L’uniforme concocté par le gouvernement pour les élèves dévoilé : égalitarisme au menu

« Un polo blanc ou gris, un pull bleu marine et un pantalon gris anthracite. Et en maternelle, pour les plus petits, une blouse. Le Figaro dévoile le trousseau concocté par le gouvernement pour les élèves qui, à la rentrée 2024, seront concernés par l’expérimentation de l’uniforme dans les établissements scolaires. Avant d’être propulsé premier ministre, Gabriel Attal devait présenter ce trousseau. Il revient à la nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra d’assurer le service après-vente.
Dans sa conférence de presse du 16 janvier, le président Macron a évoqué, à ce stade, «une centaine d’établissements volontaires» pour cette expérimentation de «tenue unique» qui «efface les inégalités». Soit 20 à 25.000 élèves. Pour des collectivités qui, comme Nice, Perpignan, Metz ou la région Auvergne-Rhône-Alpes, se sont rapidement déclarées intéressées par le projet de l’exécutif, dans les tuyaux depuis un an, l’expérimentation pourrait commencer dès le printemps. Certaines ont d’ailleurs élaboré leur propre trousseau, sous réserve de répondre au cahier des charges fixé par l’Éducation nationale. […] Pour les autres collectivités intéressées, le gouvernement veut leur simplifier la vie avec ce trousseau élaboré par ses soins. La tenue sera mixte «pour éviter les polémiques qu’il risque d’y avoir malgré tout», confie un proche du dossier. Pas de choix entre le pantalon ou la jupe, donc. […] (source et suite)

 

Le gouvernement invoque un mauvais motif pour cet uniforme : « effacer les inégalités ». L’idéologie égalitariste, foncièrement contre-nature et antisociale, et fondement de la Gauche, est donc à l’œuvre.
On le voit bien au côté « unisexe » de la tenue. Il n’y a plus de différences, pour ces gens-là, entre garçons et filles, si tant est que ces malades admettent encore la réalité de cette altérité.

Or il est bien sûr important d’accompagner la structuration mentale des adolescents, y compris dans leur genre, au risque – entre autres – de créer des féministes et des déséquilibrés (la loi républicaine ne nous permet pas d’exprimer la réalité plus clairement)…

Les vertus de l’uniforme sont normalement :
– de développer l’esprit de corps dans un établissement
– d’empêcher la vanité vestimentaire
– d’empêcher les tenues indécentes (or le pantalon l’est souvent, chez les femmes)
– d’empêcher les tenues relâchées (car la tenue influe sur l’âme : ainsi, les baskets que présente le gouvernement – à défaut de les rendre obligatoire pour le moment – poussent, trop longtemps chaussées, à la mollesse).

On imagine que pour le gouvernement, en plus de l’égalitarisme malsain, les motifs sont d’effacer les différences sociales – pour ce qu’il en reste – et surtout d’empêcher les tenues religieuses.

De toute façon, il s’agit d’un pansement sur une jambe de bois, le problème de l’école française (d’où son effondrement) tient en trois choses principalement :

– des programmes lacunaires, mal orientés et mal ficelés, avec des méthodes nocives (telle la « méthode globale » pour l’enseignement du français)
– des enseignants gauchistes
– la tiers-mondisation par l’immigration de masse, entraînant une chute naturelle du niveau, et permettant à ceux qui ne veulent pas travailler d’empêcher de travailler ceux qui le voudraient, entre autres problèmes.

Covidisme, wokisme, giékisme ces nouvelles pestes idéologiques – par Jean-Yves Le Gallou

 

Covidisme, Wokisme, Giékisme : ces nouvelles pestes idéologiques

« Le politiquement correct ne cesse de produire de nouveaux variants. Covidisme, wokisme, giékisme occupent désormais le devant de la scène. Ils partagent une même logique.

Une prétention scientifique: ce sont des professeurs de médecine, des épidémiologistes, des modélisateurs qui ont imposé une pensée unique sur la Covid ; ce sont des sociologues, des historiens, des professeurs de lettres qui règnent en maîtres sur les campus woke aux États-Unis et en France ; ce sont certains paléo-climatologues et là encore des modélisateurs qui imposent, sans discussion possible, leurs perspectives sur l’origine réputée anthropique du réchauffement climatique.

