Le livre caché aux parents par l’« Education nationale » : un contenu horrible

Nous évoquions il y a quelques jours le livre « que font les petits garçons ? », dont il était recommandé sur le site de l’Education nationale en 2006, qu’il soit tenu loin du regard des parents mais soumis en classe aux enfants de 8 ans.
Un internaute a pris en photo certaines illustrations de cet ouvrage, et il n’est pas exagéré d’y voir une inspiration proprement satanique.
Ce livre est paru en 2000. Il promeut notamment la « théorie du genre », et cela s’est fait il y a dix ans sous un gouvernement « de droite ». A part ça, il paraît que les parents qui redoutent qu’on bourre le crâne de leurs enfants de théories contre-nature sont paranoïaques…
« L’intégralité du livre se présente de la même manière : à gauche le nom d’un garçon qui est systématiquement représenté par « un clone du petit garçon version fille ». A droite, le même garçon cette fois habillé en garçon qui fait des activités complètement loufoques. Dès la première page, cela sent déjà très fort la théorie du genre. En voici quelques exemples. »

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GPA : les acheteurs gardent le jumeau sain et refusent l’handicapé

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Une jeune Thaïlandaise de 21 ans avait accepté de devenir mère porteuse pour résoudre les problèmes financiers de sa famille, et avait conclu le marché avec un couple d’Australiens l’an passé.

Pendant la grossesse, les médecins ont découvert qu’elle attendait des jumeaux, une petite fille en bonne santé et un petit enfant souffrant du syndrôme de Down. Le couple d’Australiens, apprenant la nouvelle a demandé à la mère porteuse d’avorter, ce qu’elle a refusé, invoquant ses convictions religieuses.

Au moment de l’accouchement, les Australiens ont donc adopté le bébé en bonne santé refusant le petit handicapé et le laissant aux bons soins de sa mère et considérant sans doute la « marchandise » imparfaite, ils n’ont pas réglé entièrement leur dû. La mère attend toujours les 2341 dollars promis après l’accouchement.

Cette dernière a alors témoigné, appelant à la vigilance : « Ne pensez pas qu’il ne s’agit que d’argent, a-t-elle confié au Sydney Morning Herald. Si quelque chose tourne mal, personne ne vous aide et si le bébé est abandonné de la société, nous devons en prendre la responsabilité ».

Le « bébé-marchandise » n’est pas parfait, ils ont refusé de régler leur dû

Pour tenter d’élever et de venir en aide au petit garçon, cette jeune mère a fait appel à la générosité sur internet, et les Australiens, choqués, ont été très généreux.

Grâce à l’argent récolté, le petit garçon, âgé de six mois, a pu être hospitalisé pour une grave infection pulmonaire, en Thaïlande. Son état de santé est jugé inquiétant. Les autorités australiennes, répondant à une vague d’indignation populaire ont ouvert une enquête sur ce drame.

Une fois encore, lorsque l’idéologie s’incarne, elle devient dramatique et il en est encore pour s’offusquer des conséquences d’une cause qu’ils continuent à soutenir… Si l’enfant devient une marchandise que l’on peut vendre et acheter, les clients le traiteront comme tel : c’était évidemment un drame prévisible, comme il y en aura d’autres si l’on ne stoppe pas cette idéologie destructrice.

L’ONU oblige l’Irlande à un référendum sur l’avortement

Frances Fitzgerald

Le ministre de la Justice Irlandaise, Frances Fitzgerald, tête de la délégation du pays au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, a été entendu dans le cadre de l’examen de la conformité de l’Irlande avec certaines normes internationales.

Il a notamment été interroger « avec fermeté » sur le Protection of Life During Pregnancy Act (Acte de protection de la vie pendant la grossesse) de 2013, avant que l’Irlande ne soit accusée d’être en « violation de Droits de l’Homme » puisqu’il est interdit d’avorter en Irlande en cas de viol, d’anomalie foetale, ou de risques en termes de santé.

Le Conseil des Droits de l’Homme a également reproché au gouvernement de ne pas prendre intégralement en charge les dépenses de transport des femmes allant avorter à l’étranger.

Les Droits de l’Homme sont donc pour la puissante institution qu’est l’ONU, une négation des Droits de l’Enfant à naître, ce qui n’est pas une grande nouvelle. Mais non contente de le penser, elle l’encourage vivement par l’intimidation…

L’Irlande n’est en effet pas tenue de se plier à ces demandes, mais le gouvernement ne semble pas avoir l’intention de les ignorer, puisque la délégation a promis au Conseil un référendum constitutionnel sur la question.

