4 commentaires concernant l'article “Des pubs-espions dans le métro ?”

  1. En taguant ces écrans, qui doivent coûter la peau des fesses, c’est le contribuable-usager qui doit financer le nettoyage ou les réparations éventuelles. C’est exactement comme pour les radars sur les routes. La réparation des appareils détruits se fait avec l’argent du contribuable. Donc cette réaction ne pose aucun inconvénient pour les promoteurs de ces panneaux-espions.

    De toute façon, le métro parisien présente d’autres problèmes (insécurité, manque d’hygiène et insalubrité, pannes régulières, promiscuité insupportable) qui à eux seuls devraient dissuader d’emprunter les transports souterrains.

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