Une grande intolérance:
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A propos du « politiquement correct », par Guillaume Faye

Images de Repas Entre Amis – Téléchargement gratuit sur Freepik

« Le « politiquement correct » n’est pas fondé sur des sentiments éthiques sincères, ni sur la peur physique d’une répression, mais sur un réflexe de snobisme intellectuel et de lâcheté sociale. Il s’agit en réalité d’un politiquement chic. Les journalistes et les « penseurs » du système actuel reproduisent de manière « soft » et bourgeoise le mécanisme de soumission de l’époque stalinienne : on ne risque plus d’être envoyé en camp, mais de ne pas être invité au restaurant, de n’être plus admis chez Castel, de se faire exclure des cénacles branchés et des médias, de déplaire aux jolies femmes, etc., en émettant des idées hors-système. C’est la mésaventure qui est arrivée à Jean Baudrillard. Etre politiquement correct, ce n’est pas une question d’idées, mais d’insertion sociale. »

Guillaume Faye, L’archéofuturisme

Oui, l’affaire Bilongo – Fournas est grave. Le point de vue de Martin Peltier

« Rappel : on ne bat pas un agresseur sans contre attaquer. Donc, rétablir les mots, rétablir les faits.
Il faut aller au bout de l’affaire Bilongo.

Toute la presse jeudi soir 3 novembre, affirmait que la phrase prononcée par Grégoire de Fournas était « qu’il retourne en Afrique », au singulier, en se fondant sur l’affirmation que c’était ce qui était écrit dans « le compte rendu officiel de l’Assemblée nationale » mis à jour, et que ce singulier visait, non un bateau et son chargement de migrants, mais le député LFI Bilongo.
Or, il est maintenant admis qu’il n’en est rien. Ce sont bien les migrants illégaux que Fournas invitait à retourner en Afrique.

Or, outre les invectives de la NUPES et du Modem pendant la séance, l’attaque contre Fournas a été reprise par le gouvernement, son chef, Elisabeth Borne, et le président de la république, Emmanuel Macron. Il s’agit donc d’un mensonge d’Etat, et, même, la presse y ayant contribué, d’un mensonge systémique. D’une manipulation, d’une machination politique que le député Bilongo a lancée en feignant de mal comprendre et en maintenant son point de vue après coup.
Il y a donc une très grave affaire Bilongo.
Grégoire de Fournas doit exiger des excuses de ce Bilongo, d’abord, puis de l’Assemblée nationale, puis des médias et de la classe politique complice, y compris bien sûr Elisabeth Borne et Emmanuel Macron. Et s’il ne les obtient pas, il conviendrait de lancer une procédure pour les traduire en Haute Cour. »

Martin Peltier (source)

Loi de finances 2023 : les propriétaires paieront !

« Il est vrai que le propriétaire est un présumé nanti. Je parle du propriétaire foncier, pas celui d’actions ou d’œuvres d’art.
Selon l’INSEE, en 2021, 57,5 % des ménages étaient propriétaires de leur logement principal. L’INSEE ne précise pas la proportion de ceux qui « payent un loyer » à leur banque, sous la forme d’un remboursement de crédit, intérêts et principal. Le propriétaire foncier, un nanti qui ne semble pas avoir la cote en Macronie.
N’oublions pas que c’est Emmanuel Macron qui a supprimé l’impôt sur la fortune, sauf sur l’immobilier.
Certes, peu de Français acquittent cet IFI : en 2021, 153.000 foyers ont reçu un avis d’imposition sur la fortune immobilière, soit 0,37 % des foyers imposables dans notre pays. C’est peu, vous me direz, mais cet IFI symbolise la philosophie politique de la Macronie en matière patrimoniale.