 

Témoignage d’une rescapée de l’euthanasie

Juillet 2009. Angèle Lieby est hospitalisée au service des urgences du nouvel hôpital civil de Strasbourg pour une forte migraine.
Quelques heures plus tard, elle devient comme une tétraplégique, incapable de bouger, ni même de respirer.

Mais son cœur bat toujours. On l’intube.
Angèle Lieby est en fait victime du syndrome de Bickerstaff qui paralyse le système nerveux ; quatre jours après son hospitalisation, tout le monde la croit « morte ». Le médecin chef de service veut la « débrancher ».

Son mari, sa famille se battent pour la garder en vie. Les faits leur donneront raison. Plusieurs mois plus tard, son état s’améliore et Angèle retrouve peu à peu l’usage de ses membres. Elle rouvre les yeux.
Elle a raconté son « expérience » dans un livre, « pour toutes ces personnes incapables de parler, c’est le cas des personnes âgées notamment… » explique-t-elle. Son livre Une larme m’a sauvée s’est déjà vendu à plus de 200.000 exemplaires et a été traduit dans une quinzaine de langues.

Rencontre avec elle dans la video ci-dessous :

Vincent Lambert n’a pas demandé à mourir : les déclarations stupéfiantes de Maître Triomphe, son avocat

« Le Conseil d’Etat a dit qu’il [Vincent Lambert] devait mourir parce que on a prétendu que tels auraient été ses souhaits antérieurs exprimés auprès de sa femme de manière verbale ; alors que, comme je l’ai souligné, sa femme en a parlé pour la première fois au bout de cinq ans simplement pour justifier la décision du docteur Kariger et qu’elle s’est contredite de manière spectaculaire à huit mois d’intervalle sur le contenu de ces prétendus souhaits. »

Des éléments décisifs.

Viol collectif sur handicapée autorisé…

Palais de justiceLa « Justice » française a choisi de relaxer ce matin les cinq violeurs d’une jeune handicapée mentale.

Le président du tribunal de grande instance pris cette décision parce que la « conscience de l’absence de consentement de la victime » n’était pas établie…

Les cinq violeurs ont pourtant prouvé leur monstruosité. A la question de savoir pourquoi l’instigateur de ces multiples agressions sexuelles avait agit, Stéphane, 37 ans, répond : « Je ne voulais pas de cette fille, donc c’est pour ça que je leur ai refilé, pour m’en débarrasser ». 

Avec les quatre autres hommes, âgés de 31 à 48 ans, ils ont tenu un discours fixe :  lors de deux soirées, les 25 mai et 19 juin 2013, ils sont allés à Chalais chez « pépé », un septuagénaire non poursuivi dans cette affaire, pour « boire l’apéro ».

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Un tueur libéré, un innocent condamné.

BonnemaisonNon le docteur Nicolas Bonnemaison n’a pas « administré de substance de nature à entraîner la mort », non il n’a pas « écourté un calvaire », non il n’a pas « agi par compassion »
Non.
Le docteur Bonnemaison a tué.
Et pourtant, la « justice » a décidé ce matin de l’acquitter au terme d’un délibéré particulièrement rapide étant donné la gravité des actes. Cinq mois de sursis étaient réclamés, aucune peine – même de principe – contre ce docteur-tueur. Le message est clair.

Mais qui protégera désormais les plus faibles si les médecins se transforment en tueurs et que la justice applaudit ?
L’ordre des médecins avait radié cet homme après que de courageuses infirmières l’avaient dénoncé, estimant à juste titre qu’il avait enfreint l’une des règles fondamentales du serment d’Hippocrate: « Je ne provoquerais jamais la mort délibérément ».
Mais ce qu’il reste de « justice » n’en a que faire, ce médecin a voulu être dieu à la place de Dieu, et c’est tout ce qu’elle encourage…
Un médecin tue sept de ses patients sans même demander leur avis ou celui de leur entourage, l’ADMD et tous les militants de la Mort pour Tous se réjouissent… Preuve s’il en était besoin que leur arguments ne tiennent pas une seconde…
Ils se fichent des patients, ils se fichent de leur souffrance. Il veulent supprimer la souffrance, être tout-puissants pour oublier qu’ils sont limités, créés et dépendants d’un Créateur.
Le moindre de leurs désirs doit être protégé par la loi.
Les gens souffrent, la loi doit les tuer pour qu’ils n’aient plus à supporter cette faiblesse. Et ils osent parler de « compassion »…
Supprimer la souffrance, c’est supprimer la vie et non compatir, c’est-à-dire « souffrir avec »…
Leurs actes en sont la preuve. Et puisqu’ils sont d’une violence inouïe, ils déclarent tuer « par amour »… Les tenants de la culture de mort applaudissent, Bien et Mal ont encore une fois été inversés de façon spectaculaire, avec l’aval des plus « grands ».

