En poste, il n’aura rien fait pour arrêter l’invasion migratoire, mais sur le départ, Collomb en profite pour glisser une vérité dérangeante. Un risque réel de confrontation violente entre entre indigènes et allogènes existe. Une des solutions urgentes à mettre en place n’est surement pas de favoriser le métissage ethnique, mais de stopper immédiatement l’immigration et de renvoyer tous les clandestins chez eux.
Gérard Collomb : « Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face » pic.twitter.com/oYbgXbsNMu
— CNEWS (@CNEWS) 3 octobre 2018