C’est, du reste, celle de l’Union européenne : personnes, marchandises, capitaux doivent pouvoir circuler en toute liberté.
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Politiciens du Système et médias osent parler de « récupération politique » autour de la mort de Lola

Des rassemblements ont eu lieu dans de nombreuses villes de France, suite au meurtre horrible d’une Française de 12 ans par des Algériens clandestins, afin de manifester écœurement et colère : « ça suffit ! » pense une part importante des Français, tandis que les autres n’en ont pas encore eu assez et restent confinés dans leur veulerie.

Mais voilà, ces rassemblements sont suspects – aux yeux de la caste politico-médiatique – d’être liés à l’« extrême-droite », c’est-à-dire aux patriotes français.

Les hypocrites accusations de « récupération et instrumentalisation politique » sont particulièrement odieuses :

1) D’abord parce qu’il ne s’agit pas d’un simple fait divers, mais du résultat d’une politique immigrationniste et laxiste qui dure depuis des décennies maintenant. On a donc le droit et le devoir d’en tirer des leçons et des conclusions politiques.

2)  Ceux qui font semblant de s’offusquer sont les mêmes qui, au cours des 40 dernières années, nous ont inlassablement ressorti la carte magique de la Shoah, des camps, et l’éternelle musique du « plus jamais ça » pour contrer les aspirations nationalistes et identitaires ; les opposants au Système politique cosmopolite ont été ensevelis et balayés par les reductio ad hitlerum et des points Godwin brandis par l’empire médiatique, l’industrie du spectacle, et leurs adversaires politiques de tous bords.

Ce sont les mêmes faux indignés qui nous ont rebattu les oreilles pendant des mois avec la mort d’un homme (George Floyd) aux Etats-Unis, avec la mort d’un délinquant noir en France (Adama Traore), avec – jusqu’à l’obscénité – la mort par noyade d’un enfant migrant (Aylan) , toujours à des fins politiques.

Mais la mort atroce d’une petite Française (parmi de nombreuses autres victimes de francocides) n’a pas la même valeur à leurs yeux, et ils contestent même le droit à vouloir ne plus subir ce genre d’horreurs…

Henri Ménestrel (s’appuyant sur J. Bouhy)

Les soixante ans de Vatican II : un triste anniversaire

Rivarol – Les soixante ans de Vatican II : un triste anniversaire

Editorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol :

« SOIXANTE ANS se sont écoulés depuis ce jour d’octobre 1962 qui vit la réunion dans la basilique Saint-Pierre de Rome, à l’appel de Jean XXIII, de 2 381 évêques venus du monde entier (hormis les prélats des pays communistes qui furent absents, à quelques significatives exceptions près, comme Wojtyla) pour la cérémonie d’ouverture du « Second Concile œcuménique », qui allait s’éterniser jusqu’au 8 décembre 1965. Si l’on devait répertorier les principaux événements du XXe siècle, Vatican II y figurerait à l’évidence tant il a occasionné dans les consciences, les mœurs et les institutions des bouleversements fondamentaux dont nous n’avons pas encore pris toute la mesure. Cette assemblée d’évêques qui, à la différence des vingt conciles œcuméniques de Nicée à Vatican I, n’a pas défini ni explicité des dogmes, n’a pas procédé par canons et anathèmes, a ouvert la voie à une nouvelle religion qui porte toujours officiellement le nom de catholique mais dont la substance et les finalités ne sont plus du tout les mêmes. Est-ce un hasard si les sectateurs de Vatican II ont parlé dès le début, tel le “cardinal” Benelli, d’« église conciliaire » ou, comme Paul VI, de « nouvelle Pentecôte » ? De même, le “cardinal” Suenens remarquait-il que « Vatican II, c’est 1789 dans l’Eglise », tandis que le Père Congar ajoutait éloquemment que par le concile « l’Eglise avait accompli pacifiquement sa révolution d’Octobre ». Expressions qui démontrent que Vatican II marque une rupture radicale avec près de 2000 ans de catholicisme et inaugure une nouvelle religion, celle de l’humanité.

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« La corrida ou l’euthanasie ? »

Feria de Mont-de-Marsan : corrida coulée, novillada sauvée

Belle tribune de Stéphanie Bignon, autour de sujets polémiques :

« Mes poules et leur coq vivent en liberté le jour et la nuit ils se protègent dans le poulailler. Le risque de me faire prendre des volailles par le renard en journée est très élevé surtout au printemps.

