Plusieurs hommes politiques du Danemark ont proposé de tenter d’enrayer la dramatique explosion des viols qui accompagne les arrivées massives de clandestins dans le pays, en appliquant un programme d’éducation sexuelle déjà testé en Norvège pour les mêmes raisons.
Concrètement, les clandestins ne pourraient recevoir les aides sociales danoises (déjà très réduites par le nouveau gouvernement de droite) sans participer à ce cours intégré dans les cours de langue danoise.
Le cours a pour but de faire comprendre aux clandestins que les attitudes occidentales ne sont pas nécessairement une invitation à avoir une relation sexuelle : en clair, ce n’est pas parce qu’une fille est découverte ou qu’elle boit de l’alcool que l’on peut disposer de son corps.
Des cours d’éducation sexuelle au Danemark pour enrayer le nombre de viols commis par des clandestins
Le programme répond à des chiffres alarmants : les « migrants » et leur descendance ont été responsables d’un tiers des viols commis au Danemark entre 2013 et 2014, alors qu’ils ne représentent que 12 % de la population du pays.
« Nous avons eu des problèmes à Stravanger parce que certains réfugiés ont eu des comportements sexuels violents avec des filles norvégiennes dans le centre-ville. Alors la police, le ministère de l’Immigration et l’agence gouvernementale de gestion des réfugiés ont décidé de faire comprendre le comportement norvégien aux réfugiés », explique la responsable de l’agence norvégienne des réfugiés, Linda Hagen, à l’origine du programme aujourd’hui convoité par le Danemark.
Les cours d’éducation sexuelle ont été créés en Norvège, en raison des viols également
Tous les partis politiques danois ont approuvé l’idée d’un cours d’éducation sexuelle. « C’est important de leur expliquer que ce genre de comportement ou de vêtements ne veut pas dire qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent. Si une fille dit “non”, c’est “non” », a ajouté Linda Hagen.
Elle insiste pour expliquer que la compréhension culturelle est nécessaire pour des clandestins qui arrivent de pays dans lesquels les femmes sont totalement couvertes et ne sortent jamais seules.
« C’est difficile lorsque vous venez d’un pays dans lequel les femmes ne sortent jamais. Lorsque vous voyez une fille avec une mini-jupe danser dans une soirée tard la nuit, quel genre de message recevez-vous ? », explique-t-elle.
Il va être de plus en plus difficile d’affirmer que ces migratoires massives sont un enrichissement culturel…
Béatrice Romée