C’était un 14 septembre…


1759 : mort du marquis Louis de Montcalm de saint-Véran, général français, en défendant Québec assiégée, des suites d’une blessure reçue la veille lors de la bataille des Plaines d’Abraham.
Un trou, qu’une bombe avait fait, servit de sépulture à ce maréchal de camp qui avait résolu de sauver le Canada des Anglais.
Sa mort entraîna pour la France la perte de la ville de Québec et bientôt de toute la Nouvelle-France.
A lire : Montcalm, de Marie-Magdeleine Del Perugia, Ed. de Paris, disponible ici.

1944 : Robert Brasillach se présente volontairement à la préfecture de police de Paris, afin d’obtenir la libération de sa mère, arrêtée le 25 août dans le seul but de l’obliger à se livrer.
Bien qu’il n’y ait pas de mandat d’arrêt contre lui, il est transféré au camp de Noisy le Sec, puis, le 15 octobre à Fresnes. On lui reproche ses articles dans Je suis partout.
En prison, il écrit, en moins de cinq mois, un essai sur André Chénier, Le dialogue des Frères ennemis, un Chœur parlé pour la journée des absents, une Lettre à un soldat de la classe 60.

Ne se faisant aucune illusion sur le résultat des recours déposés par son avocat ou de la demande en grâce signée par les plus grands écrivains français et adressée au général De Gaulle, il attend son exécution dans sa cellule.
Robert Brasillach termine les Poèmes de Fresnes, avec les chaînes au pied, dans la cellule des condamnés à mort. Ils sont écrits alors que l’auteur n’a ni stylo ni papier. Il avait réussi à se procurer une plume qu’il cacha dans une pipe et du papier qu’il arrachait d’un carnet. C’est par son avocat que ces poèmes sont sortis de Fresnes.

Pour des livres de Brasillach et sur lui, cliquer ici.

9 commentaires concernant l'article “C’était un 14 septembre…”

  1. Le plus grand crime au vue de la résistance (communistes) c’est Que Robert Brasillach avait fait un reportage pour je suis partout sur le site de KATYN et cela le Kremelin ne pouvait supporter qu’il y est un jounaliste temoin.
    c’est surement cela qui ammena les Gaullards Communiste, à le fusiller sur ordre de qui.?? du Kremlin et de Staline en personne, car son amis Lucien Rebatet en avait dit et écrit de pire que lui, lui ne fut pas fusiller pourquoi.? parce qu’il n’avait pas été à KATYN en 1943.

  2. Les meilleurs parmi les partisans de la Collaboration avaient compris que l’alliance contre nature entre représentants de la ploutocratie apatride et héritiers d’un bolchevisme de plus en plus étranger au marxisme allait se fissurer .
    Tous respectaient le grand Staline . Et _ils avaient mille fois raison .
    Entre camp occidental ( traduction : enjuivé autant qu’il est possible de l’être ) et socialisme mis au service de la cause russe , le choix ne pouvait faire aucun doute .
    A bas les serviteurs de l’impérialisme judéo-US !

  3. 14 septembre: l’exaltation de la Ste Croix
    Commémoration en souvenir de l’année 630 où Héraclius, empereur d’Orient, avaient repris aux perses la Ste Croix du Christ qu’ils avaient volée à Jérusalem lors de l’invasion de la Palestine. Les perse avaient adopté l’hérésie d’Arius.

  4. Albert

    Le pacte Hitler-Staline a été rompu par Hitler. L’opération Barbarossa déclenchée avec un mois de retard lui sera fatale. L’Hiver Russe, la profondeur du front, auront raison de l’excellente Werhmarcht qui eût pu l’emporter malgré tout… mais seule contre tous, puis sur deux fronts, l’Allemagne allait à la défaite. D’autant que les « Alliés » voulaient une capitulation totale. La formidable machine de guerre US ira jusqu’au bout. On sait qui tirait les ficelles et avait décidé la guerre bien avant 1939…

    On peut se demander pourquoi Hitler a pris cette funeste décision d’attaquer l’URSS malgré l’opposition de ses meilleurs généraux. L’hybris?

  5. Vae victis

    L’excellente werhmarcht…n’exagérons rien.

    l’armée allemande était hyppomobile en grande partie.
    les ressourses naturelles sous la main était limité.

    C’étais une grande armée sans plus …

    Donc condamnée à frapper vite et fort sinon la machine s’enraille et le temps qui passe est forcément fatal.

    De plus Hitler est un démagogue et rien d’autre ,quand on met le feux dans tous les sens forcément sa propre maison finit par bruler…

    Des anes comme Napoléon ou hitler ce sont des gens qui ne savent pas s’arreter ou temporiser.

    L’histoire est faites pour des Elisabeths, Victoria, Staline, Phillipe le bel, Khomeini…des gens qui calculent prennent leur temps…

    Le crime de Robert brasillach est simple il est intélectuel.Monsieur n’était pas dans le sens de l’histoire. il a parié sur le mauvais cheval à une époque si la chemise mouillait trop on risquait de la sécher vite devant un peleton d’exécution.

  6. Des milliers d’ assassinats de patriotes francais depuis l’Occupation et à la libération furent les crimes de haine de l’anti-France par les imposteurs de la Résistance bolchévik qui voulait surtout éradiquer ceux qui refusaient la férule judéo-soviètique .
    Les communistes ont toujours pignon sue rue, en toute impunité et subventionnés pour inciter à la haine anti-francais de souche (comme l’imposteur venu d’ailleurs Mechancon),alors que leur agenda a toujours été de nuire à la France ,y préferrant un mondialisme sans frontières forcené , hier au nom du soviètisme, aujourd’hui sous prétexte antiraciste et demain pour l’idéologie islamiste !

  7. Vous encensez un type qui a vendu son pays aux nazis. Je pense que je préfère la compagnie des islamistes à la vôtre.

  8. La II° WW se resume assez facilement à une histoire de petrole; l’Allemagne qui n’en avait pas etait obligée de faire une guerre rapide -blitzkrieg-, l’URSS, qui en avait, obligée de couler du beton dans les puits de Bakou pour en priver les allemands et l’armée US obligée de tirer un pipeline depuis les plages de Normandie pour approvisioner ses chars…

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