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Vincent Lambert communique !

Le Professeur Ducrocq, professeur de neurologie, est l’un des experts qui ont examiné Vincent Lambert pour le Conseil d’Etat. Il a en particulier déclaré :
« VINCENT COMMUNIQUE. »
« L’état de Vincent ne s’est pas dégradé. »
« VINCENT A RÉCUPÉRÉ LA DÉGLUTITION. »
« Vincent a survécu à 31 jours de privation de nourriture. »
« Comment prendre une telle décision qui ne va pas mettre fin a l’acharnement thérapeutique, qui ne va pas le laisser mourir, mais qui va le faire mourir ? »

Ces propos confirment ceux de la mère de Vincent qui a déclaré que son fils a tourné la tête en la voyant.

Source Reinformation.tv

Vincent Lambert : les révélations de sa mère

Condamné à mort par le Conseil d’Etat français, Vincent Lambert vient d’obtenir un sursis de la part de la Cour européenne des droits de l’homme, le temps que celle-ci – qui a été saisie – examine le dossier…

Dans l’entretien video ci-dessous, la mère de Vincent Lambert révèle deux faits stupéfiants.
« Avant de partir pour Paris, le père et la mère de Vincent Lambert sont allés lui rendre visite et lui ont dit « Papa et Maman sont à côté de toi. » Vincent Lambert a alors TOURNE LA TETE vers eux.
Par ailleurs, dans le dossier médical, le docteur Kariger a écrit qu’il ne voulait pas que la famille soit au courant.
Une affaire très différente de la version médiatique »

Santé : pesticides et autisme

Plusieurs hypothèses sont avancées pour expliquer l’explosion du nombre de cas d’autisme dans les sociétés occidentales. Ce pourrait-être les antidépresseurs selon certains ou encore les technologies sans fil (wifii, téléphone portable etc..) selon d’autres, mais d’après des chercheurs californiens il existe un lien entre pesticides et autisme :

Lu sur le site Le Monde :

Touchant un enfant sur 68 en 2014, au lieu d’un sur 150 en 2000, l’autisme a fortement augmenté ces dernières décennies aux Etats-Unis. Une progression qui serait en partie corrélée au développement des pesticides. D’après une étude de chercheurs californiens publiée lundi 23 juin, une femme enceinte qui vit près d’une ferme utilisant ces produits chimiques a un risque 66 % plus élevé de voirson enfant développer la maladie.

Les chercheurs de l’université Davis ont confronté des données sur les utilisations de pesticides en Californie aux adresses de 1 000 personnes. La loi en Californie requiert de préciser les types de pesticides pulvérisés, où, quand et dans quelles quantités. « Nous avons constaté que plusieurs types de pesticides ont été plus couramment utilisés près des habitations où les enfants ont développé le syndrome de l’autisme ou ont eu des retards » de développement, a expliqué l’un des auteurs, Irva Hertz-Picciotto, vice-présidente du département de sciences et de santé publique à l’université. Environ un tiers des participants à l’étude vivaient dans un rayon de 1,25 à 1,75 kilomètre de l’endroit où les pesticides ont été utilisés.

Euthanasie : le rapporteur public du Conseil d’Etat requiert la mort de Vincent Lambert

Le rapporteur public du Conseil d’Etat a préconisé la mort de Vincent Lambert, cet homme de 38 ans devenu tétraplégique après un accident de la route en 2008. Il devra cesser d’être alimenté et hydraté, selon le juge. C’est une première en France.

L’Etat veut tuer quelqu’un en le laissant mourir de faim et de soif…

Selon le Figaro, « Le rapporteur public Rémi Keller a recommandé l’annulation de la décision du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, qui s’était prononcé pour le maintien en vie de Vincent Lambert, après que le CHU de Reims, où est hospitalisé le patient, avait décidé d’arrêter de l’alimenter et de l’hydrater artificiellement.

« Nous ne proposerons pas de confirmer le jugement du tribunal », a déclaré M. Keller, estimant que « la décision d’interrompre le traitement (de Vincent Lambert) correspond aux conditions de la loi de 2005 » sur la fin de vie. »

Gardons en tête que l’affaire « Vincent Lambert » cache un bras de fer entre les tenants de la « culture de mort » (avortement, puis maintenant « euthanasie » volontaire et demain « euthanasie » sans consentement des personnes), et les défenseurs de la vie humaine, dont l’homme – qui est plus qu’un animal – n’est ni l’auteur ni le maître.