Cependant l’ouverture matinale du poulailler provoque toujours la même excitation et le même empressement chez mes gallinacés. Comme si la vie ne valait d’être vécue qu’en liberté… au risque de la perdre. La liberté sans le risque n’existe pas et la vie sans la liberté ne vaut rien, m’enseignent mes poules. Notre choix aujourd’hui, plus crucial que jamais, se situe là : sortons-nous du poulailler ou pas ? Acceptons-nous le prix de la liberté ? Et ne pas l’accepter nous protège-t-il de mourir ? Certains voudraient nous faire croire que rester dans le poulailler est le gage de la sécurité, d’une vie paisible et sans risque de mourir.

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« Immigrés déversés dans les campagnes et euthanasie pour tous ! »

« Transition démographique » est le nouveau nom de code pour « Grand Remplacement ».

A ce propos, voici l’éditorial de Jérôme Bourbon dans Rivarol :

« Vous avez aimé Macron 1er, vous allez adorer Macron II. Le premier quinquennat du successeur de François Hollande avait déjà été marqué par une régression des libertés fondamentales sans précédent, avec notamment les atteintes aux libertés de circulation, de manifestation, de culte et l’interdiction de facto de l’école à la maison applicable, sauf dérogations, dès cette rentrée scolaire. Le second mandat sera bien pire encore.

D’abord parce que tout va toujours plus mal. Et aussi et surtout parce que Macron ne pouvant pas se représenter en 2027, il peut faire absolument tout ce qui lui plaît d’ici là. Ou plus exactement il peut mettre en œuvre les mesures dévastatrices pour lesquelles il a été choisi et mandaté par les cénacles mondialistes. Et manifestement il ne perd pas de temps.
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« Cachez ces tatouages que je ne saurais voir ! »

Cachez ces tatouages que je ne saurais voir!

Alors qu’un Français sur 5 est désormais tatoué, voici une tribune radicale de Charles Gassot, qui nous semble intéressante pour « contribuer au débat » :

« Le règne de la laideur ne se cantonne plus aux paysages envahis par les éoliennes, ni aux villes nouvelles à l’architecture infâme où paradent trottinettes électriques et sont affichées les publicités les plus subversives. Les corps de nos contemporains se livrent, eux aussi, à une compétition inédite: la course au tatouage le plus hideux.


Vous pensiez partir en vacances l’esprit libre et dégagé. L’année a été rude mais vous avez tenu bon ! Vous aviez réservé un endroit de rêve pour vous ressourcer, vous imprégner de quiétude et de beauté…

C’était sans compter sur vos contemporains qui ont décidé de vous pourrir la vie – la vue – en étalant leur laideur sans complexe, de la plage au supermarché, avec leurs tatouages. En en mettant partout, sur les bras, sur le cou et jusque derrière les cuisses, ils imposent l’immonde à tous, et hissent la laideur au rang de fierté.

La course au tatoo le plus hideux

Le tatouage a démarré discrètement. Il était porté comme accessoire élégant par quelques art directors à la pointe de la mode, par des sportifs aussitôt suivis par des top modèles. Aujourd’hui, c’est la course pour avoir le plus hideux, le plus criard, le plus voyant, et l’attitude de ceux qui le portent va de pair, elle est agressive et vindicative. Tous s’impriment le corps : serveurs, maçons, barmen, banquiers… même les mamies s’y mettent ! Dans le monde d’avant, on avait droit au « Marcel », le gilet de corps des prolos de l’époque. Il arrivait aussi, parfois, que l’un d’entre eux affiche un logo Renault sur sa poitrine. Son « Marcel », l’ouvrier le portait comme une seconde peau et exhibait volontiers la carte du PC qui allait avec. Désormais, nos tatoués sont des créatifs qui déclinent sur leurs chairs motifs ethniques, personnages de mangas et dates de naissance en chiffres romains. Mais tant d’efforts – de souffrances ? – ne rendent pas plus attrayante une anatomie disgracieuse.

