et apparemment ce ne serait pas de la nostalgie.
Plutôt un mélange d’indécence et de névrose…
Il y a en effet une mode chez certains jeunes Israéliens, consistant à reproduire sur leur peau les tatouages de leurs grands parents qui avaient été déportés par l’Allemagne.
Atlantico nous en parle en ces termes : « « Quand j’ai montré pour la première fois le numéro à mon grand-père, il a pleuré et il a embrassé mon bras« , raconte-t-elle. Peu de temps après, sa mère et son oncle ont d’ailleurs décidé de faire la même chose qu’elle.
En Israël, le poids de la Shoah est extrêmement lourd, pour ne pas dire intrinsèquement lié à la création de l’Etat hébreux. L’histoire du nazisme est enseigné aux enfants dès l’école primaire, et on trouve à Jérusalem un très grand musée consacré à cette période sombre de l’histoire, le musée Yad Vashem. »