La partialité des grands médias étant de mise en ces temps de troubles et de rebondissements divers, il est du devoir de chacun de partir en quête des informations jugées obsolètes par les décideurs. Parmi les grands oubliés de la déferlante médiatique se trouvent les chrétiens et notamment les catholiques, particulièrement lorsqu’ils sont opprimés. Alors que bien des français accordent une confiance aveugle aux grands pontes de l’information, force est de constater que leurs organes de presse, aussi renommés soient-ils souffrent d’une incomplétude des plus symptomatiques.
L’omerta pesant sur la recrudescence des actes antichrétiens de ces derniers mois sur le sol français peut-elle être pensée comme un retour au calme et une subite revalorisation du christianisme ? A la lumière des faits récents, il semble que cela ne soit pas le cas.
La méconnaissance amenant à la construction de jugements erronés, il convient de rappeler que s’il est évidemment plus rentable pour les champions du marketing audiovisuel de couvrir certains faits d’actualité, souvent de façon orientée voire mensongère, le christianisme n’en demeure pas moins stigmatisé, l’indifférence de l’opinion publique et des Institutions à l’égard des actes christianophobes encourageant ce type de comportements.
De façon récente, ce sont les églises ainsi que des cimetières catholiques qui ont été particulièrement visés en France.
Le 20 Juin dernier, c’est l’incendie de l’église du village de Danjantin en Franche Comté qui a semé l’effroi au sein de la population locale. Les enquêteurs ne privilégient encore aucune piste, mais les témoignages recueillis sur place semblent indiquer une présence suspecte au sein de l’édifice peu avant le drame. Il faut savoir que cet évènement fait suite à plusieurs tentatives criminelles du même ordre, dont la plus récente date du mois d’avril 2011. Quoi qu’il en soit, c’est avec consternation que les paroissiens ont appris que les flammes ont réduit en cendres l’orgue élaboré dans les années 30 et fraichement rénové, ainsi qu’une partie du clocher.
Le début de cet été 2011 a été marqué par le retour de provocations gratuites et plusieurs communautés chrétiennes catholiques ont vu leur église être souillée par des tags injurieux, à différents égards.
Ainsi, dans la nuit du 21 au 22 juin dernier, la porte de l’église Saint Eloi à Bordeaux a servi d’exutoire à des militants anticatholiques. De fait, au petit matin les passants ont pu y découvrir apposé le désormais très célèbre slogan « curés nazis » ainsi que plusieurs illustrations effectuées grâce à des pochoirs, témoignant du caractère prémédité de l’attaque, où figure un prêtre en soutane présenté comme étant un militant national-socialiste. Les catholiques sont désormais habitués à être la cible de cet amalgame terrible faisant les choux gras des militants œuvrant pour la déchristianisation de la France. Cette propagande, aussi grossière que mensongère s’appuie sur le manque de culture religieuse de la majorité des français et contribue de ce fait à conformer la pensée de nos contemporains à l’esprit du siècle, voyant de plus en plus souvent dans l’image du prêtre catholique un pédophile en puissance ou un nazi potentiel.
Dans un registre similaire, les chrétiens de la paroisse de Pibrac (Midi-Pyrénées) ont essuyé à la mi-juin une attaque des réseaux anarchistes et sataniques locaux. La veille du pèlerinage annuel vers la basilique Sainte Germaine, des individus ont couvert l’édifice de plusieurs inscriptions invoquant Satan notamment. Les coupables ont également profané une statue de la Sainte située à proximité du bâtiment.
Outre ces attaques touchant directement les lieux de culte catholique, les chrétiens doivent faire face à des violences touchant également les lieux où reposent leurs aïeux.
Ainsi, au début du mois de février dernier, c’est le cimetière de la Croix des Bergers à Leers près de Roubaix qui a été visé. Les intrus se sont enfuis après avoir détérioré cinq sépultures. Les enquêteurs ne disposent que de peu d’éléments en vue d’interpeller les coupables, ces derniers n’ayant laissé derrière eux aucune inscription ou autre marque distinctive. Le cas du cimetière de Mende, en Lozère, profané fin mars 2011 est un peu différent en ce sens ou quatre individus ont déjà pu être arrêtés par les forces de police et sont accusés d’avoir vandalisé une soixantaine de tombes au cours de leur expédition. Ils sont également poursuivis pour avoir détruit une partie des vitres de l’accueil et pour y avoir tagué le désormais très répandu 666. Cet acte de saccage fait écho à une intrusion dans ce même cimetière datant de 2008, où des tombes avaient cette fois été recouvertes de croix gammées.
