Un navire de fortune, portant à son bord 500 colons afro-musulmans en provenance de Lybie, a fait naufrage jeudi en tentant de débarquer en Italie à Lampedusa.
Ce drame humain (entre 100 et 300 morts) donne lieu à des attitudes « étonnantes », voire scandaleuses.
En plein délire ethno-masochiste, le gouvernement (anti)italien a ainsi proclamé une “journée de deuil national”, sans qu’on voit bien le rapport.
Le Vatican, qui milite lui activement pour la tiers-mondisation de l’Europe, a fait savoir par la voix de « François » toute son émotion sur ce tragique épisode : « c’est une honte ! »
Mais que propose-t-il ? D’abolir totalement les frontières et de bâtir un pont entre l’Europe et l’Afrique pour que chacun puisse venir coloniser le continent « blanc » sans risques ?
Et puis, François 1er ne porte-t-il pas lui même une responsabilité dans ce qui arrive ?
Avec son récent déplacement à Lampedusa, il a envoyé un puissant signal à tous les Africains aspirant à goûter au confort occidental, en leur disant que les Chrétiens les accueilleraient à bras ouverts.
Le même Vatican est resté muet quand il y a quelques semaines un colon tunisien frais débarqué à Lampedusa s’est donné comme premier objectif de violer une petite Italienne de 13 ans, originaire de l’île.