Ferrero fait partie de ces marques qui, en bonnes donneuses de leçons engagées à gauche, luttent contre la liberté d’expression (au nom de « la tolérance » probablement).
On apprend que son caleçon n’est guère propre quant à l’exploitation des enfants…
« Avec sa terre riche en limons, du soleil et suffisamment de pluie, la Turquie est devenue le spot mondial de la culture de noisettes. Ce généreux marché rapporte jusqu’à 1,6 milliard d’euros par an, et Ferrero Rocher est son plus gros client, qui achète un tiers de la production turque.
Le long de la côte de la mer Noire, on compte 600.000 petites fermes, et parmi les petites mains qui s’occupent de la récolte et du transport, on trouve de nombreux·ses enfants. D’après le dernier rapport du gouvernement turc, publié en 2012, environ 900.000 enfants travaillaient dans différentes industries, notamment dans l’agriculture. Cela s’explique en partie par le fait que les entreprises agricoles de moins de 50 employé·es ne sont pas soumises au Code du travail turc. »
Source Slate