Une volonté acharnée de subversion.
La cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris a mis en œuvre de très importants moyens techniques et a duré quatre heures…
On pouvait s’attendre à du mauvais goût et quelques provocations, mais les organisateurs y sont allés fort, avec plusieurs séquences brutalement wokistes (c’est-à-dire gauchistes), obscènes, perverses ou carrément blasphématoires…
En termes politiques, le mélenchonisme et le macronisme qui dominent les sphères médiatique, politique et culturelle, sont pleinement satisfaits.
Il faut garder en tête que cette cérémonie a été vue par environ un milliard de téléspectateurs… Ils considèreront logiquement la France comme un pays d’homosexuels, de pervers et de blasphémateurs antichrétiens.
Signalons en vrac :
▬ un clip débile montrant la formation d’un couple futile (interracial évidement), qui devient rapidement un trio libertin avec le renfort d’un type maquillé de façon très malsaine. Baisers sur la bouche et regards libidineux. Nous ne mettrons pas d’illustration… Cette scène et d’autres ont d’ailleurs été coupées lors de la diffusion dans certains pays moins dégénérés.
Evidemment le métissage est promu et généralisé.
▬ une diva chantant « les aristocrates on les pendra », déguisée en Marie-Antoinette, portant dans ses mains sa propre tête décapitée, en un tableau effrayant (combien d’enfants traumatisés à travers le monde?) :
Si l’idée était de faire de la cérémonie un hommage à la République française, qui s’est illustrée dans la barbarie autant que Daesch, c’est en effet réussi.
▬ des personnages à l’allure horriblement contre-nature s’exposant avec obscénité :
▬ la chanteuse africaine Aya Nakamura déclamant ses paroles obscènes (heureusement incompréhensibles par 99% des gens) en se touchant ostensiblement l’entrejambe. A ce propos :
« Le spectacle poussif (play-back raté) d’Aya Nakamura, chanteuse présentée peut-être rapidement comme francophone, a été l’occasion d’une forte démonstration d’hostilité gauchiste.
En effet, en plus d’un ridicule et d’un mauvais goût souvent communs au reste de la cérémonie, la prestation de cette vedette qui piétine et massacre la langue française a été placée par les organisateurs devant le bâtiment de l’Académie française, comme un doigt d’honneur aux amis du français et plus généralement aux « conservateurs » (les gens sains d’esprit).
De plus, on a contraint la fanfare de la Garde républicaine à se mêler maladroitement aux gesticulations d’épileptiques des danseuses africaines, à joindre sa musique à ce bruit. Ce groupe d’hommes blancs en uniforme (l’ordre) incarne symboliquement l’ennemi du moment. Il convenait de l’humilier. » (source)
▬ Une atroce scène de parodie du célèbre tableau de Léonard de Vinci représentant la Cène du Christ, entouré de ses apôtres :
Ici, on a eu droit à des drag-queens (hommes travestis caricaturalement en femmes et prenant des postures provocantes), à la place de Jésus et ses disciples :
Les gens qui ont fait cela le regretteront amèrement au jour du jugement.
Ils ont par ailleurs blessé de très nombreux croyants à travers le monde.
Mais il ne faudra pas compter sur la Conférence des évêques de France, serpillère du pouvoir mondialiste, pour réagir virilement. Elle préfère ouvrir sa bouche pour dénoncer les patriotes lors des élections.
Après un long moment, lors de cette ignoble scène, un chanteur ventripotent vaguement connu (Philippe Katerine) s’est exposé quasiment nu et couvert de bleu. Il représentait Dyonisos, dieu grec, patron des amateurs d’orgies. On comprend que Macron et les siens le préfèrent au Christ, mais il ne symbolise pas encore vraiment la France, non ?
D’autres divinités païennes étaient représentées, telle Sequana, la déesse antique de la Seine.
Notez en arrière-plan les travestis et femmes à barbe qui se collent à des enfants !
Par prudence légale, nous ne dirons pas à quoi tout cela nous fait penser, mais vous en êtes sûrement arrivés aux mêmes conclusions.
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► voir aussi : Parodie dégénérée de la Cène : tentative de contre-feu autour d’un tableau