Le général Delawarde est passé à la télévision pour la dernière fois, hier.
Dans l’émission de Morandini, pressé par des petits procureurs hystériques, il a « mal » répondu.
Aussitôt, la LICRA, organisme communautariste de traque des propos « politiquement incorrects », s’est jeté sur cette affaire anodine. Et donc, sans perdre de temps, alors qu’aucune enquête n’est menée sur tout un tas de délits graves, faute de moyens et de temps, le Parquet de Paris a annoncé ouvrir une enquête :
« Le parquet de Paris a indiqué vendredi avoir ouvert une enquête concernant un ex-général, Dominique Delawarde, signataire de la tribune dite « des généraux », accusé d’avoir proféré des propos antisémites.Le parquet de Paris a ouvert ce jour une enquête des chefs de diffamation publique et provocation à la haine et à la violence à raison de l’origine ou de l’appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion. L’enquête a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP). […] » (source)