Bon goût et tendance

La file d’attente, à la caisse du supermarché, permet d’admirer à loisir ces œuvres qui font mal aux yeux. Une contemplation de l’horreur qui se poursuit, trop souvent, par le contenu des caddies qui débordent de produits industriels infâmes. Comment ce mauvais goût s’est-il imposé si vite ? J’écris « goût », mais ce mot, associé à une certaine idée de l’esthétique, ne peut dépeindre ce navrant spectacle.

« Tendance » serait peut-être plus adaptée, et la courbe de celle-ci dessine malheureusement celle de la paupérisation de notre société. Quel est le futur de ces jeunes enfants de couples tatoués, assis entre les bouteilles de coca et les pizzas surgelées, quel endoctrinement leur est asséné, quelle culture leur est transmise ? Les tristes statistiques l’attestent : aujourd’hui, quand on naît pauvre, on le reste. Les footballeurs seraient des exemples à suivre. Mais que chacun tente de leur ressembler, les millions d’euros et l’exercice physique en moins, constitue une énigme. Ceux qui sont heurtés par ce spectacle dégradant se noient dans le désenchantement puisqu’il est interdit de le critiquer. Ces corps devenus supports revendicatifs ne peuvent être attaqués car ils sont beaux, nous dit-on en plus ! De guerre lasse, combien de parents éclairés ont renoncé d’essayer de convaincre leurs enfants de ne pas se souiller de crétines inscriptions ?

Dans les années soixante, des jeunes filles fraîches et radieuses marchaient d’un pas léger sur les trottoirs de Paris et d’ailleurs, vêtues de robes à carreaux Vichy. Le monde leur appartenait. Jacques Demy et ses Demoiselles de Rochefort doivent se retourner dans leur tombe.

Ce sont pourtant ces femmes ravissantes, devenues de jolies grand-mères, qui ont engendré ces mutants qui aiment s’enlaidir à souhait.

On est bien loin de la révolte des Sex Pistols ou de l’élégance iconoclaste et créative de David Bowie. L’immersion est un concept à la mode. Qu’à cela ne tienne, nos jeunes tatoués ont choisi de s’immerger dans le rejet absolu d’eux-mêmes. Pensent-ils à leur avenir et à travailler ? Toute entreprise recherche de nouveaux collaborateurs. Elle veut engager des jeunes gens dynamiques et plein d’idées. Certes, les diplômes ont leur importance, mais c’est avant tout la motivation, l’énergie et… la bonne mine qui priment. C’est là que ça se gâte. Que se passe-t-il lorsqu’un employeur potentiel découvre des tatouages qui s’échappent d’une chemise pour aller s’étaler jusque sur les mains ? Peut-il refuser un tatoué sans être condamné pour discrimination ?

Le PDL (parti du laid) est aujourd’hui le plus grand parti de France. Peut-on imaginer une contre-offensive de l’élégance, du beau et de la sympathie ? Le combat s’annonce difficile. Le cinéma français est devenu inodore, sans passion. Où est passée notre illustre exception culturelle ? Les romans sont insipides, les chaînes d’info en continu et les réseaux sociaux ont colonisé les cerveaux pour y supplanter les idées, les révoltes, les inspirations et la curiosité. Existe-t-il encore des scénaristes, des réalisateurs et des producteurs qui auraient le culot d’inverser la tendance ? Que sont devenus l’humour et le spirituel ? L’élégance est une discrète, elle sait rester en retrait, voire se cacher. Certains voudraient lui casser la gueule pour lui faire payer ce qu’ils prennent pour de l’arrogance. Si elle est votre compagne de tous les jours et qu’elle vous dicte votre style vestimentaire, votre langage, votre attitude dans la vie, surtout, sachez avoir le regard fuyant : vous éviterez celui, haineux, de ceux que la seule idée du chic et de la distinction rend fous !

