques.
Le millier de gauchistes et de non-blancs étaient les premiers sur les lieux, place de la Bourse à Bruxelles, où un grand nombre de fleurs avaient été déposées en commémoration des attaques. Ils murmuraient les platitudes habituelles pour la « paix » et la « tolérance » caractérisant ceux qui n’ont aucune compréhension de la cause démographique et raciale de ces violences.
Cependant, aux environs de 14h, selon la RTBF, environ 1000 patriotes sont arrivés, portant des bannières et chantant des slogans les identifiant comme appartenant à une organisation précédemment inconnue appelée « la nation ».
La Tunique d’Argenteuil, restaurée, sera exposée pour Pâques
La Sainte Tunique fait partie des cinq grandes Reliques que Notre Seigneur nous a laissées sur terre, avec le Linceul de Turin (Italie), le Suaire d’Oviedo (Espagne), la Couronne d’Epines de N.D. de Paris (France) et la Sainte Robe de Trèves (Allemagne). La Sainte Tunique a la particularité qu’elle est trempée de sang qui est selon les dernières recherches très probablement le Sang de Jésus Christ Lui-même.
La Tunique du Christ a recueilli le sang de ses blessures au cours de son chemin de croix. C’est pourquoi les premières communautés chrétiennes de Jérusalem l’ont immédiatement considérée comme une relique de très grande valeur, et l’ont conservée.
La Tunique quitte Jérusalem et traverse les siècles pour se trouver en possession de l’impératrice Irène de Constantinople au début du IXe siècle, sans que l’on sache par quel itinéraire précis ni à quelles dates. A cette époque, l’impératrice prévoit pour consolider son empire sous le feu de multiples menaces, d’épouser Charlemagne, empereur d’Occident, veuf. En signe de bonne volonté, elle lui aurait offert l’une des Reliques les plus précieuses en sa possession, la Tunique du Christ.
Charlemagne confie la Sainte Tunique au monastère d’Argenteuil, dont sa fille Théodrade est prieure. La Relique n’en bougera pas durant douze siècles. Dissimulée dans un mur du monastère pour la protéger des invasions vikings, longtemps oubliée, redécouverte à l’occasion de travaux au Moyen-Âge, elle devient objet de vénération : les hommes d’église, les rois de France et le peuple des croyants viennent s’agenouiller devant Elle.
Sous la Révolution, le prieuré bénédictin est supprimé, et la Relique remise le 7 juin 1791 à l’église paroissiale qui date du XVe siècle. Le 18 novembre 1793, face à la menace de la confiscation des biens de l’Église, le curé d’Argenteuil Ozet (1749-1816) la découpe en plusieurs morceaux et en confie certains à des paroissiens. Il enterre quatre morceaux dans son jardin avant d’être emprisonné durant deux ans. En 1795, il ressort la Tunique et fait recoudre de son mieux vingt pièces différentes sur une étoffe de satin écru afin de reproduire approximativement la Tunique. Quant aux morceaux confiés aux fidèles, ils se perdent dans la tourmente révolutionnaire et manquent toujours à l’appel aujourd’hui. Les pèlerinages et les ostensions solennelles reprennent au XIXe siècle, en principe tous les cinquante ans.
La Basilique Saint Denys d’Argenteuil a décidé une exposition exceptionnelle de cette Sainte Relique pendant 17 jours, du Vendredi Saint jusqu’au 10 avril de 10H à 22H, après sa restauration.
Pour s’y rendre depuis Paris, on trouvera des informations ici. On peut s’y rendre seul ou en groupe (inscription préalable recommandée).
Action « non à la franc-maçonnerie dans la justice » devant l’École de la magistrature !
Une excellente initiative à propos d’un scandale trop méconnu :
« A Bordeaux, devant l’École nationale de la magistrature, les militants du Renouveau français ont dénoncé le rôle de la franc-maçonnerie dans la justice française et exigé « une justice sans tablier » !
Voici le contenu du tract imprimé pour l’occasion :
NOUS NE VOULONS PLUS D’UNE JUSTICE EN TABLIER !
