Les jeunes Américaines atteignent l’âge de la puberté de plus en plus tôt, dès 7 ans dans plus d’un cas sur sept, selon une étude publiée lundi, qui évoque un lien entre ce phénomène physiologique et l’obésité.
Environ 15% des petites filles montrent des signes de puberté précoce avec un développement des seins dès l’âge de 7 ans et une apparition de poils pubiens dès 8 ans pour près de 20% d’entre elles, selon une étude parue dans la revue Pediatrics.
A sept ans, une petite fille blanche sur 10 (10,4%) montre des signes de puberté ainsi que près d’un quart des fillettes noires (23,4%) et 14,9% des hispaniques.
A huit ans, 19,1% des petites filles, toutes origines confondues, ont des poils pubiens tandis que ces chiffres grimpent à 31,6% pour les enfants noires et à 18,9% pour les hispaniques.
L’étude se défend de constituer un échantillon national et de donner les causes de cette puberté précoce mais elle évoque l’influence de l’obésité et de certains produits chimiques.
Les auteurs notent qu’une puberté précoce est souvent associée à de la tension artérielle et un taux de sucre trop élevé, symptômes qui sont fréquemment le lot des diabétiques.
Une étude danoise publiée en 2009 avait observé la puberté chez les filles de deux échantillons européens à 15 ans d’écart entre 1991-1993 et 2006-2008. Cette étude avait ainsi montré que le développement des seins chez les jeunes filles intervenait en 2006 1,02 an plus tôt qu’en 1991.
Cette étude évoquait également l’influence probable de produits chimiques capables de modifier le système endocrinien qui régule les hormones. « L’exposition croissante à des produits chimiques perturbant le système endocrinien est peut-être impliquée dans cette évolution », relevait l’étude.
L’étude américaine a été menée auprès de 1.239 fillettes dans trois régions du pays, à New York par la Mount Sinai School of Medicine, à San Francisco par l’association Kaiser Permanente et dans l’Ohio (nord) par le Cincinnati Children Hospital.
Source : AFP
Incroyable ! :O
Âge moyen des règles au début du 19ème siècle: 18 ans
Âge moyen des règles à la fin du 19ème siècle: 16 ans
Âge moyen des règles au début du 20ème siècle: 14 ans
Âge moyen des règles à la fin du 20ème siècle: 12/13ans ans
Causes avancées (?) : alimentation de la maman pendant la grossesse (excès de sucre et de protéines), baisse de l’allaitement maternel et son remplacement par du lait artificiel dit « maternisé » non adapté à la physiologie humaine, alimentation des enfants trop riche en sucre et en protéines (viande, œufs, fromage), excès de produits laitiers [(présence de certaines hormones (?)], non adaptés à la physiologie humaine, stimulation par la lumière artificielle (?), stimulation artificielle de la sexualité au travers de la sexualisation marchande de notre société via la publicité ( entre 50 et 150 impacts publicitaires par jour soit 30 000 par an) etc. Voir aussi les livres de Herbert Shelton, de Raymond Bernard « The physiological enigma of woman. The mystery of mentruation » et de Viktoras Kulvinskas « Survival into the 21st century » OMangod Press P.O Box 64 Woodstock Vally, CT 06282 Book III Ch2 Biological superiority of woman and the study of menstruation [Do animals mentruate?] ainsi que Hunzakuts and mentruation etc.
Très intéressant, existe-il une traduction en français? Au moins les conclusions?
Je ne connais pas de traduction des ouvrages cités ci-dessus. Il est cependant possible d’approfondir ce sujet en se référant, en autre, à tous les nutritionnistes qui estiment que la quantité de protéines ne devrait jamais dépasser 1 gramme par kilo (Je pèse 50 kg, je consomme 50 g de protéines par jour) et peut-être moins selon d’autres études [0,80g] et que, eu égard à notre évolution ces protéines ne devraient normalement pas être issues du monde animal compte tenu de leur trop grande richesse en certains acides aminés dont certains présenteraient des inconvénients non-négligeables [?]. On peut lire dans certains ouvrages, que certaines femmes dont la nutrition est crue , végétalienne [ à base entre autre de pousses (alfalfa, soja etc)], strictement équilibrée [non carencée en vitamine B12 en vitamine D et en protéines], pratiquant une activité sportive régulière et soutenue, ayant une activité sexuelle située principalement ou seulement au moment de l’ovulation [???], AURAIENT AURAIENT AURAIENT des règles très peu abondantes ou dans certaines cas si peu abondantes qu’on parle d’un simple spotting [??]. Phénomène à ne pas confondre avec l’absence de règles pour des raisons pathologiques.
TOUTES CES INFORMATIONS DOIVENT ÊTRE PRISES SOUS CAUTION ET NE SAURAIENT ÊTRE PRISES COMME ARGENT COMPTANT tant qu’elles n’auront pas été corroborées par des études scientifiques irréfutables.
Elles peuvent se révéler dangereuse pour des jeunes filles engagées dans une quête névrotique liée à un capital souffrance important. Ce qui n’est pas rare dans nos sociétés. A PROSCRIRE DONC.
IL FAUT TOUJOURS SAVOIR RECEVOIR DES INFORMATIONS SANS Y ADHÉRER. EN L’OCCURRENCE C’EST CE QU’IL FAUT FAIRE.
Cela étant, il est indéniables que les jeunes filles ont leurs règles de plus en plus tôt. Il semble donc que les choix qui sont les nôtres y participent.
D’autres études ont/auraient montré que le changement de nutrition depuis un siècle, la baisse de l’allaitement maternel (présentant un fort taux d’assimilation du calcium), le remplacement par des substituts non spécifiques à faible taux d’absorption du calcium, la baisse de l’activité physique et en particulier la position assise imposée à l’école aux filles depuis leur plus jeune âge avait conduit à une perte de 14 cm de tour de hanche en un siècle, évolution en partie mais, en partie seulement, responsable de l’augmentation des césariennes et de la création des silhouettes androgynes, filiformes avec perte de la forme naturelle des hanches féminines en « trapèze », le même phénomène touchant les garçons au niveau des épaules.
Les filles étant censées mettre des bébés au monde, les conséquences ne sont pas les mêmes. [D’autres causes, bien sûr, expliquent l’explosion des césariennes: médicalisation de la naissances (induction artificielle, péridurales etc), un taux « normal » ne devrait pas dépasser 10%, il a été longtemps de 6% en Hollande; il atteint en moyenne 20 % en France et va bien au delà dans certains pays ( Brésil/Chine où la tendance devient quelquefois inquiétante). Les conséquences de ces césariennes sur la mère et l’enfant ne sont pas négligeables.
Sommes-nous les victimes de nos aberrations?