Enfin, un petit rappel nécessaire :

– Vincent n’est pas branché à des machines
– Vincent n’a pas de traitement médical lourd
– Vincent s’est rendu au mariage de sa sœur
– Vincent reconnait ses proches
– Vincent a pleuré quand on a déjà tenté de le tuer

Nous rediffusons ce reportage effectué auprès de la famille de Vincent Lambert :

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Modernité : elle égorge son nouveau-né pour « sauver sa vie sexuelle »

Nadine Koenig, une jeune Allemande de 20 ans, voit débuter actuellement son procès pour une sordide histoire qui s’est déroulée en février de l’année dernière, à Regensburg, en Bavière.

Elle a étranglé et puis égorgé son bébé avec un cutter, à peine 30 minutes après avoir accouché dans la maison de ses parents.

« Il allait avoir un impact sur sa vie sexuelle et sociale », indique le procureur Ulrike Klein, repris par le Mirror, « Elle a dit qu’elle lui avait tranché la gorge avec un cutter. »

Après avoir commis l’irréparable, la jeune femme a caché le corps du poupon dans un panier, sur une passerelle du Danube, à proximité de son domicile. Les enquêteurs ont mis près de 12 jours avant de retrouver la trace de la meurtrière.

D’après sa famille, ils n’étaient pas au courant que Nadine était enceinte. Lorsque la police est venue l’arrêter, c’en était de trop pour sa mère, Kristin, 44 ans. Elle a écrit une lettre de suicide : « je sais ce que m’a fille a fait », avant de se jeter sous les roues d’un train. (source)

Voilà où mènent les fausses valeurs et le faux sens de la vie diffusés par la société moderne, prétendument de progrès.
Nous sombrerons toujours davantage dans la barbarie, à moins d’effectuer un retour radical, une révolution, vers la civilisation chrétienne.

Banalisation de l’infanticide

Le magazine Closer n’est plus à présenter. Ce torchon cataloguant les pires décadences de la société actuelle a fait fort récemment en publiant la vidéo de l’avortement d’une jeune femme. Le but est simple explique-t-elle, montrer la simplicité de l’avortement, et aller à l’encontre de tous les témoignages qui mettent en avant les multiples dérèglements physiques ou psychologiques qu’un tel acte provoque.

– «L’homme n’a pas été impliqué dans ma décision» (Eh bien oui, ce n’est pas non plus comme s’il était lui aussi responsable de la conception de l’enfant)
– «Je ne me sens pas comme une mauvaise personne. Je ne me sens pas triste. Je savais que ce que je voulais faire était de bien – c’était juste pour moi et pour personne d’autre » (En voilà un choix juste et bon, bien loin de l’égoïsme exacerbé de tous ces anti-IVG rétrogrades)
– « Un avortement effectué pendant le premier trimestre dure entre 3 et 5 minutes. C’est plus sûr qu’un accouchement. Il n’y a pas d’incision, et le risque de stérilité est seulement de 1%. ».

On se souviendra cependant que le docteur Dor s’est vu poursuivre en justice pour avoir récité un rosaire devant un hôpital pratiquant l’avortement. Alors à l’inverse qui portera plainte contre cette jeune femme pour incitation au meurtre ? Personne ! Car la propagande pro-ivg, cette culture de mort, est légale, financée parfois et toujours encouragée.

 Marie de Remoncourt

Le Mans : un tueur à gages de 15 ans mis en examen

Société moderne déshumanisée et barbare :

« Un adolescent a été interpellé en début de semaine au Mans (Sarthe), suspecté d’homicide. D’après les informations de l’AFP, le garçon aurait abattu de plusieurs coups de feu un homme en février 2013, dans le cadre d’un réglement de compte.
Le jeune homme de 15 ans avait signé un contrat où on lui demandait de commettre un meurtre. La victime était connue des services de lutte contre les stupéfiants, ce qui oriente les enquêteurs vers la thèse d’une vengeance préméditée sur fond de trafic de drogue.  »

Source

Le clip de campagne des jeunes socialistes : promotion de l’avortement en Europe

Il faut voir où notre société est tombée…

Les socialistes, dans leur fuite en avant, viennent de pondre un clip de campagne, pour les européennes, proprement satanique.

Trois colocataires (un de chaque couleur). La fille explique au garçon qu’il ne faut pas aller passer ses vacances en Espagne car là-bas, l’avortement volontaire n’est pas légal…