Affaire de l’ARC, Affaire Tapie, Affaire du Carlton de Lille, etc.
L’ombre de la franc-maçonnerie plane sur de nombreux scandales.
Si l’implication de cette secte est parfois connue dans de grosses affaires, la plupart du temps, l’implication de celle-ci dans les affaires de justice plus courantes est largement méconnue du grand public.
Et pour cause : la franc-maçonnerie cultive le secret afin de dissimuler le fait qu’elle supprime l’égalité entre les citoyens devant la Justice !
A ne pas rater !
Autriche : des députés distribuent du gaz lacrymogène aux femmes pour se protéger des clandestins
A Vienne, Robert Lugar and Martina Schenk (FPÖ) ont distribué plus de 200 bombes lacrymogène au poivre en quelques minutes devant le Parlement. L’initiative à suscité l’intérêt de nombreuses femmes.
Ce n’est pas la première fois que des personnalités de droite nationale effectuent ce genre d’initiatives à Vienne. Depuis plusieurs mois, avec l’afflux de réfugiés,les tensions qu’il génère et les agressions sexuelles, plusieurs initiatives identiques ont été mises en place.
Cette fois, c’est devant le Parlement viennois que les deux députés ont lancé leur opération de distribution de vaporisateurs, suscitant l’engouement de nombreuses femmes âgées, visiblement désireuses d’étre équipées pour se pouvoir se défendre en cas de nécessité.
L’anneau de Jeanne d’Arc de retour en France
Volé à Jeanne d’Arc par l’évêque Cauchon lors de son procès, l’anneau de la sainte, propriété des Anglais depuis 1431, vient d’être acheté aux enchères par le Puy du Fou, pour la somme de 376.833 euros.
L’affaire commence le 24 février 2016. Ce jour-là, Me Jacques Trémolet de Villers, qui vient de publier un livre sur le procès de Rouen, alerte son ami Philippe de Villiers que l’anneau de Jeanne d’Arc, aux mains des Anglais depuis son martyre en 1431, sera mis aux enchères le 26 février par la maison Timeline Auctions de Londres. L’avocat connaît l’existence de l’objet, car il est mentionné dans les interrogatoires d’époque. Il s’agit d’un anneau en laiton décoré de trois croix et sur lequel est inscrit «Jhesus Maria». L’évêque Cauchon, qui devait condamner sa prisonnière pour sorcellerie, prétendait qu’elle l’avait utilisé pour accomplir de fausses guérisons. Peu scrupuleux, il le confisqua, puis le donna ou le vendit au cardinal anglais Henry Beaufort. A compter de ce moment, le bijou ne quittera plus l’Angleterre. Son authenticité étant crédible, Philippe de Villiers y voit aussitôt l’occasion de rapatrier une relique chargée de symbole.
Averti par son père, Nicolas de Villiers, président du Puy du Fou, décide de racheter l’anneau. Il reste alors moins de 36 heures pour réunir les fonds. «On se doutait que la vente allait battre des records, raconte Nicolas de Villiers. La Fondation Puy du Fou Espérance, en tant que personne morale, pouvait y participer à hauteur de 80.000€ mais pas au-delà. Nous avons donc fait appel à des donateurs et nous sommes arrivés à la somme de 350.000€.» Le 26 février, mandaté par la Fondation, un avocat se rend aux enchères de Londres. Mis en vente à 19.051€, l’anneau de la sainte affole la salle. Tout le monde surenchérit. Finalement, les Français l’emportent à 376.833€. Le porte-parole de Timeline Auctions se contentera de déclarer: «Il rentre en France». Sans donner l’identité des acquéreurs, que Le Figaro Magazine révéle dans son édition du 4-5 mars.
Le mot de la fin appartient à Nicolas de Villiers, acteur principal de l’opération: « J’irai le chercher le 4 mars et nous organiserons une cérémonie officielle le 20 au Puy du Fou. Ensuite, l’anneau sera exposé au public dans un lieu dédié du parc. Il faut que chacun puisse le voir. N’oublions pas que Jeanne d’Arc est la patronne de la France. »
Source : Le Figaro