Plus récemment, une quinzaine de tombes du cimetière de Belleville sur Meuse, au nord de Verdun ont été détruites. Les journalistes locaux chargés de l’affaire se sont empressés d’affirmer dans leurs écrits que cette attaque n’avait aucune connotation religieuse, le crucifix brisé au sol au premier plan de la photographie illustrant les faits n’étant probablement qu’anecdotique, à moins que ces braves reporters, pourtant élevés au rang d’authentiques quêteurs de Vérité à l’échelle nationale, aillent jusqu’à ignorer ce que le crucifix représente et commémore.
Ainsi, dans un silence caractéristique, les chrétiens de France ont le sentiment de continuer à subir les foudres de minorités hostiles agissantes, dans l’indifférence de la majorité, davantage préoccupée par le contenu du dernier petit déjeuner de DSK ou la destination favorite des français en ce début de période estivale.
Source :lacropole.info
Bien fait pour les catholiques ils passent leur temps à tendre la joue gauche …moi celui qui décroche une des icones de mon appartement ou la croix sur la porte d’entrée je sort mon rérolver!
Je suis plutôt d’accord avec Super CC…
Il faut être complètement idiot pour attendre de la ripoublique maçonnique qu’elle protège les catholiques contre les satanistes et Cie.
Les F. M. SONT des satanistes !
Ils ont essayé de tuer TOUS les catholiques de France pendant leur révolution inaugurée en 1789. Ils y sont presque parvenus, mais il reste encore, quoi, peut-être 40 000 catholiques en France, et ils voudraient bien les supprimer aussi, « terminer le travail ».
Pour moi, la seule solution face à leur monde qui protège les pédocriminels, les violeurs, et les assassins CONTRE leurs victimes et leur permet de récidiver en toute impunité (ce qui indique clairement aux monstres en puissance qu’ils peuvent passer à l’acte car il n’y a aucune punition), la seule solution dis-je est de créer une société parallèle et de rendre la justice de Dieu par nous-mêmes. La peine de mort pour les pédo, violeurs récidivistes et assassins persévérants, c’était l’ancienne loi, la loi de Dieu : à nous de l’appliquer, un petit commando, une balle, ce n’est pas bien compliqué.
Dans cette optique, si les catholiques victimes des crimes mentionnés dans cet article voulaient se donner la peine de chercher sérieusement les coupables et d’en envoyer les chefs 1 mois ou 2 à l’hopital, cela couperait certainement l’envie des autres criminels de leur emboîter le pas.
A bon entendeur…
« mais il reste encore, quoi, peut-être 40 000 catholiques en France »
Soit deux fois moins que d’hommes et de femmes du Royaume Uni vivant en France.
Oh My God !
Azincourt nous a fait plus mal que je ne le croyais…
Si on ne compte que les vrais catholiques, et non les néo-catholiques de vatican2, à mon humble avis 40 000 c’est déjà beaucoup !
Comptons en gros 20 000 chez la FSPX, et 20 000 chez les ralliés (encore que beaucoup de ceux-ci soient « biritualistes, donc à compter parmi les catholiques uniquement par …indulgence), une poignée de sédévacantistes ou d’autres catholiques n’appartenant ni à la FSPX, ni aux ralliés…
total : 40 000, au mieux.
Et encore, je pense être large, car dans les 20 000, on compte les enfants et les bébés de ces familles, et pas seulement les adultes !
Mieux vaut une minorité déterminer qu’une majorité visqueuse!!!
Les cathos Tradi (non sectaires) qui non pas peur d’aller a l’affrontement peuvent compter sur leurs frères de race païens (non sectaires) pour être solidaire avec eux et ce battre a leur coté face a nos ennemis communs, on la déjà fait avec succès et on le refera avec grand plaisir!!!
Unis nous vaincrons!!!
Entre la mesure de La Mésange (20 000 avec les enfants et les bébés) et les précisions d’éric (catho tradi non sectaire), on va finir par être enfin quatre pour faire une belote !
chouette !