Il serait ainsi malvenu d’évoquer, pour donner l’exemple, Givenchy ou Saint Laurent, on me reprocherait de ne parler que des riches. Ce n’est pourtant pas une question d’argent : les plus grands de la haute couture ont tous été copiés par l’industrie du prêt-à-porter, accessible à tous. Où est le jeune créateur qui saura séduire nos tatoués, en créant des modèles qui les ouvrira à autre chose qu’à la laideur ? S’il existe, il va partir de loin et je lui souhaite bon courage, d’autant que la pub et les médias ne sont pas prêts à faire barrage au moche. Je suis heureux qu’Azzedine Alaïa et Issey Miyake soient morts, ils n’ont plus à vivre dans ce monde de désolation. »

Source Causeur

Le résultat de l’élection présidentielle est rageant, mais…

Tribune libre  :

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« Le scrutin présidentiel de cette piteuse année aboutit donc à un résultat de 58,55% des voix exprimées pour Macron, et 41,45% pour Marine Le Pen, avec une abstention record de 28%.

Une nette majorité des votants a donc choisi sciemment (car Macron a pu faire ses preuves pendant 5 ans) : plus de mondialisme, plus d’invasion migratoire, plus d’insécurité, plus d’avortements, plus de possibilité de fabriquer dans des éprouvettes des petits humains pour les offrir comme des objets de consommation à des couples de dégénérés, plus de tyrannie à prétexte sanitaire et de totalitarisme inhumain (rappelez-vous les malades et les vieux qu’on a laissé mourir en interdisant à leurs proches de les accompagner ou les voir une dernière fois! La génération d’enfants qu’on a traumatisés et détruit psychologiquement avec les masques et les confinements), plus de propagande LGBT, plus de délocalisations et de désindustrialisation (-2 millions d’emplois dans ce secteur ces 5 dernières années), plus de dette publique, etc., etc.

Il y a même eu des « évêques » modernistes pour annoncer publiquement leur vote en faveur de cela, mais cela fait quelques décennies que cette engeance dans son ensemble trahit la France et le Christ ainsi que son Eglise.

Certaines bourgeois ont voté Macron en pensant que sur le plan économique il est meilleur que Marine : or, il faut vraiment avoir une vue courte et égoïste pour ne pas se soucier du fait que Macron accroît de façon ahurissante une dette publique déjà vertigineuse…
Aucune politique économique n’est bonne si elle aggrave lourdement la dette.
Mais c’est typiquement l’approche de la génération du baby-boom, celle qui a acclamé largement Macron : « après nous le déluge ».

Ce résultat s’explique par deux faits notamment :
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« Leur régime tyrannique est l’exact opposé de la France du Maréchal » – Belle analyse de Jérôme Bourbon

La Révolution nationale ou le redressement de la « Maison France » | Histoire et analyse d'images et oeuvres

Éditorial de Jérôme Bourbon dans le dernier numéro de l’hebdomadaire Rivarol, auquel on ne peut contester grand chose :

« C’est dans ce contexte dramatique que nous commémorons le soixante-dixième anniversaire de la disparition du Maréchal dont le régime fut quasiment en tous points l’inverse de celui que nous subissons depuis la fin de la guerre. Le lundi 23 juillet 1951 s’éteignait en effet Philippe Pétain. Six ans jour pour jour après le début de son procès devant la Haute Cour de justice (ou plutôt d’injustice). Sept décennies se sont écoulées depuis. Et l’on n’a toujours pas réhabilité le Maréchal. Ses cendres n’ont toujours pas été transférées à Douaumont. Au contraire, ces dernières années la situation s’est considérablement aggravée. Les dernières rues qui portaient encore le nom du Vainqueur de Verdun dans quelques rares villages de France ont été débaptisées en 2010. Le portrait du Maréchal qui figurait au même titre que tous les autres chefs d’Etat français, entre Albert Lebrun et Vincent Auriol, dans la salle des mariages d’une humble mairie du Calvados a également été décroché, le préfet aux ordres de la LICRA exigeant, comminatoire, que le maire s’exécute. Macron, lors du centenaire de l’armistice de 1918, a été morigéné par le Lobby auquel il était pourtant soumis et rappelé à l’ordre par Attali lui-même pour avoir osé sa petite phrase sur Pétain qui fut « un soldat courageux ». Cet épisode est le dénouement d’une longue escalade. En effet, auparavant, François Mitterrand qui fleurissait chaque 11-Novembre la tombe du Maréchal [comme Giscard, Pompidou et même De Gaulle auparavant – NDCI] a dû y renoncer en 1993 devant les pressions du lobby auquel rien ni personne n’ose plus résister.

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Réflexion sur la légitimité morale du vaccin contre le Covid

Vaccination : la campagne s'accélère - Ville De Port Saint Louis du Rhône

Tribune très intéressante, parue dans la Nef en décembre 2020, qui garde sa pertinence.

« Les vaccins contre le Covid 19 qui arrivent sur le marché ont été élaborés en un temps record et, pour certains, selon des techniques nouvelles dont les effets à long terme sont par définition inconnus. De tels vaccins tant attendus ne dispensent pas d’une juste réflexion morale, d’où le point de vue argumenté que nous sommes heureux de publier ici.

Le sujet du vaccin à ARN messager (ARNm) est sensible et mérite une évaluation morale particulière de la part de l’Église. D’autant plus se vérifie ici le lien entre évaluation éthique et nécessité de compréhension scientifique des processus vitaux se déroulant. D’autant plus semble se vérifier que les fondements de bioéthique sont inscrits au cœur même du vivant. C’est donc très précisément qu’il nous faut examiner la question, au cœur du fonctionnement de la cellule, au cœur du fonctionnement du coronavirus Covid 19, au cœur de celui du vaccin à ARN messager qui vient d’être mis sur le marché.

Quelle est donc tout d’abord sa nature ? S’agit d’un vaccin au sens traditionnel ?
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Nouvelle tribune de militaires : “de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement”

Défilé militaire du 14 Juillet — Wikipédia

Après une première lettre signée par de nombreux militaires, dont des généraux, et qui a suscité de vives réactions et conséquences, voici qu’une deuxième tribune est parue, reprise par l’hebdomadaire Valeurs actuelles qui la présente comme signée par deux mille militaires d’actives (ce qui est beaucoup) :

« Monsieur le Président de la République, Mesdames et Messieurs les ministres, parlementaires, officiers généraux, en vos grades et qualités,

On ne chante plus le septième couplet de la Marseillaise, dit « couplet des enfants ». Il est pourtant riche d’enseignements. Laissons-lui le soin de nous les prodiguer :
« Nous entrerons dans la carrière quand nos aînés n’y seront plus. Nous y trouverons leur poussière, et la trace de leurs vertus. Bien moins jaloux de leur survivre que de partager leur cercueil, nous aurons le sublime orgueil de les venger ou de les suivre »

Nos aînés, ce sont des combattants qui ont mérité qu’on les respecte. Ce sont par exemple les vieux soldats dont vous avez piétiné l’honneur ces dernières semaines. Ce sont ces milliers de serviteurs de la France, signataires d’une tribune de simple bon sens, des soldats qui ont donné leurs plus belles années pour défendre notre liberté, obéissant à vos ordres, pour faire vos guerres ou mettre en œuvre vos restrictions budgétaires, que vous avez salis alors que le peuple de France les soutenait. Ces gens qui ont lutté contre tous les ennemis de la France, vous les avez traités de factieux alors que leur seul tort est d’aimer leur pays et de pleurer sa visible déchéance.

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« Culpabilité blanche et ethnomasochisme »

How Can I Cure My White Guilt? - The New York Times

Par Andrej Sekulović dans la revue slovène Demokracija :

« Le XXe siècle a été un siècle de grands changements. Outre les innovations technologiques, les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale ont été marquées par de nombreux changements sociaux, principalement dus à l’hégémonie culturelle de gauche qui s’est finalement consolidée dans les sociétés occidentales au cours de cette période. En conséquence, la nouvelle gauche, qui préférait se concentrer sur les droits des groupes marginalisés, y compris diverses minorités ethniques et sexuelles, plutôt que sur les droits des travailleurs et les inégalités de classe, a commencé à redéfinir les termes et concepts communément acceptés, puis à inventer de nouveaux vocabulaires pour répondre à ses besoins idéologiques.

La culpabilité des Blancs comme stratégie de gauche

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